Vœux 2009 Etat 2008

Vœux 2009 Etat 2008

La France est en déshérence, totalement inféodée à des principes qui ne sont pas les siens, qui, liberticides par essence, sonnent le glas de son rayonnement comme de son autorité, pour faire place aux arcanes les plus noirs du mondialisme qui s’accroît la pérennité et le devenir de l’Humanité.

Ne soyons aveugles sur la destinée de notre Pays, ce jour paralysée par les méandres insinués dans les couches de pouvoirs qui n’ont d’autres envergures que celles de détruire sa réalité, la figer dans un moule arbitraire où la Liberté devient peau de chagrin, et où chaque citoyen se doit de se prosterner devant les maîtres éthérés de fortunes bâties sur le sang et la sueur de son Peuple, corvéable à souhait, désormais endetté jusqu’à cette dixième génération par le vouloir d’un principe de défaillance qui accentue la paupérisation et la malversation du bien d’autrui.

Le racket le plus éprouvant qui n’ait jamais été mis en place dans une société Humaine touche de plein fouet notre Pays, qui au nom d’une économie en faillite se doit de verser le moindre de ses deniers pour alimenter la pompe infernale de cette domesticité qui nargue en profondeur chaque couche de la société pour faire survivre sa demeure mondialiste qui inéluctablement coule, bateau ivre qui veut emmener l’ensemble des acteurs de l’économie, du plus humble au plus noble, afin de parfaire à la dysfonction régnante, cette atrophie intellectuelle qui se veut gouvernance et qui ne voit dans l’Humanité que le vivier d’esclaves qui lui permet de vivre sa dictature imposée et légiférée.

Et nous ne sommes pas ou bout du rouleau compresseur, lorsqu’on découvrira que les 50 000 milliards de dollars des hedges funds sont comme la poussière, qui, tel un tsunami, emportera définitivement le système financier vers sa perte irréversible. Il ne s’agit d’être grand clerc pour voir que cette composante que font semblant d’ignorer nos « élites », va marquer définitivement l’insanité du système qu’ils cherchent à protéger par tous les moyens, le mensonge, la duplicité, la coercition, la mise en œuvre de lois liberticides, la main mise sur les médias de manière à n’officier que la propagande liée à la nervure dont ils prennent les ordres les plus virulents, allant jusqu’à exposer désormais dans les gouvernements les tenants et aboutissants de cette déréliction qui se veut maîtresse du monde.

Ce monde continuera sans eux, je le pense sincèrement lorsque éclatera la vérité pure et dure qui n’est pas celle de l’illusionnisme perpétuel, de la théorie de l’autruche, de la roue du paon, de ce fatras de pacotilles, qui enrubanne les esprits afin de mieux les dissiper dans l’errance et l’accomplissement de l’errance, à commencer par cette écologie politique putride qui n’a d’autre vocation que de renflouer des caisses d’états vides, archi vides, en faillite totale.

La vérité s’instaurera d’elle-même sans avoir besoin de l’illumination et de ses vétilles, la vérité qui verra la paupérisation devenir sans cécité l’apanage du plus grand nombre qui, aujourd’hui, se berce encore des illusions oniriques qu’on lui dispense via ces médias aux ordres qui, maintenant sous le joug, ne peuvent plus éclairer le réel mais confluer bien au contraire vers cette virtualité morbide en laquelle se complaisent les « puissants » de ce jour. La puissance d’un arbre se mesure à la portée de ses racines. Ici nulle racine ne tient ce que l’on appelle la puissance, qui se définit donc comme l’impuissance la plus totale et qui pour faire accroire ne peut donc que faire valoir sa viduité dans cette virtualité énoncée, le réel en faisant fi. Afin de maintenir la virtualité au plus haut sommet, tout est prétexte, à commencer par la mise en œuvre de la terreur et de la peur accouplées, et bien entendu, aujourd’hui, on vous parle sans arrêt de terrorisme, ( ce qui rappelle l’Angleterre au moment où le gouvernement de l’époque était très mal en vue), sans même prendre la mesure de ce terrorisme, s’apprêtant à arrêter un pauvre chasseur suite à un coup de feu malheureux sur un circuit d’alimentation des trains qui desservent notre pays.

De qui se moque-t-on ?

Si nous n’avons pas été capables, par l’intermédiaire de nos services secrets et spéciaux, qui sont des meilleurs du monde, de repérer les filières existantes au sein de notre pays qui prépareraient des actes de terrorisme, c’est à désespérer de la faculté de nos Armées, ce en quoi je ne crois pas un seul instant. La Grèce est en feu, légitimement et démocratiquement, devant l’impuissance de cet état à pérenniser le devenir de sa jeunesse, voilà une réalité qui sous tend l’épouvantail que l’on nous fait du terrorisme actuellement, ceci est plus crédible que ces soi-disant fractions de gauche dont les habitants qui les ont côtoyés ne se sont jamais permis de les assimiler à des terroristes.

On veut faire peur aux Françaises et aux Français, de manière à ce qu’ils se cantonnent dans la propagande asservissante et assourdissante enchantant le mondialisme et ses arcanes. En même temps on fait peur à la jeunesse qui demain pourrait être taxée de terroriste pour demander à notre État des comptes sur son devenir.

La parodie est grossière mais plus est grossière plus elle fonctionne. Ceci n’est qu’une démarque dans le cadre de ce à quoi nous assistons actuellement.

Et s’il n’y avait que cela, mais la gravité de la déréliction est désormais en nos murs, en nos foyers, et nous en ressentons les inopportuns avatars qui ruissellent le sang de nos enfants.

Dans une guerre où nous n’avons rien à faire, pour défendre la Liberté, non point, mais ces aqueducs du pétrole et du gaz qui traversent les pays de facto taxés de terroristes, par la grâce de l’économie des prébendes, défense de l’opium, défense du pétrole, défense de ces paradis artificiels qui conjoignent à la désintégration des Peuples qui se battent pour leur Liberté.

La guerre donc, mais la guerre est interne aussi, portée là où on s’attend le moins, dans notre système de santé, le meilleur du monde, qui aujourd’hui comme peau de chagrin se révèle meurtrier au nom de lois génocidaires, voyant un infirmier pour dix mille habitants ne pas pouvoir donner les premiers soins à des cas désespérés par la volonté de la puissance de l’État !

Des hôpitaux en berne ne pouvant suffire à palier aux premiers besoins, délaissant à la mort un enfant de trois ans par incapacité à faire face, faute des moyens nécessaires à la fonction, moyens que l’on trouve pour inonder la pompe financière mais qui bien entendu n’existent pas pour le Peuple, ce Peuple qui aujourd’hui en ses générations peut crever comme un chien sans que se dédisent les lois scélérates qui rognent petit à petit et inéluctablement le devoir de chaque praticien, au nom de quoi ? Au nom d’économies de bouts de chandelles, au nom d’économies sans lendemain, la santé moyenne des Françaises et des Français, face à cette condamnation, devant irréversiblement décliner !

Paupérisme, récession, euthanasie déguisée légiférée, perte de toutes les valeurs du travail, chômage endémique, voilà ce qui attend notre Peuple, un Peuple qui sait encore rire, un Peuple qui certes en a vu d’autres, un Peuple qui relèvera ce défi de son holocauste programmé, soyons en sûr, car on ne peut impunément poursuivre cette cavalcade vers l’enfer, l’abrogation de toute loi sociale, la déperdition de toute valeur humaine, cette méprise du Pouvoir, cette aberration des volontés, sans un jour en concevoir les conséquences, des conséquences légales, démocratiques qui mettront à bas cette reptation de l’infâme dans laquelle se gargarisent les reptiles assoiffés qui sucent le sang de notre Peuple, ce qu’il en reste devrais-je dire, tant l’horreur est maintenant la permission de notre devenir, l’horreur dans la terreur, l’horreur dans la peur, l’horreur dans la pensée unique qui veille ses labyrinthes fourbes où s’étreignent les viviparités accentuant l’obsolescence de notre Civilisation.

La France n’a jamais été dans un état aussi lamentable, voici le constat, il n’y en pas d’autres, le reste n’est que vanité de corporatismes qui vivent comme la moisissure sur les navires, cette moisissure d’apparat qui frétille de ses injonctions dans la poussière du temps et qui retournera dans la poussière du temps, tant son ridicule est plénitude de l’incapacité la plus profonde à comprendre l’Humain, l’Être Humain.

Face à cette adversité monumentale, bâtie sur du sable, il ne faut craindre cet avenir, mais bien au contraire s’élever et se battre légalement pour que s’effondre son architectonie défaillante, dont l’accélération des processus de sa désintégration est en route, mise en place par ceux-là mêmes qui pensent la défendre, et préparer ce lendemain qui verra enfin naufrager ce chancre qui fourvoie l’Humanité, préparer la renaissance de l’Humain, en ses ethnies, ses races, son Humanité, préparer la résurgence des Régions, des Nations, des Internations, représentées par une véritable Organisation des Nations Unies, et non cette arme au service du mondialisme, inféodée et déstructurée, que l’on nomme l’ONU, préparer la renaissance des Cultures, dans leur développement harmonieux et non dans une reptation de la culpabilisation qui est maîtresse à chanter de toutes les générations circonscrites dans ce boudoir du conformisme qui demain sera vivier de l’esclavage le plus purulent, préparer la renaissance de l’Économie, non plus axée sur l’indétermination laxiste de quelques-uns, mais support de l’épanouissement de chaque Être Humain, préparer le retour du Pouvoir à la Capacité dans l’œuvre Politique, qui n’est pas celle des prébendes et du servage, mais de l’autorité naturelle, qui dans le gréement d’un contre-pouvoir formel ne pourra s’abaisser à la compromission et encore moins à la duplicité.

Cela ne fait partie d’un rêve mais de la réalité, face à cette virtualité qui nous inonde et où l’Être Humain n’a plus sa place, car créée de toutes pièces par des non-humains, atrophiés par excellence de leur humanité afin de satisfaire leur petit « moi », sans devenir sinon celui de ce mouroir en laquelle la Vie survie actuellement. Courage donc en cette fin d’année, soyez au-dessus des eaux, par-delà cette dérive samsarique qui est née de l’illusion et retournera à l’illusion, car ancrée sur l’atrophie et ses velléités. Ne vous laissez mentir, ne vous laissez corrompre, ne vous laissez désunir, ne vous laissez emporter par ce venin, ce sida intellectuel pernicieux qui voudrait devenir notre lot commun, diffusé tant par ces mouvements que l’on dit de gauche comme de droite, d’extrême gauche comme d’extrême droite, qui travaillent de concert à votre mise en esclavage, éveillez les générations à venir à la Liberté, ce jour trahie, ce jour déguisée, ce jour dilapidée, faites choix des femmes et des hommes libres qui représenteront le devenir et non ces caciques de la thésaurisation d’un mondialisme de l’incapacité.

Prenez mesure, et ne cédez en aucun cas au chantage, le chantage de l’écologie politique, le chantage de la théorisation de la défense de la liberté pour le profit, le chantage du travailler plus pour gagner plus, le chantage des économies de bout de chandelles qui conduisent à l’euthanasie déguisée de notre Peuple, le chantage culturel et ses admonestations culpabilisantes qu’il suffit d’éradiquer tant en télévision qu’en radio, qu’en littérature, peinture, sculpture, pour déjà respirer mieux, voir le monde tel qu’il est et non pas sous la houlette des médias aux ordres télé surveillés en votre propre télésurveillance, soyez Humains par-delà le fléau de l’esclavagisme consenti qui veille le pourrissement de notre monde, de notre Terre, de notre Univers, au profit des « élites » de l’incapacité qui s’autodéfendent et se congratulent en suçant le sang de notre Peuple, en égarant sa volonté, en affaiblissant sa force, en destituant sa vitalité, en arasant sa capacité critique. Cessez toute reptation, soyez debout, libres, constructeurs de ce Monde qui laminera à jamais la médiocrité dans ses propres abîmes.

En attendant que tous mes vœux vous accompagnent pour cette nouvelle Année qui ne sera seulement d’espérance mais de veille et de combat légal par la Vie, pour la Vie et en la Vie, et notamment lors de ces élections européennes qui pourraient servir de levier à la dissolution de la destruction qui nous est à toutes et à tous gouvernance en ce jour.

© Vincent Thierry