L'arrogance

L’arrogance 

Il est extraordinaire de voir avec quelle vivacité réagissent les leviers du mondialisme lorsque les Peuples enseignent leur volonté. Si nous observons le cas de la Belgique, par le plus grand des hasards, le jour où devait être votée une Loi relative au mode vestimentaire d’une communauté exogène, le gouvernement donne sa démission, enracinant par cet acte une aberration, celle de la scission des communautés "intégrées" de ce Pays, wallon et flamand. La France ne va pas tarder à faire voter cette même Loi. Espérons que dans la folie asymétrique du "mondialisme", cela n’entraîne pas la tentative de mise en autonomie de chacune de nos régions.

De qui ici se moque-t-on ? Tout simplement des Peuples qui s’autodéfendent pour maintenir leur tradition et leur culture fondée sur un ancrage bio-géo-historique, qui n’a pas à disparaître au profit de cultures et traditions exogènes. Si les Catholiques où les Protestants élevaient des cathédrales dans les pays d’origine de cette culture, et si tout un chacun de ses représentants faisait œuvre d’un prosélytisme certain, je ne pense pas un seul instant que les Pays receveurs acceptent très longtemps cette entorse à leur culture et tradition. D’ailleurs cela n’est effectivement pas permis dans lesdits pays.

Alors le mondialisme soumis à la religion de la soumission, déguisant dans un "choc" des civilisations, ce qui en fait est une alliance consacrée afin de détruire la culture et les traditions occidentales ? Il y a longtemps que cela se voit comme le nez sur le visage. Le favoritisme pernicieux pour tout ce qui n’est pas occidental, pour tout ce qui n’est pas Peuple, pour tout ce qui n’est pas intégrité intellectuelle, biologique, spirituelle, est patent. Le mondialisme comme l’euromondialiste se révèlent dans leur nauséeuse perception et prétention : celle de la destruction de l’Occident, de l’Europe, et de chacun de ses Pays, pour initier une religion de la soumission qui détruira toutes les valeurs spirituelles, intellectuelles et physiques de leurs populations, afin de les fondre dans le vivier des larves qu’espère cette idéologie nazie communiste.

Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour voir cela, il suffit de regarder la férocité avec laquelle les brailleurs et chiens couchés du mondialisme hurlent après l’Église Catholique, sans balayer devant leur porte, comment ils se régalent de la chute de cet avion où est décédé le Président Polonais, qui avait pour principe l’autodétermination de son Peuple.

Quelle issue pour mettre en déroute cette désintégration amorcée et encouragée par les féaux de cette idéologie perverse se servant du paravent de la démocratie pour avancer ? Restituer à la Démocratie sa réalité qui n’a pas à être voilée et soumise à la virtualité. Pour cela faudrait-il que les Peuples se réveillent et cessent de se faire berner par la terreur diluée par les États en faillite de la Démocratie, cesser de se faire assaillir par une pseudo-culpabilisation qui n’existe que par le fait d’une réécriture de l’histoire comme de la science par le terrorisme intellectuel institutionnalisé.

Si nous regardons les phénomènes engendrés par la crise totalement dirigée que subissent les États, nous voyons à quel degré l’opinion vit dans un désert relevant de l’illusionnisme. Pas un mot sur le fait que les banquiers recommencent les erreurs qu’ils ont commises, pas un mot sur les 77000 faillites d’entreprise depuis le début de la crise en France, pas un mot sur la mise en œuvre de Lois permettant d’assainir les transactions financières, uniquement des leurres qui s’entrecroisent pour faire accroire. Et conjointement, nous assistons à des réformes de structures inutiles, qui condamnent le Citoyen qui n’est pas responsable à payer la note de cette prohibition, alors qu’elle devrait être payée par les institutions qui l’ont créé ! Nous voyons là le système de racket auquel tout un chacun est exposé. L’exemple le plus frappant est celui de la Grèce qui voit ses citoyens obligés de payer pour cette manifestation du racket le plus ignoble qui soit. Il est heureux de voir d’ailleurs que son Peuple se réveille.

Ce réveil ne doit pas être uniquement celui de la Grèce mais de tous les Pays, qui n’ont pas à payer pour des destructeurs qui n’ont d’autres buts que de les paupériser afin qu’ils viennent quémander leur droit de vivre au "nouvel" ordre mondial dont les tenants se frottent les mains, si tant ils sont maître d’œuvre et maître d’ouvrage de cette répugnance. Tout est lié, il n’y a rien qui ne se fasse sans condition expresse de ce furoncle qui pèse sur les civilisations.

Il convient de se redresser et non de vivre comme des chiens couchants devant l’errance. Cette errance qui voit ce jour au nom du port vestimentaire précité le communautarisme se révéler dans l’impudeur la plus totale, au mépris des Lois de notre Pays, qui se retrouve dans le principe de l’arroseur arrosé lorsqu’on détaille ses appartenances, où on découvre la polygamie et ses rites pratiqués par un exogène, dans un Pays, le nôtre, où la Loi n’autorise en aucun cas ce déficit du Vivant. À ce propos serait-il temps à notre État de se pencher souverainement sur les comptes des allocations familiales, de la sécurité sociale, des allocations générales pour parents isolés, pour circonvenir ce système parasitaire qui couvre de déficit les caisses payées par les travailleuses, les travailleurs, les entreprises de notre Pays. Il suffit de cette arrogance !

Lorsqu’on vit dans un Pays, on s’intègre, on adopte ses coutumes, sinon on retourne d’où l’on vient, où l’on va vivre dans un autre Pays accueillant ses pratiques. Les versements effectués par les travailleuses et les travailleurs, quelles que soient leurs origines où leurs couleurs, où leurs appartenances, aux caisses de mutualisation, ne sont pas aux services des hors-la-loi ! Nous attendons ici un acte de la part de notre État, car le personnage n’est certainement le seul à pratiquer la polygamie dans notre Pays, et il convient d’en désertifier jusqu’au nom, par déchéance de notre Nationalité, et non seulement déchéance renvoi dans les Pays de provenance.

La France n’est pas et ne sera jamais le Pays de la soumission, qu’on se le dise. La France n’est pas une idée mais une action à laquelle on participe, dans le cadre de Lois formelles et non virtuelles. Si on a choisi d’en être les parasites, eh bien on en subit les conséquences, ces conséquences qui se font attendre depuis bien trop longtemps, voilées par le laxisme d’une fausse paix sociale qui aujourd’hui se révèle porteur de germes antirépublicains, consacrant un racisme anti Français qui n’est plus tolérable par les citoyennes et les citoyens de France. Il est temps de se réveiller pour les gouvernements quels qu’ils soient, sauf à penser et ce n’est qu’une sombre vérité que le mondialisme soit uniquement leur désir ardent, ce désir de mort pour nos Civilisations, notre Nation, notre Pays, notre Identité souveraine, nos Lois, nos us et coutumes.

À l’heure où des Lois paraissent sur l’antiracisme, sur la non-négation de certains sujets, il serait temps que notre Pays se dote d’une Loi souveraine contrariant le dessein de toutes celles et ceux qui voient dans sa destruction une source de profit, une Loi souveraine bannissant le racisme anti Français et ses émules, consacrant leurs us et coutumes. Ce qui est triste c’est de constater qu’on en arrive là, à cette demande pour les Français de souche, traités de sous chiens par des communautés sans nom, qui doivent supporter l’injure, l’arrogance, la permissivité et le laxisme de toute une classe politique qu’elle soit de droite ou de gauche, aux ordres de ce mondialisme de la terreur.

Ne soyons dupe, rien ne sera fait comme d’habitude, mais la patience aura ses limites, cela aussi, l’Histoire avec un H majuscule et non l’histoire réécrite, le prouve dans notre Pays valeureux, et alors ce n’aura pas été sans prévenir, adviendra ce qu’il adviendra comme dans tous les Pays Européens qui se respectent, image même de ce volcan qui fait enfin taire les idéologistes de pacotille que l’on appelle les "écologistes". Comme Ponce Pilate, bien des gens s’en laveront les mains, car enfin, à trop tirer sur la corde, la corde casse, proverbe Français, n’en déplaise à toutes celles et ceux qui haïssent la France mais en profite.

© Vincent Thierry