Le sacrifice d’un Peuple

Le sacrifice d’un Peuple

 

Pendant que se mobilisent toutes les tribus pour sauver ces trois femmes ayant agi dans la plus simple répugnance dans une Église Orthodoxe, au mépris de tout ce que l’on peut imaginer, lorsqu’on est encore debout au milieu des ruines affligeantes décrétées par la pourriture institutionnalisée, au moment où l’on apprend que les deux rescapées de cette tribale bestialité sont invitées à se produire en concert dans le saint des saints, l’aréopage des Nobel, on comprendra qu’il n’y a plus rien dans cet Occident livré en pâture à la déraison, cette déraison que le chantre de l’apologie du meurtre des Chrétiens d’Orient, par l’intermédiaire des mercenaires agissant au nom d’un lien sacré qu’ils dénaturent, que ce chantre donc invite ces idoles du néant à venir s’installer dans notre Patrie, pour mieux la salir de leurs éructations antichrétiennes !

Voici où en est ce petit monde de la bêtise accouplée à la hideur, la hideur de ces tabernacles qui se promènent en croyant détenir un pouvoir divin alors qu’ils ne sont que les fruits des menstrues de l’abjection et de ses fidèles, à l’image de ses ressortissants de la dernière heure exploitant des immigrés sans papiers dans des cloaques infâmes sans payer l’URSSAF qui permettrait à ces pauvres hères au minimum de se soigner. Abjection portant costume, où chemise au vent, abjection se livrant à l’hérésie la plus pure, celle de s’accroire des Êtres Humains alors que ce sont des non-humains par excellence, la morgue au visage, la couardise devant l’événement et notamment pour certains des balles tirées par les snipers à Sarajevo.

Voici l’élite de ce monde, des froussards, des bellâtres, des jeans foutres qui s’imaginent la portée intellectuelle alors qu’ils n’en sont que les miasmes que les papiers dont on ne voudrait pas pour s’essuyer le fondement. Et dans ce monde pitoyable de notre Occident livré à l’infamie, on les voit dressés comme des statues que tout un chacun se doit d'admirer, nature même de la crasse de l’illettrisme et de ses revendications, l’ignorance et la paresse, l’ignorance et le chantage, l’ignorance et cette litanie propagandiste pour bouclier, le bouclier des raclures que les bordels eux-mêmes ne voudraient comme matière, tant elles puent la luxure de l’innommable, cette bête dont ils sont les pharisiens, cette bête qui les sodomise comme ils la sucent de leurs joues gonflées par le mépris et l’adulation du mépris, par cette méprise qui les rend aveugles de leur destin comme de leur dessein qu’ils s’imaginent de gloire, alors qu’il salue là la pitoyable déchéance de toute aventure Humaine.

Car ne croyez ils ont l’Humain dans le sang et en parlent à réconfort, dans ces cohortes qu’ils veulent dresser au nom d’un humanitaire de convoitise qui n’est absolument pas l’humanitaire que vous attendiez. Car cet Humanitaire là, tout le monde le connaît désormais, un humanitaire à deux vitesses et unilatéral qui sent le dessein de toutes dictatures qui ne s’improvisent mais se façonnent dans le sang, le sang Humain, celui qui n’a rien à voir avec les belles théories de la bêtise qui s’idolâtre, le sang des Syriens aujourd’hui, le sang des Libyens hier, le sang des Irakiens, le sang de Peuples entiers condamnés à la famine, le sang de Peuples entiers condamnés à une lutte incessante contre les fossoyeurs de leurs «révolutions», le sang des Chrétiens, partout versé, le sang des Alaouites ce jour versé, et que dira-t-on du sang des Africains qui ont le malheur d’avoir la peau noire en Libye, ce jour condamnés comme des animaux à l’abattoir de religions radicales !

Cet Humanitaire est fait de sang, regardez les massacres en Syrie, a-t-on vu des bombes égorger des innocents par centaines ! La presse ne s’empresse pas de le dire, de le faire voir comme le fait Internet dans sa perspicacité, dans sa recherche de vérité, dans sa recherche sans duplicité, cette duplicité qui est le fait de tous ces avortons que l’on ose appeler journalistes qui sont à la solde de la tuerie organisée, de cette tuerie entretenue par tous les berceaux de l’insondable autorité, qui ne balaient point devant leur porte sinon que pour assassiner les récalcitrants à leur ordre sans qu’un mot ne soit dit par cet occident qui est souillé par l’innommable vermine du mensonge accouplé à la déraison !

Voici qu’il est temps de remettre les pendules à l’heure devant tant de mensonges, mensonges illuminés par les proscrits de la lumière qui dans leurs ténébreuses loges totalement inverties à la Voie se régalent du sang d’autrui pour accoucher de leurs petits projets, les uns les autres serviles de la folie qui est la demeure de ce monde, cette folie qui embrase nos Nations perverties par l’usure, accablées par l’usure, dominées par l’usure, et dont le carcan doit et devra être secoué d’une manière pertinente afin d’en chasser l’engrais, la pourriture, le chiendent, qui s’y accroche et qui s’imagine règne de notre temps comme de notre foi qu’il conchie allégrement, dans sa détermination autiste de s’accroire le fer de lance de ce monde alors qu’il n’en est que l’abstraction qui sous les fourches caudines disparaîtra comme le vent lorsque le soleil se lèvera sur l’Occident !

Et l’on s’étonnera que ses pustules se montrent, se boursouflent, s’érigent comme des monuments, dans ce terrier insolent où niche le serpent, ce serpent qui n’est de notre monde naturel, qui n’est de notre histoire Humaine, ce serpent de la folie qui s’ébroue et se concilie dans le nanisme de l’or en sa richesse, où s’invitent l’imperfection et ses idoles, les attentistes et les lâches, toute la fourberie de ce monde qui se récompense, se nobélise, se suce jusqu’à la moelle dans une addiction qui se permet, se lubrifie, se détonne, s’amplifie, réduisant le champ de conscience de l’Humain à leur nombril, à cette expression hilarante de la consanguinité qui pavane sur un ordre défunt, un ordre qui n’est plus mesure mais bien au contraire un bubon qui s’imagine grâce de toute sa perfection !

Que nenni, qu’avons-nous à faire de la tourbe, de ce lisier qui ne prospère que sur la déréliction, l’inconstance, l’impermanence, le fétichisme, un salmigondis qui prouve s’il en était qu’existent sur cette Terre des Races de l’Esprit à défaut des Races Humaines, qui existent à part entière, qui se livrent et se livreront une bataille cosmique jusqu’à la fin des temps, la bataille de l’Être Humain contre le non-humain, cet accouplement de la bestialité timorée par un métissage dépravé, de la Vie contre la mort, ici se tient le lieu que personne ne peut ignorer et que personne n’ignore, ici se tient le champ d’action que tout un chacun comprend dans la fulgurance des temps qui viennent, des temps à venir et de ceux qui furent.

Car nul en ce monde ne peut continuer à ne pas comprendre ce qui se passe réellement dans cette guerre larvée qui prédomine et s’enchante par les non-être qui la justifient, la disparition de tout ce qui n’est pas soumis à l’usure, la disparition de tout ce qui est ordre, la disparition de tout État autoritaire ou placé sous l’enseigne du Christ où d’une Religion modérée, la disparition de toute volonté au profit des méandres insoutenables de la corruption et de la corruptibilité, entonnées par les errances de l’ONU, les accointances du FMI, l’immoralité de l’OMC, et pire de l’OMS qu’on a vu s’empresser à la destruction de la nature Humaine dans le cadre de l’affaire du virus H1N1.

Voici le grand siècle qui s’avance, le siècle de la ruine de la beauté, de l’imagination, de la grandeur, de l’honneur, pour faire place à la concupiscence, à la négation de toute valeur, à cette brassière de l’intolérable intolérance, voyant se justifier les massacres au profit d’un «humanitaire» à deux vitesses, l’important pour les massacrés étant surtout qu’ils ne soient pas Chrétiens et encore moins d’une Religion modérée, pour qu’on les place en première page de ces journaux fétides qui inventent le vent et récolteront la tempête du désert lorsque tout un chacun comprendra qu’ils sont manipulés par les faiseurs d’usure, ces non-être qui paradent, cette espèce qui sera en voie de disparition lorsque tout un chacun comprendra que la Vie ce n’est pas cela, cette ombre qui planifie, cette ombre qui malmène, cette ombre qui ne vit que de la sueur et du sang des Peuples, cette ombre qui détruit la famille au profit de l’ignorance, qui détruit la nation au profit de l’abomination telle qu’on peut la voir dans cette europe glauque où le Parlement comporte un Parlement dans l’ombre qui s’applaudit et se réjouit de voir les Êtres Humains s’endeuiller de leur propre volonté pour leur offrir leur vie sur un plateau !

Non, la Vie ce n’est pas cette barbarie où l’on voit des incultes profaner une Église Orthodoxe, et si cela avait été une Mosquée ou une Synagogue, qu’aurait-on entendue ! Mais là bien au contraire, on entend uniquement des miasmes qui s’avancent en tortillant du cul pour complaire à cette infamie, croyant que tout un chacun salue cette action en Occident, que tout un chacun est pensée avide, luxure, bêtise, prédominance de la destruction ! Non, chaque Être Humain, je parle d’Être Humain et non de ces larves avachies les écouteurs dans les oreilles qui se trémoussent le fion en attendant leur euthanasie, chaque Être Humain, en conscience ne peut qu’être répugné devant les conclusions de la pourriture journalistique sur ce sujet, une pourriture qui germe dans  nos Institutions, dont on devrait accepter les mots d’ordre qui nient toutes religions, qui scandent à la guerre contre un État libre et modéré en sa religion, à telles fins, conflit suprême de leur inintelligence, qu’ils en viennent à accepter les autres religions sans modération, et notamment la religion isl amique, qui massacre, via sa milice aux ordres de l’usure, sans vergogne, comme peuvent en témoigner les milliers de vidéos tournées dans ce pays martyr,  en faisant croire que le massacre est organisé par l’État Syrien.

Il ne faut chercher ici pour ces non-humains la moindre dignité dans leurs déclarations, qu’empruntent certains hommes d’État, qui devraient se taire en attendant la conclusion des experts, je ne parle pas des experts à la solde et payés par l’usure que l’on sort du chapeau à tout moment, hybrides inconnus qui remuent la queue pour quelques euros. Il n’y a pas de dignité chez ces individus totalement invertis, totalement soumis, totalement agenouillés et en reptation devant l’usure, il n’y a ni honneur ni commencement d’honneur, il n’y a ici que duplicité, mensonge, fourberie, répugnance, un nid de vermine qui s'assouvit de ses propres difformités, de ses propres imperfections, qui se lamente sur autrui à condition qu’autrui appartienne à son nid, pauvre errance à l’ineffable déperdition qui la ronge !

Elle veut la troisième guerre mondiale, elle l’aura mais elle n’en sera pas gagnante, mais bien au contraire la perdante, car sa larvaire destinée aura conduit à cette fourberie dont tout un chacun tirera les conséquences, des conséquences qui seront dramatiques pour ce nid de vermines accouplées, dont chacun se lavera les mains, car qui veut la guerre périra par la guerre.

En attendant, seule défense d’un monde multipolaire, restent en lice deux Nations, la Russie et la Chine, qui je l’espère, ne se vendront pas, qui pour un libre arbitre dans le cœur de l’Eurasie, qui pour une île située à 1 200 km de ses côtes, afin de voir sacrifiés sur l’autel de l’usure la Syrie et son Peuple.

© Vincent Thierry