GATE UNIVERSALITY

Il n’y a

 

Il n’y a dans cette recherche que les mantisses d’une reconnaissance des gravitations qui fondent l’humain en ses moissons, toutes formes qui existent dans la densité proclamant sa volition de jeux, d’extase, au-delà des subordinations aux contingences administrées, avec ce seul écrin qui se nomme le don, don d’une joie, don d’un sourire, don d’une fertilité, pour le plaisir partagé de naître et renaître à l’écume des vagues, à la promesse des houles, à la préciosité des pluies, à la beauté solaire, loin des bestiaires inanimés et tragiques, mécaniques, vides de sens comme de substance, mondes artificiels qui ne sont que dissolution.

Mondes sans écheveaux dont les marges ne sont que déplaisir, faibles luminosités devant l’extatique appartenance, cette magie des sens coordonnant, effeuillant une transe éternellement renouvelée, transcendant la configuration du monde dans la rectitude qui sied à la profondeur de ces écrins, motifs de mille et mille parchemins aux senteurs épousées, aux grenats déployés, aux conques offertoires, aux sentes saillies, par le serment des lianes devisées, essor et plénitude que le regard déploie, ce regard de l’autre comme un miroir de l’action développant dans de mystérieuses constellations le panache souverain d’un plaisir décuplé.

Celui qui fortifie, oriente, incline, dans une vertu novatrice épanouit comme un signe sur la pierre polie, dans de souples mouvements dessinant dans l’univers des firmaments éblouis, consciences de la pure beauté des temps animés, jamais isolés, toujours féconds par l’immensité et ses souffles impériaux s’élançant tels des Aigles de mer, vers ces rivages magnifiés contant l’adulation, le bonheur, la gaîté, sans méprise, sans distance, sans ces artifices composites, superfétatoires devant la genèse précieuse de l’apothéose du firmament, grâce commune au nectar parfumé, grâce divine au fleuve ardent naviguant des joies nouvelles, des saisons glorieuses, des enfantements magnifiés, fêtes de la Vie en l’Harmonie vitale transcendant tout univers accompli…