Jour de deuil
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- Catégorie : Politique
Jour de deuil
Jour de deuil dans une petite Nation livrée à la barbarie en col blanc comme aux mains sanglantes. Mais lisons :
« Les jours de deuil se succèdent dans cette Nation livrée, grâce au laxisme et la complicité d’une gouvernance aux mains apatrides, à la folie meurtrière des fanatiques de la religion de paix et d’amour, voyant jusqu’à ses représentants vouloir défiler pour honorer la mémoire d’un des leurs ayant assassiné sauvagement quatre de nos policiers. Les Françaises et les Français sont égorgés, poignardés sans que ne lève le petit doigt les bons amis des salafistes prônant le djihad, qui se trouvent dans les plus hautes sphères de l’État investi par les bons alliés de ce fanatisme, la maçonnerie crapuleuse et délirante qui tient tous les rouages de ce pays, 170 000 personnes qui se masquent dans des loges devenues des porcheries où se traitent les affaires et bien plus le génocide des êtres Humains, via l’euthanasie, la sédation, l’avortement, et maintenant la PMA et la GPA, après la mise en œuvre de la pédophilie dans l’éducation dite nationale, via des lois sordides issues d’esprits totalement détraqués par la perversité qui est le met de la pourriture arrogante qui veut faire la morale aux uns et aux autres.
Ce Pays est livré désormais aux fanatiques de la « religion » pré citée, dont on rappellera les deux cents millions de victimes depuis sa naissance, des victimes qui journellement s’accumulent non seulement dans cette Nation mais dans le monde entier, et que la traîtrise révère, cette traîtrise et cette fourberie de fin de race qui gouverne, des mutilés du cerveau, des mutilés de l’altérité, des barbares sans noms engraissant la barbarie dans tous ses états, une barbarie inhumaine se masquant sous les voiles lapidés de la démocratie comme de la république, voyant cette terminologie broyée par ce qui devient une dictature infecte où la couardise de ses éléments qui se veulent triomphe laissent ramper le génocide qui s’approche de son Peuple de souche, un génocide acclamé par toute la boue putride de l’humanité, ce chiendent cosmétique de larves associées à la destruction qui couinent comme on peut le voir aux États-Unis, cet éventail de pédophiles qui rugissent lorsqu’ils sont dénoncés au public, et qui se dressent contre l’autorité naturelle.
Tout est lié, pédophilie, fanatisme religieux, actes barbares, mise en esclavage des êtres humains via la perversité allant jusqu’au meurtre rituel, dont on aimerait connaître les exécutants qui trônent dans les Institutions, se masquant derrière leur petit passeport dit maçonnique, petits personnages appliquant à la lettre tout ce qui prône la destruction, dans le cadre législatif comme dans le cadre judiciaire, voyant l’assassin couronné, le pédophile relaxé, le racisme envers les blancs culminant, un racisme de larve tenue par ses vices, ses meurtres et ses outrages permanents, une permanence affligeante qui correspond bien à l’esprit dénaturé confondant toutes valeurs pour les faire disparaître au profit de la dégénérescence, de cette litière fécondant la moisissure, l’ordure, la dénégation de tout ce qui existe et plus particulièrement du vivant humain, au profit de la pacotille, de la verroterie, de l’illusion, de l’abstraction congénitale.
La barbarie est là dans son apothéose, trônant, masquée, dégénérée, se livrant à l’infamie en faisant croire qu’elle est la vierge éloquence, lors qu’elle n’est que bubonique errance, marchepied de l’insoutenable, déraison s’imaginant raison, dérobant le sens des mots pour leur attribuer ses dissonances, ses imperfections, ce routage de l’infect se couvrant de gloire, ce vestige du sous-humain qui ce jour parade dans l’allégorie de ses infatuations, de ses borborygmes, enlaçant le vertige de s’accroire devant un public qu’elle croit docile devant ses outrances, ses actes fauves, ses bruissements assoiffés de sang, le sang de l’humain, pour rendre honneur à sa décomposition, lieu et lien de la gangrène de ce monde qui se roule dans la fange et voudrait que tout un chacun la suive dans ses coordonnées déséquilibrées et malsaines.
Cette Nation relèvera-t-elle le défi que lui lance cette pourriture décomposée ? Cette façade de la mort et de ses langueurs ? Cette Nation lavera-t-elle l’affront, l’injure permanente qui est le creuset de cette diarrhée bestiale qui s’émeut lorsqu’on la met en face de ses actes purulents, voulant faire croire qu’ils ne sont de son royaume, alors que son royaume de putréfaction engendre leur inconscience ? Il ne faut pas être grand clerc pour voir que ce royaume fait tout pour que le déni du réel soit, via ses meneurs les pieds en équerre, tenus par leurs crimes, via ses erreurs de la nature prônant la disparition de l’humain au profit de la chose, via ses porte-voix qui dans les Assemblées ne sont que des pions vendus aux lobbies, à la pitoyable abjection qui se veut trône, tout un cloaque de bolcheviques, de trotskistes, de communistes déguisés, tout un cloaque de cloportes dont la bestialité est le drapeau, dont le génocide est la demeure.
Tout un aréopage enchantant le déni de la Vie, notamment dans l’écologie, vêtu des derniers vêtements fabriqués par des esclaves enfants dans des pays en voie de développement, tenant entre leurs mains les derniers téléphones fabriqués dans des goulags économiques, osant parler du vol de leur enfance, une enfance nourrie et bercée grâce au sacrifice de leurs ancêtres, grâce au combat de leurs ancêtres qui doivent se retourner dans leur tombe en voyant ces gruaux infects se plaindre de leur sort, larves fétides délaissant après leur liturgie dans nombre de nations « contre le réchauffement de la planète », des tonnes de déchets, que ramassent les nouveaux esclaves de leur théurgie, belle chose que celle-ci, voyant les acculturés donner des leçons aux scientifiques non pervertis par les milliardaires dégénérés, belle chose que celle-ci, voyant leurs adulateurs se prosterner devant la bêtise incarnée, magistrale incarnation de la « chose » et de ses légions ne pensant qu’à elles et en aucun cas à l’Humain, au nom de théories fumeuses puant le génocide à plein nez.
Tout un aréopage de cloportes attirés par le fumier politique de ce jour, se croyant élus alors qu’ils ne le sont que par la grâce de la virtualité, des sondages tenus entre les mains de crapules hideuses agenouillés devant leurs maîtres en coulisses, des « choses » laquées comme les canards du même nom, prêts à grenouiller pour piller les deniers des Nations versés par les pauvres et les classes moyennes qui les nourrissent et les entretiennent, des parasites sans nombre dont la morgue va jusqu’à renier les règles de la république pour complaire à leur bestialité primitive, tout une faisanderie dont la viscosité est le propre de la haine, la haine de ce qui n’est pas dans leur cercle de mort, leur cercle vicieux à souhait, prébende de promotions canapés, prébendes de la nullité comme de l’incapacité, à leur image, ne détonnant pas dans leur paysage d’ombres atrophiées.
Belle image que celle-ci qui est l’image de cette Nation livrée à la médiocrité dont le renom n’est plus à faire, à la sous-bestialité dont l’affront est journalier, aux « choses » ruisselantes du sang des innocents, tout un troupeau sonnant le tocsin pour rappeler dans leur fange un Peuple qui le honnit, un Peuple qui attend avec impatience les nouvelles élections pour bouter hors du chemin ce chiendent cosmétique, cette purulence criminelle et oisive, cette mascarade éborgnant, frappant, mutilant, laissant la Nation aux mains de l’étranger jusqu’en ses services de renseignements, laissant tuer pour complaire, égorger pour montrer son adulation à la mort, toute une souillure ne prenant rien en compte que son petit cercle vaniteux et ridicule, laissant la population de Rouen, plus grand scandale sanitaire et environnemental de ce siècle dans cette Nation, dans le mensonge, au nom de la cupidité, au nom de cette déliquescence ne voulant surtout pas attraire les actionnaires mais faire payer les petites gens, y compris par le cancer, les maladies auto-immunes, son incurie manifeste face à un quelconque événement.
Il serait temps, en conscience, pour tout un chacun du Peuple de cette Nation, de se poser les vraies questions concernant le pouvoir, et quel pouvoir laisser entre les mains de celles et de ceux qui se proposent de gouverner. Cela vient petit à petit, mais cela restera largement insuffisant si les votes continuent à alimenter les tueurs de la Nation, pseudo-droite, pseudo-écologie, qui ne parle en aucun cas de Rouen, ne l’oubliez jamais, gauche irréductible au nom de ses ismes portant la responsabilité comme ses chers petits amis, les fanatiques de la religion de paix et d’amour, de deux cents millions de crimes, tous vestiges qui ne doivent plus être pris en compte par une quelconque voix, afin de sortir de l’ornière voulant cette Nation soumise à ce qui n’est pas son Histoire, son Avenir, tout ce qui ne lui appartient pas et qui n’est là que pour la ruiner, la défigurer, l’assassiner, aux sons de discours creux composés par l’hypocrisie la plus répugnante qui fut dans ce pays. »
Sur bien des planètes nous avons connu ce mimétisme couronnant la barbarie, voyant les cols blancs s’unir aux mains sanglantes et inversement, pour faire valoir leur médiocrité atavique, par un pouvoir dictatorial. Cela n’a jamais duré.
© Vincent Thierry