La vérité
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- Catégorie : Politique
La vérité
"Quand on est obligé d’emprunter pour payer les retraites, notre réforme est un acte courageux !". La vérité dans la bouche d’un "ministre" est enfin dite. Ce n’est pas trop tôt. De quel courage parlons-nous là ? Cette reconnaissance d’emprunt aux banques privées est inadmissible pour un État qui se respecte, qui doit appliquer le droit inaliénable des Peuples de battre leur monnaie. Ici nul courage mais bien la simple lâcheté à affronter la réalité, ce déni du droit prouvant s’il le fallait que les États vivent en marge des Peuples sans la moindre considération de leurs citoyens. Je ne vois ici que larbinisme vis-à-vis de ce système qui consiste à nourrir le parasitisme des banquiers privés qui se jettent sur les Peuples comme des hyènes, avec l’aval de gouvernements fantômes dévoués à leurs ordres.
Quand dira-t-on la vérité aux Peuples, quand les syndicats qui agitent des mouvements sporadiques, mettront en pleine lumière cette escroquerie universelle ? Que la dette est due à cette hérésie qui est celle de nourrir le parasitisme, qu’un État doit battre monnaie afin de se dégager de cette ahurissante perversion dans laquelle ont plongé les gouvernements à sa botte. Le courage en politique c’est d’être indépendant des lobbies quels qu’ils soient, et surtout de ne pas faire accroire courage ce qui n’est que pure lâcheté ! Faire payer son impéritie aux générations futures est purement scandaleux. Le tribunal de l’Histoire avec un H majuscule jugera.
En attendant il convient que nous sortions le plus rapidement possible de cette zone euro, afin de recouvrir souveraineté et indépendance, pour rebattre monnaie et n’être plus esclaves du parasitisme. Cela n’est qu’une question de temps, devant la dictature imposée par les fantômes marxistes qui veulent diriger une pseudo europe, devant l’outrecuidance de leurs pseudos "lois", devant le couronnement de leur médiocrité sur la capacité. Cette peste rouge brune vendue aux banques privées ne pourra persister très longtemps.
Il faut sortir de cette création factice qu’on nomme l'"europe", dont le pilier est sa banque délétère, qui unit les parasites, et en aucun cas les Européens, au nom d’un "peuple européen", ridicule prétention, car ce "peuple européen" n’existe pas et n’a jamais existé, et n’existera jamais. Aucun des Peuples qui sont sous le joug de cette fabrication de l’errance n’a à se soumettre à sa banque, une banque qui défend le privilège de banques privées, considérant les États comme des entreprises soumises à des notations délirantes qui ne prennent en compte en aucun cas la réalité des Peuples.
À l’heure où dans notre Pays se précipitent les prébendiers de gauche comme de droite tous unis par le fléau du "mondialisme", pour se faire élire en 2012, tribus de déracinés n’ayant pour objectif que la destruction de la France, en génuflexion devant le veau d’or agité par les apparences de pouvoirs régaliens, il serait temps à notre Peuple de se réveiller des mensonges et de la soumission et faire en sorte que son vote se porte vers les partis défendant ses intérêts et les intérêts de sa Nation.
Ne rêvons pas sur le sursaut des générations de la médiocrité, enlisés dans la léthargie la plus convenable, aveugles et sourds aux réalités, vides de toute conscience, masochistes de haut vol en adoration devant des idoles à leur image, infatués de leur nombril et incapables de regarder au-delà de leur narcissisme dévot, laissant la moisissure conchier leur Pays, l’Histoire de leur Nation se réécrire, leur Peuple se laisser violer par toutes les hystéries de l’incapacité, avec le sourire benêt des bêtes qu’on mène à l’abattoir, mais soyons sûrs que les jeunes générations sauront faire le ménage, par entrisme, insinuation dans toutes les couches institutionnelles, afin de restituer à notre Nation l’Ordre et la Sécurité, le respect inaliénable de son Peuple, par-delà l’anarchie et le désordre qui règnent sous les mains des féaux du "mondialisme" et de leurs prédateurs pitoyables, qu’ils soient banquiers, financiers, gouvernants.
Si on analyse le faux problème des retraites à la lumière de ce qui est précité, on s’apercevra avec écœurement des manœuvres putrides mises en œuvre pour instaurer la loi du parasitisme, la loi de la division - comment comprendre que l’on prenne en compte pour le calcul des retraites la dernière année de travail d’un fonctionnaire, alors que pour les salariés du privé on prend la moyenne des vingt-cinq dernières années ? - Comment doit-on comprendre la durée de travail en années alors qu’elle devrait être raisonnée en points ? - Comment peut-on accepter de ne pas toucher à la retraite des députés et consorts et infliger l’esclavagisme aux autres ? - Et conjointement comment peut-on accepter qu’un État, qui représente le Peuple, puisse exonérer certains "citoyens" à hauteur de 140 milliards d’euros en dix ans ? - un État qui ose dire que les caisses sont vides, vides à cause d’une médiocrité, d’une lâcheté sans égale dans notre Histoire, le refus de reconnaître au Peuple son droit Universel, bafoué par le parasitisme, le droit de battre monnaie, et ainsi éviter de nourrir tous les parasites de la Terre, au détriment du Peuple !
© Vincent Thierry