La profanation !

La profanation !

 

L'affront le plus singulier vient se faire valoir dans cette nécrose purulente qui se présente aux élections, un affront au Peuple de France, une injure envers notre Armée, envers nos Soldats tombés sous les balles Allemandes pendant la guerre de 1914 1918. Cet affront consiste dans la parole constituée à vouloir faire honorer les tueurs de nos soldats pendant cette grande guerre chaque 11 novembre, cette injure dans la parole constituée consiste dans la minimisation de cette fête Nationale qui devrait être transformée en cirque.

C'est méconnaître le respect indivisible à l'Identité Française, ses composantes, son sens de l'honneur, alors que nos soldats tombent en dehors de notre Pays, que d'ainsi s'accroire représentant de la parole Française. Une injure répugnante qui ne peut étonner, portée par toute cette écologie putride, financée par le capitalisme vert, la pornographie, où ne se rencontrent que les trotskistes, les amis hier des brigades rouges et de la bande à Bader, les enseignants de la pédophilie et leurs cortèges nauséeux. Triomphe de la lâcheté associée à l'oisiveté où roucoulent les robots bien huilés du sophisme le plus désolant qui soit, où s'enchantent le mensonge et la pédanterie, dont le mariage frise les marches de cette folie singulière qui voudrait gouverner.

Nous sommes dans la décadence, nous le savions, mais avec ces ignares nous sommes tombés dans ce qu'il y a de pire, la suffisance alliée à la perversité, vendue à tout ce qui peut désintégrer notre Nation comme notre Peuple, une hérésie bâtarde de ismes qui se réunissent dans cette hypocrisie convenue qui sert si bien l'illuminisme et ses valeurs. Ces rouages de la destruction que l'on retrouve dans tous nos pays d'Europe sont la lie mariée à l'usure, qui en dévoyant le bon sens comme terrain d'élection, cherche à détruire la famille, la Nation, en crachant sur les valeurs traditionnelles de la Famille, conjointement en cherchant à amoindrir nos capacités énergétiques, au nom de cette ridicule prosternation à leur Déesse Gaïa, nymphe d'un paganisme anachronique enchâssée dans l'hédonisme de ses utopies babéliennes, pauvres ressacs de quelques ilotes dépravés dont le consumérisme se voudrait Pouvoir.

On peut en rire tant que cette couvée du néant reste dans le néant, mais lorsque cette couvée burlesque s'attaque à notre honneur, il convient de réagir, et surtout ne pas se laisser impressionner par la bêtise qu'elle recèle, cette bêtise convenue qui vend notre capacité d'indépendance stratégique comme si on vendait de la cocaïne à la sortie du métro. Il suffit de cette couvée du mensonge, de la permissivité, de cette déshérence de la Vie au profit de la virtualité, il suffit de cette nullité politique encensant la perversion !

Il est temps pour chaque électrice comme chaque électeur de remiser à l'encan ces tueurs nés de l'intelligence et de les renvoyer dans leurs grottes où ils s'éclaireront à la bougie au milieu des ours et des loups. Humanicides en puissance, il faut les balayer du paysage politique qui n'a pas de leçon à recevoir de ce néant, l'écologie n'étant née avec eux, bien au contraire ! Lorsqu’on s’intéresse à l’écologie on ne profane pas les morts, et encore moins ceux qui ont combattu pour la Liberté, cette Liberté si chèrement acquise qui aux mains de ces officiants du crime, je persiste du crime envers les Identités, les Nations, la Vie, leur permet d’exprimer leur sous-morale glauque et perfide, bâtie sur la virtualité et qui retournera à la virtualité. Hérétiques à l’écologie, il n’y a qu’à regarder leur mode de vie, leur complaisance pour l’aberration économique que l’on vit actuellement, prenant les Peuples dans leurs mains nauséeuses pour les enserrer dans l’étouffoir des multinationales qui n’attendent que cela pour se repaître du paupérisme qu’elles veulent installer.

Ces menteurs patentés, il n’y a qu’à s’intéresser au réchauffement de la Planète pour le savoir, et notamment à cet organisme décrété au niveau international qui est la ruine de l’intelligence, pour se rendre compte de leur nullité efficiente, et au regard des centrales nucléaires, on ne peut que s’amuser de leur hystérie pavlovienne, ils parlent sans mesurer ni connaître, le politique dominant dans sa virtualité le recueil d’informations fiables établi par des scientifiques au-dessus de tous les soupçons de la prébende.

Il n’y a pas lieu ici de s’entretenir de leurs conjectures qui sont totalement erronées, mais de combattre leur injure qui alliée à leur mensonge, dépasse tout ce que l’on a entendu dans notre Pays. Même les « ismes » n’ont jamais été aussi loin dans le viol des Peuples, un viol en provenance de cette illumination qui couvre l’Europe de son voile noir rouge, ce nazi communisme dont ces prétendants n’ont rien à renier avec leurs élucubrations fantasmagoriques. Petite morgue de l’insuffisance qui rattrape le train de la dictature avec cet étonnant verbiage qui est celui de l’instituteur rabâchant les mêmes tropismes pour que cela rentre dans la déification de la virtualité.

Mais comment pourrait-il en être autrement, lorsqu’on voit qui est la racine de ce pseudo-parti représenté par tous les attardés de soixante-huit qui a été la ripaille de la sous culture et ses brevets, manipulés par les services spéciaux de certains pays qui n’ont pas supporté l’indépendance de notre Nation. Petits pantins qui se sont laissés dominer et qui désormais veulent dominer les autres, ce Peuple qui ne pliera jamais un seul genou devant le fumier de l’intelligence Humaine dont ils font étalage.

Que cela soit dit et répété, qu’il convient de ne donner aucune voix à cette illégitimité qui profane nos morts, à cette virtualité dont la danse de faune ferait vomir n’importe qui lorsqu’on découvre avec quel empressement ces nains se précipitent sur les mannes que leur donnent sans vergogne les multinationales de quelque ordre que ce soit, qui ont besoin de restaurer leur image de marque, et dont la complaisance envers ces ridicules personnages est la marque d’une dérive inconditionnelle vers la décadence la plus prononcée, en voie d’une mondialisation dictatoriale.

© Vincent Thierry