Un peu de courage politique !

Un peu de courage politique !

 

Oh la belle débandade que de voir les simulacres de Janus en coercition, une débandade majeure, comme il n’en a jamais été. Voyez, un jour on parle de garanties pour les électeurs du parti Nationaliste, le lendemain on éructe en disant que jamais un seul de ses représentants ne sera appelé à régner, alors que 67% du parti de la droite « molle » réclame des accords avec ledit parti ! Belle débandade que les caciques de l’Opus Dei et des loges associées, belles débandades que ces belles déclarations qui les signifient et donnent leurs origines, des insinués dans tous les pouvoirs, des insinués qui sont là pour détruire les Nations à leur profit ! Beau tableau que celui-ci qui est à vomir lorsqu’on pense qu’on rejette 18% des Français et que l’on accueille à bras ouverts tous les crypto communistes, ces tueurs nés de l’Identité, ne rêvant plus que d’un droit du sol métissé à souhait où l’Histoire n’apparaîtrait plus, où la volonté serait effacée au profit d’une cohorte de moutons serviles dirigés par leurs commissaires politiques aux origines ataviques.

Belle droite « molle » que celle-ci où ses militants en majorité demandent une alliance, que refuse le règne en ses chaînes prononcées. Un franc-maçon a dit un jour qu’il fallait séparer la franc-maçonnerie de l’État, eh bien le moment est venu comme on a séparé l’église de l’État, car l’insupportable est atteint, voir un Chef d’État condamné à perdre son élection au profit de toute la déréliction décomposée du mondialisme qui s'avance, un homme entouré de ses lieutenants aux ordres du Bilderberg, inféodé à la City, qui osent parler de confusion et d’outrance lorsque le Chef de l’État cherche à s’unir les voix Nationalistes, alors que lui-même s’allie avec l’idéologie pourrie qui a fait cent cinquante millions de morts à travers la planète, portée par la maçonnerie.

Bravo, nous avons connu un courage politique plus grand que celui de se courber devant ces nasses immobiles qui comme des sangsues vident l’État de son contenu, la réforme de l’État étant déjà une grande chose, nous avons connu un courage politique capable d’affronter même dans l’immoralité, due à ce minitraité de dupe, le festival médiatique des G à la puissance, combien déjà 20, ramassis de Francs Maçons pour la plupart aux ordres qui s’imaginent présider aux destinées de la Terre, alors que l’Eurasie est en train de se créer, que l’Amérique du Sud trouve sa pleine destinée, que l’Australie elle-même dessine un nouvel oikouménè, que les États-Unis d’Amérique, sans se soucier de quiconque, tracent par l’intermédiaire de leurs bases militaires le dessein de leur influence.

Nous avons connu un courage politique téméraire capable d’affronter le déni de justice dans le cadre de cette pauvre «europe » où rutile l’ivresse des profondeurs, qui s’accroît alors qu’elle n’est rien à la surface de cette terre qu’une citadelle babélienne qui s’écroule sur elle-même sous le poids de la nanification qui s’autorise à la proclamer empire, mais empire de quoi ? De qui ? Vaste champ ouvert à tous vents où viennent s’engraisser les bras de la tenaille de l’errance, exogènes d’un côté, apatrides financiers véreux de l’autre.

Ce courage ne semble plus présent. En ce cas, il suffit aux 67% des rangs de cette droite « molle » de rendre leurs armes et de passer avec armes et bagages dans les rangs des partis Nationaux, ce qui fera de ces derniers les premiers, sinon par alliance, le premier parti de France, ce premier parti qui guerroiera sur tous les fronts et qui sera élu en 2017 avec le triomphe dû à son rang, un triomphe qui balaiera les écuries d’Augias, nettoiera les traités de leurs additionnels contenus, notamment la peine de mort déclarative pour tout attroupement dans ce singulier minitraité de la haine de la Nation, qui déchirera toutes ces versatiles horreurs et les brûlera en place publique, avant que de rénover en profondeur l’État en évacuant ses scories, tout ce grenouillage infect des loges putrides, toute cette malformation empêchant la capacité de se faire valoir au profit de cette incapacité gargantuesque telle qu’on la voit dans l’éducation Nationale, totalement aux mains des trotskos communistes.

Car le premier combat sera celui-ci, de libérer la France de ses aberrations, de cet illuminisme pervers inféodé et en reptation qui dessert l’État et les Institutions Nationales, ainsi que ce jour les Institutions Européennes. Ce combat doit être mené dès maintenant. N’oublions pas que la représentation Française comprend plus de quatre cents députés qui ne s’appartiennent pas mais appartiennent aux loges. Il convient de les évacuer en les ignorants lors des votes, il convient que chaque électrice et chaque électeur demandent leurs appartenances à ceux qui se veulent prétendant à la députation. Car être Député ce n’est pas être député des loges mais Député du Peuple, ce qui est tout à fait différent !

Lorsque le Pouvoir sera nettoyé de ce grotesque illuminisme, barbare à souhait lorsqu’on voit à quel degré il en est rendu en prenant la tête du parti des gauches, la France retrouvera sa pureté originelle et pourra enfin se déclarer libre, libre de prospérer au-delà des appartenances, libre de penser au-delà des lois renégates, libre de s’avancer dans le monde sans ces pierres semis ouvrées incapables de se réaliser, car totalement esclaves de l’illuminisme et de ses prétentions stériles.

Que l’on ne se trompe, le Chef de l’État aujourd’hui en ses différents propos est cornaqué par toute cette veulerie du mondialisme, cette image maniaque se voulant destruction de toutes Nations, cette perfidie qui rôde dans les couloirs des pouvoirs en assignant à des lois parasites, à des conjonctions fratricides, à des errances répugnantes, non, ne nous y trompons pas, il n’a pas les mains libres. Et c’est pour cela qu’il va perdre cette élection, toute la faune de la franc-maçonnerie, de l’Opus Dei se précipitant dans les bras de l’autre face de Janus qui défend le mondialisme de la copinerie, de l’insulte, de la pensée unique, de ce bréviaire de l’inutilité enfanté par la nanification et la stérilité au profit du droit de cuissage tel qu’on l’a vu, du droit de détruire des Peuples par intérêts composés, par ce droit inexistant qu’il existe des gens qui s’accroîent au-dessus des autres au nom d’une religion, d’une philosophie, ou pire encore d’une atrophie mentale caractérisée.

Où est le courage politique dans tout cela de ce meneur qui se voit enchaîné par toutes les sectes qui s’imaginent aux commandes ? Regardez ce vaisseau en perdition, où les rats quittent le navire, ne demandez leur appartenance, elle se lit sur leur visage, elle se lit dans leur dialogue, et regardez autour l’autre face Janus stipendier les voix des Nationaux, et pire encore, le légume de service qui ose, petit Guénonien sans culture, petit jaloux des armatures de ce siècle, s’en prendre au Capitaine du vaisseau.

Que diable ! Le courage Politique c’est d’affronter cette hystérie, cette débauche sans nom des sectes qui veulent immoler ! Soit le Capitaine reprend la barre et il sera élu, soit il se laisse désorienter et trahi comme l’a été Napoléon par tous les boutiquiers, les voleurs de grands chemins, cette toile araigne qui infecte l’horizon, et alors il disparaîtra. Le personnage est de taille à affronter ce monument d’hypocrisie, il convient qu’il remette à sa place ces sectes douteuses qui marchent dans le sang des Peuples, cette hystérie sectaire dont il convient de débarrasser l’État, et par-delà cette piétaille du mondialisme qu’il reprenne les rênes du Peuple, au nom du Peuple et par le Peuple en commettant alliance avec les partis Nationaux.

S’il ne le fait pas, tout ce qu’il dit n’est que mensonge, illusion, et malheureusement nous le savons fort bien depuis son dernier quinquennat. Alors un peu de courage ! Balayez-moi ce qui ne représente à peine qu’une division face la marée montante du Peuple qui elle, balaiera ces scories, y compris dans ces partis dits de gauche inféodés à leur maniaquerie de la destruction de tout ce qui représente la France, son Peuple, son Identité, sa Force, et son devenir !

© Vincent Thierry