De la Dictature
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- Catégorie : Politique
De la Dictature
Comme convenu ce courrier nous parvient de quelque galaxie lointaine qui est une image de notre monde et qui révèle la progression d’une subversion globale, sur laquelle bien entendu, nous ne porterons aucun jugement. Mais lisons ce courrier :
« L'anatomie de ce monde est conséquence de la gangrène qui l'atteint. Une maladie insidieuse qui sent la mort, la réclame, l'ordonne comme un nectar, et comment en serait-il autrement ? L'atrophie guidant ses pas. Qu'il suffise de regarder là où vous êtes, à chaque carrefour, la complainte de l'enchaînement, la purulence en action qui soumet, qui détruit, qui pavane, une assemblée de zombis qui se prêtent au jeu du néant et par le néant sont absorbés pour servir le néant, et ce qui est stupéfiant, qui y croient. De la lumière dans cette déshérence lentement mais sûrement s'affine, afin de dissoudre cette monstruosité qui guette la dénaturation et sa vivisection.
Le Peuple ne supporte plus les incantations lamentables de ce dragon aux cent têtes qui immole, voyant remparts de son unité des hordes barbares l'envahir, violer par force sa légitimité dans un métissage qui n'élève mais bien au contraire rabaisse dans le néant, une tourbe grossière qui gémit, envahissant nos lieux de vies, nos lieux de soins, nos églises et nos portiques, pour piller la réalité au profit de la virtualité, tout un monde minuscule rationalisé dans le devoir des urnes afin de maintenir l'errance au pouvoir. Un pouvoir de nains, un pouvoir ridicule tenu par des homoncules sordides, levain de toute la racaille des subsides, des trahisons, des égarements sexués, des délits d'initiés qui plastronnent sur leur parjure, recevant ordre et contre ordre, recevant leur dû, celui de l'esclavage qu'ils doivent faire parure de leur Peuple, tribale conjonction de sectes enrubannées, de voix apprivoisées, de haines cumulées, de jalousies incestueuses prononcées, viaducs menant droit à l'abus de pouvoir, à cette faiblesse manifeste qui est le sceau primitif de dictatures agencées, approuvées avec moins de trente-cinq pour cent de voix, congratulées par ceux-là même qui devraient les combattre, mais qui tenus les uns aux autres dans l'aporie de leurs mensonges comme de leur insignifiance se gobergent de l'hydre, menstrues de leur double visage. Janus qui, frivole, s'accroît, dans l'ombre de l'ombre, comme un puits sans fond dont il faudra sceller les rives.
En attendant, en ses principes, cette autorité qui ne sera pas reconnue et ne le sera jamais par tout Être Humain qui se respecte, use et abuse, sans discontinuer, s'accordant des privilèges sur sa vieillesse alors qu'elle déploie ses drapeaux rouges pour faire travailler encore plus les esclaves, et piller dans les maigres retraites de nos aînés, use et abuse, en plaçant à des postes sans intérêt, qui la famille, les amis et les amis des amis, afin qu'ils s'enrichissent sur le dos des esclaves, use et abuse, contrariée de ne pas voir l'illusion prendre, en gazant les enfants, en raflant plus de mille personnes, qui après avoir été violentées et tabassées physiquement, qui après avoir été presque défigurés pour certains par les actes de sa police politique, sont pour les uns privés de liberté dans une garde à vue, sans présence d'avocat, sans présence de médecin, afin de signer un mea culpa, pour les autres entendus par une justice politique, tout simplement emprisonnés.
Le cauchemar commence, la Guépéou est aux ordres, prête à fondre sur n'importe quel passant, pourvu qu'il soit blanc de préférence, soigné de sa personne, et s'il est catholique de surcroît, quelle aubaine ! L'insinuation des affiliés des sectes n'est aujourd'hui un secret pour personne, tant des corps politiques que des corps institutionnels tels que la police et la justice. On comprendra mieux le harcèlement systémique et l'acharnement systématique envers les Françaises et les Français de souche, de cette soldatesque haineuse, qui se fait jouir en cassant du Français, au nom de sa domesticité barbare.
Barbare s'il en fut, dont les geôles demain fleuriront, dont les camps d'extermination pousseront comme champignons au lendemain de pluie, usant et abusant de la diffamation, de la violence verbale et physique, de la rééducation par l'abêtissement de tout un chacun afin qu'il soit plus vil que le plus vil des siens, bêtes brutes prêtes à tuer père et mère sur ordre du parti. Le cas d'un jeune prisonnier politique est un exemple de cette barbarie, mis au cachot, dans l'impossibilité de s'aérer, de se laver, sans papier hygiénique : voici ce que cette boue intellectuelle sème, et elle viendra pleurer sur les méfaits de la Gestapo ! N'oublions pas le passage à tabac de ce jeune homme arrêté, tout simplement pour avoir défilé contre le mariage gay, par la police politique, roué de coups, puis jugé par la justice politique et emprisonné pour rébellion !
Mais à ce titre nous sommes tous des rebelles, et il convient d'arrêter 65 pour cent des Françaises et des Français qui haïssent toute dictature quelle que soit la forme qu'elle revêt ! Nous n'en sommes pas loin de cette erreur de la nature qui bat la campagne, protégée par sa milice, son autre face haranguant les Françaises et les Français pour les noyer dans un métissage ubuesque. Pauvre temps de pauvres gens qui se prennent pour le prince alors qu'ils n'en sont que les domestiques, troupeau de bêtes errantes circonscrit dans le jumelage de l'appariement, de cette surannée prétention à s'accroire des lendemains qui chantent au nom de leur utopie haineuse.
Voici l'état des lieux, tandis que la surveillance s'accroît, voyant le chômage dissipé par l'emploi de nervis en tout genre, de ces brutes épaisses qui pour un smic sont prêts à tuer pour leur maître. Nous ne sommes plus en démocratie, nous ne sommes plus en république, nous sommes sous le joug d'une dictature bolchevique, arrogante, exhalant une haine qui n'a rien de commune avec tout ce que l'on a connu, vendue est-elle aux principes de la désintégration issus des sectes qui paradent, agenouillées devant l'usure qui dicte toute pensée jusqu'à désormais vouloir piller les économies du Peuple pour renflouer ses mortifères dérélictions.
La honte de ce régime corrompu n'existe pas, elle ne s'inquiète de ses économies lavées et blanchies dans des paradis fiscaux où elle puise ses trahisons, ses indicibles forfaitures, pots-de-vin en tout genre permettant à ceux qui les versent de faire obéir les larbins qui les touchent. La France est devenue le royaume de la corruption sous la houlette de la permissivité qui s'absout par des lois régaliennes, et l'hydre en son chant est le comestible que recherche toute la valetaille affligeante des partis qui se disent élection au nom d'un front maçonnique inverti qui protège ses privilèges de vendu à la cause subversive. Rien n'est épargné, encore moins la justice, encore moins la police, encore moins les grands corps d'état. Tout ce petit monde est membre d'une loge, condition sine qua none pour progresser, dominer, fut-il incapable, l'important est qu'il en soit.
De la tête aux pieds, cette dérive se commet, se protège, s'enhardit, se décuple et avec insolence brave le Peuple, ce Peuple à qui l'on conte les "horreurs" de la Royauté, les horreurs du national-socialisme, son petit frère, en oubliant de parler des cent cinquante millions de morts dus au privilège de son autre petit frère, le communisme, ce Peuple qui doit se courber devant la dictature de cette soldatesque grotesque hurlant à la mort contre tout ce qui n'est pas dans la pensée ridiculement unique de sa perversité dévoilée.
Nous sommes dans une dictature maçonnique, de la maçonnerie inverse s'entend, la réalité est là, dans sa virulence, dans son apogée. Mais réfléchissons un peu, que représente cette maçonnerie inverse ? À peine cent mille personnes, au maximum deux cent mille personnes. Et que peut devant soixante millions de personnes, cette soldatesque : rien. Donc il est temps pour les Françaises et les Français de se débarrasser de cette litière dictatoriale dévouée à l'usure afin de respirer. Cela viendra, par la reconnaissance globale de cette litière subversive, le fichage global de leurs adhérents, et l'éviction générale de tout impétrant à un quelconque poste politique en provenance de ces Sectes. Cela sera, car comment le Peuple peut-il supporter de subir le joug de cette idolâtrie de la perversion comme de la mort qui se commet impunément en s'autoprotégeant ?
Qu'a donc amené cette obscénité ? La désintégration de la France, la désintégration de la famille, la désintégration de l'identité, le viol systémique du Peuple de France, l'apologie des communautarismes, la haine de l'ordre, du respect, de l'honneur, la désintégration de la culture Française au profit d'un magma boueux enchantant ses morves, la désintégration de l'éducation par asservissement à une "repentance" totalement hors de propos, l'illettrisme, l'acculturation, la débilité encensée, l'atrophie de toutes valeurs spirituelles au profit de la religion de la soumission, la déstructuration de toutes cohérences, la désintégration de notre armée au profit d'un mercenariat idéologique, la société de la mort par avortement légiféré et non étudié au profit de la Femme, mais bien au profit du génocide organisé de notre Peuple, et des laboratoires de cosmétiques comme des cliniques privées se servant de cellules-souches pour maintenir en érection des nomades atrophiés, bientôt des lois putrides concernant l'euthanasie qui verront le suicide organisé, mené par des crises systémiques déployées, aubaine pour le pillage des organes humains.
Voici donc les résultantes de cette sidérante hallucination hybride trouvant ses racines dans une haine démente tant des civilisations ordonnées que des Êtres Humains, initiée par ces sectes qui veulent dominer notre Nation. Nous ne leur devons rien, sinon que ce flot de haine qui saillie leurs temples dévoués à l'usure, nous ne leur devons strictement rien sinon tout ce qu'il y a de plus nuisible sur cette terre, la dictature de la médiocrité, de la jalousie, de la haine.
À tout un chacun d'en demander réparation en renvoyant les insectes de ces sectes, qui seront dissoutes, n'en déplaise, car elles sont hors la loi, hors du droit, à leurs chères études. La martyrologie qui est leur chant ne sera de leur dissolution, on ne touche pas à ce qui se vautre dans la boue, le déshonneur et le parjure, on ne touche pas à cette glu putrescible, on l'évince tout simplement, et on la remplace par la capacité, la capacité en tous lieux, en toutes institutions, en toutes assemblées, on ne vote plus pour cette glu qui ne défend en aucun cas les intérêts de la France, mais bien les intérêts utopiques de ses sectes qui veulent une "république" universelle, en fait une dictature à la botte de l'usure.
Voilà le nouveau choc psychotonique que doit produire le Peuple de France s'il veut recouvrer sa Liberté et ses valeurs, ses Traditions, loin du pourrissement de cette dictature infecte qui se met en place. Lors de vos décisions à venir dans les urnes, pensez à tout cela, si vous voulez inverser cette nécrophagie, libérez-vous de l'umps et des partis de la mort, libérez-vous de tous ces ismes qui pullulent comme des sauterelles pour ne laisser que le vide après leur passage, et votez pour celles et ceux qui défendent la Nation et non l'occupent avec leurs nervis, leur gestapo, leur Loubianka, leur cour de justice politique, qui, comme en Russie en 1917, comme en Espagne en 1936, délivre les violeurs, les fous, les tueurs en série, afin qu’ils occupent le devant de la scène avec leurs horreurs programmées, de manière, à faire peur au Peuple, à le soumettre à la vassalisation de l’arrogance, du mépris, dans un complexe de Stockholm absolument répugnant !
Devant cette outrance, le Parlement Européen (et Dieu sait qu’il est bien souvent insupportable, mais pour une fois…) lui-même a demandé à cette gouvernance de respecter un article institutionnel précisant : « que la liberté de réunion et d’association, y compris lors de manifestations non organisées et non autorisées, est un droit essentiel dans une démocratie, garanti par l’article 11 de la Convention européenne des droits de l’homme (STE n° 5), et rappelé de manière constante par la Cour européenne des droits de l’homme dans sa jurisprudence. », ce qui doit permettre aux avocats des emprisonnés, des piétinés, des torturés, des privés de circuler, des privés de manifester, de ceux qui se sont fait rouer de coups, de ceux qui se sont fait gazer par la police politique, de créer une class action suivie d’un dépôt de plainte régulier près de la Cour Européenne de Justice, afin de faire condamner cette gouvernance à dommages et intérêts, libération immédiate et relaxe de toutes amendes et autres des prisonniers et jugés politiques, enfin une condamnation globale de ladite gouvernance pour actes dictatoriaux, hors la loi commune des Êtres Humains.
Nous ne sommes plus en 1793, nous ne sommes plus en 1917, nous ne sommes plus en 1936, il suffit ! Je rappellerais à tout un chacun victime de harcèlements, de contraintes verbales ( on a entendu que pour porter un pins il fallait une autorisation), d’arrestations arbitraires, qu’ils doivent se réunir dans une class action avec leurs avocats pour un dépôt de plainte régulier contre la gouvernance de la France afin de voir juger les commettants et les arbitres de ces rafles organisées, dignes de celle du Vel D’hiv, ainsi que les juges politiques, au motif de l’article 432-4 du Code Pénal : « Le fait par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission du Service Public, agissant dans ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions, ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la Liberté Individuelle, est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende. Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours (je pense ici au jeune Nicolas), la peine est portée à 30 ans de réclusion criminelle et à 450 000 € d’amende. »
Ces deux class actions doivent être jointes avec dépôt de plainte régulier près du Tribunal de La Haye portant sur une violation caractérisée des Droits de l’Homme en France par sa gouvernance. Mesdames, Messieurs les Avocats, au travail ! Dans l’attente de ces class actions, ne vous laissez plus berner par des poignées de mains, des sourires hypocrites, des embrassades baveuses, grattez le vernis des prétendants et prétendantes, demandez-leur un acte authentique prouvant leur non-appartenance aux sectes qui pullulent en France, Grand Orient, Grande loge de France, Grande loge Féminine, Droit Humain, etc, etc, aux think tanks qui se félicitent de voir parvenus leurs young leader au pouvoir, association franco américaine, bilderberg, fabian society, aspen institute, etc,etc.
Lorsqu'on veut faire de la politique on est libre de ses mouvements et on sert la France et non des intérêts qui ne servent pas la France ! Avant la future présidentielle, vous aurez tout loisir de tour savoir sur les appartenances, interrogez, demandez dans les Conseils Municipaux que chacun se désigne, car l’arbre ne doit pas cacher la forêt, la forêt manipulatrice est partout et en tout lieu, elle a infesté nos Institutions, qui n’appartiennent plus au Peuple, mais à leurs sectes contre lesquelles la volonté du Peuple doit se dresser afin d’en évacuer définitivement les essors subversifs et malsains… » .
Nous ne pouvons que souhaiter que ces class actions se montent dans ce pauvre monde qui agonise sous les coups d’une pieuvre qui bien entendu n’existe pas dans notre monde. Nous attendons avec impatience la suite de cette missive.
© Vincent Thierry