L’horreur
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- Catégorie : Politique
L’horreur
Quelques nouvelles de cette pauvre Terre où la barbarie brille de tous ses feux, mais lisons :
« Après le massacre des passagers d’un avion de ligne Russe, voici que la barbarie frappe à nouveau la France le vendredi 13 novembre 2015, dans une boucherie ignoble, tuant, qui que ce soit ou que ce soit, dans un aveuglement hystérique et modulaire. Ici dans ce dernier attentat commis suivant le rituel classique des fous de dieu, comme on les voit agir dans le monde entier, il convient de bien prendre conscience que la France, notre Nation, doit se réveiller de son laxisme le plus outrancier, tant en politique intérieure qu’extérieure, intérieure en laissant entrer à flots continus de pseudos réfugiés qui ne constituent pas dix pour cent des entrées, extérieures, en continuant à appuyer des groupes djihadistes dans une guerre barbare en Syrie et ailleurs.
Condoléances pour nos compatriotes liquidés, il n’y a pas d’autres termes, par les mouvances agissantes de la plaie de cet Univers que ne combat jusqu’à présent en aucun cas la gouvernance de notre Nation. On apprend que l’état d’urgence est instauré en France. Jeu de mots s’il en fallait de plus singulier, qui prouve ici qu’antérieurement à cet attentat que nous subissons dans nos chairs, au nom d’une paix sociale inexistante, le minimum a été fait, un minimum qui se résume à des écoutes téléphoniques, informatiques, et à un fichage de personnes susceptibles d’en venir aux actes au nom de leurs croyances Islamiques, excluant ce qui devait être fait et doit être fait, l’investissement complet des zones de non droits, plus de sept cent cinquante, par l’Armée, le rétablissement de l’autorité de la France sur ces zones, l’arrestation immédiate des personnes de mouvances Islamiques fichés S, le contrôle drastique aux frontières et le renvoi immédiat de tous les sans-papiers qui sont le foyer de l’insurrection par excellence.
N’oublions pas que plus de cinq mille djihadistes de l’Armée Islamique ont déjà pénétré l’Europe avec l’accueil particulier d’une Allemagne arrogante. Il serait temps aux gouvernances des Nations Européennes de se réveiller de cette insanité, et prendre en commun les mesures qui permettront d’extrader où qu’ils soient ces djihadistes et aller chercher leurs nids de vipères pour les assainir définitivement. Le reste n’est que petit verbe de petit pied bien souvent en reptation devant les pétromonarchies qui arment les djihadistes en puissance sur tous les fronts, le reste n’est qu’effet de manche et surgeon apostat sinon vendu comme on a pu l’entendre dans la bouche de certains qui considèrent qu’un Président ne devrait pas vivre et qu’un groupe djihadiste fait du bon travail en Syrie, en égorgeant, étripant, éviscérant, crucifiant tout ce qui est Chrétien, Yézidis, ou Islamiste modéré, homme, femme, enfant, n’est-ce pas ?
À nouveau les mêmes rodomonts sur l’unité Nationale, sur la sécurité des citoyens, suite à cette agression de guerre dénoncée par les constituants de la République… Après l’attentat du 11 janvier, après la décapitation sauvage de notre concitoyen, qu’ont donc fait ces constituants ? Ont-ils été aux sources ? En aucun cas, laissant les zones de non droits se multiplier, le trafic d’armes et de drogues s’intensifier, les prêches au djihad dans les mosquées s’accélérer, et plus encore acceptant sans regard dans une opération instrumentalisée de A à Z un flot de migrants qualifiés soi-disant de «réfugiés», ont laissé entrer ici les fondamentaux de la guerre Islamique dans notre Nation. État d’urgence ? Nous attendons de voir la suite qui sera donnée à cette facette de ce pouvoir qui par laxisme politique a laissé se perpétrer cette horreur sans nom sur notre territoire.
On nous dira à nouveau qu’il manque d’effectifs pour quadriller notre Nation, alors que ce quadrillage peut être effectué par tous les citoyens que nous sommes de notre Nation, en appui des forces de polices, en appui de l’armée elle-même pour éradiquer le fléau qui cherche à nous nuire et que notre Peuple saura terrasser. Les bisousnours aujourd’hui doivent faire place à une action implacable et déterminante, et non à des effets d’annonce. À l’image d’Israël qui est le modèle par exemple, il convient de répondre à l’outrage par l’outrage, sans concession, sans modération, sans état d’âme, car n’escomptons aucun état d’âme de la part des soldats de cette Armée disséminée désormais grâce à la « grande » Allemagne dans nos territoires, les milliers de vidéos de leurs actes barbares s’inscrivent sur la toile pour nous montrer ce qui nous attend et dont nous avons déjà et par le fait même de cet attentat ignoble connus l’horreur implacable.
La guerre est là, et il faut que cessent de se mettre la tête dans le sable, les constituants de cette République : qu’ils assurent enfin la légitimité du droit, le droit inviolable des Peuples à disposer d’eux-mêmes, et de n’être en aucun cas insinué par la mouvance de la barbarie la plus totalitaire qui soit. Des actes, la France attend de cette gouvernance des Actes qui ne soient pas des effets d’annonces, les victimes de notre Peuple demandent non seulement des comptes mais des actes !
Garantir la sécurité des citoyennes et des citoyens de notre Nation passe par les actions précitées. Doutons un seul instant qu’elles soient mises en pratique au nom d’une paix sociale inexistante. Nous attendons la preuve de cette paix sociale par le défilé massif de l’ensemble des immigrés de première comme de dernière génération qui sont sur notre sol pour dénoncer ces derniers actes de barbarie totalitaire, bolchevique par essence. N’attendons aucun défilé, n’en doutons un seul instant, lorsqu’on a pu entendre à Calais dans la zone de non droit dite la Jungle, que ses occupants venaient nous envahir et en aucun cas s’intégrer à notre Nation.
La tolérance, il y avait des maisons pour cela, les droits sans devoirs de l’homme n’existent que dans l’utopie babélienne, ces fourre-tout du laxisme doivent aujourd’hui s’estomper pour faire place nette des impétrants et des vendus à ces impétrants de cette guerre de lâches, car ne croyez un seul instant que leur cible soit militaire, à l’image des bolcheviques tirant à la mitrailleuse lourde sur les paysans venant défiler jusqu’au palais du Tsar avant la révolution dite d’octobre en Russie, préférant tuer le Peuple et son symbole plutôt que d’affronter de vrais guerriers. Œil pour œil, dent pour dent, voici la seule devise applicable envers les bastions de l’horreur, du crime, de l’esclavagisme le plus répugnant.
Lorsqu’on entend se déverser sur nos radios et sur nos écrans de télévision toute une marée journalistique se terrant dans le déni, le questionnement, jusqu’à interroger sur une négociation quelconque avec les terroristes, - on ne négocie pas avec le terrorisme, on l’abat - lorsque nous savons pertinemment que nous sommes en guerre avec l’Armée Islamique, on retiendra un décalage absolument consternant entre ce marais et la réalité. Le monde politique lui-même pour certains de ses membres semble découvrir que nous sommes en plein dans cette guerre, un décalage plus que consternant, qui les voit tenter de rebondir sur cet acte de sauvagerie ce qui ne les fait pas briller d’excellence. Paroles, paroles, attendons maintenant ce que vont faire les constituants de notre République pour défendre l’inviolabilité de notre Nation et la sécurité de son Peuple !
Horreur, horreur, voici ce qu’est cette pauvre Terre, une horreur contre laquelle lutte la Russie avec détermination, qui bien entendu est isolée par tous les tenants et les aboutissants qui vivent bien de cette horreur au nom d’intérêts particuliers, au nom d’intérêts stratégiques, au nom d’intérêts économiques quelconques, dont notre République de ce jour malheureusement fait partie. Il serait temps pour elle de couper les ponts avec des alliances contre nature, qui obligent à ce laxisme global que nous connaissons qui ne met pas en cause la détermination de nos forces de l’Ordre, bien au contraire, tenues en laisse par une politique du laisser-aller, par une justice méprisant les victimes au profit des assassins, comme on l’a vu dans un village et sur une autoroute de notre Nation, enchaînées à des principes qui n’ont plus lieu d’être ce jour, où en face d’eux ils ne trouvent désormais plus que des soldats mystiques politiques qui doivent être affrontés avec les mêmes armes.
On nous dit que nous vivons dans un pays libre ? Que non, il n’y existe plus la moindre liberté, et certainement pas celle de penser, cette pensée qui met en exergue les dangers potentiels qui aujourd’hui éclaboussent de sang notre Nation, notre Peuple, que le politique a toujours voulu masquer par ses dérobades, ses lamentables errances, son suicide primitif, aux fins de complaire et s’engraisser par cette complaisance. Ce défaut de Liberté, nous en payons ce jour le tribut, un tribut ignoble, qu’indirectement a favorisé le défaut d’expression, la mise en l’encan de la réalité, au profit d’une virtualité de larve, de larve intellectuelle, je ne mâche pas mes mots, de larves intellectuelles qui sortent d’une éducation nationale qui n’en est plus une, illettrées, acculturées, en conséquence totalement malléables à toutes dérives, car dans l’impossibilité d’une quelconque critique vis-à-vis d’une quelconque idéologie, fut-elle religieuse. Il serait temps là aussi de sortir de cette gangue infecte et de former des Femmes et des Hommes capables d’esprit critique et non des choses virtuelles qui n’ont plus de buts dans la vie que d’être des bouches et des anus, consommateurs, esclaves attitrés de dérives économiques dont certains, fussent-ils des politiques, vivent grassement.
Face à cet attentat né du laxisme et de la monstruosité associés, il serait temps de faire un point sur la réalité de notre Nation face à l’adversité intérieure et extérieure qui cherche à la réduire à néant, et cesser enfin de se mettre la tête dans le sable, et l’affronter comme l’a très bien fait le Président de la Russie non seulement dans sa propre Nation mais aussi en l’affrontant directement en Syrie. La plaie est là, béante, et il ne s’agit pas sur cette plaie de placer quelques pansements, mais bien de la suturer. En attendant j’exprime mes condoléances les plus sincères à toutes les familles touchées par l’ignominie instrumentalisée, et conjointement mes vœux de rétablissements à toutes celles et tous ceux qui ont été frappés dans leur chair, la nôtre, dans le cadre de cet acte barbare. »
Pauvre Terre, dont certaines Nations ont voulu oublier la réalité d’une force barbare de laquelle elles ne doivent rien attendre sans réagir, sinon que la désolation, la mort, l’anéantissement.
© Vincent Thierry