L’avilissement sectaire
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L’avilissement sectaire.
Quelques petites nouvelles de cette Terre que certains voudraient voir vaciller dans le giron de la subversion et de ses masques, les sectes ovipares avariées qui y pullulent, mais lisons :
« https://francais.rt.com/france/35754-fillon-met-cause-hollande-dans-fuites-affaires
Mise en cause de la « république » maçonnique qui depuis l’affaire des fiches est une spécialiste.
Cabinet noir ?
Colonisation et crime contre l’Humanité, Al Quaïda fait sa pub grâce à Macron.
Une partie de la gauche est dans le déni et la trahison la plus épouvantable.
Quel plan
Le djihad vit de nos aides sociales.
http://positivr.fr/noms-sdf-morts-rue-france-2016-la-croix/
La haine gauchiste se retourne contre elle.
Sans oublier que cette haine est condamnée pour atteinte à la vie privée.
Le retour des clandestins.
http://defiantamerica.com/top-leader-cair-calls-overthrow-u-s-government/
Le leader musulman des Etats-Unis appelle pour renverser le gouvernement de M. Trump.
Il serait temps d'arrêter tous ces personnages qui ne sont que haine de l'Occident.
http://fr.novopress.info/204472/collectif-tout-sauf-macron-est-en-marche/
Résistance à la félonie.
https://www.valeursactuelles.com/politique/lex-cabinet-de-taubira-conseille-macron-75038
Cela vous étonne ?
Un banquier Suisse explique en trois minutes l’arnaque de la création monétaire avec le Canada pour exemple.
Comment peut-on nous cacher le massacre de 6 millions de personnes au Congo.
Détournement de fonds public par la « chose ».
Une bulle vide comme Clinton aux États-Unis, une chose du système usuraire, qui pleure son mondial socialisme unipolaire. Un danger pour la France, un danger pour l'Europe qui se respecte, un danger tout court que les Françaises et les Français renverront dans son petit bureau à la City qu'il n'aurait pas dû quitter.
https://www.youtube.com/watch?v=-7po0B4xK2I&sns=fb
Le Macron que toute la presse cache.
Il serait bon de regarder ses stocks options, qui ne sont versables qu'au bout de cinq ans... Ce n'est tout de même pas difficile.
Macron, est un danger public.
Les assassins comme dans l’Espagne de 1936 sont libres de leurs actes.
http://www.christianophobie.fr/breves/syrie-grave-menace-chretiens-assieges-de-mhradeh
Aucun média n’en parle.
La dérision du plan Macron.
http://www.gilbertcollard.fr/a-la-une/le-cabinet-noir/
M. Gilbert Collard attire l’attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice sur les révélations dévoilées par un livre récemment publié : « Les secrets inavouables d’un quinquennat ».
Selon cet ouvrage, certains services de l’État seraient totalement détournés de leur mission initiale; et ce dans le seul but d’accomplir une mission d’espionnage et de basse police destinée à discréditer les adversaires de l’Élysée et du candidat manifestement favorisé par le Président sortant. Certains extraits de ces révélations ont été publiés par deux hebdomadaires sérieux, mais de sensibilités opposées (Valeurs Actuelles et Les Inrocks); sans donner lieu au moindre démenti ni droit de réponse. Les constats sont convergents : à Bercy, la cellule Tracfin serait plus préoccupée par le ciblage de personnalités d’opposition que par la lutte contre le blanchiment ou le financement du terrorisme. Mais le constat le plus accablant, non réfuté à ce jour, concerne la Chancellerie, c’est à dire votre propre administration centrale. En effet, selon là encore des informations non démenties, votre Direction des affaires criminelles et des grâces serait très impliquée dans une dérive politicienne de notre Justice. Le traitement de certaines affaires serait accéléré ou au contraire ralenti par le Directeur concerné, Monsieur Robert Gelli. Ce magistrat, dont nul n’ignore les affinités politiques et syndicales, interviendrait de façon intempestive dans certains dossiers qui lui seraient principalement révélés par un journal satyrique paraissant le mercredi. Or, ce Directeur d’administration centrale occupe actuellement un emploi discrétionnaire révocable ad nutum.
M. Gilbert Collard souhaiterait donc savoir si le Garde des sceaux a d’ores et déjà diligenté une mission d’inspection; afin qu’une personnalité aussi partiale cesse de jeter le discrédit sur l’ensemble de l’institution judiciaire.
Complicité islamo bolchevique
http://www.breizh-info.com/2017/03/23/65454/islam-incompatible-valeurs-francaises-ipsos
De l’incompatibilité de certaines religions avec la République et la Démocratie.
La hore bolchevique esclavagiste en ordre de marche.
http://presstv.com/DetailFr/2017/03/23/515360/France--Pas-rendre-Raqqa--larme-syrienne
Monsieur Ayrault ne veut pas rendre Raqqa à la Syrie .
Le droit International est pour la Syrie, ce que dit ce personnage n'a aucune valeur, sinon celle qui depuis des années permet l'extension du djihadisme dans la région.
Marx "Un gouvernement socialiste ne peut se mettre à la tête d'un pays s*il n* existe pas des conditions suffisantes pour qu'il puisse prendre aussitôt les mesures voulues et épouvanter la bourgeoisie de façon à gagner les premières conditions d'une politique conséquente." De facto le terrorisme, la guerre civile sont les moyens ordonnées par le socialisme pour se maintenir au pouvoir
Les suces queues de l’islamisme.
http://echelledejacob.blogspot.fr/2017/03/guerilla-ethnique-en-cours.html
Ne seront pas vainqueurs ceux qui estiment vaincre, deux mille ans de civilisation réduiront à néant cette imposture instrumentalisée.
La Légion pour remettre de l’ordre dans cette transhumance.
https://fr.sputniknews.com/international/201603231023620686-mosquee-islam-terrorisme-madrid/
On pleure pour une mosquée mais on fait silence sur les Eglises et les cimetières Chrétiens vandalisés tous les jours, par l’ordure institutionnalisée, protégée, encouragée, instrumentalisée.
Les sectes rejoignent les sectes.
https://fr.sputniknews.com/international/201703221030577137-londres-attaque-moscou/
Suite à l’attaque de Londres, par un djihadiste, Moscou appelle à la lutte collective contre le terrorisme.
Après les filles Le Roux, la fille Mélanchon. Les affaires toujours les affaires.
Non pas une machination mais bien une tentative de mise à mort par la franc maçonnerie déviante de ce candidat qui ne complait pas à l’oligarchie de l’ordure.
Fuites organisées, une spécialité de la franc maçonnerie déviante qui règne en gouvernance.
Vous en doutiez ?
Macron copieusement hué par les Maires de France.
Un danger pour la france ! Une "chose" vendue comme une marque de savonnette par des médias aux ordres, le nec le plus ultra de la médiocrité mondialiste, à l'image de celle qui a été éradiquée aux Etats Unis.
La machination de la franc-maçonnerie déviante alliée au bolchevisme le plus purulent que la planète ait connue.
Crise Julien dans « Gouverner par le Chaos »
« Les architectes de la mondialisation l'ont parfaitement compris : pour être vraiment efficace, la fabrique du consentement suppose l'abolition de toutes les frontières.
En effet, c'est le maintien de frontières, à tous les niveaux de l'existence, qui rend possible la comparaison la contradiction, la possibilité de dire « non » et tout le jeu de la dialectique politique qui s'ensuit. C'est aussi le maintien des frontières, qui appuie le protectionnisme économique, nécessaire si on souhaite conserver l'autonomie matérielle, l’indépendance intellectuelle qu'elle permet. À l'opposé,
L’ingénierie mondialiste cherche en visée ultime à élaborer ce fameux « village global » sans frontières, qui donnerait les moyens d'obtenir le consentement définitif des
populations sur tous les sujets, de sorte à ne pas être contraint d’y travailler constamment. Avec l'abolition des frontières, c'est-à-dire du principe même de toute extériorité, s'abolit également la possibilité de toute comparaison et contradiction fondamentale, donc de tout contre-pouvoir critique et de toute résistance. Un monde mondialisé, unipolaire, sans frontières et politiquement
unifié sous un gouvernement centralisé et un système unique de valeurs et de normes, en finirait une bonne fois pour toutes avec la possibilité même de penser
autrement.A monde unique, pensée unique. »
Voici ou vous nous mener la « chose » plébiscitée par les médias aux ordres, vous savez cette « chose » qui n’est ni à droite ni à gauche mais esclavagiste par excellence.
Manipulation :
Machiavel, « quand il s'agit d'offenser un homme, il faut le faire de telle manière qu'on ne puisse redouter sa vengeance ».
Offensive médiatique contre Fillon, Le Pen.
«Celui qui vous déclare libre est celui-là même qui attend votre
soumission »
Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois
Le travail de sape des médias pour nous vendre leur marque de savonnette.
Montifroi nous propose une définition de cette notion. Selon lui, elle consiste à « utiliser volontairement l'information dans le but de fausser la perception de la réalité pour la cible ». Elle vise donc soit « à tromper l'adversaire, à influencer l'opinion publique, à amener la
cible à approuver certaines croyances ou à revendiquer un mensonge comme vrai.
« La guerre, c'est l'art de la tromperie » Sun Tzu
SUBVERSION IDEOLOGIQUE = Manipulation de l’opinion = Guerre psychologique:
Dans le cadre de l'élection à venir :
DEMORALISATION = la dette
DESTABILISATION = l'immigration massive
RADICALISATION = l'acceptation
NORMALISATION = l'esclavagism
Les génocidaires qui devraient passr devant le Tribunal pénal international pour crimes contre l’Humanité.
Incompatibilité globale et sans appel.
Et dans l’éducation dite nationale ????
1891, même combat. de E. De. Villedieu dans "La France, l'invasion maçonnique"
L'ignominie Maçonnique et Jacobine doit être sans doute, avant tout, mise au compte de la haine du Divin, au compte sinistre de l'apostasie. C'est un méfait aussi, et beaucoup même, au compte du culte du dieu Etat. Ce culte va toujours d'ailleurs avec une révolte plus ou moins dissimulée, plus ou moins latente, contre le monde des plus hautes réalités. Ce culte va ainsi souvent avec l'ambition désordonnée ou simplement le défaut profond d'esprit chrétien, souvent aussi avec
l'apostasie commencée ou consommée. Le despotisme nouveau est logiquement, sinon toujours réellement, dans le sens de celui qu'ont eu tous les encenseurs du dieu État. La plupart de ceux-ci ont été, il est vrai, moralement bien au-dessus de beaucoup de nos tyranneaux francs-maçons. Mais la tyrannie des sectaires des Loges maçonniques n'en continue pas moins celle des corrupteurs du passé. Les Ferry, les Gent, les Mayer, les Brisson, ces conjurés liberticides, sont parmi les descendants directs des apostats « libéraux » césariens de la première époque révolutionnaire, et de nos despotes des grands jours de l'absolutisme Gallican. Le premier, parmi nous, de ces hommes politiques néfastes, plus ou moins enivrés par le souffle d'un nouveau paganisme ou par celui, guère moins trompeur, d'un semi-naturalisme triomphant; le plus despote des rois de la monarchie française, Philippe le Bel, cet indigne, ce criminel successeur de Charlemagne et de saint Louis, qu'a-t-il eu, dans sa lutte frénétique contre la Papauté splendide, puis dans le sombre écrasement des Chevaliers du Temple, qu'a-t-il eu, avec P. Flotte et Nogaret, ses auxiliaires infâmes, avec ses sicaires ou ses excitateurs du monde des légistes et de celui de la bourgeoisie, qu'a-t-il eu pour l'animer et pour le soutenir, lui et ses ignobles créatures et ses instruments vils? Il a eu le culte de son orgueil, identifié, ne faisant qu'un avec le culte du dieu État, servi par les procéduriers du Pouvoir, appuyé par le Droit selon l'individualisme et par l'arbitraire césarien. Et ces rois, et ces juristes astucieux, après ce passé-maître en despotisme, Philippe VI et P. de Cugnières notamment, dans leur lutte contre les droits de l'Église, alors comme aujourd'hui intimement solidaires des droits des peuples? Ils ont eu ce culte éminemment. Et Charles V, Charles le Sage, — selon la flagornerie Gallicane,
toujours adulatrice du Pouvoir ;— Charles, protégeant le grand Schisme qui, pour la France et pour l'Europe, allait être une cause si profonde d'abaissement, et qui devait contribuer à éloigner pour des siècles une Ère de Rénovation ; Charles qui, pendant que sa froide « sagesse » fomentait ce principe d'erreur, lançait dans le Midi les sbires de sa fiscalité; lui, et ses frères, d'Anjou et de Berry, non moins gouvernementaux à outrance, et, de plus, exacteurs et déprédateurs, avaient certes, — avec leurs qualités ainsi stérilisées à maints égards, — pratiqué constamment le culte du dieu État. Et Robert de Genève, et Pierre de Lune, et Clémangis, et Bernard d'Armagnac, et Jean Sans Peur, et Isabeau de Bavière; et Charles VII, le Victorieux, —toujours selon les absolutistes Gallicans, — lui à qui l'héroïque, la sublime, la sainte Jeanne d'Arc avait bien pu assurer une couronne, mais non le dévouement à la justice et l'élan du coeur; et Louis XI, ce fourbe insigne, populacier tyran et centralisateur, s'il en fut, avec son compère, le grand prévôt Tristan, ont eu aussi, à un très haut degré, le culte du dieu État. Et Georges d'Amboise, François Ier, Calvin, de Bèze, Coligny, Catherine de Médicis, Henri III, débauché, meurtrier, coeur déloyal comme sa mère; Etienne Pasquier, l'écrivain politique, Antoine Arnauld, et bien des Parlementaires d'alors, n'ont eu guère de culte plus profond que celui du dieu État. Et, après la Ligue, cet effort politique et national vers d'autres destinées, Philippe de Mornay, presque tous les Politiques de ce temps et les chefs calvinistes qui les suivaient; H. de Rohan; Richelieu, le créateur en France, per fas et nefas, d'un État presque omnipotent; Robert Miron, d'Émery, Antoine Le Maistre, Pierre Séguier, ce lâche étayeur du despotisme, ont, avec des mobiles différents et sous des points de vue divers, eu le culte du dieu État. Et Mazarin, l'Italien consommé en jongleries louvoyantes du Pouvoir; et Louis XIV, dont le règne a produit, a effrayamment accéléré la décomposition nationale, Louis le Grand tenant parfois aussi peu de compte des droits de l'Église que des droits civils et politiques, mais, en revanche, faisant avec les dragonnades du zèle de religiosité dans le pur despotisme; et Colbert, qu'ont porté si haut l'égoïste bourgeoisie Parlementaire et le servilisme d'un long siècle; lui que Mazarin, qui se connaissait en servilité pressurante, léguait comme « son plus digne successeur », et qui, parvenu courtisan, sut alors, comme tant d'autres, ériger sa fortune sur l'adulation et l'iniquité ; lui, préoccupé de « mille choses à faire pour la gloire du roi » et « surtout le plus attentif à prendre les instructions de son maître ; lui, presque l’ami des Muses, mais des Muses d'État, le protecteur des Lettres, mais des Lettres soudoyées, jetées au moule du semi-naturalisme avant tout encenseur du Pouvoir; lui qui, dès 1661, contrôleur général des Finances, — quand le jeune Louis venait de proférer le mot « sublime» : « l'État, c'est moi! », un peu comme s'il eût dit : le dieu, c'est moi ! — en orgueilleux et rude ouvrier de sécularisation tyrannique, travaillait dès lors infatigablement « à arrêter les donations, les ventes, les legs, aux Congrégations » ; lui, ce « grand citoyen » selon les passions de l'ancien régime, et du nouveau aussi, que le peuple, moins aveuglé que les lettrés payés ou que les intrigants, que Mazarin, et que le " Roi-Soleil », sur tant de bienfaits amenant la décadence d'un pays, maudissait jusque dans ses funérailles, et dont il voulait, dans sa colère, mettre le cadavre en lambeaux : tous ces illustres, élevés au pinacle par l'absolutisme Gallican, qu'ont-ils eu, le plus souvent, dans leur vie, sinon le culte du dieu État ? Et Philippe le Régent, et l'indigne Dubois, et Louis XV, et Phélypeaux de Saint-Florentin; et Choiseul, ce franc-maçon grand seigneur, obséquieux d'une Pompadour, ce vil exécuteur des premières hautes-oeuvres du Maçonnisme, aussi ignobles et plus sinistres que celles des décrets d'un Jules Ferry; et le prussien Voltaire, si bas adulateur du despotisme, avec ses émules ardents dans une oeuvre de corruption, de ruine et de mort, dont la Conjuration maçonnique a fait la vaste renommée, le scandaleux succès, Diderot, d'Holbach, d'Alembert, ces apôtres de « la tolérance » dans la plus honteuse hypocrisie, — après leur moi dévastateur, leur cupidité et leur haine, qui a eu leur culte? Le dieu État. Et J.-J. Rousseau, Raynal, Condorcet, de Calonne, Necker, Lameth, Camus, Brissot, Philippe-Égalité, Roland, Grégoire et le clergé constitutionnel, Danton, Collot-d'Herbois, Robespierre, Couthon, Saint-Just, Sieyès, Barras, La Réveillère-Lépeaux, Dupuis, Cambacérès, Bonaparte : tous les courtisans alors ou du Pouvoir ou de l'esprit sectaire ou de l'indigne popularité, tous les tyrans ou les tyranneaux du fétichisme gouvernemental; et Louis XVIII, le roi « philosophe » épicurien, Fouché, Decazes, de Villèle, Talleyrand, Louis-Philippe, Lerminier, Dupin, Saint-Simon, Fourier, Auguste Comte, Pierre Leroux, Cabet, V. Considérant, Michelet, Louis Blanc, Thiers, de Morny, Napoléon III, Persigny, La Valette, Rouland, Napoléon Jérôme, Delescluze, Gambetta, —pour ne nommer que les plus saillants, dans les légions sans nombre; tous les « libéraux.» de mensonge, tous les absolutistes d'orgueil, tous les monarchistes d'astuce, tous les « républicains » de démence ou d'infernale ambition, les « républicains » du Jacobinisme vieux ou rajeuni, d'un césarisme démocratique « radical » ou « opportuniste », infect, et dégradant; tous ceux-là, venus de points divers, évoluant dans les plus divers milieux de l'illusion sectaire, de l'infime « sagesse » ou du délire politique, qu'ont-ils eu, dans cette France dévoyée, dans ce pays fourvoyé, ravagé, par ses désastreux conducteurs, qu'ont-ils eu, sinon le culte du dieu État? Ah! dans leur patriotisme même, ils ont eu une chose avant tout pour but et pour ambition. Était-ce d'établir l'ordre, la justice et la liberté d'une France chrétienne, dévouée à sa mission sublime d'amener le règne de Dieu sur les coeurs? Cela les eût fait, les ferait sourire. Le but de leur labeur, de leur obstination, de leurs efforts sociaux et politiques, avec plus ou moins d'habileté mondaine, plus ou moins d'injustice, d'égoïsme, d'immoralité dans les moyens qu'ils ont employés, a été fondamentalement ceci : Constituer, fixer, maintenir, en France, le despotisme centralisateur et oppresseur dans la main de l'État. Cela a fini, naturellement, par y devenir et y est aujourd'hui : Le despotisme persécuteur de l'État athée et franc-macon. Et, après les occasions sans nombre du vrai progrès « prudemment » éconduites, après tous les moments perdus; après les belles évolutions, monarchiques ou démocratiques; après les ineptes engouements, les ébullitions de surface, les naïfs ou les madrés espoirs; après les indignes menées et les sottes parades de parti, on en est venu là, à ce qui fait l'ivresse insensée des porte-drapeau d'une « République » hideusement sectaire, d'une « République » d'hypocrites violences, de louche tyrannie; on en est venu à cet apogée des grandeurs d'un pays! Ainsi, depuis six siècles, la marche du despotisme corrupteur,
désorganisateur de ce peuple qui est la France, a été continue, a été logique, a été constante. Elle a abouti au résultat vers lequel elle tendait, d'une manière consciente ou non de son but, selon les hommes et les époques, mais qui était le résultat fatal que devait amener le culte dépravateur du dieu État. Pourra-t-on compter tout ce qu'il met là d'égoïstes calculs, de sourdes menées, d'intrigues sans loyauté, de souplesses sans coeur, de singeries sans âme, de sollicitudes rampantes, d'ambitions sans foi, sans noble amour et sans honneur? Pourra-t-on même savoir ce que ce culte indigne a produit partout de déviations, d'abaissements, de déperdition de forces individuelles ou collectives, privées ou nationales, de forces de l'ordre matériel ou intellectuel, religieux et moral; ce qu'il a multiplié, à l'infini, de bassesses favorisées, de trahisons du vrai sollicitées, de défections du devoir soudoyées, de déchéances morales préconisées, adulées, encensées ? Pourra-t-on rappeler ce que, dans notre France, surtout depuis six siècles, il a propagé de célébrités impures, de faux éclats maudits, de criminelles renommées, de gloires infamantes, de réputations usurpées, d'entraînements d'efforts, coupables et vains? Pourra-t-on, sommairement même, indiquer, exprimer les déloyautés, les hontes, les perfidies, semées ou préparées depuis lors, dans cette nation, par ce culte immonde, celui de Mammon, celui du dieu Argent, plus accessible encore à toutes illusions d’un pays ? C'est cela, en grande partie, depuis deux siècles, qui a fait que l'esclavage des coeurs, sous le culte du dieu Argent, sévit autant sur la terre de France dont exulte la franc-maçonnerie. Voilà l'ignoble, l'infernale lutte engagée ici contre l'honneur, contre le grand amour, par les ramassis bourbeux des Loges incendiaires, par les abjects du mercantilisme, par les grossiers délires, par les écumantes lubricités! Voilà les trophées enviés par les fils des convoiteurs rapaces de « biens nationaux », des trembleurs impurs du Marais, des aplatis du Centre, des lécheurs de bottes de l'Empire, des repus du Juste-Milieu! Voilà leur coalition grondante contre les sublimes dévouements! Qu'ont fait ces dévouements? — Ils nous gênent! — Et ces droits qui réclament? — Ces droits-, nous les étoufferons! — Et ces libertés qui veulent vivre? — Ces libertés, nous les tuerons!
« Pour l'État, cette puissance de tout régir et de tout façonner à son gré ; ce droit de tenir le moule où l'on pourra jeter, presque à sa guise, l'esprit, le coeur, les croyances, les intérêts d'un peuple; cette possibilité de donner carrière à la courtisanerie adulatrice et aux dévorants parasitismes ; cette facilité de se faire des créatures avec les instruments du Pouvoir; ces ressources indéfinies, ces inépuisables moyens de l'État gouvernementaliste, voilà ce qui tente plus que tout les avides ambitions, et ce qui tiendrait, autour de l'État, la menace des guet-apens malfaiteurs... Oui, voilà le danger du Pouvoir et l'écueil de la liberté!... « Et ce que l'on eût dû faire il y a bientôt un quart de siècle (en 1848), ce qui nous eût préservés de tant de chutes, de tant de déshonneur, nous différerions encore de l'établir! Nous éconduirions encore ces vérités et ce devoir, sous prétexte que cela affaiblirait le Pouvoir public, quand c'est son exagération qui a toujours fait sa faiblesse, et quand c'est sa normalité qui le rendra puissant pour le bien. Ah ! prenons garde! Éconduire, à cette heure, la vérité et la justice, c'est rejeter ni plus ni moins le salut de notre patrie! Voilà encore notre lot destructeur : l'État effrayamment centralisé! Voilà, grâce au culte du dieu État, la moitié d'un pays, et bientôt la moitié d'une civilisation, transformées en ruineuse, stérile et tracassière bureaucratie. Et voyez, en même temps, engrenés à ce rouage maître, souverain directeur du mouvement et de la vie d'un peuple, voyez ces autres rouages principaux et des milliers d'autres secondaires qui, dans un pays « libre », dans « une République », fonctionnent tous dans le même but : au profit du culte du dieu État et de ses cupides encenseurs ! »
Le Maçonnisme, la fourberie même, le Maçonnisme Jacobin, l'incarnation du despotisme nouveau, forme à côté de vous, forme au sein des sociétés modernes et de tous les peuples de l'Occident, la Conjuration la plus active, là mieux conduite, la plus étudiée, comme la plus sinistre dans sa noirceur; et elle est en même temps, — soit dans l'opinion, soit au Pouvoir,— contre le droit des peuples qui veulent progresser et vivre, la plus dangereuse, la plus déloyale, LA PLUS ÉHONTÉE DES FACTIONS. Avec la République reconquise sur l'impudeur Maçonnique, la France, — avant même la Rénovation juste, pacifique, grandiose, qui l'appelle en lui montrant son salut et l'apogée de sa grandeur, — la France, républicaine dans l'équité, demandera, nous l'espérons bien, au dieu État et à ses abusés ou serviles encenseurs : De quel droit votre mainmise sur un peuple, sur ses manifestations légitimes, sur ses vraies libertés ? De quel droit ce vieux despotisme, voulant dominer coeurs et intelligences; ce despotisme bassement rajeuni, mis par vous à l'enchère du nombre, obtenant avec vous ses vils triomphes par les plus honteuses intrigues et par le jeu le plus vénal, le plus odieux, le plus impur ? De quel droit votre hypocrisie écrasante, votre outrage sacrilège aux consciences, aux hommes et à Dieu, dans un ENSEIGNEMENT D'ÉTAT, toujours injuste, toujours liberticide, devenu par vous L'INSTRUCTION IMPIE, l'Instruction athée, homicide des coeurs? De quel droit votre accaparement, — par des moyens indignes, par des jongleries politiques, — des droits primordiaux, supérieurs à ceux du Pouvoir civil, des droits imprescriptibles de la famille, de l'Église, de la raison, de la justice, du croyant qui veut être au-dessus de vos infamies sociales, de l'âme qui veut se dévouer et prier?
De quel droit le maintien ou plutôt l'accroissement insulteur, — dans un temps de démocratie, — des vexations mesquines comme des plus hideux attentats de l'absolutisme des derniers siècles, adorant son orgueil dans la tyrannie de ses caprices et de sa fausse domination? De quel droit ces omnipotences d'État mettant les peuples sous le joug de médiocrités ignominieuses, de vertus, d'honneur au niveau de ceux des derniers baladins, de science, de capacités politiques, à l'égal de celles des commis-voyageurs ? De quel droit ces insanités du Pouvoir qui peuvent livrer une nation au cynisme de haine effrénée ayant levé son masque, appelant « le culte avoué de Satan », du fond de ces Loges écumant de blasphème, et, dans son impiété féroce, osant dire qu' « on n'aura rien fait, tant qu'on n'aura pas jeté le Vatican en pâture à l'Humanité ? » De quel droit cette ingérence plus qu'abusive de l'État sur la fortune des citoyens; ces pressurassions par l'impôt frappant cinq fois, dix fois et plus la même matière imposable, atteinte par les moyens les plus détournés, les plus divers ; et, non seulement ces droits immondes, en fait de mutation successorale, ces droits effrontés, inouïs, dont l'impudeur vient d'épouvanter la France, mais même, — ce qui est pourtant bien autre,— les plus simples droits de succession sur des biens que l'impôt va ensuite frapper encore une ou plusieurs fois? De quel droit, par l'État, une tyrannie spoliatrice que paye tout un peuple, pour gorger les renégats, les faquins parvenus, les corrupteurs et les histrions? De quel droit, vous, libéraux sincères ou menteurs, vous, républicains dignes d'honneur ou d'infamie, riveriez-vous au Pouvoir nouveau les armes liberticides forgées par les oppresseurs et les dépravateurs du vieux monde, par les Légistes courtisans, par les étroits Parlementaires, par les absolutistes, par les Césariens? De quel droit surtout, par un Pouvoir prévaricateur, l'asservissement des intelligences, des devoirs religieux et des droits civils, à des pensées sectaires; l'empoisonnement, rapide ou mesuré, de ce qui est l'âme d'un peuple, de ce qui a été toujours, constamment, pour la France, l'âme de la patrie? A tout cela, soyez-en sûrs, sous peu l'avenir répondra; et il répondra contre vous. Les chétifs « républicains » de la haine, les assouvisseurs de bas instincts, les brigandeaux spoliateurs, rués sur un peuple comme une plaie d'Egypte; les insulteurs de ce qui fait, bien au-dessus de leurs folies, la vie même d'une nation : tous ces infatués de négations et tous ces myopes d'orgueil ont mal compris les signes du temps. Les césariens fourbes, infimes, masqués sous le couvert d'un libéralisme de tyrans, lisent mal au cadran des peuples. Ils s'abusent sur l'heure qui vient. Ce sont, dans leurs livrées de mensonge, des sectaires d'anciens régimes, des rageurs, demain impuissants, de despotismes qui s'en vont. Devant l'histoire, si l'histoire se souvient de leurs bassesses, de leur déloyauté, de leur vertige, ils prennent un chemin tapageur, qui sera, pour eux, bruyant peut-être un jour; mais c'est celui qui mène les noms maudits, les noms exécrés des peuples, les noms impurs au pilori !
https://fr.sputniknews.com/international/201703221030563045-prix-voyage-trudeau-enquete/
On remarquera l'identité de corruption entre les féaux du mondial socialisme islamique.
http://www.christianophobie.fr/breves/saone-loire-42-tombes-profanees-cimetiere-de-saint-cy
Le massacre des terres chrétiennes par la barbarie instrumentalisée par la maçonnerie déviante.
http://ripostelaique.com/valls-cazeneuve-incitent-lue-a-desarmer-citoyens.html
Pendant ce temps, les territoires hors de la république sont armés jusqu'aux dents, il serait temps de voir que la gouvernance prépare le génocide du Peuple de France.
La puanteur bolchevique qui se veut règne.
Le pizzagate à la française : le plus grand scandale politique définitivement étouffé ?
environ 1500 personnes arrêtées aux Etats Unis, nous attendons que cela soit le cas en France, une fois que cette gouvernance soit évacuée.
http://lesmoutonsrebelles.com/les-nations-unies-devoilent-les-chemtrails/
Les preuves s’accumulent de la tentative de destruction des populations par la lie de l’humanité.
La mise en accusation de Fillon dans le cadre de ses activités de conseils est d’un ridicule à toute épreuve.
Le coup d’état du 5 décembre 2016 totalement étouffé par les médias : décret signé par Valls mettant la Justice au service de l’Exécutif.
http://fr.novopress.info/204455/enquete-emmanuel-macron-est-bien-le-candidat-des-etats-unis/
De la clique "Clinton", qui a été renversée aux États-Unis.
http://www.eric-ciotti.com/2017/03/23/voter-macron-cest-voter-hollande-une-seconde-fois/
C’est voter pour la dictature universelle, l’utopie babélienne de la franc maçonnerie déviante.
http://lesmoutonsrebelles.com/5244-2/
Comment Facebook manipule les élections françaises.
La mise en fiche comme lors de la fameuse affaire initiée par le Grand Orient, cela ne change pas. Lorsqu’on est dans une République maçonnique, le bolchevisme pointe son nez, car c’est la mamelle de cette obédience inique.
http://www.laffont.fr/site/bienvenue_place_beauvau_&100&9782221198988.html
La réaction de la gouvernance fait rire ou bien pleurer.
Le cabinet noir existe depuis 2013.
Il faut mettre à nue ces insanités qui ont coûté la tête de Nixon aux Etats-Unis.
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2017/03/24/l-emission-politique-la-litterature-jetee-en-pature.html
Ne confondons pas littérature avec ordure, bassesse, marais putride, par pitié !
« Hollande parle de dignité ! Des escapades en scooter jusqu'au soutien à Théo en passant par le mépris des vraies victimes, je pense qu'il n'a aucune leçon de morale à donner à qui que ce soit. »
Le bolchevisme ne tolère pas que la lecture soit source de la critique judicieuse de ses méfaits.
Une simple réalité.
https://fr.news-front.info/2017/03/24/marine-le-pen-en-russie-et-l-annexion-de-la-crimee/
Gageons que cela va faire gloser les bolcheviques et leur égérie, la chose vendue par les médias aux ordres.
http://www.comite-valmy.org/spip.php?article460
ONU : réponse de la Syrie au projet de résolution initié par la France en 2014.
Monsieur le Président, les modalités d’approche de la situation syrienne, par certains États présentateurs de ce projet de résolution, me rappellent « L’Étrange cas du Dr Jekyll & M. Hyde » de l’écrivain écossais Robert Stevenson. Car, ils ont beau chercher à jouer le rôle du bon docteur Jekyll en clamant leurs principes philanthropes, c’est en réalité le monstrueux M. Hyde qui les anime lorsqu’ils s’associent pour soutenir le terrorisme qui frappe mon pays et collaborent pour saigner davantage de Syriens, tout en se lamentant face à l’hémorragie !
Monsieur le Président, les mains de M. Hyde ruissellent du sang des Syriens, alors même qu’il se prétend « Ami du peuple syrien ». J’en veux pour preuve les propos tenus récemment, au Caire, par l’ancien chef de la dite « Coalition de l’opposition syrienne » [3], lequel vient d’être évoqué par mon collègue représentant la Fédération de Russie. Je cite : « La moitié de ceux qui se présentent comme étant les amis de la Syrie ne sont que des imposteurs, des menteurs et des hypocrites. Ce sont eux qui nous ont précipités dans la situation où nous sommes… L’Occident cherche la partition de la Syrie ! ». Voilà ce qu’a déclaré l’ancien chef de la « coalition de Doha », notoirement fabriquée, conditionnée et emballée dans certaines capitales bien connues de tous.
Les hasards du calendrier font qu’aujourd’hui coïncide avec ce jour de 1945 où la délégation syrienne, participant à la Conférence de San Francisco pour la mise en place de la Charte de l’Organisation des Nations Unies, a réussi à forger l’article 78 garantissant que la Syrie ne saurait être soumise à la tutelle française [4]. Le résultat de l’adoption de cet article, Mesdames et Messieurs, fut que les forces d’occupation françaises bombardèrent le Parlement syrien, le 29 mai 1945, et massacrèrent toute sa garnison [5] !
Aujourd’hui, vu les circonstances, et étant donné l’imprescriptibilité des crimes de guerre [6], contrairement à ceux que nous venons d’entendre, nous appelons le Conseil de sécurité à demander des comptes au gouvernement français pour ses crimes contre les Syriens et les peuples des nombreux pays que la France a occupés et dont elle a pillé les ressources.
Et, de notre côté, nous demandons au gouvernement français de présenter des excuses publiques pour l’ensemble des exactions de son « ère colonisatrice » ainsi que le versement d’indemnités au peuple syrien. De plus, nous lui affirmons que le peuple syrien n’est pas prêt d’oublier l’accord de Sikes-Picot qui a abouti à ce que la France arrache le Sandjak d’Alexandrette à la Syrie, pour le céder à la Turquie, dans l’espoir qu’elle renonce à entrer en guerre aux côtés de l’Allemagne ainsi qu’ils l’ont prétendu ; comme il n’oubliera pas que c’est la France qui a introduit le terrorisme nucléaire israélien dans notre région au cours des années cinquante du siècle dernier.
Monsieur le Président, la première donnée qui est au fondement juridique du droit international est qu’il régit des rapports entre États souverains, lesquels États assument la responsabilité exclusive du droit interne reposant sur une autorité publique, garantie par leur système juridique qui en en assure le respect sur leurs territoires respectifs. Par conséquent, et suite aux événements malheureux vécus par mon pays, le gouvernement syrien a pris une série de mesures visant à poursuivre les responsables, à les juger, et à les condamner s’il y a lieu. Un Comité national, chargé d’enquêter sur ces événements, travaille conjointement avec la justice syrienne depuis le début de la crise sur des milliers de cas. Plus précisément, 30 000 enquêtes, procès, et jugements ont eu lieu ou sont en cours.
Ce qui confirme la volonté et la capacité du gouvernement syrien à assurer la justice sur son sol, et contredit n’importe lequel des prétextes évoqués pour justifier l’ingérence de n’importe quel organe judiciaire international, dans le but de s’accaparer des compétences qui relèvent de la justice nationale. D’autant plus que la crise syrienne a démasqué l’étendue des « deux poids deux mesures » dominant l’ONU, devenue un outil entre les mains de certains États pour en agresser d’autres, au nom de la Justice et de la loi !
C’est dans l’esprit même de cette dernière dérive qu’un groupe de pays membres a pris l’initiative de présenter le projet de résolution qui vient de nous être soumis. C’est un texte politique et discriminatoire, un texte d’ingérence par excellence ! Il a pour but de parasiter les prochaines élections présidentielles, de rebattre les cartes, d’attiser la crise, et de répondre à certains objectifs médiatiques pour la façade, en plus de chercher à entrainer le Conseil de sécurité dans le cortège de l’hystérie haineuse dont ce groupe témoigne à l’égard de l’État et du peuple syrien, sans oublier les tentatives désespérées de certains pour leur imposer une tutelle révolue.
Nous disons qu’en plus de mépriser la volonté des citoyens Syriens, ce texte est en flagrante contradiction avec les déclarations répétées du Conseil de sécurité qui s’est fortement engagé à respecter la souveraineté de la République arabe syrienne, son indépendance, l’unité et l’intégrité de son territoire, tout en insistant sur une solution politique à la crise sous direction syrienne.
Nous disons aussi que tous les arguments présentés par les États qui appellent le Conseil de sécurité des Nations Unies à renvoyer le dossier syrien au procureur de la CPI, ne sont que des allégations fallacieuses et politiciennes, totalement contraires à la vérité. Et si elles sont appuyées par diverses organisations onusiennes, il faut savoir que ces organisations ont sciemment ignoré les informations, les plaintes, les preuves et comptes-rendus documentés, avancés par le gouvernement syrien ; ce qui témoigne de leur participation effective aux agendas des États engagés dans la campagne d’agression contre mon pays.
Monsieur le Président, la Syrie croit en la justice pénale internationale et a été l’un des acteurs convaincus de la « Conférence de Rome » qui a travaillé à définir les règles de fonctionnement de la CPI. Elle a été l’un des premiers signataires du « Statut de Rome ». Mais si elle ne l’a pas ratifié, c’est bien parce que sa vision de cette justice était qu’elle devait être nécessairement générale, éloignée des doubles standards, de toute politisation et de toute discrimination. Partant de ces convictions, elle avait demandé à inclure le « crime d’agression » puisqu’il est la source de tous les autres crimes. Mais cela lui avait été refusé, d’où son abstention.
Et aujourd’hui, concernant la Syrie, le gouvernement de la République arabe syrienne vient affirmer que le respect de cette justice internationale exige :
Premièrement : De juger la responsabilité des gouvernements de la Turquie, de l’Arabie Saoudite, du Qatar, de la France, d’Israël, et d’autres pays qui ont incité à la violence publique et au terrorisme en Syrie, de n’importe quelle manière que ce soit, y compris, l’accueil, le financement, l’armement, ou l’entrainement des mercenaires terroristes venus par milliers de tous les coins de la planète, et sur les crimes desquels ils ont fermé les yeux allant jusqu’à les présenter comme des « opposants modérés » !
À ce propos, je porte à votre attention une information donnée par le chef d’état-major des forces aériennes libyennes. Il a déclaré, hier [21 mai], que l’organisation Al-Qaïda de Libye, et la faction des Frères Musulmans en Libye, avaient organisé 224 voyages aériens à partir de l’aéroport de Tripoli, pour transporter ce type de mercenaires vers la Syrie via la Turquie !
Monsieur le Président, aucune justice internationale n’est possible, tant que certains États continueront à violer les lois internationales et les résolutions du Conseil de sécurité en rapport avec la lutte contre le terrorisme, sans aucune limite ! Le terrorisme est un crime, qui que soit le criminel, et quel que soit son objectif. Et tout comme le terrorisme pratiqué par Boko Haram au Nigéria est condamnable et doit être combattu, il est impératif de combattre ses homologues couvés et entraînés par Israël dans la zone de séparation entre Israël et la Syrie, sur le Golan occupé, avec l’assistance d’un pays arabe voisin, ce que nous regrettons.
Quant à la Turquie, est-il besoin de rappeler qu’elle se charge de la même besogne dans le Nord, tandis que nombre de gouvernements arabes et occidentaux arment ces mercenaires terroristes au vu et au su des Nations Unies ?
Ils ont commis les pires crimes qui pèseront lourd sur la conscience de l’humanité, leur dernier ayant consisté à priver Alep, une ville de trois millions d’habitants, d’eau potable et de toute possibilité d’assainissement ! Nous aurions aimé que les États qui cherchent à envoyer l’État syrien devant la CPI avancent le moindre projet pour lutter contre le terrorisme dont souffrent les Syriens.
Deuxièmement : De juger les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité, les actes d’agression et d’annexion largement documentés, commis par les autorités d’occupation israéliennes dans les territoires arabes occupés, y compris le Golan, depuis bientôt sept décennies, avec le soutien de membres permanents du Conseil de sécurité ; soutien qui a permis aux criminels de guerre israéliens d’échapper à une juste condamnation et de continuer à bloquer toute initiative visant à les mettre en question.
Troisièmement : De mettre un terme à toutes les tentatives de contournement des lois internationales par toutes sortes d’immunités que se sont octroyées certaines grandes puissances dans le but d’échapper à tout questionnement, malgré leurs violations des Droits humains et malgré tous les crimes perpétrés, alors qu’ils sont membres de l’ONU, pour exécution de leur agenda colonial et de leurs ambitions hégémoniques. D’ailleurs, Abu Ghraib, Guantanamo, le bombardement de l’ambassade chinoise à Belgrade, les fleuves de sang en Libye, les prisons secrètes volantes, l’assassinat de civils innocents par des drones, les entreprises de mercenaires telles que Blackwater en Irak, etc,etc, ne sont-ils pas autant d’exemples frappants des doubles standards pratiqués pour échapper à une juste condamnation ?
Le comble de l’ironie est atteint lorsque ces mêmes États, qui se posent en législateurs en dehors de leurs frontières, imposent des sanctions à la Présidente du comité national de secours, en Syrie. Imaginez les préoccupations humanitaires de ces gens là ! Je renvoie cette sanction devant la Secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires et Coordinatrice des secours d’urgence de l’ONU, Mme Valérie Amos, qui connait fort bien notre compatriote dont le travail nous honore. Peut-être pourra-t-elle faire quelque chose.
Ce dernier procédé, est en lui-même suffisant pour miner la crédibilité des auteurs de ce projet de résolution, et témoigne de leurs intentions malfaisantes et de leurs motivations belliqueuses.
Et puisque nous parlons de la sanction dirigée contre la Présidente du comité national de secours, rappelons qu’ils avaient usé du même procédé scandaleux, il y a un an, contre le ministre en charge de l’électricité du pays, sauf qu’en ce qui le concerne nous ne pouvions recourir qu’au tribunal de Thomas Edison !
Monsieur le président, une fois de plus, la délégation de mon pays réaffirme à tous ceux qui prétendent se soucier de la Syrie et des Syriens, que la meilleure façon de les aider est claire et limpide. Elle consiste à déployer des efforts sérieux et sincères pour la lutte contre le terrorisme qui vise son État et son peuple, et à soutenir les efforts de ceux qui cherchent une solution politique conformément au processus de Genève. Lequel processus repose sur le dialogue entre les Syriens, eux-mêmes, pour aboutir au rejet de la violence et à la formation d’un gouvernement d’unité nationale, loin de toutes les tentatives d’ingérence étrangère de la part de ceux qui veulent imposer leur propre agenda ou leur tutelle. Ceux-là ne cherchent aucun bien, ni pour la Syrie, ni pour son peuple.
Alors que les Syriens qui ont décidé de se diriger vers les urnes pour élire un président, le font pour protéger leur pays du terrorisme, du chaos prétendument constructeur, et des tentatives visant le concept même de l’État souverain.
Pour finir, Monsieur le Président, l’actuel gouvernement de la France a sans doute mal compris la célèbre phrase de Jean-Paul Sartre disant « L’enfer c’est les autres », puisqu’il semble croire que l’enfer est toujours chez les autres, alors que le philosophe français a voulu aussi dire que l’enfer c’est peut-être toi ! C’est peut-être le regard que tu portes sur les autres ou la manière dont tu comportes avec autrui… Le gouvernement français devrait donc se regarder, il pourrait voir l’enfer en lui-même, non chez les autres !
Je vous remercie, monsieur le président.
Dr Bachar al-Jaafari
22/05/2014
Où l’on lit la complicité effarante dans le génocide Syrien d’une gouvernance totalement avariée qui sévit dans notre France. »
Pauvre petite Terre, se réveillera-t-elle enfin pour balayer la trahison, la reptation, la fouberie, la duplicité, la haine, l’avilissement sectaire ? A suivre…
© Vincent Thierry