L’ordre « républicain » en France
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- Catégorie : Politique
L’ordre « républicain » en France.
Petites nouvelles de cette petite Terre où une Nation est entrée dans un régime de tyrannie absolue, un régime dont l’hypocrisie monstrueuse en appelle à débattre pour se cautionner, mais lisons :
« Le « grand débat » organisé par le régime
Soyons sérieux, ce débat initié par le régime ne va avoir pour but que de défendre son idolâtrie mondialiste esclavagiste, donc il faut par toute personne sensée le boycotter, car il ne représente pas un débat mais un monologue, à l'image de la dialectique matérialiste communiste, qui ne mène qu'à l'abîme le plus servile.
La répression sanguinaire du régime :
Il conviendra dans peu de temps de déposer plainte près du Tribunal Pénal international pour crimes, actes humiliants et dégradants, contre l'Humanité, près de la Cour Européenne des Droits de l'Homme pour entrave à la Liberté, et si cela continu faire valoir près de l'ONU toutes les violences subies par le Peuple afin qu'elle engage une coalition sur notre territoire pour rendre sa Liberté au Peuple Français. Cela ne saurait tarder devant l'hyper violence gratuite déployée, meurtrière et mutilante, via des milices sans matricules, et autres forces dites de l'ordre, par le régime.
Face au meurtre organisé pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques par les corrompus du régime :
« En France, il ne peut exister d'obligation légale de vaccination :
1- L'obligation vaccinale est contraire à la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme :
(Article 3) : " Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne".
Le 9 juillet 2002, la Cour Européenne des Droits de l'Homme a précisé que la vaccination obligatoire, en tant que traitement médical non volontaire, constituait une ingérence dans le droit au respect de la vie privée et familiale garanti par l'article 8 de la Convention européenne.
2- L'obligation vaccinale est contredite par le Code Civil :
(Article 94 653 du 29 juillet 1994) selon "le principe du respect de l'intégrité du corps humain".
3- L'obligation vaccinale est en contradiction avec le Code de Déontologie Médicale :
(Article 36) : "Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes".
4- Toute obligation vaccinale est contraire aux arrêts de la Cour du 25/02 et du 14/10/1997 qui expliquent que
"Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés".
5- Toute obligation est annulée d'office par la loi du 4 mars 2002, article 11, modifiant l'article L1 111-4 du chapitre 1er de la 1ère partie du Code de Santé Publique :
"Aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment".
Enfin, à l'âge de 6 ans, il est obligatoire que votre enfant soit scolarisé,
Vacciné ou pas. »
Gaz lacrymogènes utilisés par la milice du régime et dommages directs comme collatéraux :
Les gaz lacrymogène les effets sur le corps sont multiples :
gênes respiratoires
nausées
vomissements
irritation des voies respiratoires
irritation des voies lacrymales et des yeux
spasmes divers
douleurs thoraciques
dermatites, allergies.
Les effets sont accentués par temps chaud et humide.
À forte dose :
l'effet le plus fréquent reste les brûlures pouvant aller jusqu'au second degré
l'irritation oculaire peut parfois se compliquer de lésions de la cornée ou d'hémorragies du vitré
nécrose des tissus dans les voies respiratoires
nécrose des tissus dans l'appareil digestif
œdèmes pulmonaires
hémorragies internes (hémorragies des glandes surrénales)
dégradation des produits en d'autres substances toxiques (cyanure et thiocyanate).
Des décès ont été rapportés, essentiellement secondaires à une utilisation en lieu clos, comme cela a été le cas lors du siège de Waco en 1993.
Il a été décrit des contaminations secondaires du personnel soignant qui a été amené à prendre en charge des personnes exposées.
Exemples de violences, d’humilations dégradante, occasionnées par la police politique du régime :
Source Nantes Révoltée
TÉMOIGNAGES : FRAPPÉS ET HUMILIÉS DANS UNE ARRIÈRE-COUR
Il s'est passé samedi 5 janvier un événement d'une exceptionnelle gravité à la fin de la manifestation. Une séance de punition et d'humiliation collective dans une cour privée, à l'arrière d'une enseigne de fast food, le long Cours des 50 Otages. En dehors de tout cadre légal. C'était à 18H30, à la fin de la manifestation. Une trentaine de manifestants pris au piège par les gaz ont été molestés, d'autres frappés au sol à l'abri des regards. Un jeune homme a eu les deux chevilles fracturées en tentant de s'enfuir. Tous ont eu très peur. Témoignages :
J., manifestante : « Un premier gazage nous a obligé à reculer avec un ami et sans s'en rendre compte, nous nous sommes retrouvés piégés, attaqués par la BAC. Ils ont lancés de la lacrymogène pour nous asphyxier sans qu'on puisse partir ! On ne voyait plus rien, on ne pouvait plus respirer, les gens couraient comme des lapins, et quand on regardait en l'air ça ne s'arrêtait pas de pleuvoir. On ne pouvait plus sortir du nuage. Je criais « stop arrêtez, on a compris ! » mais ça ne s'arrêtait pas. Un petit groupe s'est réfugié dans le resto près de l'Hippopotamus. Tout le monde était en train de s'étouffer, les gens étaient par terre, affalés sur les tables. Des personnes sont allées derrière le bar pour nous servir de l'eau, du Maalox ... puis les salariés nous ont ouvert la porte de derrière, ce qui nous a permis de reprendre nos esprits. Certains sont ressortis par devant. Nous sommes restés, pensant pouvoir passer par derrière... Mais les CRS sont venus nous chercher, en hurlant : « Plus personne ne bouge ! C'est fini les conneries ! » On nous a obligé à nous allonger par terre. J'ai pris trois coups de matraque gratuitement. Autant vous dire que je ne représentai aucune menace. J'ai gueulé sur le mec pour qu'il arrête de me taper. Ils m'ont fait vider mon sac, viré le masque. Un CRS a voulu écraser mon téléphone... Décidément, il n’appréciait pas qu'une femme puisse être là. On est sortis un par un, ils nous ont pris en photo avec une pancarte avec notre nom, prénom adresse. Je ne suis pas la seule à m'être pris des coups de matraque. On était juste K.O. C'était de la vengeance pure et simple. »
Une manifestante : « Vers 18H30 on décide avec mon copain de retourner une dernière fois avec le groupe de Gilets Jaunes vers la préfecture. Feu d'artifice, ambiance sympa, quand arrivent les lacrymogènes … On recule sur le boulevard, coincés par les CRS et la BAC de tous les côtés et obligés de se réfugier dans un restaurant en crachant nos poumons … On essaie de fuir par l'arrière cour et on constate qu'il n'y a pas d'issue. 5 minutes après, les CRS débarquent et avec une vingtaine de manifestants nous avons bien du rester 30 minutes allongés par terre par 3° avant que la BAC n'arrive et procède à l'identification par photo de tout le monde. Désormais, on est fichés dans leurs dossiers. »
Un manifestant : « Fin de manif, nasse avec charges de la BAC et GLI F4. Gazage intense. Quelques dizaines de personnes environ se réfugient dans un fast food. Impossible de faire autrement, des palets de lacrymo rentrent dans la pièce. On voit des gens suffoquer, l'endroit est petit, il n'y a pas de fenêtres.
On entend des « je vais mourir ». Une issue est trouvée sur une cour, avec une porte de garage. Le bâtiment se retrouve cerné. Les condés arrivent : 20 mecs de la CDI [Compagnie d'Intervention]. Matraquage à tout va sur des mecs au sol. Les gens sont foutus au sol avec les mains sur la tête. Contrôles, photos et des interpellations. C'était très tendu surtout les blagues sur Zyed et Bouna, alors qu'il y a un transfo énorme dans la cours. Très flippant ! »
Un manifestant : « Je fais partie des personnes qui étaient dans la cour. Une personne a été hospitalisée à cause de l'asthme. Nous nous sommes réfugiés dans le restaurant car l'air était irrespirable et on ne voyait plus rien... J'ai pu sortir mon téléphone discrètement. Ils m'ont menacé de jeter ou casser le prochain téléphone qu'ils trouveraient. On était piégés ... Le chef des CRS a tapé un gars dès qu'il est rentré dans la cour. Il nous insultait. »
Un photographe : « Énorme traquenard avec prise en sandwich. La BAC a vidé ses munitions et fait des tabassages. Certains, dont moi, ont eu de la chance de pouvoir s'en tirer. »
Liberté, J'écris ton nom
29 décembre 2018, 21:59 ·
VIOLENCES POLICIERES et étatiques RAS LE BOL !!!
Un manifestant a eu un œil crevé, vers 17h30, à Toulouse lors de l'acte VII des gilets jaunes. Selon des témoignages sur place, le jeune homme de 24 ans aurait été touché par un tir de flash-ball, rue Sainte Lucie, près de la place du Fer à Cheval.
"Nous étions en train de nous occuper d'un autre manifestant qui venait d'être roué de coups, notamment des coups de pieds, par des forces de l'ordre lorsque des CRS nous ont prévenu qu'une autre personne avait été grièvement blessée, témoigne un membre de l'équipe de secouristes bénévoles de la manifestation. Lorsque nous nous sommes approchés de lui, il y avait déjà beaucoup de sang. C'était très impressionnant. Il y a peu de doutes : l'oeil a été crevé par un tir de flash-ball."
https://france3-regions.francetvinfo.fr/…/gilets-jaunes-man…
Caroline Vht à la france en colere !!!
22 décembre 2018, 23:27
DES CRS GAZENT DES ENFANTS AU MARCHÉ DE NOËL DE SAINT-ETIENNE!
22, Déc 2018 | Non classé | 0 |
Des CRS gazent des enfants au marché de Noël de Saint-Etienne!
A 17h, cet après-midi, alors que les gilets jaunes avaient manifesté dans le calme toute la journée et que de nombreux enfants accompagnés de leurs parents s’amusaient sur une patinoire et un grand toboggan installés place Jean Jaurés, à Saint Etienne, des CRS ont surgi et lancé des bombes lacrymogènes au milieu des enfants. De nombreux témoignages me sont parvenus me signalant que les gilets jaunes étaient pacifiques et qu’aucun signe n’aurait pu avertir les personnes qui se trouvaient sur la place que de tels actes de violences de la part des policiers allaient se produire! Je reviens de Saint Etienne où j’ai interviewé quelques parents avec leurs enfants encore sous le choc, dont une petite fille de 9 ans qui m’a raconté qu’un de ses amis avait pris un projectile dans la figure, le forain qui s’occupe de la patinoire et a abrité un certain nombre d’enfants et les gérants du restaurant « La Jeannette » qui ont accueilli une petite fille de 8 ans, complètement paniquée qui avait perdue sa maman, ainsi qu’un petit garçon qui n’arrivait plus à respirer correctement. Une bombe lacrymogène a même été envoyée sur un grand toboggan! Une petite fille raconte qu’avec son frère, ils ont cru mourir. Selon les personnes que j’ai rencontrées, les violences étaient uniquement policières! Ce soir, j’ignore combien de personnes sont aux urgences mais j’imagine combien les enfants, comme leurs parents, ont dû être traumatisés! Que s’est-il passé dans la tête des CRS qui ont commis ces actes de violences? Se sentent-ils à ce point intouchables, au-dessus des lois, pour qu’ils se permettent d’agir de la sorte? Tout sera-t-il réellement mis en place pour qu’à l’avenir ce genre de situation ne se reproduise plus? Autant de questions qui restent en suspens…
Lundi 17 décembre, Amnesty International publiait une enquête dénonçant « le recours excessif à la force par des policiers » pendant les manifestationsdes gilets jaunes, comprenant de nombreux témoignages de victimes et de secouristes, mais aussi de photographes et journalistes. L’ONG s’inquiète du nombre de blessés très élevé (1 407 manifestants, dont 46 grièvement selon les chiffres officiels), et de l’absence de toute réaction ou de remise en cause de la part des autorités face à un tel bilan. Cette enquête a fait l’objet d’une couverture médiatique quasi-nulle, qui témoigne du désintérêt desgrands médias vis-à-vis des violences en manifestation… lorsqu’elles sont commises par la police.
https://www.facebook.com/objectifdefense/photos/a.392427940862056/1775401659231337/?type=3&theater
Arme de guerre en bandoulière portée par la Gendarmerie lors de la dernière manifestation des Gilets Jaunes.
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Eurogendfor en action
Il n'y a pas qu'en France que l'interdiction de manifester pour la Liberté est réprimée par le régime, que l'on regarde le Gabon, et on dira que ce régime n'est pas raciste, méprisant totalement le droit du Peuple Gabonais à se diriger lui-même ?
Le régime achète l'Armée comme la Police.
https://www.facebook.com/franceinfolibre/photos/a.145710849179541/660164677734153/?type=3&theater
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http://lemurjaune.fr/?fbclid=IwAR1Xi3bhcg6Hxdk3CCa4lwSEohchujXBSi4ds9KaZJkz3bhirqqriDk8n0
etc etc, il y a plus deux mille blessés, des mutilés à vie, et des morts. Et ce régime veut entamer un dialogue, quelle honte, et ce régime à l’intention d’être encore plus brutal contre les manifestants pacifiques ? La ligne rouge est franchie depuis le 17 novembre 2018 par la barbarie en gouvernance. Il faut en appeler désormais à l’ONU, sans perdre de temps, avant que cela dégénère et que cette tyrannie ne fasse tirer sur le Peuple de France ! »
On ne peut effectivement à la vue et devant les témoignages des gazés, matraqués, mutilés par milliers que d’entrevoir pour seule issue un cordon sanitaire entre le régime dictatorial qui sévit dans cette petite Nation sur cette Terre, via les casques bleus de l’ONU, pour en finir avec la barbarie sanguinaire qui sévit en France. À suivre…
© Vincent Thierry