Putridité et déliquescence

Putridité et déliquescence

Petites nouvelles de cette petite Terre où un parfum de lèpre brune empuantit une de ses Nations, mais lisons :

« Voici donc la Nation livrée  à la putridité et la déliquescence par l’arbitraire, le diktat, l’ordure, la souillure de l’esprit, dans un pandémonium où la parole ne peut plus se libérer car sous contrainte,  sous gazage, sous matraquage, sous coups de flash ball, où l’on voit dans un cirque effroyable se presser ce que l’on appelle des Maires pour en majorité se mettre en reptation devant la dictature, lécher promptement le fondement de gloseurs attitrés, vénérables kapos qui ruissèlent l’infamie, le  vol, le viol, la pourriture abjecte qu’ils voudraient voir litière de la France.

Nous sommes dans l’abjection la plus intolérante comme la plus intolérable. Que de voir en prostration ces bubons qui s’empressent et se relaient pour faire valoir la prose d’un agitateur vendu à la finance apatride, aidé par ses médiocres en toutes institutions, et toute la porcherie de celles et de ceux qui veulent à tout prix le « nouvel ordre mondial », qui est le lit du mondialisme esclavagiste, tout cela semble irréel, tant la perversion qui en ressort est celle de la barbarie la plus nuisible, une barbarie se masquant sous les haillons devenus d’une Démocratie comme d’une République anémiée par la bassesse et la trahison la plus totale de toutes les valeurs humaines.

Les Gilets jaunes se battent et leur nombre se renforce malgré le déni de la stérilité qui s’invente une protection en voulant le minimiser. Ce ne sont pas loin de trois cent cinquante mille personnes qui tous les samedis se pressent dans les rues pour huer la dictature avec le seul souhait de la voir tomber, avec le seul souhait de la liquéfier, ce qui viendra par les urnes, n’en doutons un seul instant, des urnes qui mettront au pouvoir des Françaises et des Français et non des larbins et des vendus, des corrompus et des voleurs, des parasites et des félons.

Le 22 janvier la trahison va se glorifier par la signature du traité d’Aix la Chapelle, qui devra impérativement être mis au feu comme celui de la Marrakech, l’un vendant la France à l’Allemagne, l’autre à l’immigration massive d’esclaves à bas coûts demandés par un capitalisme du dix-neuvième siècle, sauvage, larvaire de ses bénéfices, sans se rendre compte que ce qui fait le bénéfice d’une société quelconque c’est la valeur du travail et de ceux qui travaillent, et non de ceux qui spéculent et détruisent, parjures de l’humain n’ayant pour philosophie que la mire de leur portefeuille, bêtes nuisibles qui devront un jour où l’autre rendre des comptes non seulement à l’Humain mais à l’humanité tout entière, car criminelles par essence comme en substance.

La pourriture est leur vénération, la mise en mort leur délectation, la destruction leur modèle, la puanteur cadavérique leur bréviaire, une monstruosité qui a pris le pouvoir dans cette petite France, modélisée par les barbares de services, des kapos qui ne rêvent que d’asseoir la puissance de leur maîtres en rendant esclave son Peuple, un Peuple de troisième classe désormais, devant laisser sa place à la misère humaine, voyant jusqu’à certains de ses membres prôner la castration pour laisser la place à ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, où la débilité chronique ici trouve sa justification dans la chose, la valeur suprême de cette oligarchie qui ne rêve que de forniquer dans la pédophilie la plus totale avec des esclaves castrés, corvéables économiquement et sexuellement, que l’on jette après usage par sédation forcée.

La France est devenue le rets de cette pourriture qui officie, voyant les promotions canapés y faire leur litière, la cocaïne en bandoulière, sniffant leur délire pour asseoir leur bestialité, dans une acclamation laxative de médias aux ordres, où plus rien n’a d’humain, où s’agitent des robots impersonnels délivrant le message de la Pravda comme au temps de l’Union Soviétique, suces queues dociles achetés par les subventions, achetés par les remises sur les contributions, tout un aréopage de raclures immondes méritant bien du ministère de la propagande ourdie par la médiocrité absolue qui y règne.

La vermine attire la vermine et de voir les uns les autres se récompenser dans de vastes congratulations, cela fait bien rire le monde entier. Les déchets de l’Humanité font leur litière de ce marais devenu de la République comme de la Démocratie. On y voit de tout et on y entend tout, malgré cela les affaires restent et lentement surgissent pour les mettre face avec la réalité, cette réalité qu’ils n’aiment pas, cette réalité qui les rattrapent les voyant vendre les joyaux de la couronne pour en faire profit, vendus qu’ils sont, corrompus qu’ils sont, une fange ignoble qui répercute sa lie immonde par toutes les Institutions. La France à un cancer doublé d’un sida intellectuel dû à la bestialité qui, en parasite, lentement insinue tous ses organes du pouvoir. Et le Peuple a compris, lui qui se révolte contre cette litière purulente dont se nourrissent de pseudos philosophes, de pseudos artistes, bien protégés, voyant même arrêtés des personnes déposant plainte suite au crime pénal de l’un d’entre eux, demandant la mort des Gilets Jaunes.

Nous sommes ici dans l’ordure suprême qui contente tant les mondialistes véreux, toute cette panoplie de la pouillerie mentale qui glose, se masturbe en chœur, et bien plus, faut-il en croire, toute cette vénération de la misère intellectuelle, de la bassesse la plus torride où seul le sexe a raison, où seul la dénature a trône, une dénature globale qu’elle appelle valeur, car la valeur pour les truismes qui y paradent, c’est la lie, le sommet de l’abstraction, la fange dans son ruissellement, la bestialité dans sa condescendance, phare de ces souillures qui osent prétendre incarner la République comme la Démocratie, alors qu’ils incarnent l’oligarchie de l’incapacité par excellence, l’oligarchie de la reptation, de l’ignominie la plus destructrice qui soit.

Et il y en a, aveuglés qu’ils sont, pour se commettre dans un « grand débat », avec ces dysfonctions de la Nature Humaine, une dysfonction qui guide le schéma qu’elle souhaite afin que tout le monde se noie dans sa fange. Cette dysfonction demande-t-elle un référendum sur le Pacte de Marrakech ? Un référendum sur le traité d’Aix La Chapelle ? Le respect inconditionnel du référendum de 2005 concernant l’Europe ? Accepte-t-elle l’élaboration du RIC ? En aucun cas, elle se contente de noyer les uns les autres dans son déshonneur le plus total qui est celui du Diktat, de la violence, de la rage meurtrière qui est la sienne, appliquant une sédation financière aux vieillards, aux handicapés, tuant par vaccination massive les enfants, et cautionnant la castration des autochtones au profit de la misère qui submerge la France.

On ne discute pas avec le déni du réel, on ne discute pas avec la virtualité opiacée qui se gargarise dans la traîtrise et la félonie, l’hypocrisie, le vol et le viol des consciences, on l’ignore tout simplement jusqu’aux prochaines élections qui le verra terrasser, n’en doutons un seul instant, ce qui permettra de faire renaître de ses cendres la France traînée dans la boue, son peuple insulté et massacré par les mercenaires au service du Diktat, ainsi que les médiocres qui le servent, corrompus en puissance, dont la vénalité n’a pas de limites, dont l’outrecuidance est le phare, la morgue, la morgue de la petitesse et de la bassesse réunies, qui ne trompent personne, et en aucun cas les Nations étrangères qui sauront désormais répondre au babillement insignifiant de ce diktat, et notamment en Syrie, où le gouvernement légal et plébiscité remettra à sa place cette insignifiance si elle s’amuse à vouloir semer la discorde comme elle le fait depuis des années en armant le terrorisme, son mercenaire familier.

Patience donc dans l’azur, car les jours viennent rapidement du déclin de cette usurpation ridicule, de cette monstruosité létale, de cette représentation cadavérique qui ne connaît ni l’honneur, ni la grandeur, mais nage avec aisance dans tout ce qui leur est inverse, car résultat du prurit de la sénilité mentale associée à la haine de tout ce qui existe, marques de ces petits êtres qui passeront aux poubelles de l’Histoire avec un H majuscule et dont le symbole restera celui de tout ce que ne doit pas être une gouvernance, de tout ce que ne doivent pas être des femmes et des hommes politiques, des larves rampantes devant l’usure et ses féaux. Le Peuple a compris et s’en souviendra lorsque sa multiplicité déposera dans l’urne son bulletin de vote. »

Pauvre petite Nation livrée à la bestialité et sa répugnance, mais bien d’autres mondes ont connu ce phare de l’inconscience, qui lentement s’épuise et se délite devant la réalité qui absorbe sa virtualité pour la confondre et la mettre à nue avant que de la juger impitoyablement, logique de l’Histoire qui ne s’émeut et toujours conspue les traîtres à la Vie et leurs féaux invariants. 

© Vincent Thierry