IV FATALITÉ

Où se devise l’amorphe, le statisme, l’inconditionnelle stature du désoeuvrement, se situe la fatalité, cette fatalité qui plaide le devenir comme le miasme suprême qui permet tous les outrages, toutes les participations inféodées, tous les fastes de la décrépitude, toutes les formes de la destruction. Fatalité est le terme même auquel les Peuples sont confrontés, semble t-il tous impuissants à drainer leur destin au-delà du néant qu’on leur propose et qu’on dispose devant leurs yeux afin qu’ils s’apparient avec le sordide, l’inavouable, l’inconséquence majeure qui porte ce monde à sa ruine temporelle. Nous sommes en face d’un leurre qui brise jusqu’à la réflexion, soporifique des temps qui brise toute latitude de l’action et de ses forces. Nous ne voyons là un abandon mais pire qu’un abandon un laxisme œuvré de main de maître par la presse et ses exactions, médiatisation consternante de la bêtise et de ses incarnations, rectitude de l’immoralité qui foisonne ses sapiences comme autant de venins qui jaillissent des fosses communes de l’Esprit où l’Esprit n’est plus qu’une masse informe, à l’image de cette non humanité que l’on perçoit aujourd’hui, avide, incluse et recluse dans la pérennité d’une jouissance de circonstance qui la mute dans les limbes pitoyables du mensonge et de l’ignorance qui formalisent l’ordre de ce monde.

Un ordre brutal, un ordre nanti de chiens de guerre, un ordre de tueurs nés qui cristallisent les attentions en agitant sous les yeux des morts nés les voiles d’une pseudo démocratie qui se vomit comme on vomirai un fruit trop mûr, décomposé, glacé, bestial, majeure désinence de la perméabilité des croyances qui accrois dur comme fer qu’elles vivent dans la Démocratie, alors qu’elles sont sous le joug de mantisses perverses qui efforcent l’illusion dans l’ultime, dans cette face de la nuit qui veut faire croire qu’elle est jour, dérive qui lentement mais sûrement prend de la vitesse, une vitesse asynchrone qui frappe de ses ramifications toutes faces de l’Humain, l’écharpe et le détruit pour le muter dans cette horde de la bassesse et de la lâcheté qui rugit lorsqu’on porte un regard sur sa décrépitude, tellement confinée dans le pourrissement qu’adulant le pourrissement et ses élytres, ses noires araignes de la pensée unique qui surgissent dans toutes faces de l’Esprit, là où on les attend le moins, jusqu’en les profondeurs de la nuit qu’elles jugent, car elles jugent ! Elles jugent des dysfonctions, des anomies, des pensées indirectes qui ne suivent leurs évocations, leurs histoires réécrites, leurs mensonges glorifiés, leurs délations putrides portées aux nues de l’entendement, malfaçon que l’Humain vivant voit, que le non-être, obscurci dans les méandres de la croyance officielle ne voit plus, enhardi qu’il est de complainte en complainte dans la demeure du savoir qu’il ne sait plus, car le savoir lui-même est sujet à toutes les avanies, à toutes les dénatures, au profit de cette pensée unique qui saillie le monde, naturant la débilité profonde, cette débilité incarnée dans les pouvoirs qui se rassurent dans la probité de l’exaltation des masses pour cette débilité !

Pauvres non-être dont le réveil sera particulièrement difficile lorsqu’ils s’apercevront qu’ils ne pourront plus faire un pas, plus dire un mot, sans que l’auto surveillance programmée, la puce informatique individuelle, ne se mette en marche afin de satisfaire la pensée unique, insigne du bât de l’âne comme on porte une médaille, dont ils ne pourront plus se prévaloir, lorsqu’ils seront anomiques, voyant en cela leur seul espoir d’avenir se résumer dans un suicide autorisé afin de débarrasser cette société devenue de cloportes et demeurés, d’esclaves consentants se congratulant de leur humiliation, en redemandant, comme une friandise le chien battu, venin du jour presque réalisé, lorsqu’on regarde le comportement des Peuples devant certains pouvoirs qui s’imaginent déjà les maîtres, et agissent en tant que tels devant l’anémie de leur Peuple totalement tétanisé, mesure qu’il convient de mettre en exergue, l’appartenance des uns et des autres dans les partis politiques défendant dans l’ombre du commun, dans ces sociétés de pensées totalement phagocytées par l’illusion mondialiste, la même outrance, regard semblable qu’il convient de bien souligner pour comprendre que le vote des uns et des autres, ce jour ne sert strictement à rien, qu’il convient de trouver rapidement des Etres Vivants pour représenter les Peuples et non continuer avec une naïveté particulièrement dantesque à voter pour ces êtres morts qui n’ont plus de parole que celle du mensonge, de la manipulation, de l’hypocrisie, nantis qu’ils se croient de ces pouvoirs de nains que leur accorde la population, et non l’Aristocratie, des nantis qui les téléguident et les autorisent, les régulent, les défont et les créent pour mieux servir leurs intérêts majeurs, qui sont la mise en coupe réglée de ce monde à leur seul profit.

Partis avez-vous dit ? Il n’y a plus de partis dans ce monde de mendiants, il n’y a, sous les hospices de la létalité gauchiste, que des avatars qui font semblant de se dévorer, alors que dans les fraternelles de la mort ils se congratulent de leur perversité, de cette duperie, de cette manipulation constante des Peuples. Non il n’y a plus de partis de la raison, de la confiance, de la justice, il n’y a que ces partis des copains et des copines, cet aréopage de censeurs qui sont là non pour guider les Peuples vers leur équilibre, leur harmonie, mais vers leur esclavage total, vers leur soumission aux ordres qu’ils reçoivent, tant dans le domaine de l’économie, que de la culture, tant dans le domaine de la culture que de la spiritualité, faces désintégrées qui ruissellent le sang des innocents, agitant les épouvantails de terrorismes multipliés pour assagir des Peuples entiers et les confluer dans le désir de ceux qui prêchent leur profit, leur seul profit, et non pas le profit des Peuples qu’ils ridiculisent, et pire encore, qu’ils mènent à la mort pour le seul plaisir d’engranger et de complaire ! Manipulateurs qui ne sont que des fétiches, des clameurs que l’Histoire avec un H majuscule jugera ! Car ils seront jugés dans les mémoires de l’Humain, jugés et refoulés au plus profond des consciences comme symboles de la destruction permanente, symboles honnis qui ne seront mis en exergue que pour montrer et démontrer ce que représente le désir d’anéantissement, ce que peut représenter l’involution et non l’évolution, cette nécessité pratique de la Voie qui ne peut se contenter de suivre le néant alors qu’elle porte la Vie vers ses sommets !

N’oublions jamais que pour manipuler l’opinion, il convient de créer le motif de son mécontentement puis arriver en chevalier servant pour éradiquer le motif que l’on a créé afin que l’opinion vous suive aveuglement. Nous ne sommes dans le cadre de notre civilisation, sous les hospices de cet ordre mondialiste, dans le cadre d’une fabrique mais d’une usine, une usine bien huilée, qui fabrique les guerres pour vendre ses armes, qui laisse se planifier la production de drogue pour anémier par dépendance les forces vives des nations afin qu’elles ne se révoltent pas, qui conditionne les médias afin qu’elles ne desservent que de la médiocrité afin d’abêtir les populations, qui incapables de réflexion se laissent emporter par le fantasme de l’illusion, qui favorise une hiérarchie de la misère afin de trôner sur les dissensions par la division qu’elle conditionne, qui encourage la prostitution des enfants et des femmes afin de faire régner l’irrespect de l’Humain, qui confine au mépris général permettant de naître des conflits violents qui lui permet de naître des services de police dédiés à la liquidation physique des individus et des groupes, qui favorise le trafic humain, d’organes humains, le sacrifice humain, et notamment des enfants, pour complaire à des sectes qui le servent comme autant de troupes d’assauts qui en cas de révolte n’auront pour fonction que la destruction des révoltés, futurs gardiens de ces camps de concentration dont certains pays dits évolués ont bâtis les édifices, y compris en Europe, dont certaines bâtisses servent à emprisonner les opposants les plus virulents à la politique commune de mensonge organisé qui désormais est établi en règle !

Usine de la mort conditionnée, légiférée, voici le bastion qui s’illumine de l’illusion, ce bastion contre lequel les uns les autres dans une peur irraisonnée ne veulent rien faire, par fatalisme ! Problème majeur de notre époque ou chacun est fiché, décortiqué dans ses relations, ses goûts, ses aptitudes, entomologie répugnante ne laissant plus l’ombre d’une liberté, vidéo surveillé, analysé, fiché, ô que de fichiers ! Savez vous que notre pays est celui qui fiche le plus, pire que dans l’ex union soviétique, un pays laboratoire de la pire idéologie qui soit dénommée plus haut, une idéologie maladive de paranoïaques comblés, disséquant, se confortant, amenuisant toutes faces de la réalité afin surtout de se maintenir au pouvoir, ce pouvoir de nains aux ordres des puissances précitées, ce pouvoir qui obéit, et en obéissant détruit toutes valeurs humaines dans notre pays, image par tous les pays qui se répandent dans la lie culturelle, l’abêtissement organique, la destruction des identités, forces contre lesquelles semble t-il, il n’y a rien à faire ? Cela paraît simple et lamentable à la fois, cela est tournure d’un défaitisme d’une vaste opération de propagande dont les ramifications se déversent en chaque langue, en chaque identité, en chaque parti, en chaque association, une opération de dilution qui se contemple et dont l’onanisme est vecteur de toutes les dérives, ces dérives qui pleuvent sur nos devenirs qu’il convient de reprendre en main afin de taire l’assaut idéologique du nazi communiste qui s’imagine vainqueur, alors qu’il est dans ce flou artistique qui précède le réveil après le sommeil, un flou entretenu, conjoint, félicité, un flou larvaire où les larves se retrouvent et se conjuguent pour poursuivre leur œuvre de mort, la mort de la Liberté, la mort de l’être Humain, la mort de l’Humanité, pour naître, le non-être, la non humanité, la dictature, la dictature féroce qui déjà saillit les Nations, les amenuise, les destitue, les dilue dans ce tableau noir de la désintégration !

Ainsi le sort de ce que l’on nomme la fatalité dans l’instrumentalisation de la lâcheté et du conformisme, sous tendue par la culpabilisation, belle vague permettant d’éroder toute notion de la réalité, appuyée sur le mensonge d’une sécurité qui n’est là que pour mettre en coupe réglée les Nations et les Identités, conjuguée au jeu du yo yo économique qui permet de terrasser les économies nationales pour le plus grand bien du parasitisme couronné. Ainsi et l’Etre en ce sein doit-il Etre ou apparaître ? Le choix est vite fait pour la majorité inculte qui se réfugie dans le cœur matriciel de cette hérésie idéologique, attendant tout, ne faisant rien, se laissant bercer par cette vague étronique qui laboure toute vitalité, destitue toute agressivité, nomenclature toute détermination dans ce vide abstrait qu’est l’illusion, splendeur du non-être à laquelle se raccroche du plus bas niveau au plus haut niveau chaque couche de la société pour profiter, profiter de ce sursis qui ne durera qu’une heure seulement face à l’éternité, car dans la raison et afin de ne pas douter de la dérision de ce monument d’hypocrisie qu’est le mondialisme, qu’est ce donc à l’échelle du temps ? La terre à quatre milliards cinq cent millions d’années et est au milieu de sa course, l’Humanité bien plus que ce quelque million d’année qu’on lui instruit de force afin qu’elle ne sache pas qu’elle vient de l’Univers et y retournera, bien avant que ne s’amorce le processus de géante rouge de notre Soleil qui détruira toute planète de notre système, donc qu’est ce que ces trente ans de mondialisme dans cette aventure cent millions de fois plus importante de la Vie, de la Vie dont nous sommes partie constituante et règne en ce lieu et en ce temps : rien, un épiphénomène qui s’auto détruira sans aucun problème car ne portant en lui que les racines de la destruction et non de la construction !

Alors fatalité, encore dans les croyances toutes faites, dans la culpabilisation à outrance, dans ce jeu de barrières mentales qui font réagir les êtres humains comme les chiens de Pavlov ? Resituons les problèmes là où ils sont et dressons nous contre l’œuvre de destruction que nous subissons actuellement ! Appuyons nous sur la réalité fondamentale et non ses abstractions ! L’Etre Humain n’est pas le fruit d’un hasard, mais d’une nécessité, il se doit de conquérir sa Liberté afin d’apprendre et l’autonomie et la maîtrise tant de lui-même que de son environnement, il n’est pas né en ce lieu, et poursuis sa route vers cet Univers qu’il doit conquérir pour faire survivre la Vie dont il est le substrat, au même titre que de nombreuses formes par les milliards de galaxies qui constituent un univers parmi les milliards d’univers qui coexistent. Il n’a pas à rougir de l’Histoire qu’il a bâtie sur cette planète, conquérant de toujours, balayant devant lui dans une autorité morale les scories déployées qui n’étaient sources que d’involution et non d’évolution. Aujourd’hui il est confronté au vide du parasitisme le plus aigu qui soit, un nid de microbes assoiffés de prébendes, multiforme à la ressemblance du sida, conquérants de la destruction pour le profit immédiat, conquérants sans aristocratie sinon celle qu’ils se donnent et qui n’est qu’apparat inculte et barbare. La sauvagerie est revenue, vengeance des jaloux, des cupides, des arrogants, vengeance de la nullité, turpide galactique du néant, venant du néant, qui retournera au néant, si et si seulement l’Etre Humain se dresse en ses racines pour faire barrage à l’insanité involutive qu’elle conditionne !

Car il n’y a pas de fatalité à la misère intellectuelle, physique, spirituelle, économique, identitaire, nationale, internationale, il n’y a que la lâcheté insinuée, profilée, adulée que chacun porte comme un voile sur le visage, qu’il faut combattre en soi même pour se réveiller de cette illusion qui parade et la combattre comme elle doit être combattue, sur son propre terrain en son propre terrain, là où elle s’attend le moins à être combattu, en étant debout et non en reptation, en initiant le réel face au virtuel, en dénonçant la nocivité réelle du non-être envers l’Etre Humain, en se battant avec cette arme qui ne peut être détruite, le Verbe, le Verbe en chaque discours déployant ses oriflammes partout, en tout lieu, en chaque conjugaison de l’imposture triviale qui se veut dominante, en chaque particule de son pouvoir, en son pouvoir lui-même, afin de rendre l’honneur perdu de milliards d’Etres Humains, au champ de ruine que le mondialisme impose, un honneur multimillénaire qui se cache, et qui doit à la pleine lumière se révéler afin de terrasser l’ignominie, cette idéologie de la mort qui se voudrait maître à penser d’une non humanité, pavlovienne, esclave de sa propre déréliction ! La fatalité n’existe pas, je ne le répéterai jamais assez, elle n’est que le sauf conduit de la peur engendrée par un système concentrationnaire duquel il faut l’extirper afin que ce système s’écroule sur lui-même et disparaisse à jamais de l’avenir Humain qui n’est pas celui de cette idéologie répugnante qui ce jour parade.


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