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Chapitre I DEDALE

 

 

Sentence du silence, que se lève le vent de la détermination !

 

La justice est bafouée, sur le sein de la Gloire se tait le Vivant pour laisser apparaître la mort sans refuge, ses litanies en dédale de plus vastes noms dont l’orée est saturation des actes les plus hostiles comme les plus ténébreux,

 

Nous y voilà, solstice de la peur, nous y voici, dans ces cris orgiaques qui destituent les parousies qu’une parodie immole, et le chant désormais se ceint des âmes de ce Monde pour définir la justice et sa renommée par delà les affronts qui sont menstrues de la folie des âges !

 

De l’Ordre la mesure qui aurait pu être mais ne sera point, alors que les cris déchirent la nuit dans l’Orient du songe, martyrisant à jamais la chair des enfants et de leur parents pour des racines sans lendemains, des naufrages agglutinés et des terreurs obscures qui enfantent l’abîme !

 

Souffle dans l’Oikomené qui ceint notre devenir que l’astre demeure et éperd dans les conflits qui s’enracinent et se mesurent à l’aune de la catalepsie des pouvoirs aphones qui jaillissent leurs éclats par toutes faces éclairées et intimes de la naturation vibrante de l’Humanité déchirée !

 

Ici le sens de la léthargie, des divines errances les accouplements monstrueux qui dessinent dans la nue des respirs atrophiés les langueurs oublieuses de toute mesure, déploiement sans cristal qui efface et estompe le siècle qui ne meurt mais n’oublie et déjà de face noble correspond au-delà de l’indifférence le témoignage de l’Avenir.

 

Le Monde se présente, tel, sans cérémonies ni fards, l’onde accomplie s’y mire, renvoyant l’éclat du drame Humain, celui des âges et des chants, des conquêtes et des allégories, des failles extrêmes comme des sources les plus vives, demeures de conquêtes aux ressources vivifiantes qui furent pentes de cet abîme dont nous déployons le vide tel un cri sans refuge qui ne s’absout.

 

Le cœur sans voile y affirme ses détails, ses rubans de soieries et ses âmes turbulentes dont les renoms vont et viennent de villes en villes, de nefs en nefs le conte antique qui se devise, parole de l’incantation souveraine qui fut et déjà perdure parmi les rives de ce temps, parmi les vagues qui enseignent et toujours dérivent la mémoire des Vivants !

 

Ivoire des stances qui se proposent, de grands navires aux voiles éblouies voguant l’Astre du chemin, ce chemin de libre appartenance, hâlant des équipages la promesse de la Vie, bâtissant un Empire au seul écho d’une récompense, celle de la Liberté, non la Liberté donnée mais conquise de haut renom, de faste et de gloire dans l’harmonie du chant qui ne se dénie ni ne se légifère !

 

Liberté de vivre, liberté d’enfanter la beauté dans ses ruisseaux et ses fleuves, dans ses mélodies comme dans ses soupirs, dans la joie et au-delà des pleurs, donner le sens éclos de l’Unité magnifiée de renouveler et perpétuer la dimension essentielle de la Vie afin de faire prospérer son état par delà tous les parchemins de dissemblances qui s’ébruitent.

 

Ville en forge sans souci des racines qui nous viennent et furent en semis dans la foi des œuvres de ce temps, donnant naissance à la pluviosité granitale de cette dimension sereine qui à ce jour donna sentence des ébats et nature des orientations et toujours se perpétue dans l’altière définition de son vœu qui n’est de naissance imaginée mais gravitée jusqu’à la perception la plus affine !

 

Conscience sans repos, conscience du Vivant là où les chemins de la liberté s’éteignent et s’immolent, là où les chants de son éternité se taisent pour laisser place aux drames les plus épiques que la nature même dans ses détresses les plus avouables ne peut commettre sans être lasse de ses incertitudes, témoignant par delà la dénaturation le renouveau et sa certitude !

 

Et l’orbe à mi-genoux des conflits qui viennent nous appellent en sentences pour nous confronter aux réalités les plus vives comme les plus disharmonieuses afin de faire le constat de l’échec du donné, l’échec le plus flagrant qui soit aux ramures de ce qui fût bâti de main de maître, de main de règne dans la conséquence de la témérité du Don qui aujourd’hui se voit décapité par ceux là même qui auraient dû en être les gardiens les plus féconds !

 

Sans Verbe en la mesure de l’oubli, dans les dualités profanes comme les opinions les plus recluses, alors que jaillit des ténèbres l’inculture la plus vorace, telle un semis de sauterelles partant à l’assaut de la viduité pour en dévorer le cœur essentiel au nom de ce profit qui n’est que profil de la servilité la plus dense comme la plus basse, rejoignant ainsi l’état de disgrâce le plus avancé !

 

Dédale périssable, contre lequel la nue cendrée s’éploie et se déploie pour en agencer les ferments les plus dramatiques, les rouages les plus systémiques, les aventures les plus concentrationnaires, insigne au talisman qui fustige le réel pour en armorier dans un charnier les équivoques assignifications, et démontrer ainsi d’une parure l’instabilité la plus démesurée !

 

Cartographie des âges qui se mesure, qu’une géostratégie ne peut rendre compte, car du ferment des états l’Identité souveraine est et demeure au-delà des compromis et des belliqueuses rectitudes, l’histoire en témoigne, et ce ne seront des peuples à demi nés qui viendront à bout des millénaires conquérants qui ont saillis l’Univers et agencés son sein pour en libérer le miel de la Vie !

 

Que cela soit dit, et dans la partition du songe se tient le lieu pour témoigner fidèle l’incantation et sa détermination, ici, en ce temps et en ce lieu, que ces novices apprentis tiennent pour vieillis alors qu’ils sont veilleurs et pour l’éternité de cette parure dont ils les drapèrent et que ce jour voit défait de leurs atours pour naître la dictature sanglante de leur ignorance velléitaire et souveraine !

 

Qui sera ingérée car il n’y a de place dans l’Ordre moral pour ces apprentis sorciers qui jouent de leurs forces conjuguées afin d’attraire l’Univers à leurs soucis infantiles dont les miasmes sont les cohortes de la destruction appariées à la pure ignorance, car nées de cette propre ignorance qui les voit manœuvrer dans l’obscurité la plus profonde les insanités les plus triviales que l’Humain a perçu à ce jour sur ce champ de Terre qui nous est commun !

 

Ainsi le sort de dominante fauve alors que tout laissait à penser que l’Ordre allait être bâti, correspondre aux chants qui se développent, s’ordonnent et se multiplient, alors que la Vie ne demandait qu’un rayon de soleil pour prospérer par tous les Temples comme toutes les demeures, dans le savoir et dans l’incantation de ce savoir, dans la promptitude, l’élan et l’incarnation du Vivant !

 

Aléa démentiel s’il en fut que nos regards scrutent avec la persévérance de l’Aigle qui ne se corrompt, avec cette célérité du Chant qui vient et jamais ne s’éteindra malgré les chaînes, les boulets, malgré les autorités malléables, malgré les respirs des reptiles qui tournoient autour des faucons qui ne sont que des rives parjures de leur seuil alors qu’ils devraient être parure de leurs noms !

 

Chant si commun dans la multiplicité historique que n’ont vécu ces pauvres amazones qui viennent de découvrir le pouvoir des armes sur les cités, le pouvoir des harangues sur les faibles d’esprit, le pouvoir d’avilir et de destituer, le pouvoir d’une domination fourbe qui s’enlisera inévitablement dans ses propres scories et se dissoudra à jamais ne laissant de traces aux sources de l’Humanité que celles de moisissures ataviques et pitoyables !

 

Chant de castes qui se veulent des élites alors que ce ne sont que les devises d’incarnats qui justifient leur déploiement dans les noires abîmes des aisances particulières qui bafouent jusqu’au nom de l’humain pour de simples soupirs écarlates qui dansent des rives simiesques dont les fauves eux-mêmes ne voudraient pour agape, tant leur litanie est mesure de leur sombre décrépitude enviée !

 

Enviée de ces nombres qui se rallient, esclaves de toujours au mépris de leur Peuple, tyrans assoiffés de paresses dont les songes ne sont que l’utopie des charismatiques densités de l’agonie et de ses sens, bouchers de vies qui vont et viennent les continents à la recherche de leur veau d’or qui les anime, les perpétue et les crucifix, mémoire sans mémoire des âges qui les conspuent !

 

Qu’ivoire les acteurs de leurs sources et de leurs profils, dans de dantesques conférences qui ne sont que des parjures infinis, des béatitudes outrancières qui marquent de leurs venins les sanctifications les plus avides de leurs maux les plus putrides, toutes faces alanguies devant leurs cœurs qui palpitent, qui pour l’Or noir, qui pour l’Or bleu, qui pour l’Or tout simplement dans un bruissement de paroles sans égard, dans un feulement d’ivoire qui marche vers la mort à grand pas de vive aurore !

 

Horreur incommensurable des agonies qui se perdurent, dont les faces sans nombres se répondent et se répandent comme le chiendent sur les terres de la Vie, hâlant de vertiges en vertiges leurs contes d’apprentissage de serviles bûchers, les voir c’est déjà comprendre que l’esclave est revenu et déjà dans ses chaînes se correspond, s’anime et dans un altruisme forcené cherche à faire paraître !

 

Stupidité monumentale dont les Humains ce jour dans leur soif de savoir épient des lendemains qui chantent, des lendemains qui seront pour eux des remparts nouveaux, des remparts mobiles, des remparts putrides dont ils ne pourront franchir les bornes sans être des électeurs trompés, des criminels en puissance, criminels de la pensée unique qui se veut statufiée et honorée par tous !

 

Ainsi le jeu dans ce dédale qui se vit, dans ce bruissement erratique où la perception lentement se noie pour mieux s’agonir et applaudir au nom d’un passé qui n’existe plus, au nom de mémoires antiques qui se tressent et qui furent des Olympes dont les Dieux aujourd’hui se détournent devant l’ignominieuse bassesse perpétrée en leur nom, Soldats de Liberté qui voient aujourd’hui leurs enfants combattre non pas pour l’honneur de la Liberté mais pour l’honneur du futile !

 

Futile du Chant le seul chant de la parodie, cette parodie des plus vastes conquérants qui tous ont péris, qui tous ont forgés et dont les Peuples toujours ont su finaliser le chant, car le Peuple est indestructible dans sa pensée comme dans sa mentalité, le Peuple est une racine messagère que rien ne sait détruire, ni les missiles, ni les bombes, ni les balles, le Peuple reste vivant !

 

N’en déplaise et dans ce que nous voyons il convient de prendre la route des vagues qui se prononcent, que voyons nous réellement, quelques dictateurs imbus de leur personne, qui dévoyant à leur mandat s’engagent dans une aventure sans lendemain, au nom de qui et au nom de quoi, au nom de la Démocratie qu’ils ont bafoués ? Au nom de Dieu ? Qu’ils couronnent du sang de leurs enfants, au nom d’un avenir radieux ? Quel avenir se dresse donc après leur chemin de tuerie pour un Peuple déjà exterminé par un génocide sans nom qu’il faudra bien un jour conter malgré la pruderie des biens pensants qui l’ont autorisé !

 

Bel avenir en vérité bâti sur le sang des enfants, bâti sur la mise en coupe réglée et concentrationnaire d’organisateurs serviles et dévoués, on connaît malheureusement ce genre de commis qui ont permis d’autres génocides dont nos parents et grands-parents ont connus l’infortune, et dont ceux qui devraient s’en défendre ayant permis la libération de ces camps atroces, vont composer l’armature discrète, mais pardon, les libérateurs étaient leurs pères, et non leurs enfants qu’on manipule comme jamais cela n’a été permis sauf dans les régimes communistes les plus avilis !

 

Le mur de Berlin est tombé, un autre mur se dresse, le mur de la léthargie, le mur grandiloquent de la bêtise dans ses ramifications les plus troubles comme les plus bestiales, que l’on ne s’y trompe, la Démocratie chancelle et ce ne seront les voix qui montent des rues pour l’instant avant qu’elles ne viennent des cachots où l’on soigne les mal pensant à coups de chimiothérapie particulièrement houleuse, qui n’y pourront quelque chose sauf à penser qu’elles se contraignent à une défense martiale et impénétrable.

 

 Ce sujet viendra en son temps mais regardons encore la réalité non pas dans le voile atrophié des médias qui aux ordres ne savent que parodier comme les perroquets dans une basse cour, mais dans la densité de son exacte ascension, que voyons nous au-delà de la dictature qui s’instaure, une multiplicité de pays se ranger à coups de dollars sous la bannière étoilée, cette bannière qui fut le symbole de la liberté et qui aujourd’hui n’est plus qu’un symbole de dictature autorisée, mais non légiférée.

 

Ainsi de la multiplicité et de ses états, comme précité les reptiles sont en assauts, et les Peuples qui contrarient n’y peuvent rien car ils ne sont pas gréés pour ce dépassement, ils ne sont pas libres de leur appartenance comme de leur mouvance, liés qu’ils sont par l’élection et ses principes, qu’il convient désormais de regarder de beaucoup plus près et légiférer afin que nul ne s’autorise à devenir un dictateur sans que la Voix du Peuple ne s’élève et ne puisse destituer l’imposteur qui s’en est initié.

 

N’est pas César qui veut, n’est pas Napoléon qui veut, l’un et l’autre se battaient pour des Idéaux, à la tête de leurs troupes, aujourd’hui on manipule l’opinion qui comme nous l’avons dit ci dessus est sans libre arbitre, et au nom de la Démocratie, de la Liberté, on se permet unitairement, d’envoyer au front des enfants qui croient se battre pour ces symboles, et là on touche le fond de qui le propose, ce fond qui aujourd’hui parade dans son nectar d’insolence, comme d’autres avant lui, Staline s’arrogeant le droit de famine sur tout un Peuple, Hitler s’éployant pour conquérir un espace vital, tous deux ce jour disparus à jamais de la mémoire vivante pour apparaître dans leur hideur naturelle, celle de la destitution de la Liberté !

 

Que ne se trompent pas les belliqueux de ce jour, l’histoire ne gardera de leur action que celle qu’elle mérite, celle d’une colonisation, d’un asservissement, d’une mutilation, n’est pas Croisé qui veut, et c’est retenir que peux d’histoire que de ne pas savoir que les civilisations qui s’affrontèrent lors des croisades devinrent au-delà de toute hégémonie participe de la fondation la plus propice à l’épanouissement des Peuples Méditerranéen, car au-delà des clivages et par delà les mîmes, dans ce sacre des rencontres, pérennité de l’exaltation et non des miasmes que proposent les errants de ce jour !

 

Ni tristesse, ni amertume ne guident ce réquisitoire, il veut simplement faire prendre conscience de la perversion de la Démocratie dans certains pays et notamment des Etats Unis aujourd’hui, ce pays magique à qui la Liberté a été donné et qui ne sait plus aujourd’hui la pratiquer sinon qu’en s’abîmant dans un délire paranoïaque dont les fondements se situent dans un messianisme dont on peut voir que la pauvreté de langage est totalement inféodée à un manichéisme primaire qui malheureusement se fonde maintenant dans le sang des vivants !

 

Dire d’avant dire, ce dédale est là et il faut faire avec dans un souci de pragmatisme qui ne doit se larver ni s’identifier, mais bien au contraire permettre à la Civilisation qui s’est un peu trop vite assoupie sur ses lauriers de se réveiller et de féconder l’avenir, au-delà des apparences, des signes verbeux, des symboles dénaturés, des concordances établies qui n’ont aujourd’hui plus lieu d’être, car la Démocratie dans sa réalité est de part le monde réellement en danger.

 

Lorsqu’en son nom on déploie une brutalité guerrière dont la cruauté sans failles se révèle, devant l’utilisation d’armes sans commune mesure avec ce qui s’est jusqu’à présent déployé sur un champ de bataille, bombe à fragmentation, missiles à l’uranium enrichi, bombes électromagnétiques, bombes atomiques tactiques, toutes denrées particulièrement singulières dont l’utilisation est mise en œuvre pour lutter soit disant contre des armes de destruction massive dont le commun des mortels n’a pas encore vu l’ombre d’un éclat !

 

Il ne s’agit pas ici d’être avec l’un ou avec l’autre des belligérants, il s’agit de regarder la réalité en face et avoir le courage de dire ce qui est et non ce que par intérêt il faudrait dire, car alors notre Pays ou est né le sentiment de la Liberté deviendrait le vassal de ce Pays hégémonique qu’est devenu les Etats Unis depuis l’avènement de son dernier gouvernement, et la liberté dans tout cela que deviendrait elle ? Un champ de ruine permettant cette vassalisation contre laquelle se sont battus nos Ancêtres avec tant de fermeté et tant d’honnêteté !

 

Honnêteté qui fait particulièrement défaut aujourd’hui, alors que meurent des enfants des pays en coalition, et du pays en voie de génocide, alors que tant d’êtres disparaissent pour cet Or noir qui fait tant défaut à ces Etats Unis depuis que le Venezuela est en dysharmonie avec ses concepts, depuis que l’Arabie Saoudite n’est plus l’allié autorisé, depuis que le sentiment d’hégémonie des Etats Unis et plus particulièrement de son gouvernement est entaché par ce qui ne devait jamais lui arriver !

 

Ces actes terroristes que l’on ne peut juger qu’infâmes qui ont destitué sa stabilité qu’il croit retrouver en se montrant conquérant, en se montrant armé et puissant, en se montrant outrancier et démesuré, tel un enfant colérique à qui l’on a pris son jouet, oui les Etats Unis ne sont pas invincibles, la France l’est elle, les autres pays de ce monde le sont ils ? Est ce pour cela qu’il faut s’en prendre à la terre entière, laver dans le sang sa propre défaite, non, ce serait top simple, et les alliés potentiels des Etats Unis doivent ils sans même réfléchir aux conséquences lamentables qui vont suivre, s’engager à ses côtés alors que la guerre qu’ils lancent n’est pas juste, encore moins légale, anticonstitutionnelle au sens du droit de ce Pays ?

 

Dédale, nous y voici et dans ce fait réjouissons nous d’avoir dans ce cœur de la France été d’une réactivité élogieuse, quoi qu’en disent certains vassaux qui pour cacher leur déroute se sentent tout à coup des instincts guerriers, tout en protégeant dans leur propre pays des terroristes en puissance, au nom de la Liberté, Liberté dévoyée par ceux là même qui historiquement tenaient sous leur joug le Peuple des Etats Unis que la France a su libérer comme eux-mêmes ont su nous libérer du joug du despotisme le plus pernicieux, tant fasciste que communiste.

 

Nous les en remercions comme ils ont su nous remercier, mais devrions nous aujourd’hui agréer à leur demande, envoyer nos propres soldats combattre sans le moindre mandat de la communauté Internationale, alors que les Peuples qui je le rappelle ne seront jamais sous le joug, condamnent l’extrémité de l’acte commis pas ce Pays dont nous aimons le Peuple, alors que la Démocratie a été bafouée, vilipendée, et que dans cette fourberie se sont montrés tant et tant de Peuples reptiles qui tous font partie de cette Communauté européenne dont on peut se demander aujourd’hui à quoi elle sert dans ses fondements, (qu’il convient de rapidement rebâtir) ?

 

Dédale, ou la France a su incarner la réalité de la Démocratie qu’il convient de faire prospérer au-delà des incertitudes qui ploient les lendemains, ces lendemains de terreur pour les uns et de reptations pour les autres, qui, je le pense seront toutefois destitués, le Peuple ayant toujours raison contre l’arrogance et le mépris, contre la duplicité et le mensonge qui règnent en maîtres actuellement …

 

 

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