Sentence
du silence, que se lève le vent de la détermination !
La justice est bafouée, sur le sein de la Gloire se tait le Vivant
pour laisser apparaître la mort sans refuge, ses litanies en dédale de plus
vastes noms dont l’orée est saturation des actes les plus hostiles comme les
plus ténébreux,
Nous y voilà, solstice de la peur, nous y voici, dans ces cris
orgiaques qui destituent les parousies qu’une parodie immole, et le chant
désormais se ceint des âmes de ce Monde pour définir la justice et sa renommée
par delà les affronts qui sont menstrues de la folie des âges !
De l’Ordre la mesure qui aurait pu être mais ne sera point, alors
que les cris déchirent la nuit dans l’Orient du songe, martyrisant à jamais la
chair des enfants et de leur parents pour des racines sans lendemains, des
naufrages agglutinés et des terreurs obscures qui enfantent l’abîme !
Souffle dans l’Oikomené
qui ceint notre devenir que l’astre demeure et éperd dans les conflits qui
s’enracinent et se mesurent à l’aune de la catalepsie des pouvoirs aphones qui
jaillissent leurs éclats par toutes faces éclairées et intimes de la naturation
vibrante de l’Humanité déchirée !
Ici le sens de la
léthargie, des divines errances les accouplements monstrueux qui dessinent dans
la nue des respirs atrophiés les langueurs oublieuses de toute mesure,
déploiement sans cristal qui efface et estompe le siècle qui ne meurt mais
n’oublie et déjà de face noble correspond au-delà de l’indifférence le
témoignage de l’Avenir.
Le Monde se présente,
tel, sans cérémonies ni fards, l’onde accomplie s’y mire, renvoyant l’éclat du
drame Humain, celui des âges et des chants, des conquêtes et des allégories,
des failles extrêmes comme des sources les plus vives, demeures de conquêtes
aux ressources vivifiantes qui furent pentes de cet abîme dont nous déployons
le vide tel un cri sans refuge qui ne s’absout.
Le cœur sans voile y
affirme ses détails, ses rubans de soieries et ses âmes turbulentes dont les
renoms vont et viennent de villes en villes, de nefs en nefs le conte antique
qui se devise, parole de l’incantation souveraine qui fut et déjà perdure parmi
les rives de ce temps, parmi les vagues qui enseignent et toujours dérivent la
mémoire des Vivants !
Ivoire des stances qui se
proposent, de grands navires aux voiles éblouies voguant l’Astre du chemin, ce
chemin de libre appartenance, hâlant des équipages la promesse de la Vie,
bâtissant un Empire au seul écho d’une récompense, celle de la Liberté, non la
Liberté donnée mais conquise de haut renom, de faste et de gloire dans
l’harmonie du chant qui ne se dénie ni ne se légifère !
Liberté de vivre, liberté
d’enfanter la beauté dans ses ruisseaux et ses fleuves, dans ses mélodies comme
dans ses soupirs, dans la joie et au-delà des pleurs, donner le sens éclos de
l’Unité magnifiée de renouveler et perpétuer la dimension essentielle de la Vie
afin de faire prospérer son état par delà tous les parchemins de dissemblances
qui s’ébruitent.
Ville en forge sans souci
des racines qui nous viennent et furent en semis dans la foi des œuvres de ce
temps, donnant naissance à la pluviosité granitale de cette dimension sereine
qui à ce jour donna sentence des ébats et nature des orientations et toujours
se perpétue dans l’altière définition de son vœu qui n’est de naissance
imaginée mais gravitée jusqu’à la perception la plus affine !
Conscience sans repos,
conscience du Vivant là où les chemins de la liberté s’éteignent et s’immolent,
là où les chants de son éternité se taisent pour laisser place aux drames les
plus épiques que la nature même dans ses détresses les plus avouables ne peut
commettre sans être lasse de ses incertitudes, témoignant par delà la
dénaturation le renouveau et sa certitude !
Et l’orbe à mi-genoux des
conflits qui viennent nous appellent en sentences pour nous confronter aux
réalités les plus vives comme les plus disharmonieuses afin de faire le constat
de l’échec du donné, l’échec le plus flagrant qui soit aux ramures de ce qui
fût bâti de main de maître, de main de règne dans la conséquence de la témérité
du Don qui aujourd’hui se voit décapité par ceux là même qui auraient dû en
être les gardiens les plus féconds !
Sans Verbe en la mesure
de l’oubli, dans les dualités profanes comme les opinions les plus recluses,
alors que jaillit des ténèbres l’inculture la plus vorace, telle un semis de
sauterelles partant à l’assaut de la viduité pour en dévorer le cœur essentiel
au nom de ce profit qui n’est que profil de la servilité la plus dense comme la
plus basse, rejoignant ainsi l’état de disgrâce le plus avancé !
Dédale périssable, contre
lequel la nue cendrée s’éploie et se déploie pour en agencer les ferments les
plus dramatiques, les rouages les plus systémiques, les aventures les plus
concentrationnaires, insigne au talisman qui fustige le réel pour en armorier
dans un charnier les équivoques assignifications, et démontrer ainsi d’une
parure l’instabilité la plus démesurée !
Cartographie des âges qui
se mesure, qu’une géostratégie ne peut rendre compte, car du ferment des états
l’Identité souveraine est et demeure au-delà des compromis et des belliqueuses
rectitudes, l’histoire en témoigne, et ce ne seront des peuples à demi nés qui
viendront à bout des millénaires conquérants qui ont saillis l’Univers et
agencés son sein pour en libérer le miel de la Vie !
Que cela soit dit, et dans
la partition du songe se tient le lieu pour témoigner fidèle l’incantation et
sa détermination, ici, en ce temps et en ce lieu, que ces novices apprentis
tiennent pour vieillis alors qu’ils sont veilleurs et pour l’éternité de cette
parure dont ils les drapèrent et que ce jour voit défait de leurs atours pour
naître la dictature sanglante de leur ignorance velléitaire et
souveraine !
Qui sera ingérée car il
n’y a de place dans l’Ordre moral pour ces apprentis sorciers qui jouent de
leurs forces conjuguées afin d’attraire l’Univers à leurs soucis infantiles
dont les miasmes sont les cohortes de la destruction appariées à la pure
ignorance, car nées de cette propre ignorance qui les voit manœuvrer dans
l’obscurité la plus profonde les insanités les plus triviales que l’Humain a
perçu à ce jour sur ce champ de Terre qui nous est commun !
Ainsi le sort de
dominante fauve alors que tout laissait à penser que l’Ordre allait être bâti,
correspondre aux chants qui se développent, s’ordonnent et se multiplient, alors
que la Vie ne demandait qu’un rayon de soleil pour prospérer par tous les
Temples comme toutes les demeures, dans le savoir et dans l’incantation de ce
savoir, dans la promptitude, l’élan et l’incarnation du Vivant !
Aléa démentiel s’il en
fut que nos regards scrutent avec la persévérance de l’Aigle qui ne se
corrompt, avec cette célérité du Chant qui vient et jamais ne s’éteindra malgré
les chaînes, les boulets, malgré les autorités malléables, malgré les respirs
des reptiles qui tournoient autour des faucons qui ne sont que des rives
parjures de leur seuil alors qu’ils devraient être parure de leurs noms !
Chant si commun dans la
multiplicité historique que n’ont vécu ces pauvres amazones qui viennent de
découvrir le pouvoir des armes sur les cités, le pouvoir des harangues sur les
faibles d’esprit, le pouvoir d’avilir et de destituer, le pouvoir d’une
domination fourbe qui s’enlisera inévitablement dans ses propres scories et se
dissoudra à jamais ne laissant de traces aux sources de l’Humanité que celles
de moisissures ataviques et pitoyables !
Chant de castes qui se
veulent des élites alors que ce ne sont que les devises d’incarnats qui
justifient leur déploiement dans les noires abîmes des aisances particulières
qui bafouent jusqu’au nom de l’humain pour de simples soupirs écarlates qui
dansent des rives simiesques dont les fauves eux-mêmes ne voudraient pour
agape, tant leur litanie est mesure de leur sombre décrépitude enviée !
Enviée de ces nombres qui
se rallient, esclaves de toujours au mépris de leur Peuple, tyrans assoiffés de
paresses dont les songes ne sont que l’utopie des charismatiques densités de
l’agonie et de ses sens, bouchers de vies qui vont et viennent les continents à
la recherche de leur veau d’or qui les anime, les perpétue et les crucifix,
mémoire sans mémoire des âges qui les conspuent !
Qu’ivoire les acteurs de
leurs sources et de leurs profils, dans de dantesques conférences qui ne sont
que des parjures infinis, des béatitudes outrancières qui marquent de leurs
venins les sanctifications les plus avides de leurs maux les plus putrides,
toutes faces alanguies devant leurs cœurs qui palpitent, qui pour l’Or noir,
qui pour l’Or bleu, qui pour l’Or tout simplement dans un bruissement de
paroles sans égard, dans un feulement d’ivoire qui marche vers la mort à grand
pas de vive aurore !
Horreur incommensurable
des agonies qui se perdurent, dont les faces sans nombres se répondent et se
répandent comme le chiendent sur les terres de la Vie, hâlant de vertiges en
vertiges leurs contes d’apprentissage de serviles bûchers, les voir c’est déjà
comprendre que l’esclave est revenu et déjà dans ses chaînes se correspond,
s’anime et dans un altruisme forcené cherche à faire paraître !
Stupidité monumentale
dont les Humains ce jour dans leur soif de savoir épient des lendemains qui
chantent, des lendemains qui seront pour eux des remparts nouveaux, des
remparts mobiles, des remparts putrides dont ils ne pourront franchir les
bornes sans être des électeurs trompés, des criminels en puissance, criminels
de la pensée unique qui se veut statufiée et honorée par tous !
Ainsi le jeu dans ce dédale qui se vit, dans ce bruissement
erratique où la perception lentement se noie pour mieux s’agonir et applaudir
au nom d’un passé qui n’existe plus, au nom de mémoires antiques qui se
tressent et qui furent des Olympes dont les Dieux aujourd’hui se détournent
devant l’ignominieuse bassesse perpétrée en leur nom, Soldats de Liberté qui
voient aujourd’hui leurs enfants combattre non pas pour l’honneur de la Liberté
mais pour l’honneur du futile !
Futile du Chant le seul
chant de la parodie, cette parodie des plus vastes conquérants qui tous ont
péris, qui tous ont forgés et dont les Peuples toujours ont su finaliser le
chant, car le Peuple est indestructible dans sa pensée comme dans sa mentalité,
le Peuple est une racine messagère que rien ne sait détruire, ni les missiles,
ni les bombes, ni les balles, le Peuple reste vivant !
N’en déplaise et dans ce
que nous voyons il convient de prendre la route des vagues qui se prononcent,
que voyons nous réellement, quelques dictateurs imbus de leur personne, qui
dévoyant à leur mandat s’engagent dans une aventure sans lendemain, au nom de
qui et au nom de quoi, au nom de la Démocratie qu’ils ont bafoués ? Au nom
de Dieu ? Qu’ils couronnent du sang de leurs enfants, au nom d’un avenir
radieux ? Quel avenir se dresse donc après leur chemin de tuerie pour un
Peuple déjà exterminé par un génocide sans nom qu’il faudra bien un jour conter
malgré la pruderie des biens pensants qui l’ont autorisé !
Bel avenir en vérité bâti
sur le sang des enfants, bâti sur la mise en coupe réglée et concentrationnaire
d’organisateurs serviles et dévoués, on connaît malheureusement ce genre de
commis qui ont permis d’autres génocides dont nos parents et grands-parents ont
connus l’infortune, et dont ceux qui devraient s’en défendre ayant permis la
libération de ces camps atroces, vont composer l’armature discrète, mais
pardon, les libérateurs étaient leurs pères, et non leurs enfants qu’on manipule
comme jamais cela n’a été permis sauf dans les régimes communistes les plus
avilis !
Le mur de Berlin est
tombé, un autre mur se dresse, le mur de la léthargie, le mur grandiloquent de
la bêtise dans ses ramifications les plus troubles comme les plus bestiales,
que l’on ne s’y trompe, la Démocratie chancelle et ce ne seront les voix qui
montent des rues pour l’instant avant qu’elles ne viennent des cachots où l’on
soigne les mal pensant à coups de chimiothérapie particulièrement houleuse, qui
n’y pourront quelque chose sauf à penser qu’elles se contraignent à une défense
martiale et impénétrable.
Ce sujet viendra en son temps mais regardons
encore la réalité non pas dans le voile atrophié des médias qui aux ordres ne
savent que parodier comme les perroquets dans une basse cour, mais dans la
densité de son exacte ascension, que voyons nous au-delà de la dictature qui
s’instaure, une multiplicité de pays se ranger à coups de dollars sous la
bannière étoilée, cette bannière qui fut le symbole de la liberté et qui
aujourd’hui n’est plus qu’un symbole de dictature autorisée, mais non
légiférée.
Ainsi de la multiplicité
et de ses états, comme précité les reptiles sont en assauts, et les Peuples qui
contrarient n’y peuvent rien car ils ne sont pas gréés pour ce dépassement, ils
ne sont pas libres de leur appartenance comme de leur mouvance, liés qu’ils
sont par l’élection et ses principes, qu’il convient désormais de regarder de
beaucoup plus près et légiférer afin que nul ne s’autorise à devenir un dictateur
sans que la Voix du Peuple ne s’élève et ne puisse destituer l’imposteur qui
s’en est initié.
N’est pas César qui veut,
n’est pas Napoléon qui veut, l’un et l’autre se battaient pour des Idéaux, à la
tête de leurs troupes, aujourd’hui on manipule l’opinion qui comme nous l’avons
dit ci dessus est sans libre arbitre, et au nom de la Démocratie, de la
Liberté, on se permet unitairement, d’envoyer au front des enfants qui croient
se battre pour ces symboles, et là on touche le fond de qui le propose, ce fond
qui aujourd’hui parade dans son nectar d’insolence, comme d’autres avant lui,
Staline s’arrogeant le droit de famine sur tout un Peuple, Hitler s’éployant
pour conquérir un espace vital, tous deux ce jour disparus à jamais de la
mémoire vivante pour apparaître dans leur hideur naturelle, celle de la
destitution de la Liberté !
Que ne se trompent pas
les belliqueux de ce jour, l’histoire ne gardera de leur action que celle
qu’elle mérite, celle d’une colonisation, d’un asservissement, d’une
mutilation, n’est pas Croisé qui veut, et c’est retenir que peux d’histoire que
de ne pas savoir que les civilisations qui s’affrontèrent lors des croisades
devinrent au-delà de toute hégémonie participe de la fondation la plus propice
à l’épanouissement des Peuples Méditerranéen, car au-delà des clivages et par
delà les mîmes, dans ce sacre des rencontres, pérennité de l’exaltation et non
des miasmes que proposent les errants de ce jour !
Ni tristesse, ni amertume
ne guident ce réquisitoire, il veut simplement faire prendre conscience de la
perversion de la Démocratie dans certains pays et notamment des Etats Unis
aujourd’hui, ce pays magique à qui la Liberté a été donné et qui ne sait plus
aujourd’hui la pratiquer sinon qu’en s’abîmant dans un délire paranoïaque dont
les fondements se situent dans un messianisme dont on peut voir que la pauvreté
de langage est totalement inféodée à un manichéisme primaire qui
malheureusement se fonde maintenant dans le sang des vivants !
Dire d’avant dire, ce
dédale est là et il faut faire avec dans un souci de pragmatisme qui ne doit se
larver ni s’identifier, mais bien au contraire permettre à la Civilisation qui
s’est un peu trop vite assoupie sur ses lauriers de se réveiller et de féconder
l’avenir, au-delà des apparences, des signes verbeux, des symboles dénaturés,
des concordances établies qui n’ont aujourd’hui plus lieu d’être, car la
Démocratie dans sa réalité est de part le monde réellement en danger.
Lorsqu’en son nom on
déploie une brutalité guerrière dont la cruauté sans failles se révèle, devant
l’utilisation d’armes sans commune mesure avec ce qui s’est jusqu’à présent
déployé sur un champ de bataille, bombe à fragmentation, missiles à l’uranium
enrichi, bombes électromagnétiques, bombes atomiques tactiques, toutes denrées
particulièrement singulières dont l’utilisation est mise en œuvre pour lutter
soit disant contre des armes de destruction massive dont le commun des mortels
n’a pas encore vu l’ombre d’un éclat !
Il ne s’agit pas ici
d’être avec l’un ou avec l’autre des belligérants, il s’agit de regarder la
réalité en face et avoir le courage de dire ce qui est et non ce que par
intérêt il faudrait dire, car alors notre Pays ou est né le sentiment de la
Liberté deviendrait le vassal de ce Pays hégémonique qu’est devenu les Etats
Unis depuis l’avènement de son dernier gouvernement, et la liberté dans tout
cela que deviendrait elle ? Un champ de ruine permettant cette
vassalisation contre laquelle se sont battus nos Ancêtres avec tant de fermeté
et tant d’honnêteté !
Honnêteté qui fait
particulièrement défaut aujourd’hui, alors que meurent des enfants des pays en
coalition, et du pays en voie de génocide, alors que tant d’êtres disparaissent
pour cet Or noir qui fait tant défaut à ces Etats Unis depuis que le Venezuela est
en dysharmonie avec ses concepts, depuis que l’Arabie Saoudite n’est plus
l’allié autorisé, depuis que le sentiment d’hégémonie des Etats Unis et plus
particulièrement de son gouvernement est entaché par ce qui ne devait jamais
lui arriver !
Ces actes terroristes que
l’on ne peut juger qu’infâmes qui ont destitué sa stabilité qu’il croit
retrouver en se montrant conquérant, en se montrant armé et puissant, en se
montrant outrancier et démesuré, tel un enfant colérique à qui l’on a pris son
jouet, oui les Etats Unis ne sont pas invincibles, la France l’est elle, les
autres pays de ce monde le sont ils ? Est ce pour cela qu’il faut s’en
prendre à la terre entière, laver dans le sang sa propre défaite, non, ce
serait top simple, et les alliés potentiels des Etats Unis doivent ils sans
même réfléchir aux conséquences lamentables qui vont suivre, s’engager à ses
côtés alors que la guerre qu’ils lancent n’est pas juste, encore moins légale,
anticonstitutionnelle au sens du droit de ce Pays ?
Dédale, nous y voici et
dans ce fait réjouissons nous d’avoir dans ce cœur de la France été d’une
réactivité élogieuse, quoi qu’en disent certains vassaux qui pour cacher leur
déroute se sentent tout à coup des instincts guerriers, tout en protégeant dans
leur propre pays des terroristes en puissance, au nom de la Liberté, Liberté
dévoyée par ceux là même qui historiquement tenaient sous leur joug le Peuple
des Etats Unis que la France a su libérer comme eux-mêmes ont su nous libérer
du joug du despotisme le plus pernicieux, tant fasciste que communiste.
Nous les en remercions
comme ils ont su nous remercier, mais devrions nous aujourd’hui agréer à leur
demande, envoyer nos propres soldats combattre sans le moindre mandat de la
communauté Internationale, alors que les Peuples qui je le rappelle ne seront
jamais sous le joug, condamnent l’extrémité de l’acte commis pas ce Pays dont
nous aimons le Peuple, alors que la Démocratie a été bafouée, vilipendée, et
que dans cette fourberie se sont montrés tant et tant de Peuples reptiles qui
tous font partie de cette Communauté européenne dont on peut se demander
aujourd’hui à quoi elle sert dans ses fondements, (qu’il convient de rapidement
rebâtir) ?
Dédale, ou la France a su
incarner la réalité de la Démocratie qu’il convient de faire prospérer au-delà
des incertitudes qui ploient les lendemains, ces lendemains de terreur pour les
uns et de reptations pour les autres, qui, je le pense seront toutefois
destitués, le Peuple ayant toujours raison contre l’arrogance et le mépris,
contre la duplicité et le mensonge qui règnent en maîtres actuellement …
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