La nature même de la
Liberté ne se transige pas et nécessite un déploiement sans failles pour que
brille sa réalité par delà les vertiges auxquels on assiste. L’assise
primordiale comme précitée est représentée par ce que j’ai nommé
l’Organisation qui unie les pays ne transigeant pas avec ce concept de Liberté,
donc d’auto détermination et de rayonnement de cette auto détermination. Dans
le cadre plus précis de l’Europe, ce déploiement doit dans un premier temps
être effectif dans le cadre de l’axe défini Paris Berlin Moscou, soit par
intégration au sein de l’Europe de la Russie, soit par alliance. Cette
condition se révèle impérative au regard de la défense qui aujourd’hui dans la
plupart des composantes des états de l’Union européenne est gangrenée par un laxisme
dont les fondements trouvent leur origine dans le pacte Atlantique, ce pacte
qui est resté honorable tant que le gouvernement des Etats Unis est resté dans
la ligne de la Démocratie mais qui aujourd’hui devient particulièrement
dangereux pour la Démocratie même, car moteur même de sa disparition sous le
joug des faucons.
Principe de base de
l’autorité politique qui permettra que l’Europe soit respectée, et puisse
apporter sa contribution à l’Ordre Mondial, et faire en sorte que les Identités
soient respectées, la première condition en est sa défense hors la tutelle des
Etats Unis. Cette défense dans le cadre de l’axe défini implique une
orientation décisive dans les crédits qui doivent être apportés aux armées,
sans limites si cela est nécessaire et si la voie de la Démocratie se trouve
obérée par les manœuvres dilatoires des alliés du gouvernement actuel des Etats
Unis. C’est bien pour cela que doit naître au-dessus de l’Union européenne, une
véritable Europe composée de Nations qui veulent rester libres et faire
rayonner cette liberté au-delà du paraître et de ses déséquilibres fondamentaux
liés à l’enracinement complexe de contingences liées aux alliances présentes
qui ne permettent pas de s’investir plus avant dans le déploiement de la
Liberté.
A cette Europe des
Nations libres, il conviendra d’apporter une constitution inaliénable qui
permette outre le respect des Identités de ses composantes, la naissance
d’une organisation européenne structurée politiquement et gouvernementalement
de manière à ce que cette entité soit représentée par une voix unique au sein
de la scène internationale, dans le cadre de l’Organisation précitée. Ceci
implique la naissance d’un Parlement, d’un Sénat, et d’un Gouvernement commun
qui puisse en toute représentativité faire valoir la Voix commune de ses
représentants, au-delà des aberrations auxquelles on assiste actuellement,
voyant, pour des raisons monétaires principalement, la plupart des états
européens se soumettre devant le bellicisme.
Se relieront à cette Europe
de la Liberté les Nations qui souhaitent en faire rayonner le principe et non
se soumettre à une quelconque autorité de tutelle dont les arcanes aujourd’hui
permettent de voir à quel point une tutelle peut rendre sourd, aveugle, et
silencieux tant de Nations, notamment les plus déshéritées, et au-delà les plus
opportunistes, qui considèrent que leur entrée dans le cadre de l’Europe
actuelle ne l’est que par ce qu’elle sert les intérêts d’un ordre Mondial
globalement dirigé par les faucons.
Le nombre n’est pas un
critère, la qualité des intentions et des actes est autrement plus
considérable, la valeur de la Liberté ne se marchandant pas. Seule la volonté
implacable de naître cette Europe permettant de contrer le bellicisme actuel de
l’idéologie sous tendue par les faucons, sera le critère qui déterminera leur
admission. Le contraire est sans intérêt pour la notion de Liberté, car dans un
flou artistique entretenu, toutes les permissions s’accomplissent y compris
au-delà du laxisme l’abolition même du principe de la Liberté. Il n’y a qu’à
regarder l’Europe économique actuelle pour se rendre compte de son incapacité
globale à maîtriser une situation telle celle que nous font subir les faucons.
Nous trouvons pèle mêle dans ce patchwork tous les critères psychologiques qui
mènent les uns à la reptation, les autres à la permissivité, les derniers à la
rébellion. Il ne pourrait être admis une telle décadence de la part des
autorités de cette nouvelle Europe, car elle ne devra en aucun cas être soumise
mais indépendante, indépendante vis à vis des ressources primordiales à son
existence, indépendante vis à vis de sa défense.
Ne nous leurrons pas, sa
naissance sera difficile, car les intérêts en jeux sont considérables, mais les
intérêts de la Liberté le sont bien plus encore.
L’Ordre Mondial est en
voie d’instauration, mais quel Ordre Mondial doit on accepter ? Celui de
l’asservissement pour l’Etre Humain ou celui de son épanouissement dans le
cadre de la Liberté ? Deux théorie s’affrontent, celle du Mondialisme à
tout prix faisant fie de la Liberté, et celui de l’Universalité instaurant un
Ordre respectant les Identités et les Existants.
L’Ordre Mondial n’est pas
une idée nouvelle, elle est antérieure au siècle des lumières mais a trouvé ses
bases à cette époque, particulièrement dans le creuset des loges maçonniques et
notamment au sein des Illuminés de Bavière et depuis s’est générée puis
développée dans les laboratoires d’idées dont les représentants anglo saxons
abondent au sein du Bilderberg, de la Trilatérale, de la société de Jason, de
la Skull and Bones, de la Pilgrims Society, de la Fabian Society, de la Round
Table, du Bnaï Briht, du RIIA, de l’Institut Atlantique, et du CFR, et d’autres
sociétés, dont les viviers sont façonnés et délétères suivant les opportunités
des siècles.
Les laboratoires des
différentes sociétés énumérées ont privilégié la mise en œuvre plus
particulièrement des voies du mondialisme au détriment de l’Universalisme, afin
de conjuguer l’essor du bloc anglo-saxon au détriment des autres blocs. Raison
primordiale de cette alliance indéfectible entre l’Angleterre et les Etats
Unis. On se demande parfois avec stupeur s’il était nécessaire d’aider à
s’émanciper le Peuple Américain naissant pour que ses gouvernements successifs
en arrivent à une telle intégration qui en dernier ressort laisse à penser que
ce sont les Anglais qui dirigent les Etats Unis et non l’inverse.
De fait créer l’Europe
que nous souhaitons, émancipée de ses besoins en ressources énergétiques,
émancipée militairement et économiquement, relève compte tenu de ce qui vient
d’être dit d’un combat particulièrement singulier, sachant pertinemment que
jamais l’Angleterre n’acceptera la naissance de cette Europe, l’Union du
Continent eurasien étant pour elle insupportable comme l’a signifié dès 1958
son Ministre du Commerce de l’époque, Sir Eccles.
Deux conceptions de
l’Ordre Mondial doivent donc s’affronter, celle des tenants des intérêts
anglo-saxons, et celle des tenants de la Liberté, ce qui n’est pas un moindre
combat, on s’en doute, et ce qui fait qu’actuellement on voit tant de
défection, la peur outrancière collective de se heurter à ce géant faisant fuir
bon nombre de bonne volonté, et s’enhardir tant d’apôtres du bienfait de ce
mondialisme décrétée et légiférée par leurs tenants et aboutissants. Ne nous
leurrons pas l’Europe présentée comme je l’ai présentée ne sera jamais admise
par les précités et il faut s’attendre à des tentatives de déstabilisation
particulièrement houleuse, allant, je le crois sincèrement jusqu’à la guerre,
du moins tant que les faucons seront aux commandes du gouvernement des Etats
Unis.
Sommes nous en mesure
actuellement de contrer cette réaction ? Militairement parlant, si les
alliances précitées sont réalisées, cela ne devrait pas poser un immense
problème, car la légitimité du Droit à la Liberté ne peut que stigmatiser les
Peuples, et rien, sinon une guerre nucléaire, que ne se risqueront pas à mettre
en œuvre les tenants du Pouvoir aux Etats Unis et en Angleterre, les
représailles étant aussi terrifiantes pour leur propre pays, ne permettrait de
penser que la coalition des anglo-saxons puisse être vainqueur, car se serait
sans compter pour eux en cas d’occupation, sur la réalité d’une résistance
fanatique qui ferait boule de neige dans l’ensemble des sphères d’influence des
pays considérés et au regard de cet effet, la perte de leurs privilèges
commerciaux à travers une grande partie de ce monde.
Politiquement parlant, si
et si seulement la volonté guide les pas des dirigeants de cette Europe de la
Liberté à naître par la mise en œuvre immédiate de l’alliance circonscrite dans
un premier temps à l’axe défini, Paris Berlin Moscou, conjointement par
alliance avec le Groupe de Shanghai, qui permettront de mettre en œuvre
l’indépendance énergétique de l’Axe, enfin par la mise en œuvre relationnelle
de l’ensemble des sphères d’influence des pays concernés tant en Afrique qu’en
Asie afin de réaliser la réalité des fondements de ce que j’ai appelé
l’Organisation, regroupant l’ensemble des pays aspirant à défendre la Liberté,
permettant à la dite Organisation de contrebalancer le poids densifié du bloc
anglo-saxon au sein de cette entité malheureuse que l’on appelle l’ONU.
Le chemin de notre
Liberté et de celle de nos Enfants doit en passer par-là, car qu’on le veuille
ou non l’Ordre Mondial sera instauré, mais certainement pas sous les conditions
actuelles des faucons et de leurs maîtres à penser, donc il convient de
légitimer rapidement ces nouvelles alliances qui ne peuvent être fondées que
dans le cadre d’une indépendance globale, sans pour autant renier
l’interdépendance existante avec le monde anglo-saxon qui n’est pas
intégralement sous la houlette des faucons. Qu’on se rappelle les différents
mouvements existants aux Etats Unis tendant à faire valoir le Droit sur la
force, qu’on se rappelle les déclarations des hommes politiques et des hommes
de gouvernements qu’ils soient de l’ombre ou en pleine lumière afin de ne pas
tomber dans un manichéisme primaire qui ne ferait qu’aider encore plus profondément
la réalité mise en œuvre par les faucons.
Je considère actuellement
le phénomène des faucons comme un épiphénomène dont la durée malheureusement ne
peut se calculer compte tenu des processus législatifs mis en place aux Etats
Unis. Face à l’indétermination de cette durée, face à l’idéologie sous tendant
la mise en application du processus d’asservissement mis en place, je réitère
que n’avons pas d’autres possibilités, telles que celles précitées, pour nous
sortir du carcan que les faucons sont en train d’imposer à la Liberté.
On me rétorquera que
c’est impossible, et je répéterai que cela n’est pas impossible si nous
agissons rapidement, sans perdre de temps, sans commettre l’imprudence de
croire encore à la bonne foi du gouvernement actuel des Etats Unis. Si nous
restons pragmatique, nous pouvons nous sortir de cette impasse à laquelle nous
sommes confrontés, si nous savons organiser ce qui est précité avec diligence
tout reste du domaine du possible. La question est simple ? Devons nous
nous laisser asservir ou réagir ? Devons nous nous laisser poser un joug
ou au contraire nous libérer de ce joug ? Devons nous accepter sans rien
dire, sans rien faire et attendre patiemment la fin de notre Liberté et celle
de nos Enfants ? Etre ou ne pas Etre ? A chacun de choisir !
Pour ma part, je préfère
Etre et non paraître, paraître en tant que serf ou vassal. Il convient d’en
prendre la mesure pour orienter maintenant les actions concrètes à mettre en
œuvre pour réaliser ce sursaut au carcan qui tient en respect la plupart des
pays.
Conjointement aux actions
prioritaires précitées, il convient en respectant les alliances existantes de
faire valoir la Voix de l’Europe dans la légitimité la plus absolu, ouvertement
dans le cadre des instances internationales, sans fléchir un seul instant
devant la multiplicité d’attaque dont il convient de concevoir les raisons,
évoquées ci dessus. Inlassablement mettre en valeur les idéaux de la Liberté
partout ou cela sera possible, créer des ouvertures avec tous pays recherchant
cette aspiration, entretenir des liens économiques particuliers avec les pays
les plus déshérités, principalement en Afrique, au moyen Orient et en Asie,
développer ces dits pays culturellement et économiquement, militairement si
nécessaire, préserver leurs intérêts comme nous préserverons les nôtres. De
fait cela permettra de délivrer du carcan l’Eurasie comme l’Eurafrique,
permettant la naissance d’un bloc rejoignant ce que j’ai appelé l’Organisation
qui devra veiller au développement de l’épanouissement de chacun de ses pays
membres, prêter assistance en cas de conflit, en cas d’épidémie ou en cas de
crise économique.
D’une manière plus
subtile, il conviendra, dans le cadre des alliances existantes, d’insinuer
chaque partition des dites alliances afin de faire valoir la voix de l’Europe,
à parité et non asservie jusqu’à la reconnaissance de la légitimité de la
Liberté et de ses voix par le bloc
anglo-saxon. En dernier ressort intégrer ce bloc dans le cadre même de
l’Organisation mise en œuvre afin de créer les premières arcanes d’un
gouvernement Mondial respectueux des Identités et des Existants.
On me dira que cela
relève de l’utopie au regard de la force agissante actuellement. Je dirai tout
simplement que la Liberté et le devenir de la Liberté ne se transigent pas et
qu’il convient de mesurer les enjeux de ces actions avant qu’il ne soit trop
tard, et ce trop tard peut venir rapidement si les faucons mettent la main sur
toutes les réserves énergétiques de la planète et leurs routes d’accès. Alors ce
trop tard ne permettra plus à la Liberté de s’exprimer, sinon que dans l’ombre,
et encore, compte tenu des processus mis en route par le gouvernement des Etats
Unis, je rappellerai le projet TIA, il me semble que même dans l’ombre la
difficulté sera encore plus grande.
Maintenant si nous
renonçons à notre Liberté et à celle de nos Enfants, le choix est sans
condition, rejoindre le camp des anglo-saxons et devenir de simples
marionnettes deviennent une nécessité absolu. La France, l’Europe
disparaîtront. Des conflits bien plus impressionnants viendront, non seulement
au Moyen Orient mais partout où les faucons auront décidés de couper les routes
des approvisionnements énergétiques, dans les ex pays de l’union soviétique,
aux frontières mêmes de la Chine sinon en Chine elle-même comme on l’a vu dans
le chapitre précédent. Le libre choix n’est pas qu’apparence, ici la vision est
faites de sang et de larmes, et tous les prétextes seront bon pour annihiler
tel ou tel Peuple, soit économiquement, soit agressivement pour les faucons,
pour renflouer une économie défaillante, la guerre faisant partie des lois
économiques désormais, soit parce qu’une velléité de Liberté s’est mise en
œuvre dans un quelconque pays. On voit d’ailleurs avec quel dédain le
gouvernement des Etats Unis se désintéresse de ce qui se passe actuellement à
Cuba où la simple expression de la Liberté vient d’être mise en geôle sans
qu’il fronce un seul sourcil. Cela marque vraiment les frontières qui peuvent
exister entre deux visions du Monde, celle des anglo-saxons et celle des
autres, autres dont je crois nous sommes parties, car en aucun cas nous ne
pourrions tolérer de telles manœuvres par les gouvernements de nos pays
respectifs.
De fait nous reste t’il à
prendre conscience de notre devenir pour que chacun d’entre nous sache très
exactement comment il doit agir et réagir face au problème énoncé. Le lieu ici
est du choix la contrepartie du temps. Il n’y a pas à tergiverser sur le sexe
des anges ni à se compromettre dans de multiples débats qui nous desservent au
regard de ce temps qui nous est compté, au regard des actions à mener, au
regard des forces à déployer, au regard des travaux à accomplir. Les conditions
de notre Liberté sont en nous et les mobiles de cette Liberté sont en puissance
possible ce jour ce qui ne sera plus le cas demain. Ne nous attendons pas à ce
que la pluralité des pays européens rejoignent l’Europe de la Liberté, ne nous
attendons pas à ce que les Etats unis et l’Angleterre et leurs alliés
applaudissent et acceptent notre position, ne nous attendons pas à voir
accourir tous les pays de cette planète au sein de ce que j’ai nommé
l’Organisation ! Cela prendra du temps, cela demandera de convaincre, cela
demandera des actes et du courage, beaucoup de courage, ainsi en va t’il des
décisions qui sont à prendre irrévocablement. Je ne serais rappeler qu’ici deux
visions du monde s’affrontent et que l’on ne peut aller dans une troisième voie
qui serait statique par essence, et par-là même vouée à la destruction par
intégration car inopérante au regard de son propre statisme sur les événements
et les faits.
Je reprendrai ici les
termes du livre d’André Gautier Walter sur la Chevalerie : « il
faudra agir partout et en ordre dispersé, et en même temps d’une façon très
coordonnée, tout comme une armée entre en campagne avec des armes multiples et
diverses… » pour bien faire
comprendre que le travail à accomplir est immense mais qu’il peut être fait et
doit être fait afin que la Liberté ne soit pas une espérance dans ce Monde, non
plus un symbole, mais un fait, un Droit inaliénable et conjugué, un Droit
qu’aucune Nation ne peut abolir au prétexte d’idéaux qui relèvent de la
dictature la plus sauvage et la plus abrupte.
De nos propres volontés
la Liberté pourra témoigner, de nos propres actions la Liberté pourra
redevenir, de nos propres engagements la Liberté pourra s’épanouir, et ce n’est
certainement pas en attendant que l’autre fasse un pas dans une direction, mais
en faisant soi même le pas qui est nécessaire à la vie de cette Liberté, dans
le cadre politique, dans le cadre artistique, dans le cadre de la créativité et
du développement, du plus humble au plus compétent, et du plus compétent vers
le plus humble, afin d’associer par complémentarité et solidarité ces actions
qui créeront la force inexpugnable permettant de briser et maîtriser dans la
légalité les prétentions du bloc anglo-saxon dont les flots semblent
indomptables, alors qu’ils ne le sont pas, car générés par des idées abstraites
dont l’abstraction même les fera retourner au néant, si et si seulement une
interposition a lieu.
Dans le cas contraire
l’abstraction deviendra reine et ce monde s’enlisera dans un tourbillon sans
fin d’assignifications morbides jusqu’à ce que, excédés, les pays détenteurs de
la force atomique en face usage afin de contraindre au repli la morgue
anglo-saxonne, et alors là, qui pourra garantir un seul instant la survie de
l’Humanité ? Personne ! Je dis bien personne.
Préambule aux actions énoncées, la première
action commence donc en soi même, par une libération de ce viol permanent des
foules si bien décrit par le Professeur Serge Tchakhotine. Il convient de
regarder au-delà des apparences et voir avec exactitude le problème que
rencontre nos civilisations, qui n’est pas un problème mineur, car il est un
moment clé de leur destin, de ce destin de l’Humanité qui la verra ou asservie
ou libre. A chacun de méditer ce sort que nous réservons à nos Enfants. Je ne
le répéterai jamais assez, nous ne sommes pas dans la cour de récréation d’une
école maternelle où les instincts des êtres humains se révèlent et où seule la
notion de Droit permet d’établir des relations intelligentes entre les élèves,
des relations raisonnées et de bon sens, et non des relations basées sur la
force et ses abstractions.
Je répéterai aussi que
nous pouvons vivre économiquement, dans le cadre des actions précitées, beaucoup mieux que nous ne vivons
actuellement, car les ressources de l’Eurasie comme de l’Eurafrique sont sinon
plus importantes aussi importantes que celles de nos voisins anglo-saxon, et
nonobstant nos ressources matérielles, nos ressources intellectuelles peuvent
être décuplées sans cette limite planificatrice que l’on trouve dans leur
terreau, liée au préambule de l’avoir financier, et par-là même surpasser ce
qu’ils peuvent être amenés à créer, notamment en matière de conquête spatiale,
qui sera l’enjeu primordial des prochains siècles.
Ainsi n’y a t’il pas lieu
de craindre un seul instant pour l’avenir de cette Europe de la Liberté comme
de l’organisme que j’ai appelé l’Organisation dans ce futur ou enfin, si cela
se fait, je pense que les Anglo-saxons trouveront leur place, non une place de
conquérant, mais une place à part entière comme tout un chacun respectueux de
chacun et réciproquement, différence fondamentale entre leur vision du Monde et
notre propre vision, différence magistrale entre le Mondialisme et
l’Universalisme qui aspirent tous deux à l’Ordre Mondial, l’un sous un angle
d’asservissement, l’autre sous un angle d’épanouissement !
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