La censure

La censure

 

La censure est partout dans notre Pays qui a combattu pour la Liberté, la Liberté de qui ? Non la Liberté du Peuple, cela est tellement visible que c’en est une insulte à l’Histoire de notre Nation. Et ici nous ne critiquerons ni droite ni gauche à mettre dans le même panier de crabes défendant une bourgeoisie de parvenus, les colifichets de l’errance, et les mansuétudes de la reptation. La France en sa représentation n’existe plus, elle est, par l’alambic du viol psychique des foules par l’intermédiaire des médias, des instituts de sondage, d’une législation outrancière et abjecte vis-à-vis de ses racines, devenue un marécage spongieux dans lequel s’enlise son Peuple. Un Peuple qui doit se mettre au pas de toutes les théories virtuelles qui embaument son identité, saillies de l’opportunisme, de la jalousie, de la domesticité, de l’ignorance, de ces communautarismes qui s’imaginent diriger sa pensée au nom de leurres qui relèvent du cosmétique et en aucun cas de l’intelligence, car l’intelligence ne s’acquiert pas elle est innée et non achetable dans une quelconque bourse de cette petite planète livrée à la barbarie du parasitisme le plus venimeux qui soit, celui d’accroire sa force qui n’est que ruine à venir en soumission de ses soubassements sabliers (223 376 milliards de dollars aux USA, soit 3,7 fois le PIB mondial de produits toxiques laissent rêveur quant à leur capacité et leur prétention à vouloir gouverner ce petit monde).

La censure est donc là pour éviter au Peuple Français de regarder la réalité, de voir à quel degré l’incompétence comme la médiocrité sont les monstres sacrés de l’avenir qu’on (les sociétés de pensées introverties par l’illuminisme) leur prépare. Il n’y a là pas de refuge possible, a priori, sinon que de se noyer dans l’absurdité de ses hérésies pavloviennes, de ses déhanchements systémiques, de ses aberrations chromosomiques, pour le Peuple de France. Il se doit d’admirer la déliquescence qui se protège dans ce délire de l’impuissance qui est le sien, en se noyant dans une sous-culture néanderthalienne qui ferait rire n’importe quel singe un tant soit peu civilisé et éduqué. Et le bon Peuple d’applaudir cette désintégration accélérant le processus de sa déréliction, dans la motricité des lois iniques qui sanctifient non pas des protections quelconques mais bien la mise en œuvre d’une conquête autorisée par tout ce qui n’est pas rémanence de notre civilisation multimillénaire.

Le saviez-vous, Louis XIV et Napoléon Bonaparte ont été évacués des programmes scolaires dans notre Pays qu’ils ont façonnés ! La censure est là, larve qui s’autorise par l’ignorance qui reluit d’ombre dans ce mouroir de la pensée qu’est devenu notre Pays, qui couronne l’insanité, sanctifie le paraître, prime la bêtise sous l’égide de ministères où règne la peste bubonique des défenseurs de la pédophilie, du métissage, de l’euthanasie, de l’avortement, qu’ils n’ont de cesse d’illuminer par la fange qu’ils répandent dans une onctuosité bestiale qui ne s’invente pas. La France n’a plus droit à la parole sinon celle de la mystique de la dépravation, de l’ahurissement, folles ivresses qui se raisonnent consciences de notre temps, ingérable sacralité de la perversion qui foisonne sous la houlette de ses boys et girls scouts de l’indifférence, de cette métanoïa inversée qui se roule dans la bestialité, acclamant les assassins, défendant la nature héroïque de l’héroïne et de la cocaïne, acclamant les troupeaux qui cinglent vers des hospices afin, sans ne rien faire, de profiter de la gabegie institutionnalisée, à l’image des prédateurs qui créent des dettes qui les engraissent en fourvoyant la création de monnaie qui ne leur appartient pas.

Chut ! Pas un mot, pas une phrase ! Il faut applaudir à ce déshonneur, à cette souplesse de la servilité qui glose, donnant des leçons de morales qui feraient blêmir n’importe quel philosophe sensé, des leçons qui marchent dans le même sas que l’inquisition commande, ce sas de l’introversion dont les remugles feraient fuir tout être Humain normal, hissant la barbarie dans ses sommets. Pauvre France marquant à la couture le pas pressé des destructeurs de la Nation, des destructeurs de l’identité, apatrides en tout genre se sacralisant dans l’anachronisme, dans la défiguration, dans la prosternation la plus ridicule à des homoncules qui ont perdu depuis longtemps toute logique du Vivant, zombis en caprice de la mode, zombis en naufrage charriant l’errance comme une opulence, que l’intelligentsia applaudit afin de complaire, afin de récolter quelques miettes de ce gâteau construit sur le sang, les larmes, la souffrance, quand ce n’est pas la mort, de millions et de millions d’êtres Humains asservis. Nous en sommes là de l’insanité dans ce qui fut un Pays d’honneur et de gloire, voyant les passants, les zombis vides de conscience, conchier savamment et son honneur et sa gloire ! Et pour cacher son désastre, cette ombre bestiale née de l’illumination des gorets, décrète maintenant, en dépit d’une constitution forgée dans le sang, qui n’est pas la sienne, le couronnement de la censure !

La dictature est sur son front, marque indélébile de la faiblesse. Qe ses prétendants osent aller plus loin, jamais ils ne destitueront le droit inaliénable de penser, car ce droit est né de la Vie, ce qu’ils ne peuvent comprendre, tant ils sont en reptation devant thanatos et ses féaux. Le temps viendra où cette censure se retournera obligatoirement contre eux, car malgré leur formidable organisation de la dégénérescence, leur haute capacité d’annihilation, leur superbe dans la destruction, il se dressera en tout lieu, dans cette ombre qu’ils ont quitté pour se propulser dans l’ombre et non dans la lumière, des forces indestructibles, ces forces de la pensée pure qui auront raison de leur subversion et de leur mensonge, et qui permettront à tous les Peuples de se retrouver en pleine lumière, cette lumière qu’ils exècrent, qu’ils veulent à tout prix cacher et taire, car elle ne peut que révéler leur usurpation et leur médiocrité naturelle et globale. Ce n’est qu’une question de temps…

© Vincent Thierry