Sociétés de pensée

Sociétés de pensée 

L’unité du Monde, l’Universalité, oui, le mondialisme, non. Car enfin, il est temps de percevoir que sous le voile de la Démocratie se cache l’ombre qui désormais s’agite en pleine lumière, se croyant invincible en sa portée comme en sa dimension, sa portée, qui fut un instant probité, sa dimension qui ce jour flatte la dictature la plus impitoyable qui puisse régir. Est-ce donc cela que le Monde doit supporter, une Humanité devenue non-humaine, un Être Humain qui devient non-humain, une acculturation grandissante, une famine perpétuelle où s’entrecroisent toutes les passions personnelles, les appétits gargantuesques de profils insensés qui se déclarent maîtresses et maîtres de ce monde ?

Ce serait faire oubli de la grandeur de l’Humanité, de la grandeur de l’Être Humain, de l’Histoire avec un H majuscule qui n’est pas née avec ce mirage qui ne s’évoque et ne se partage que dans la misère, les larmes et le sang des Êtres Humains. Les Êtres Humains se réveillent de cette torpeur, qui a beau être manipulée à outrance par des chocs créés de toutes pièces, des inventions délétères, des scories qui se voudraient permanence, les Êtres Humains voient aujourd’hui leur destin floué par la virtualité née dans le cœur du mondialisme en ses loges et sociétés de pensées, ces monstres éphémères qui bâtissent sur le sang de l’Humanité des tours d’ivoire qui s’écrouleront comme autant de verroteries essaimées. Ce qui aurait pu être une magnifique aventure, si l’Humain avait été pris en considération, ce qui a été dans le cœur de ces sociétés de pensée, devient un chaos névrotique porté par la névrose de quelques appariements consanguins qui ne sont là que dantesques fumerolles sur le corps de l’Humanité et dont l’Humanité devra se secouer si elle veut survivre désormais dans ce bestiaire inventé par une atrophie monumentale née d’une hypertrophie grotesque, celle de l’accroire que la puissance se tient uniquement dans le fait matériel, cette partie réductionniste qui voudrait chacun d’entre nous minéralité de cette débauche usuraire, de cette barbarie exsangue dont les prétentions délirantes continuent à accentuer ses dérives, comme un animal frappé de plein fouet continu à gesticuler afin de faire toujours croire qu’il est permanence.

Cette permanence qui interagit dans ces sillons malléables de l’outrance, de la démesure, de la vanité, de ce sarcophage de l’insolence, est en train de s’achever. Les Peuples ne se laisseront en aucun cas guider par les moires aisances de l’abstraction, de l’archaïsme de pouvoirs s’étant infiltrés dans toutes ces sociétés de pensées qui auraient pu être le fer de lance de cette aventure prédisposant l’Humain à voir en toute confiance s’établir l’ordre mondial naturel qui n’impose, ne dispose mais accomplit. En face de cela par insinuation totale desdites sociétés de pensées, nous nous retrouvons en face d’un nouvel ordre mondial qui se bâtit sur la mort et par la mort, criant à ne plus en pouvoir son ordre comme sa mesure comme le firent les communistes où les nationaux socialistes, par la mise au banc de la culture, la mise au banc des Nations, la mise au banc des Identités, des Races, des Peuples, des Ethnies, des Existants, toutes pierres d’œuvre de la construction naturelle de l’Ordre Mondial qui devraient disparaître au profit de l’informe, de cette boue rugissante qui se dévoile sous le vent, contrariée par la communication en interrelation des Êtres Humains, des Peuples, dans ces réseaux universels qui désormais façonnent la réalité, sachant que plus aucun organe de presse ne s’appartient, sachant qu’à travers les différents gouvernements des États vagissent et rugissent les féaux de ce nouvel ordre mondial, tels ceux que l’on voit paraître, postulants dans notre État à cette élection 2012.

À gauche leur principal obligé, qui ce jour voit un ancien Président dire qu’il votera pour lui, à droite les écheveaux bruyants d’une ribambelle orientée dont le Prince noir s’amuse, et par les autres partis, de gauches les piliers de loges perverties n’ayant plus aucune utilité, de droites, sans mystères les prétendants au silence face à ce coup d’État permanent institutionnalisé par les réverbères de ce nouvel ordre mondial qui désormais se veut conquérant après que d’être législateur, par ces sommets incongrus, tous dévoués non à l’harmonie entre les Peuples, à l’élévation de l’Humanité, mais bien au service de quelques troupeaux de l’errance qui ont conquis le droit de cité et pris le pouvoir dans les sociétés de pensées, et ce depuis bien des décennies en la présence de ces Illuminés de Bavière, dont le trône est établi dans notre Europe s’enchantant d’une ode à la joie qui n’est que parjure.

Regardez les appartenances des féaux qui manœuvrent dans ce Parlement Européen, Président en tête, tous dévoués à la cour suprême de ce Bilderberg qui ne défend que les intérêts de la couronne d’Angleterre et consœurs et en aucun cas ne recherche le bonheur des Peuples. Les masques tombent sur la litière de cette crise totalement manipulée, et si elle l’est c’est très bien, car elle permet de voir avec quelle monstruosité se comportent les tenants et les aboutissants de cet opium qui se veut illusionniste des Nations, afin de les mieux faire tomber sous le règne de la barbarie qu’elle défend. Une barbarie devenue, alors qu’elle aurait pu accueillir la Capacité et par la Capacité faire fléchir l’illusion et signifier dans le cadre de la Démocratie la plus pure une altière définition du pouvoir Mondial, axé sur l’élévation et non sur la destruction, la destruction de tout ce qui est, la destruction du Vivant pour la gloire de l’atrophie hypertrophiée.

Le temps de la reconquête est venu pour les Êtres Humains, l’Humanité, les Races, les Peuples, les Ethnies, le temps de cette reconquête salvatrice qui les libérera des fardeaux de l’esclavage, de l’euthanasie et de l’avortement légiférés, de la pourriture qui frénétiquement asservit les cultures de ce Monde, livrées au pillage, à la folie prédatrice de l’incompétence et ses noyaux de macrophages belliqueux, pauvres non-être s’imaginant qu’en détruisant ils se glorifient, alors que l’Histoire les jugera tels qu’ils sont, d’insignifiantes larves au service de la matérialité la plus méprisante qui soit, celle qui assoit son pouvoir sur la mort d’autrui par vanité. Le vent de la conscience se dresse devant eux, un vent qui n’aura rien d’une brise de mer, mais d’un déchaînement à l’image de ce tsunami qui a eu lieu au Japon, un vent qui ne sera pas de colère, comment être en colère contre l’ineptie, mais un vent salutaire qui nettoiera les écuries d’Augias, éliminera des pouvoirs politiques les prétoriens en tout genre pour les rendre à la vie privée, et permettra enfin de voir naître dans les Républiques, non plus des non-être dévoués à la gloire de Mammon, mais des Etres Humains dévoués à la cause de leur Peuple, en capacité et par cette capacité délibérant la justice et non l’injustice, destituant les lois iniques et qui bien entendu se retireront de toutes les institutions sabordées par l’étrange pugnacité de l’errance qui ne voit ici que sa raison d’exister, celle de la destruction.

La destruction disparaîtra pour la construction, et la reconstruction, au-delà des mythes, des histoires réécrites, des lois ineptes qui protègent les communautaristes aux dépens des Peuples, les privilèges aux dépens des Peuples, la médiocrité aux dépens des Peuples, tous ces culs de basse-fosse immolant les Nations pour les petits avantages de particularismes qui n’ont pas lieu d’être dans le cadre d’une Démocratie transparente et agissante, pierre d’œuvre de cet Ordre Mondial qui se construira alors sur la base du respect multilatéral de chaque Existant, de chaque Nation, de chaque Race, de chaque Peuple, de chaque Ethnie, de chaque Être Humain qui, n’est pas né sur cette Terre pour être esclave d’une parodie anachronique, mais bien pour se transcender et par-delà conquérir ces étoiles qui sont à portée de notre main, dans le cadre de la Liberté, cette Liberté bafouée, humiliée, cette Liberté dont on se sert comme d’un torchon pour la maculer du sang des innocents, cette Liberté qui est dans notre capital Génétique et que rien ni personne ne pourra détruire, cette Liberté qui dès ce jour ne se conteste et par un élan gravitationnel performant pourra d’une seule force contrebalancer dans le cadre de la nécessité ce pouvoir dictatorial qui se voudrait établi, alors qu’il n’est qu’un feu de paille, un tigre de papier, un château de carte qui nécessairement disparaîtra lorsque les Peuples d’une seule voix en destineront la faillite irrémédiable.

Cela n’est plus qu’une question d’années devant l’ampleur de la folie grossière qui désormais régit les actes de ses tenants et aboutissants, saignant les Peuples pour renflouer leurs banques où se pavane toute l’instrumentalisation de cette folie. Nous ne sommes plus en 1945, ni en 1980, mais bien en 2011, et il faudra désormais compter sur l’intelligence politique des Êtres Humains qui ne sont plus dupes de ce coup d’État fomenté et manipulé par les insinuants qui ont su détruire l’Esprit des Sociétés de pensées comme détruire la prospérité des loges devenues des viaducs pour les intérêts privés. Les temps ont changé, serait-il temps de s’en rendre compte dans ces dites Sociétés afin qu’elles reviennent à une plus juste référence de la réalité et non se perdent dans la virtualité anachronique de laquelle elles dépendent par insinuation. Il n’est jamais trop tard pour voir renaître des cendres la flamme authentique qui a mû la foison de l’espérance vitale en ce monde qui se construira naturellement et en aucun cas sous la contrainte et les auspices d’une dominance hypertrophiée, vide de contenant comme de contenu dans le temps présent.

Il n’est jamais trop tard pour initier la grandeur face à la bassesse, l’humilité face à la vanité, la capacité face à la médiocrité, la construction face à la destruction, mais pour cela faut-il délaisser sur sa route le mensonge, la propagande, l’ahurissant langage de l’aporie, les fumeuses et ténébreuses concaténations de cette folie que représentent l’eugénisme et ses larvaires adoptions, cette écologie de pacotille instituée sur le mensonge alors que les orages solaires sont de plus en plus nombreux, et que le plus important a eu lieu le 7 juin, délaisser l’acculturation au profit du rayonnement des cultures, délaisser l’agonie pour faire valoir la Vie dans son rayonnement et sa multiplicité, par-delà les clivages et les intérêts privés, par-delà tout ce paraître dont l’inutilité est totalement dénuée de sens au regard des réalités vivantes qui consistent à élever la Vie au-delà de la pensée unique, de la matérialité la plus putride, des intérêts en conflits, de toute cette nauséeuse répugnance qui conjoint la naissance de vaccins sur des souches déposées des années auparavant par des laboratoires ignobles, et nous pourrions continuer ainsi des pages et des pages.

En résumé les Institutions existent, les Sociétés de pensées existent, et si elles savent par leur degré d’imperméabilité se retourner contre l’insinuation dont elles sont l’objet depuis des décennies, alors, elles retrouveront leurs viabilités et leur degré ascensionnel qui sera celui de l’élévation de l’Être Humain comme de l’Humanité, et à partir de là, n’ayant plus besoin de ce secret de polichinelle dont elles s’entourent, elles pourront agir de concert avec les Peuples et les Nations, afin non de les réduire mais bien de les faire prospérer, ce qu’elles auraient toujours dû faire et ce depuis des décennies, et ce vent de justice qui se lève et les confronte à leur anachronisme ne les atteindra que pour mieux les voir alors en éclaireurs de ce monde et non fourriers de la dictature de ce monde.

© Vincent Thierry