14 Juillet
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- Catégorie : Civilisations
14 Juillet
Le 14 juillet n’est pas une date pour notre Nation, c’est un symbole qui ne témoigne d’aucune lâcheté, d’aucune indécision, d’aucune larvaire reptation. Alors que la France allait se trouver assiégée par toutes les Nations en proie à la bucolique errance de royautés consanguines, alors que la France inspirait le sentiment de la Liberté par toutes Nations, alors que le Peuple de France se soulevait contre le laxisme en proie à toutes les hystéries de cette consanguinité, ce symbole naît, fusion et effusion du Peuple de France, insoumis à la fixité, insoumis à la démentielle hiérarchie de castes pour la plupart totalement déchues de leur aristocratie, vendue à l’usure et ses caprices, à la lie d’une société qui se voulait règne par-delà le règne.
Ici le Roi de France n’est pas en cause, mais la litière qui gémit et usurpe son pouvoir à ses pieds. Ici le Peuple se réveille des noctambules ivresses de la débauche et de ses carcans, de ses sempiternels désastres agencées par toute la plèbe de l’errance. Cette plèbe qui par la terreur bientôt voudra imposer son pouvoir qui sera défait par l’Empire avant que l’Empire lui-même ne succombe sous les coups de la démence dont on voit aujourd’hui dans notre monde économique les officiants désastres.
Le 14 juillet est honneur de notre Peuple, un Peuple qui va combattre légitimement pour sa Liberté sur tous les fronts de cette Europe de la consanguinité et de l’errance associée, se vouant à sa destruction. Et ce Peuple comme on l’a si bien décrit, sans culotte, va balayer cette outrance, avec pour seule foi son Chant de Liberté, n’en déplaise, et par-delà ce Chant, avec l’Empire va-t-il porter ce commandement naturel à toutes les places fortes de cette Europe qui voulaient le détruire.
Ainsi, le 14 juillet dans notre Nation est-il symbole de la Liberté, la Liberté prise par les armes, la Liberté qui ne s’injurie ni ne se conchie, délivrant le Peuple de l’oppression de la barbarie qui voulait le réduire au servage, déjà par l’usure, cette usure qui ce jour brille de ses mille convoitises, de ses mille feux, une usure qui enrichit l’errance et appauvrit la nature dans tout ce qu’elle a de remarquable, l’Être Humain en son appariement, son Peuple, sa Nation, qui ne sont brassages d’idéologies enchantant le droit du sol, mais bien du droit du sang, ce sang versé pour la Liberté, par toutes les faces de sa condition, de quelques ethnies, de quelques races, auxquelles elles se réfèrent, unies pour que resplendisse son nom sur ce sol que d’aucuns prétendent conquérir ce jour dans le cadre de l’usurpation nouvelle à voir, celles de larvaires conditions toujours enchaînées à la même reptation envers ces consanguinités délétères qui ont fait de notre Europe, non pas l’Europe, mais cette pauvre tour de Babel en adoration devant le veau d’or et ses conditionnelles prêtrises.
Ainsi le 14 juillet sur notre Terre de France, qui n’a rien et n’aura jamais rien en sa richesse intellectuelle, physique, historique, à voir avec la féodalité renaissant dans cette tour de Babel, est-il le symbole du Peuple rendant honneur au Peuple, et plus particulièrement à ses armées, ses armées qui ont fécondé le sol de notre Nation avec leur sang, qui dans les siècles précédents ont labouré d’un pôle à l’autre la Terre, ensemençant avec leur chair ce sentiment majeur qu’est celui de la Liberté, si chèrement conquise, ce jour défigurée, si chèrement aimée, ce jour voilée. Et ce sang qui parle est celui de son Peuple, un Peuple qui aime sa Nation quelle que soit son appartenance religieuse, son capital génétique, n’ayant pour but et simple but que de faire rayonner l’Esprit qui le meut et qui n’est pas celui de la reptation devant l’inféodation. Combien de morts enlacés dans les combats ce Peuple a-t-il donné pour que la Liberté soit féconde ? Des millions et des millions envers lesquels le respect est dû, combien de morts encore ce jour, jusqu’à ces soldats de France tombant sur des terres étrangères, auxquels, quelles que soient les opinions des uns des autres, on doit rendre honneur !
Oui, le 14 juillet est la fête de l’honneur de nos armées, armées du Peuple de France, dont les soldats morts pour notre Patrie doivent toujours rester et éternellement rester en mémoire pour celles et ceux qui aiment la France, car un Peuple n’est pas un jeu de lego que l’on assemble, un Peuple est forgé par l’avenir d’une foi indivise en sa Patrie et ses valeurs, et la valeur de la Liberté n’a pas de prix, et qui en est le défenseur, sinon nos armées ! Ainsi entendre que l’on devrait remplacer par un défilé public cet hommage naturel dû par chaque Française et par chaque Français à nos Armées, relève de la pure injure envers le sang de nos soldats, envers ces millions tombés aux champs d’honneur pour la défense de la Liberté. Mais comment pourrait-il en être autrement lorsque Babel se veut règle de nos terres envahies par la barbarie intellectuelle, reprise en chœur par cette infâme prostitution de l’esprit que l’on ose appeler socialisme, Jaurès doit ici se retourner dans sa tombe, vendue à la féodalité et ses associations les plus primitives, ayant depuis inversé le sens de la Voie pour contraindre la Liberté à ne plus exister.
Rien ne nous étonnera de cette permissivité de l’injure, rien dans ce domaine de la barbarie qui chevauche l’errance, et ses fantasmes les plus répugnants, ses demeures les plus perverses, son inconscience la plus méprisable. Rien. L’outrance est le verbe de la parodie et cette parodie se veut actuellement maîtresse alors qu’elle n’est que poussière et retournera très vite à la poussière lorsque le Peuple de France, conscient, et éveillé, verra à quel point on se sert de son sommeil pour faire valoir l’injure envers son Histoire, sa Culture, sa Destinée, son Rayonnement, au nom de fumerolles dont la stupidité n’a pas d’égale par l’Histoire Humaine, une pseudo-écologie politique assermentée à toutes les multinationales qui la financent, hérésie de l’hérésie qui se veut conquérante et qui ne sera que virgule dans ce monde qui avance et ne s’embarrasse des scories qui se veulent prétention de son Histoire, avec un H majuscule, cette Histoire que tout un chacun se devrait de lire et de relire pour bien comprendre ce qu’est un Peuple, et notamment le Peuple de France.
L’injure est devenue mobile politique, nous le savions, ici elle trouve sa dédicace, l’injure envers notre Peuple, l’injure envers nos Armées, l’injure envers nos soldats, l’injure envers ceux qui viennent de tomber pour l’honneur de la France. Et voir que notre premier Ministre soit hué par ces sectes à la botte de la féodalité la plus outrecuidante devrait faire réfléchir tout un chacun avant que de porter sa voix à l’illuminisme le plus pernicieux qui soit : celui du mensonge et de la destruction.
Pour conclure je dirais qu’on naît Français et si on le devient, on respecte son Histoire, ses coutumes et ses Lois. Et le débat soulevé par la double nationalité trouve ici sa pleine acceptation, car à vouloir appartenir à deux Nations à la fois, lorsqu’on en arrive à vouloir faire parader sur l’une les coutumes et traditions de l’autre, cela s’appelle ni plus ni moins qu’un viol collectif, que jamais aucune Française ni aucun Français de sang comme de cœur quelles que soient ses origines, ne saura accepter.
Voilà où le modèle Babélien mène ! Le modèle de cette « europe » de la féodalité qui se voudrait destin de notre Peuple comme de notre Nation ! Que tout un chacun s’interroge, sur l’honneur de son Peuple, et qu’il inscrive par un vote massif le rejet de cette coagulation de l’errance la plus tragique qui soit, qui jamais, soyons en sûr, ne tiendra entre ses mains le pouvoir dans notre Nation qui sait respecter ses morts, qui sait respecter ses Armées et leur rendre honneur le 14 juillet de chaque année.
© Vincent Thierry