Le Peuple Grec, suite

Le Peuple Grec, suite

 

Que peut-il advenir dans le cadre de ce coup d'État fomenté par l'oligarchie qui se veut maîtresse des Nations Européennes ? Rien si les Peuples s'émancipent de ce pouvoir dictatorial agenouillé devant l'usure, rien si les Peuples prennent leur destin en main et s'unissent pour former un contre-pouvoir démocratique permettant de naître l'Europe des Nations et non cette tour de Babel dévouée à la barbarie. Le Peuple Grec doit montrer l'exemple comme le Peuple de France en 2012 en balayant définitivement les tenants et aboutissants de l'illuminisme, ces tenants et aboutissants que l'on retrouve dans tous les mouvements politiques dévoués au communautarisme de cette "europe" qui abstrait la souveraineté Nationale au profit d'un cloaque où la dictature nazi communiste fait son nid, sous le regard compatissant des sociétés de pensées inverties desquelles ils tirent leurs ordres.

Comme on le voit dans notre France égarée, la gauche comme la droite comme l'écologie putride, se soutenant mutuellement devant la révolte du Peuple Grec humilié, afin de préserver l'usure des reptiles dont ils sont les féaux, les uns les autres en leurs portées labiales, pauvres hères sans lendemain qui racontent n'importe quoi, qui mentent comme il n'est pas permis sur ce qu'ils feront, cloîtrés qu'ils sont par leur domesticité aux carcans de traités européens que notre Peuple a rejeté en bloc.

La Grèce à l'image de l'Allemagne, se rendant à Versailles pour signer l'armistice en 1918, se voit traitée de la même sorte au nom de l'usure, de ces financiers véreux, de ces banques cosmopolites, de ce bouquet de l'errance qui se veut dominant, de cette incapacité à créer, à construire, à élever, tueurs nés des civilisations, des Nations, des Peuples, pour le seul petit plaisir de leur atrophie, qui se résume à la barbarie, la vénalité, la bestialité, et c'est à cela que nos Peuples doivent des comptes, à ces faiseurs de bulles économiques insondables, à ces corporations de la fainéantise, à ces messies du veau d'or, crachant sur ces "animaux" que nous sommes afin d'instaurer leur ordre médiocre!

Il suffit de l'outrance, de l'humiliation, du viol sans conditions des Peuples en leur identité, il suffit de ces non-être et de leurs féaux, ces roitelets sans trône, ces pédants acculturés, ces perroquets de l'étron de la sous-culture, il suffit ! La Grèce en son gouvernement l'a bien compris, doit-elle rendre des générations esclaves de cette peste que l'on nomme l'usure, protégée par le FMI, protégée par les tenants de cette oligarchie européenne dévouée aux couronnes et à la city, doit-elle être asservie par cette monstruosité virtuelle ? Non ! Non qui se répercutera en Italie, en Espagne, au Portugal, en France ! Non des Peuples qui démocratiquement vont se lever pour bouter hors de leurs frontières naturelles cette errance et ses valets.

Cette "europe" va exploser et nous ne pouvons qu'en féliciter le représentant du gouvernement Grec, héros naturel, qui n'a pas oublié que la Démocratie est née dans son Pays. Nous n'avons en aucun besoin de cette europe de la dictature, nous n'avons en aucun besoin de cette europe au service de l'usure, nous n'avons pas besoin de cette europe nazi communiste, nous n'avons besoin que de retrouver nos souverainetés nationales et battre notre monnaie pour retrouver notre force naturelle qui n'est pas celle d'être née pour être esclave de l'usure.

Il convient face au diktat de ne pas rester passif mais aider le Peuple Grec à se libérer des chaînes de l'esclavage, en initiant un référendum d'initiative populaire dans chaque Pays de cette Europe sous le joug de la barbarie, avec pour seule question : "voulez vous continuer à vivre en esclave dans cette "europe" où retrouver votre souveraineté Nationale et créer l'Europe des Nations démocratique : oui non".

Les harangues politiciennes vendues aux traités de cette "europe" de la dictature n'ont que suffi. Les Peuples doivent reprendre leur destin en main et ne plus se laisser manipuler par cette hérésie qui se veut dominante.

Mais le courage existe-t-il encore dans ces masses de moutons qu'on mène à l'abattoir sans qu'un seul cri de révolte spontané ne s’élève ? L'Histoire avec un H majuscule le dira. Il n'y a ici pas de troisième voie possible, soit être esclave de la boue glauque concentrationnaire, soit vivre libre dans un Pays libre, dans une Europe des Nations libres, cette liberté conchiée par tous les féaux de la dictature et tous les assistés qui en font cour, tout ce néant stupide qui s'imagine l'intellectualité de ce monde et qui n'en est que le parasitisme. À chacun de suivre sa voie.

© Vincent Thierry