Grand Guignol

Grand Guignol

 

Il est amusant de constater comment sont traités les prétendants politiques dans les émissions TV et Radio de notre Nation, suivant leurs couleurs affichées. Grand guignol et manifestation d'une morgue inlassable, la caste journalistique, je ne parle pas ici des reporters de guerre, mais de cette chienlit qui se trémousse sur son fauteuil pour présenter l'actualité, membre du siècle, qui roucoule et se prosterne suivant la direction du vent afin de continuer à percevoir les dividendes de l'infamie, cette caste donc, dans la représentation scénique d'une femme ou d'un homme politique, n'a de cesse de les pousser dans leurs derniers retranchements, comme s'ils se déclaraient bien au-dessus de ces prétendants, qui ont eux, le courage d'assumer leurs opinions et qui n'ont en aucun cas à rendre compte à ces serfs des pouvoirs nébuleux qui demandent repentance, caste de pédants incultes que les pouvoirs voulant nettoyer les écuries d’Augias devront renvoyer dans leur foyer, en compagnie de toute la piétaille qui les entoure.

Ces dévots de la brillantine recevaient hier le représentant de la mouvance trotskiste, arguant et faisant feu de tout bois pour essayer de convaincre, les sots et les ignares bien entendu, allant même citer le massacre des israélites, en oubliant bien entendu les cent cinquante millions de morts qu'à fait et continue à faire le communisme en tous États, dans ses goulags, ses camps de concentration systémiques, ses hôpitaux psychiatriques, dirigés par qui on sait et dont le digne représentant a terminé au croc du boucher envoyé par "le petit père des Peuples".

Lorsque l'on compare la réception du personnage, homme de système, avec ses prédécesseurs, on ne peut être qu'écœuré par l'attitude de ce parterre d'inutiles que représente cette caste de journalistes, accompagnée bien entendu par la médiocrité imposée d'analyste politiques en tout genre, qui ne sont là que pour tresser la pensée unique et demander culpabilité à l'impétrant qui ose avoir des idées. Sans partager lesdites idées, je n'ai pu m'empêcher de rire en voyant ce candidat, fut-il franc-maçon, défendre avec conviction ses idées devant ce parterre de décérébrés à la bêtise apparente, qu'il conviendrait bien entendu d'applaudir.

La politique ce n'est pas cette hilarante demande de prosternation, mais un combat qui se justifie, à tout le moins s’étaie, ce qui était le cas pour ce candidat, favorisant la permissivité exogène, en faisant croire qu'il aidera les travailleurs à retrouver leur dignité naturelle,  appliquant à la lettre la théorie classique du mondialisme apatride, lisant un discours préparé avec un émule du CAC 40,  mystifiant le public en voulant faire croire qu’il n’existe aucune cohésion entre le milieu journalistique et ses invités, qui se révèle lorsqu’ils rentrent d'une manière où d'une autre dans le cadre de la pensée unique, telle qu’on a pu le voir lors de sa prestation ( on aurait pu inviter pour débattre avec ce candidat un vrai capitaine d'industrie pour croiser le fer, on invite un ancien conseiller mitterrandien!).

À l'once de la prosternation, ce jeu d'une piètre qualité démontre encore une fois la banalisation de la bêtise dans les arcanes de ce simili pouvoir, en voie de disparition, merci internet, que représente la caste des journalistes qui ne sont pas là pour informer mais bien désinformer par caricatures interposées. Ce jeu ridicule que l'on ne s'y trompe pas n'a pour objet que de ridiculiser bien entendu le Peuple, et comme convenu les prétendants qui agissent en son nom, et surtout s'ils s'en réclament et quel que soit le parti, cherchent à l'élever et non à le rabaisser.

Il est urgent de dénoncer cette propagande de larves qui n'est que morgue dans les médias, fussent-ils financés par l'État où par des sociétés privées, où s'illustre si bien une chaîne en commandite qui n'a vis à vis du Peuple, qu'insulte, vis-à-vis de la culture, que reptation dans la boue, et vis-à-vis de la spiritualité, notamment catholique qu'obscénité pour drapeau, une chaîne remarquable par son degré zéro dans l'échelle du singe où chaque politique se fait foutre, pardonnez-moi l'expression, de lui par la chienlit du journalisme n'ayant que sourire goguenard à la bouche, goguenard d’apparence trompeuse qui en fait tente par empathie de faire aimer celles et ceux qui sont esclaves du mondialisme. Rien de constructif dans ce gouffre aux abois donc, que tout Être conscient se doit d'écouter et regarder que comme livrée de la propagande mondialiste.

Pour se faire une opinion raisonnée et raisonnable des partis en présence, faut-il donc aller au-delà de ces passerelles du mensonge et de l'affairisme et se cultiver par-delà ces écheveaux où la pourriture grouille comme tsunami et s'intéresser Via internet aux organes de presse Suisse, Belge pour certains, Anglais, Canadien, et bien entendu Américain, où se dissèquent au-delà de la presse imprimée ou télévisuelle les orientations de ce monde. La vision tronquée qu'en donnent nos cénacles de journalistes, qui en font la risée du monde, mérite le détour.

À l'image des émissions diffusées se prosternant dans la bêtise, l'inintelligence, la bassesse, se retrouvent ces pseudos journalistes d'opinions. Et cela est en droite ligne avec les correspondances de cette émission larvaire à laquelle nous avons pu assister hier. Rien d'étonnant, et l'on peut se demander pourquoi les prétendants politiques en acceptent les règles ? Sinon que pour mieux s'inscrire dans cette féodalité de la médiocrité dont le clinquant ne tient pas devant la réalité, une réalité avec laquelle ils louvoient, mentant systématiquement au Peuple afin qu'il ne sache qui sont réellement leurs invités. Étonnant n'est ce pas que l'appartenance à la Franc-maçonnerie du modèle d'hier n'est pas été mise en exergue ? Cela eut pu donner à tout un chacun de quoi s'interroger sur ses capacités réalistes de passage à l'action dans le cadre du programme qu'il n'a cessé d'évoquer.

Ainsi, à tout un chacun de s'interroger sur les non-dits qui sont bien plus importants que ces phrases creuses et bon enfant, comme si le public avait un QI inférieur à 20, qui ont été débitées à toutes les sauces lors de cette émission où le ridicule a dépassé les bornes. La naïveté a ses limites et ce dont ne se rend pas compte cette caste d'inutiles qui se veulent journalistes d'opinion, c'est que leur façade a été depuis fort longtemps mise à jour, et qu'ils n'ont qu’un intérêt relatif, celui de mesurer le degré de tension du système devant celles et ceux qui se battent courageusement pour défendre les idéaux de la Nation. Ce degré se mesure à l’aune de la repentance, à l’aune d’une crainte suggérée, et bien entendue à l’aune de la culpabilisation qui en découle au regard de la ligne de pensée larvaire qui guide tout propos, et par là même indique à l’auditeur la perméabilité des journalistes d’opinion qu’on leur impose qui ne sont que haine vis-à-vis de celles et de ceux qui les ignorent, les laissant pour ce qu’ils sont, des êtres sans importance qui perdent ce pouvoir anachronique qu’ils s’imaginent encore avoir vis-à-vis de l’opinion.

Un pouvoir d’homoncule face à la densité de l’information existant en dehors de leurs impostures canalisées par tous les avatars d’une finance réduite à portion congrue dans la pensée au regard des milliards de blogs existant à travers la toile qui diffusent des nouvelles bien plus intéressantes et novatrices que toutes celles que l’on nous présente, déguisées à la sauce de la pensée unique et mondialiste, dans nos télévisions et nos radios, et nos quotidiens imprimés. Comme le monde de l’édition artistique, ce monde va se clore devant le réalisme et la portée de l’information qui est portée de chaque Être Humain par cette planète, et qui n’est pas filtrée par la « bonne » pensée agenouillée devant le temple de Mammon.

Il serait peut-être temps à ces nimbus de l’illusion de s’en apercevoir avant qu’ils se retrouvent au pôle emploi dont ils n’auraient pas dû sortir pour essayer de nous faire avaler des couleuvres issues de leur perception de royalties qui ne représentent que des filtres dont on connaît les financiers et la mesure. Alors par pitié, un peu moins de morgue et un peu plus de respect devant celles et ceux qui vont au-devant de la scène, fussent-ils, comme la plupart malheureusement, les missi dominici des mêmes financiers qui paient les journalistes, je parle des femmes et des hommes politiques qui eux, ne se cachent pas derrière leur bureau comme certains « philosophes » de pacotille qui gémissent en appelant leur mère au premier coup de feu des snipers à Sarajevo et qui osent en appeler à la guerre en toute région, je parle de celles et de ceux qui ont le courage de leurs opinions et qui n’ont en aucun cas à plier les genoux devant cette sordide cour des miracles mondialiste qu’on ose appeler les « médias » et qui ce jour avec une hypocrisie sans failles pleure un vrai journaliste tombé dans le cadre d’un drame Humain se déroulant en Syrie, non pas un journaliste pompeux qui se veut d’opinion mais un vrai journaliste qui va sur le terrain recueillir l’information, la véritable information et non pas celle filtrée par les commissaires politiques qui rôdent dans les rédactions.

Car pour être journaliste il faut avoir la vérité à cœur et non le mensonge. Ainsi va ce monde qui remplit d’allégresse la soumission et ses arcanes.

© Vincent Thierry