Il suffit de la haine

Il suffit de la haine

 

Il suffit de la haine des dominants serviles qui ignorent la réalité des Peuples, leur légitimité et leur force ! Entendre ces pantins assoiffés de pouvoir se cachant derrière des lois iniques pour protéger leurs petits privilèges et protéger la finance apatride et parasite, devient d’une grossièreté sans nom, surtout lorsqu’elle implique que notre Nation doive disparaître dans le giron de ce quatrième Reich qui s’impose ! Comment peut-on être aussi épris de mensonge lorsqu’on déclare la France souveraine, alors que 80% des lois sont rédigées par ce cloaque où se réfugient la médiocrité et les prétendants aux prébendes dirigées par la dictature en puissance, et que ces lois sont applicables dans notre Nation !

Où est notre Souveraineté et où en est notre Démocratie, lorsqu’on se permet de faire en sorte que 20% de la Population Française n’ait pas le droit de s’exprimer, 20% et plus d’ailleurs, car dans ce jeu émérite de la répugnance de l’asservissement les Français auront droit aux deux candidats intronisés par le Bilderberg, représentants de l’ordre noir dans tout ce qu’il a de dictatorial, deux candidats l’un se présentant socialiste, l’autre se prétendant néo libéral, deux doigts d’une même main qu’une troisième envie.

Qu’on se le dise, la France n’est plus une démocratie et encore moins souveraine, féale de l’Allemagne, non en son Peuple, mais en ses dirigeants issus de cette Allemagne occupée par le communisme le plus noir. Et lorsqu’on regarde à quel point nous allons courber l’échine devant cette puissance dont l’économie n’est en aucun cas comparable à la nôtre, et qui ne le sera jamais, dont les coutumes et l’Histoire n’ont rien à voir avec la nôtre, le Peuple Allemand étant par nature discipliné et obéissant, le Peuple Français étant par nature individualiste et conquérant, ce qui n’empêche en aucun cas une amitié française et Allemande devenue impérissable.

Où allons-nous dans cette tour de Babel où se réjouit l’usure ! Où allons-nous dans ce creuset de la médiocrité qui pavane, qui décrète des lois ignobles sur le droit de penser, sur le droit de s’exprimer, qui décrète l’agonie de la pensée pour le profit de l’illettrisme, de l’incapacité de critiquer, violant les Peuples en leurs racines en les inondant d’un monde exogène afin de créer un non-être, incapable de se régir, larbin et domestique de cette usine à pensée unique, où se congratulent les demeurés, les génies de l’impuissance chronique, la bêtise incarnée, le paupérisme de tout ce que l’on peut imaginer.

Voilà donc la belle dictature avec ces nains collégiaux qui se dressent sur leurs ergots dès qu’une pensée ne va pas dans le sens de la sainte égalité, de cette délirante perception aphone qui voit tout un chacun égal alors que tout un chacun est complémentaire et par cette complémentarité, unique et nécessaire, mais pour cela faut-il encore pouvoir l’exprimer par un renouveau culturel, qui bien au contraire façonne actuellement la couardise et la débilité mentale accentuée par la transe infâme de celles et de ceux qui ne veulent voir qu’une seule tête.

Infamie de notre République dénaturée ! Voici donc le choix qui se présente, un choix qui ne dit pas son nom, se cache derrière les apparences, un choix qui s’inscrit dans la maladie la plus terrible qu’a pu connaître notre Nation, le choix de la dictature consentie ! Que tout un chacun réfléchisse à l’espace de Liberté qui existe dans notre Nation, et il se rendra compte que cette Nation est domestiquée par les privilèges dans tout ce qu’ils ont d’exorbitant, les privilèges de celles et ceux qui veulent faire table rase de notre existence, de notre Peuple, de notre Nation au profit de l’immondice, cette porcherie babélienne où trônent la suffisance et la morgue de la finance apatride et parasite.

Que chacun voit à quel degré en sont rendus les débats politiques, sans idéaux sinon que ceux des principes altérés par les lois iniques, un verbiage de commères au coin du feu se disputant sur des vétilles et s’accordant sur le principal, la reptation devant le veau d’or et sa conscription fut-elle visible ou invisible, tout un aréopage de serviles valets qui n’ont d’autres objectifs que la destruction de notre Histoire, il suffit de lire un livre d’histoire d’écolier pour s’en rendre compte, un livre de géographie de même, où règne l’acculturation la plus pernicieuse, obligeant l’Esprit à se taire et ne pas éclore ses racines, aux noms de culpabilisations débiles et hilarantes qui font rire n’importe quel Esprit qui se respecte, où dans la catéchèse de la débilité profonde s’avance la voie de la soumission, une soumission à tout ce qui n’est pas la France, une soumission à tout ce qui n’est pas l’Histoire de France, une soumission à tout ce qui n’est pas notre géographie, où s’implante la terreur pour les jeunes Esprits qui ne doivent surtout pas aller à l’encontre de ce qui est dit, qui doivent accepter le nivellement par le bas qu’on leur impose, et l’on s’étonnera aujourd’hui de ne point trouver d’ingénieur en informatique et autres !

Comment, sans racines, un Peuple peut-il se développer, sinon que dans l’indifférence, la soumission ! Le tôlé contre la Hongrie par la tour de Babel est significatif de cette démence de la culpabilisation qui désormais fait feu de tout bois pour empêcher des légitimités de s’avancer ; Comment ose-t-on encore être Français, défendre la France, sa religion, son immensité culturelle ? Il ne faut surtout pas, il faut se plier au giron du quatrième Reich, et bien entendu advenir en reptation devant sa réussite, sous peine de se voir traité d’anti allemand. Lorsqu’on en arrive à ce genre de discours qui frise l’insolence et plus que cela l’injure envers notre Peuple, il n’y a rien à espérer de ce nid de vipères qui se fortifie, noyant les Peuples dans un viol absolument écœurant qui donne à tout un chacun qui respecte sa Patrie, une envie de vomir globale.

Mais nous ne vomirons pas pour le plaisir de l’insanité, bien au contraire, les forces nées de la rémanence formelle ayant créé notre Nation relèveront le défi de cette outrance qui menotte la Liberté, et je gage que dans les décennies à venir, que l’on verra tous les Peuples Européens qui se respectent et respectent les autres, désigner les représentants dignes de leur Nation et non pas des fantoches agités comme des pantins par les tenants et aboutissants de ce quatrième Reich dont la guerre silencieuse n’échappe à personne.

Cette guerre ne sera pas gagnée par cette errance, mais bien par les Peuples qui sauront réveiller leur force naturelle, celle de reprendre leur souveraineté, en battant monnaie, en se sortant de ce carcan ignoble des marchés usuraires, et en taxant sans commune mesure de produits fabriqués par des esclaves, esclaves que souhaitent nous voir devenir tous les larbins prétendants dirigés par la tour de Babel qui se veut aujourd’hui le Temple de notre Europe. Ce Temple sera fracassé par la voix des Peuple, et ses marchands remisés à l’encan, afin d’ouvrir la voie de l’Europe réelle qui est celle des Nations et des Peuples qui, respectueux de chacun et respectés par chacun, fonderont une Europe des Nations et non ce bidonville de la prébende qui se veut dirigeant.

Non la France dans les années à venir ne sera pas un goulag au service d’une quelconque Nation, où d’un quelconque conglomérat, la France ne le sera pas comme les autres Nations Européennes. Elle détruira les chaînes qui l’enlisent dans le paupérisme intellectuel et financier, dans cette dévitalisation organisée et préparée dont on peut lire au dix neuf eme siècle le plan tracé par ses meneurs, Pike, retenez ce nom et allez plus loin, nous ayant conduits à la première puis à la seconde guerre mondiale, sous les auspices de la City comme de Wall Street dominé par la City, puis à cette conflagration économique parfaitement maîtrisée et préparée, et certainement à cette troisième guerre mondiale qui s’avance, une guerre elle-même parfaitement organisée et préparée dont nous voyons les indices se prononcer aujourd’hui, par une mise au pas des Peuples Arabes, dans ce cosmétique et ce vernis de l’usure, n’ayant d’autres buts que d’assassiner les États Laïcs de ces Nations, afin de voir s’y instaurer la dictature de la Religion, et bien entendu de la soumission.

Il ne faut pas être grand clerc pour voir que toutes ces Nations sont retombées dans l’anonymat de la perversion de l’usure, qu’elles n’ont plus aucun éclat, et aucune dimension, sinon celle de la reptation devant le profit. Le phénomène de la Syrie aujourd’hui est l’exemple flagrant de cette tentative de soumission. Si on observe la manipulation engendrée, répugnante par essence, une manipulation téléguidée en Syrie par des exogènes encadrants des masses qui doivent obéir au nom du leurre d’une démocratie, on comprend très bien que le représentant de cette Nation combatte l’illégitimité, telle celle qui s’est implantée en Irak, en Libye ( où tout un chacun s’est fait avoir dans les grandes largeurs lorsque les témoignages ont pu mettre en évidence que des infiltrés exogènes étaient à la tête de la rébellion, pillant, tuant, égorgeant dans les campagnes afin de rallier les populations, en provenance de ce camp situé sur une île que tout un chacun connaît).

Ce combat sera rude, mais la vérité a déjà éclaté sur toute la toile, cette vérité qui démontre encore une fois le mensonge des convenants, le mensonge des médias, le mensonge des pantins politiques, hystériques au dernier degré, fomenteurs de guerre au nom de droits humanitaires inexistants, accompagnés dans leur reptation par la folie de l’errance et son compagnonnage. Une fois suffit on ne nous y reprendra plus. Le mensonge a la caractéristique de l’ouragan, il ne veut surtout pas perdre la face et s’enfonce de plus en plus dans l’ignominie telle que nous la voyons actuellement dans notre Nation, une perversité qui ne dit pas son nom, qui n’attend qu’une chose, que la guerre soit déclarée afin d’imposer sa médiocrité, quel que soit ce lieu, en flattant les populations par le voile de la démocratie, et en apitoyant les citoyens de tous les pays par des simulacres dantesques de morts gargantuesques, telles celles des enfants Irakiens, rappelons les condamnés à mort par un représentant d’un Pays que je respecte, au nom d’une idéologie prétorienne sans devenir, sinon celle de la liquidation massive.

A-t-on vu des prisonniers Irakiens issus des armées Irakiennes ? Combien de soldats Irakiens ont été décimés sans pitié par les troupes coalisées ? Il suffit de parler avec ceux qui ont combattu en Irak pour le savoir. Que de crimes de guerre non jugés ! L’histoire s’en rappellera comme de tous les crimes qui sont commis au nom du mensonge ! Ce mensonge qui vient jusqu’à s’ébattre dans les Parlements pour conjuguer l’essor des Nations avec les crimes Nationaux socialistes, en oubliant bien entendu les crimes du communisme qui continuent à sévir, ces cent cinquante millions de morts par famine, par concentration dans des goulags ignobles, infâmes, et dont il convient de connaître les promoteurs idéologiques comme les gardiens répugnants.

Voici donc ce que tout ces isme issus du même pourrissement de l’Esprit, injurie et conchie, le droit de s’exprimer, se cachant derrière les lois de la République pour continuer à vaquer comme si de rien n’était à la destruction de la Nation, à la destruction de notre Peuple ! La pourriture a ceci de particulier, c’est qu’elle disparaît naturellement, et le tour viendra de ses festives agapes dans notre État charriant son sida intellectuel, lorsque enfin le Peuple de France se réveillera de sa léthargie chimérique entretenue par tous les vautours de la pensée, tous les incapables à la création qui s’imaginent des dieux et qui ne sont que les nains de la médiocrité ambulante.

Notre Peuple doit se réveiller de ce charnier concentrationnaire dans lequel il vit, car il fait bon d’incriminer les uns ou les autres, lorsqu’on est incapable de hisser le Peuple au-dessus de cette pourriture parasite que représente l’usure qui tue les Nations et les Peuples, pour faire naître ce bourbier malsain que l’on ose appeler le nouvel ordre mondial qui n’est rien d’autre qu’un camp de concentration ouvert dirigé par tous les ismes de la Terre, pauvre Terre soumise en ses Humains à ces charniers qui se révèlent, ces poubelles devenues des Nations où les mendiants du pouvoir s’abreuvent du sang des Peuples, tous ces hystériques qui s’imaginent le cercle alors qu’ils ne sont qu’un rayon dans le cercle , un infime point dans la sphère qui ne peut se régir que par le collectif et non le collectivisme, ah ce collectivisme forcené où l’ignare s’accomplit avec l’ignare, il n’y a qu’à voir les romans et les essais qui sortent ce jour, pourrissoirs de la pensée critique qui ne cherchent à élever l’Humain mais bien à le rabaisser, gouinage de la psychiatrie de pacotille associée à la science invertie représentée par l’anthropologie, le darwinisme, la théorie de la relativité, dont l’inventeur est Poincaré et en aucun cas Einstein, qui résume si bien la connerie actuelle qui se répand, la connerie et ses chantres qui gesticulent, qui sont reçus à bras ouverts par les médiocres qui s’auto satisfont de leurs larvaires attitudes, de leurs conjonctions morbides, de cette débilité profonde qui marque les débuts de ce siècle.

Ce siècle qui s’écroulera comme se sont écroulées toutes les tentatives d’enchaîner la Liberté, cette Liberté innée en chaque Être Humain qui n’a pas besoin de collectivisme pour s’aérer, créer, par-delà l’injure faite à notre Peuple, par-delà l’injure faites à nos Racines, par-delà l’injure faites à notre Religion naturelle, par-delà l’injure de la barbarie qui s’accouple à notre Nation et voudrait en sus avoir droit de cuissage de notre volonté naturelle qui ne s’est par ourdie aux fins fonds d’une révolution, mais est multimillénaire, que chacun le veuille ou non.

Et qui n’a pas à se compromettre avec la duplicité et la morgue de ce qui ne représente que la fatuité d’un instant dans les millénaires qui s’écouleront et verront la perdition de cette atrophie qui se veut parade et pouvoir, car les Peuples se réveilleront, j’en suis certain, tout étant cyclique par ce monde, par cet univers, qui au lieu d’être découvert avec la puissance dont nous disposons attend toujours que notre volonté étreigne ses créations, mais cela est un autre débat, en attendant voyez et admirez notre République soumise, notre Liberté enchaînée, notre droit de s’exprimer immolé par le crétinisme Roi ! Réveillez-vous ! Mais ce réveil viendra-t-il ? La situation ne faisant qu’empirer ce réveil viendra nécessairement, il suffit d’être patient, la patience infinie de l’Aigle attendant que les vipères s’unissent pour les dévorer. Ce temps viendra, en attendant courage et persévérez dans le chemin de votre Voie et non de ce collectivisme du crétinisme qui s’avance et parade !

© Vincent Thierry