La panurgique essence

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Catégorie : Civilisations

La panurgique essence

 

On ne pourra que traiter de menteurs ces journalistes iniques qui s’imaginent les recteurs de notre pensée face au délire permanent institutionnalisé par les fantasmes des va en guerre au nom de causes impies, qui ne sont pas celles de la Liberté mais bien des matières premières, le Gaz Syrien !

Il suffit de ces outrances, de ces trompe l’œil, de ces «spécialistes» du néant, de ces remparts de la servitude, de ces sombres personnages tenus par leurs mœurs quand ils ne sont pas tenus par l’argent, ces otages sans liberté qui gueulent comme des chiens pour faire accroire des drames inexistants dans ce Pays majeur qui a le droit de disposer de lui-même au sens de la charte de l’ONU, qui veulent déstabiliser cette Nation au profit de l’argenture et de ses domestiques. Ces minables se veulent caution du droit ! De quel droit ?

Celui de voir égorger par des mercenaires armés par des pays voisins et bien d’autres, non seulement l’ASL mais bien des tueurs nés, troisième colonne terrorisant les populations comme elles l’ont fait en Libye, voyant ce jour ce pays éclaté et divisé où les hommes de couleur noire n’ont plus le droit d’exister, sont parqués comme des animaux quand ils ne sont pas abattus, où la loi Islamique est devenue règle, voyant sombrer dans le néant le devenir des Femmes, des Êtres Humains que tout un chacun ce jour ne voit pas, enfermé qu’il est dans la propagande, l’invective d’hommes politiques qui voudraient voir n’avoir jamais vu naître le représentant de l’autorité Syrienne, qui sont une honte pour la France, livrée de perroquets, de va-nu-pieds, de gueux outranciers qui servent les arcanes d’une troisième guerre mondiale que veulent faire naître tous les troupiers du nouveau désordre mondial !

Quelle honte pour la France, berceau de la Liberté, de décréter que le représentant de la Syrie, soutenu par tout son Peuple, et non par les 60 000 mercenaires exogènes armés, qui se prétendent l’armée de libération de la Syrie, que son représentant légal n’ait pas le droit d’exister ! Et lorsque ces paroles viennent de ceux qui ont les mains entachées du sang de victimes innocentes par le biais de sang contaminé, il y en a qui ne manque pas d’audace dans l’horreur !

Quelle honte outrancière, de voir ces bassets se tordre de rictus devant les caméras, ces journalistes insipides à la morgue haute, aux lèvres pincées, qui ne devraient pas, tant ils sont sodomisés à coups de primes pour inonder les ondes de leurs mensonges propagandistes,  quelle honte que toute cette boue qui enlise notre Nation, devenue la risée de ce monde, tant elle est à quatre pattes devant des ordres qui ne viennent ni de sa réalité, ni de sa grandeur, mais bien du néant qui la soumet, cette errance qui règne en maîtresse, jusqu’à voir certains de ses ignares prétendants vouloir la faire disparaître dans le néant, l’acculer dans des guerres agressives qui n’ont d’autres buts que les matières premières et en aucun cas la Liberté !

Ah, les beaux contes que voici lorsque se soulèvent tous ces gueux pour parler de massacre de population civile, ne voyant pas les exactions commises par la troisième colonne de l’ASL, ignobles personnages, s’octroyer sans qu’il soit permis de parler de crime contre l’Humanité découper en morceaux des Syriens, vendus en viande de boucherie sur les marchés publics afin de terroriser les populations civiles, abattre sans sommation les militaires de l’armée Syrienne, aucun prisonnier n’étant fait par cette armée exogène, torturer, égorger en place publique tout un chacun qui ne se réclame pas de la vertu de l’ASL, faire défiler des masses encadrées par des mercenaires armés jusqu’aux dents pour tuer celle ou celui qui n’avancera pas et ne scandera pas le nom de ladite armée.

Et l’on nous parle de tués dans les bombardements alors que les Syriens ont fui les villes dans lesquelles les combats sont engagés, combats où les mercenaires se font piéger et détruire jusqu’aux derniers, n’en déplaise à tous ces théoriciens du vide, qui ont oublié qu’un Peuple qui se bat pour sa Patrie gagne toujours. Que reste-t-il des 60 000 mercenaires, à peine 20 000 selon les sources officielles que devraient peut-être entendre toute cette racaille perverse qui se dit journaliste, tous ces néants incarnés qui se disent philosophes, tous ces spécialistes sortis du chapeau que personne ne connaît ni d’Ève ni d’Adam, grossiers personnages en tapinois dans la demi-mesure de la complicité barbare où se flaire le fric qui leur sera remis une fois leur leçon négociée sur ces plateaux insipides où de pauvres immondes qui n’ont jamais tenu un fusil entre leurs mains et qui n’ont à la bouche que le mot guerre, interrogent !

Pauvre navire France éperdu dans cette complicité du néant qui échafaude ses privilèges sur la chair et dans le sang des Peuples que d’autres veulent soumettre à leur autorité au nom ici du gaz, ce gaz clé de ce délire incarné qui s’avance, et nonobstant la Syrie, qui lorgne depuis bien longtemps sur l’Iran et ses ressources pétrolières. Que d’aveugles prosternés devant cette messe de l’apocalypse enfantée par le néant ! Personne dans la rue pour défiler contre cette guerre de mercenaires ! Personne pour en définir les tenants et les aboutissants, sauf sur la toile qui rugit contre cette prosternation à l’imbécillité chronique, à ce viaduc de la fanfaronnade, à ce bêtisier sans scrupule qui se permet de juger la profanation d’une église Orthodoxe par des débiles payés par leurs œuvres, comme des erreurs de jeunesse, mais qui ne s’élève en aucun cas contre les crimes commis à l’encontre du peuple Syrien, encore moins contre les crimes commis en Libye sur les Êtres Humains de couleur noire, et qui ose se poser en juge envers le racisme !

Bien entendu la Libye peut tuer les Êtres Humains de couleur noire, bien entendu les égorgeurs mercenaires à la solde de cette aberration monumentale qu’est le plan décrété par quelques personnages qui tirent leurs humeurs des bellicistes erreurs de quelques errants, peuvent poursuivre en toute impunité leurs crimes, bien entendu l’ONU, prosternée devant ce viatique de l’enfer ne s’engage pour dénoncer le mal fait aux Femmes Arabes, bien entendu, tous les gouvernements fantoches se taisent devant les crimes commis au Darfour, au Congo, et dans tant de Pays de ce monde où l’on tue les Chrétiens, car enfin, n’est ce pas il faut détruire le Christianisme pour faire régner la puanteur de l’ennoblissement grotesque de la bestialité, telle qu’on l’a vu à l’œuvre avec un de ses missi dominici, telle qu’on la suppute envers certains de ses pions dans le cadre de crime contre l’Humanité par excellence, le crime contre l’enfance, le crime qui est l’expression la plus ignoble de la perversité qui se réjouit, s’ennoblit et décrète bien entendu que pour ces coupables la peine de mort ne puisse exister !

Nul n’est aveugle sur la toile, des faits et des gestes de ces commanditaires de la mort, de ces mercenaires de la destruction, de ces enfants de Weishaupt qui fut le parjure par excellence de l’Humanité, cet individu malsain prospérant dans la désincarnation  la plus immonde, larbin lui-même de la pénétration du vide, de cet espace où se réjouit l’ignominie accouplée à l’atrophie.

Nous y voici de ce plan des conjurés en pleine expansion, machiavélique à souhait, mariant le nazisme et le communisme comme nef portuaire afin d’attraire tout un semblant dans l’esclavage le plus total, un esclavage adulé par des masses létales de leur culture, de leur origine, de leur grandeur, toutes à l’affût de leur désintégration pour leur plus grand plaisir, aidées en cela par les récipiendaires d’actualités inventées de toutes pièces, tournées dans les studios d’un pays voisin de la Syrie actuellement, pour faire accroire, décérébrer l’innocent, le rendre compulsif de la haine pour la Liberté, de la haine pour le droit d’un Peuple à disposer de lui-même, et d’encourager son armée désormais de métier, car l’Armée du peuple ne se déplacerait pas dans cette outrance, sous le label tant de fois éhonté de l’humanitaire qui fait rire tout un chacun désormais, afin de la convier au festin des barbares.

La Barbarie dans sa puissance est là, méthodique, sanglante, anéantissant tout ce qui n’est pas pour lui complaire, tout ce qui ne se prosterne pas devant ses yeux fous, devant cette folie démentielle qui est le privilège de l’atrophie, de cette mutilation de l’Esprit qui ne gère que des critères subjectifs afin de se déployer, s’enhardir et compulsivement ordonner la quête de son éternelle jouissance, la possession, l’accaparement de toutes matières premières, pour ses besoins personnels et non les besoins d’autrui !

Ne cherchez ici la moindre empathie, elle n’existe pas, car dans le néant n’existe que le néant, et ce phasme qui voudrait se valoir maître de l’Humain, parade, parade comme jamais il ne l’a fait, réalisant ses plans démentiels, pour la Syrie comme pour la Libye, comme pour l’Iran, devisés et inscrits bien avant 2001, et que tout un chacun se doit de suivre, les yeux vibrant d’émotion, la bave aux lèvres, comme la panurgique essence qui se profile sur l’horizon, dont l’obésité et les tares sont les menstrues de ce devenir, dont l’inconscience est la règle, dont l’opportunisme est le vœu, une Humanité réduite à sa simple expression, celle du ver demandant à se nourrir et périr suivant les conditions imposées.

Le ver est là, devant nous, et se réjouit de son appartenance, se congratule, dans l’effervescence de son rayonnement de la débilité programmée, et l’on s’étonne après que personne, je dis bien personne, tout au moins dans notre Occident châtré par toute la perfidie de ce monde, ne se rebelle contre les incantations proférées par toute la vermine qui siège, en farandole s’éblouit de ses propos et se nobélise à souhait !

L’Être Humain s’est réveillé dans certains lieux, dans certaines Nations, mais la masse sombre de plus en plus dans le carnage de sa propre réalité, il ne faut pas s’y tromper, ainsi faut-il attendre l’angle médian qui verra l’Humanité esclave pour que s’inscrive dans le temps et par l’espace, par insinuation totale des leviers de cette tour de Babel qui se prononce, le renouveau de l’espèce Humaine en ses rameaux, car les lois de la Nature ne sont pas les lois de l’atrophie, et la nature revient toujours à l’équilibre, cet équilibre ce jour rompu qui verra son apogée lorsque sept milliards d’Êtres Humains se réveilleront de ces rêves en panoplies que lui soumet la barbarie, et dont inconsciemment, ils se rendent complices.

Mais n’est-ce pas là le jeu souverain, cette bataille de la Liberté contre l’esclavagisme, de tout temps et en tous lieux ? Alors chers Lectrices et Lecteurs, courage, retroussez vos manches, et au travail !

© Vincent Thierry