Quitter la France ?
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Quitter la France ?
Quitter la France ? Il y a bien des raisons de quitter notre Nation, multiple en fonction des cancers qui la rongent, des sidas qui cherchent à la détruire, de ces idéologies défaitistes et totalement irréelles qui s’y prônent, des lois scélérates qui y dominent, de l'acculturation qui y règne, du déni de penser qui y est loi, toutes devises réduisant la Démocratie en lambeaux, derrière lesquels se cachent les pions de la subversion élus comme des camemberts, pauvres figurines désuètes qui s'imaginent pouvoir alors qu'elles sont esclaves de l'usure la plus répugnante.
Il y a bien des raisons de quitter la France où l'on voit une immigration massive parasitaire à souhait vivre sur les deniers publics, creusant le gouffre des caisses sociales, aidant la subversion dans son désir d'anéantissement des valeurs de la République, aidée en cela par des "pouvoirs publics" lui laissant libre arbitre du crime, que cela soit de la drogue ou de la prostitution, communautarisme belliqueux tentant d'imposer ses lois et sa religion à notre État anémié et famélique, assoiffé des voix de cette outrance qui ridiculise notre Nation.
Il y a bien des raisons de quitter la France lorsqu'on voit que nos impôts servent à payer ces flux migratoires dantesques, et en aucun cas le devenir de notre Nation, lorsqu'on voit que l'"éducation" nationale est le creuset de l'illettrisme, de l'incohérence, de la soumission à la barbarie, de l'apprentissage de l'esclavagisme, de la flagellation continue, car être de race blanche, Français de souche, catholique, hétérosexuel est une honte, une hérésie dans notre Nation agenouillée devant tous les communautarismes, hilarant de reptation devant tout ce qui n'est pas Français.
Il y a de quoi quitter la France quand on la voit emprisonnée par la secte de la barbarie par excellence, une franc-maçonnerie dévoyée déversant par tous sillons la mort de notre Nation, son viol systémique, sa destruction par l'euthanasie et l'avortement, sa destruction par la mort lente économique au nom de sa panacée, cette europe un genou ployé devant l'usure, par la mort lente culturelle par implantation d'un multiculturalisme nivelant l'intelligence par le bas, par la mort lente spirituelle en favorisant l'implantation de la religion de la soumission, la laïcité n'étant qu'un voile permettant cette implantation, un voile tenu par la destruction, au même titre que la Démocratie, le voile de l'illusion entretenue par la propagande d'État et les larbins de l'usure par médias interposés, toute une panoplie atavique qui n'a rien de la France et tout de l'exogène variété vendue comme mode appropriée, le métissage.
Il y a de quoi quitter la France devant l'invention de l'atrophie, le genre, salaison du non-être, dépérissement de l'individualité qui doit se soumettre, car sans sexe, soumission limpide à l'homosexualité, à la bisexualité, et pourquoi pas à la zoophilie, la famille devant être détruite pour les incantations maçonniques dévoyées afin de mettre en place, à la place de l'être Humain, la chose qui permettra aux "maîtres" de s'en servir sans faconde tels qu'ils le font actuellement en s'absolvant de tout crime, absolution pour le viol des femmes, des hommes, des enfants, pardon du genre pour lequel aucune loi n'existe, permettant cette barbarie ultime.
Il y a de quoi quitter la France lorsqu'on voit la corruption culturelle y existant, invasive, permanente, se livrant aux incantations les plus hystériques depuis 1945 pour cacher ses crimes, l'épuration ethnique de la Russie en 1917, débutant par le massacre ignoble de la famille impériale, puis par les membres de l’aristocratie, des propriétaires terriens, des industriels, des intellectuels, et des membres des professions libérales, médecins, juristes, professeurs, faisant dire au journaliste américain Knickerbrocker «Du temps où j’allais en Russie en 1925, tous ces gens-là étaient entièrement exterminés.», puis lorsque le premier plan quinquennal fut lancé, les paysans qui avaient des moyens pour employer de la main-d’œuvre, puis le Peuple Russe par instauration de la famine, notamment en Ukraine, faisant sensiblement 60 millions de morts dans cette population, soixante millions de morts conjoints dans la barbarie la plus ignoble qui ait existé, dirigée par Lénine, Sljanski, Goussief, Kameneff, Steckloff, Sverdlow, Joffe, Livitnoff, Rakowsk, Radek, Unstskt, Menjisky, Lann, Bronski, Trotsky, Volodarsky, Petroff, Smidorvitch, Vovrowsky, Zaalkinf, accompagnés de leurs petits frères déguisés en hauts commissaires, Ambassadeurs, et pire encore en dirigeants de la police secrète avec Djersinsky, Yagoda et des camps de concentration ignobles où l’apprentissage de la mort fut conditionné par la faim, la maltraitance, les essais chimiques et biologiques, gangrènes que reprendront en chœur les petits frères du bolchevisme, les nationaux socialistes.
Double incantation faisant vœu du silence sur ces martyrs russes, lorsqu’on voit qui a financé cette révolution de l’horreur absolue, savoir en premier lieu le syndicat américain, avec les banques Loeb et Warburg, Jacof Schiff, Guggenheim, Max Breitung, Otto Kahn, etc alliés aux Rockfeller et Morgan, et au syndicat d’Europe avec les Rothschild de Paris, Londres et Francfort, les Frères Lazard, Asberg, de la Nye Bank de Stockholm, les Gunzburg de Pétrograd, Paris et Tokyo, les Speyer de Londres et de Francfort, le syndicat patronal et bancaire Wesphalo Rénan avec le magnat du charbon Kirdorf et la banque Warburg de Hambourg.
Double incantation donc cachant depuis 1945 l’horreur précise de la subversion en marche initiée par une franc-maçonnerie dévoyée aux ordres de l’usure, et ce jusqu'à la chute du mur de Berlin. Et cette double incantation est là tous les jours dans les médiatiques errances à psalmodier, à s’égosiller, tentant un lavage de cerveau qui ne fonctionne pas devant la terreur qui fut et continue à exister de par ce monde, devant la violence infecte qui fut et se poursuit encore dans les camps de concentration économiques du communisme née de l’atrophie la plus horrible, celle de ne voir en l’Être Humain qu’un objet économique. Ne parlons pas de Nuremberg, un procès sous faux drapeau dont toutes les pièces constitutives devraient être étudiées par n’importe quel étudiant en droit, pour voir à quel point se révèle là une manipulation totale du droit, à la ressemblance de la barbarie qui ne vivait si bien qu’avec la tête coupée de ses ennemis, Tamerlan.
Ne parlons pas de l’effroyable qui s’ensuivit en Pologne, en Allemagne, en France, dans tous les pays sous la botte bolchevique initiant des massacres à outrance, des viols conjugués jusqu’aux fillettes de moins de dix ans, une horreur dirigée notamment en Allemagne de l’Est par la fameuse Hilda la rouge, des crimes de Staline, fusible habile pour cacher le meurtre, l’assassinat, le génocide du Peuple Russe par tout ce qui ne fut pas Russe, au motif que l’empire tsariste ne correspondait pas aux plans initiés par Weishaupt sous tutelle de sa confrérie meurtrière.
Le déni de l’Histoire entraîne la faillite de l’histoire avec un h minuscule, et on ne peut cacher très longtemps la vérité, comme on essaie actuellement de le faire en taisant Soljenystine, dans ce bourbier qu’est devenue la culture, dans ce no mad land éclairé par une seule lanterne qui s’affole sans arrêt croyant que cet affolement gagnera les uns les autres et que d’aucuns n’iront plus loin pour voir ce qui se cache derrière cet affolement.
Oui, il y a bien des raisons de quitter notre Nation lorsqu’on voit le comportement de la subversion qui la lie à l’agonie, mais c’est justement pour cela qu’il ne faut pas quitter la France et se battre, je dis bien se battre contre les litanies, les prières infécondes, les atermoiements, les luxures dépravées, toute cette fange qui se déverse dans chacun de nos fleuves, sur chacune de nos terres, qui pourrit l’esprit de nos enfants, qui détruit jusqu’à la réalité pour faire place à une fiction dévorante, une fiction qui ne passe plus, une fiction qui ne doit plus passer, cette fiction qu’à l’errance que d’accroire que tout un chacun doit devenir errance.
Il faut se battre pour le respect de la famille, il faut se battre pour la légitimité du sexe, il faut se battre pour le droit des Femmes, il faut se battre pour la solidarité du Peuple de France, il faut se battre pour que plus un seul électeur ne vote pour la barbarie qui s‘illumine, tous les vautours assoiffés en loge dévoyée qui attendent leur heure et se vendent comme des fromages sur le marché, il faut se battre culturellement pour redresser la France de son naufrage culturel, de cette bassesse ignoble littéraire, graphique, médiatique, sculpturale, peinte, qui aujourd’hui est dans le lisier de la pourriture, cette pourriture qui s’invente électeur ou électrice des arts de l’Europe, qui s’orne et cherche à accaparer la réalité culturelle de notre Nation comme des Nations d’Europe, tels des copistes en mal de création, qui s’acharne pour détruire la réalité, comme on le voit dans les Œuvres de Wagner, conchiées par cette source de la débilité mentale qui charrie ses grotesques livrées qui n’arriveront jamais à la semelle de tout créateur qui se respecte.
Il faut se battre pour l’Art en général, pour le savoir en général, pour la culture en général, pour l’Art politique qui n’est pas celui de voir condamner à un camp de concentration monétaire les Peuples de notre Monde, mais bien celui de diriger la cité, la Nation pour élever chacune de ses citoyennes comme de ses citoyens à la grandeur, à l’honneur, au courage, à la foi inextinguible en son Peuple, qui ne doit plus être l’objet d’un viol asymétrique, ordonné par l’errance qui siège à l’ONU.
Il faut donc rester dans notre Nation multimillénaire, pour désherber le chiendent qui l’immole depuis cette révolution qui n’est pas la révolution française, mais la révolution de l’usure et de ses ferments, une révolution non du Peuple mais de ses scories, de ses parasites, qui aujourd’hui détruisent la terre au nom de leur équivoque atrophie, une franc-maçonnerie totalement engluée dans la voie dévoyée, des sociétés d’illuminés qui dictent le sens de leur atrophie, la fabian society principalement ce jour en Europe dont les courroies de transmissions se retrouvent dans toute cette faune allant du Bilderberg au Siècle en France, une faune de roturiers, une faune de voleurs, une faune de prédateurs, une faune infâme qui ne dit pas son nom, se cachant dans les limbes de ses prêtrises, de ses couloirs argentés, de ses dorures insipides, de ses constellations du vide, maniant la carotte comme le bâton, maniant l’ignoble et la féerie, illusionnistes impavides qui attendent la curée, font et défont les présidences acculturées si possible, bien lacées par des affaires qui les tiennent, des histoires de participations dans des délits d’initiés, des histoires grotesques de mœurs qui feraient rire n’importe qui de sensé, mais pire aussi des histoires de meurtres qu’ils soient politiques ou liés à une sexualité dépravée, notamment le meurtre d’enfant dans des rituels infâmes, qui voient tous ceux qui s’y intéressent disparaître par un enchantement, réseaux de prostitutions intellectuelles et physiques qui se veulent dominance du fait de leur appariement pour cacher leurs crimes et leurs délits, à la ressemblance étrange de cette chape de plomb posée sur les crimes les plus ignobles que la terre ait porté, voyant certains commissaires russes se voiler dans la peau de condamnés.
Non, il faut rester en France, nous Françaises et Français de souche pour combattre l’ignominie alliée aujourd’hui avec la soumission, il faut nous battre démocratiquement et vider des urnes tous les contemplatifs de la barbarie afin d’allouer à la capacité la facilité de fonder notre Nation, or de l’usure et de ses propos, or de la pourriture qui elle, dans l’errance appropriée, partira, nous en sommes certains, sans regrets de notre part, sans regrets, tant de souillures et d’immondices à nettoyer de ses labiales déjections. Nous pouvons comprendre qu’un acteur quitte ce taudis, et nous comprenons aisément les calomnies dont il est le sujet, car rappelons-nous qu’il est un Français de souche et non un parasite de l’errance, de fait comment pourrait-il en être autrement ?
Qu’il n’ait aucune culpabilité à quitter ce mouroir génital, cette Nation violée au plus profond d’elle-même, par le machiavélisme le plus putride qui depuis Cromwell s’agite et se perpétue pour fonder son nouveau désordre mondial, sa croyance lubrique en une terre gouvernée par des élus qui seront les maîtres d’une humanité esclave, qui sera euthanasiée en fonction des besoins matériels, qui devra avorter en fonction des besoins monétaires, et dont ces hideurs se serviront comme torche cul de leurs délires sexués. L’exemple n’est pas loin de cette horreur accouplée au vide, de cette luxurieuse débauche accouplée à la gouvernance et combien d’autres dans l’apprivoisement de leur réalité qui se fonde sur l’observation de leurs actes répugnants, de cette dantesque et grotesque tentative d’imposer le genre !
Infâmes personnages qu’il convient d’éradiquer de tout bulletin de vote ! Non, la France n’est pas dans son déclin, ni spirituel, ni culturel, ni biologique, à telles fins que la jeunesse déjà se lève contre le pourrissement, contre la soumission, contre la pernicieuse virtualité qui ourdie toute une éducation basée sur l’usure, à telles fins que les conscients ne votent plus et ils sont majoritaires par toutes Nations de l’Europe, cette majorité silencieuse qui lentement mais sûrement va se révéler pour taire à jamais l’ignominie, la propagande et ses verrues. Ce n’est qu’une question de temps et le temps est élastique ne l’oublions jamais, et lorsqu’il ne va pas dans le sens de la réalité, il peut revenir à la vitesse de l’éclair afin d’instruire ses fondements dans le réel et non le virtuel, ce virtuel dont les incantations font rire tout le monde aujourd’hui, le darwinisme ridicule, le freudisme anal, le marxisme théologique pillé chez les révolutionnaires Français, le einsteinisme volé à Poincaré qui ne croyait en aucun cas à cette théorie de la relativité qui n’a jamais fécondé à ce jour quoi que ce soit pour l’Humanité, le friedmanisme létal des Nations, toutes voies de la négation du Vivant, de la négation de la Vie qui ne sont là que pour favoriser le conditionnement de l’individu à son esclavage consenti.
Non, la France n’est pas sur son déclin, bien au contraire, et la quittez ne sert de rien, il faut rester chez nous et combattre avec le Verbe, avec les Urnes, avec la voie de la Démocratie, non cette Démocratie ridicule, mais la Démocratie représentative, garantissant la voie à des Élites et non des esclaves de ce qui ne fait pas la France mais la détruit. Il ne faut pas fuir le fumier, car c’est sur le fumier que naissent les plus belles roses, et ces roses sont en train de fleurir, éveillées par leurs racines immuables, et n’en doutons pas, elles terrasseront l’illumination de l’ombre, pour réaliser l’illumination de la Lumière, qui n’est pas celle de ces confréries obscures qui se pervertissent dans la moisson de la destruction, mais bien la Lumière de la construction, en la Voie, par la Voie, et pour la Voie qui n’a rien de commune avec les élucubrations stériles de l’atrophie qui se veulent maîtresses du destin de la France, comme des Nations Européennes.
© Vincent Thierry