En cette année 1793
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En cette année 1793
En cette année 1793, le 21 janvier, se commettait l’assassinat le plus répugnant qui soit commis sur cette terre, l’assassinat de Louis XVI.
Ce Roi comparaissait dans la solitude, entouré de cent mille gardes afin que le Peuple ne se déchaînât, ce Peuple qui avait servi la subversion sans le savoir, leur Roi, donc dans la solitude et non seulement la solitude, allait vers l’échafaud dressé à son attention, afin qu’il soit guillotiné par la puanteur subversive de ce qui n’était pas la France et ne le serait jamais, un amalgame de visages blafards sorti des torpeurs des égouts qui venait respirer le sang de celui qui, trahi par toute la défécation de ce monde, représentait la légitimité, et non seulement la légitimité mais l’ardeur de la France, Fille aînée de l’Église.
Que l’on ne se trompe, ce crime était bien haut revendiqué par tout ce qui ne représentait en aucun cas le Peuple de France. L’Histoire nous en est office. L’Histoire qui nous vient de vagues en vagues vers cet assassinat.
En 1645 tout d’abord, voyant une révolution d’Angleterre menée par Cromwell aidé par l’oligarchie protestante et par les juifs des Pays Bas détrônant et exécutant Charles Ier, semis de morts sanglantes aux crimes impardonnables. Semis suivi en 1660 par la terreur jacobite toujours en Angleterre, qui réussit avec l’aide des juifs d’Amsterdam à ramener Charles II sur le trône. Déjà le poison insinue dès cette date certaines sphères philosophiques de notre Nation que représente si bien Fénelon. On assiste ensuite toujours en Angleterre, à la cabale de la maçonnerie orangiste, chassant Jacques II pour installer sur le trône une dynastie protestante et favorable aux juifs, celle de Guillaume de Nassau.
Prolégomènes à la diffusion du virus qui désormais s’installe, voyant en 1717 la Fondation de la Grande Loge de Londres, où ne doit jamais être évoqué rien de ce qui touche le gouvernement où la Religion, vœu pieux qui sera très vite dépassé dans le cadre de hauts grades représentant les loges basses et les loges secrètes.
La France est rapidement associée voyant en 1740 la fondation de la Grande Loge Nationale en France recevant ses chartes de la Grande Loge de Londres. Conjointement on assiste à la première tentative de récupération des loges par la subversion, voyant dès 1754 la création de l’Ordre des Martinistes par un juif portugais Martinez Pashallis, qui conçut un système à base de gnosticisme, de christianisme judaïsé et de philosophies grecques et orientales. Cet Ordre se scindera en deux, une branche fidèle à l’esprit initial poursuivit par Saint Martin, l’autre par un organisme révolutionnaire d’où sortit la Loge des Philalèthes (dixit amis du vrai), et par Willermoz.
1772 voit la fondation du Grand Orient de France, dont le Grand Maître, Duc de Chartres, futur Philippe Égalité, bâtard de son grand-père qui ne l’a pas reconnu, sera l’ignorant de service au service de la subversion. Les événements se suivent très rapidement et se coordonnent. On assiste en 1 773 à la dissolution de la Compagnie de Jésus, à la réunion de dirigeants juifs à Francfort, dont Amstel Mayer Rothschild, Itzig, Wesely et le financier Friedlander décidant de financer et susciter la Révolution Européenne, en son choix portant Weishaupt éduqué par ce Kahal pour diriger la pointe de la subversion en sa partie active et révolutionnaire.
Le premier mai 1776 Weishaupt fonde les Illuminés de Bavière, ordre qui a pour but de conquérir le pouvoir mondial et les richesses et de saper les gouvernements civils et religieux, et de s’investir en ses dirigeants en tant que maîtres du monde. Le secret, l’espionnage, la délation, l’hypocrisie, le retournement, l’insinuation, le mensonge, la sexualité débridée, la perversion, sont les armes de cet Ordre qui se fait accroire en sa base comme un christianisme détaché de l’Église catholique puis en ses hauts grades comme le vecteur de la raison humaine contre la croyance évangélique.
Les objectifs des illuminés se résument en cinq points : Abolition de la monarchie et de tout gouvernement établi ; abolition de la propriété privée et du droit d’héritage ; abolition du patriotisme ; abolition de la famille, c'est-à-dire du mariage et de la moralité, et institution de la communauté d’éducation des enfants ; abolition de la religion.
Dès 1778 l’infiltration des Illuminés commence dans la maçonnerie. En 1780 un accord élargi entre l’illuminisme et la maçonnerie est conclu à Francfort, berceau des Rothschild, avec le représentant de la maçonnerie, le baron von Knigge et le représentant de l’illuminisme le Marquis de Constanza.
En 1781 cet accord est additif d’une mise au point des classes inhérentes à l’alliance illuminisme maçonnerie, savoir, les minervaux, les Francs-Maçons, les initiés à la classe des mystères divisée en deux : les mystères mineurs et majeurs, ces derniers comportant à leur tour les grades de prêtres et de régents, et celle-ci ceux de mages et d’hommes rois.
Pointe d’orgue de ces additifs, une vague de philo judaïsme s’étend sur l’Europe initié par le livre de Dohm : «De l’amélioration de la condition des juifs», écrit sous l’influence de Moïse Mendelssohn. Notons que ce livre décrit les Chrétiens comme de cruels barbares et les Juifs comme d’illustres martyrs, dixit Graetz dans Histoire des Juifs. «Lettre sur les Juifs» de Anarchasis Clootz. En 1782 le Congrès de Willemstad scelle l’alliance entre illuminisme et la franc-maçonnerie. Il rassemble tous les représentants des sociétés secrètes, les Martinistes comme les francs-maçons, les illuminés qui comptaient alors trois millions de membres à travers le monde.
Les illuminés prennent le pas sur ces diverses sociétés et deviennent maîtres du jeu. Certains francs-maçons font défection notamment le Comte de Virieu qui dira dans ses mémoires : «le complot est si bien ourdi qu’il sera impossible à la monarchie et à l’église d’en réchapper.». Les juifs peuvent désormais entrer en loge. Notons que les juifs étaient déjà admis dans les loges de l’Ordre de Melchisedech en Allemagne du Nord, et l’Ordre des Frères initiés d’Asie. Notons aussi que les Juifs avaient déjà créé plusieurs des principaux rites, le martinisme, le rite de Memphis, et l’illuminisme.
La Franc-maçonnerie Illuministe transfère son Siège à Francfort, haut lieu de la finance juive sous le contrôle de Rothschild Mayer Amschel, Oppenheimer, Wetheimer, Schuster, Stern.
En 1785 se tient le Convent de Paris sous l’égide des Philadelphes, issus de la loge mère des Chevaliers de la Bienfaisance de Lyon, centre du Martinisme international, reconnue comme loge dirigeante de tout le système Templier de la stricte observance jusqu’en Allemagne, en correspondance avec les Illuminés de Bavière. Puis en 1786 se tient le Grand congrès de Willemstad sous l’égide toujours des Philadelphes initiant le processus de la Révolution, ayant pour chef de file le Duc Ferdinand de Brunswick, reconnu comme chef de toute la maçonnerie. À sa suite, se tient le Grand congrès maçonnique de Francfort où est décrétée la mort de Louis XVI et de Gustave III de Suède.
Le Grand Orient de France qui était démocratique en ses racines, s’unit avec le Grand Chapitre, où frères du rite Templier, (hauts grades de la maçonnerie, Martinistes, stricte obédience Templière, Illuministes), révolutionnaire par essence voyant la révolution s’accomplir au bénéfice de la classe supérieure avec le Peuple comme instrument. À la loge des «amis réunis» s’institue le Comité de propagande réunissant les hauts membres du Grand Orient, tissant les fils de la conspiration Nationale et internationale. Adrien Duport, Illuminé de haut grade, jeune conseiller au Parlement, Député de la noblesse aux États Généraux, membre du Comité de Propagande, avec Mirabeau, Barnave, Talleyrand, le duc de la Rochefoucauldt et Savalette, y planifie le cours violent et terroriste de la révolution à venir.
Duport, a l’idée d’utiliser les services d’organisateurs d’émeutes pour favoriser cette révolution, comme Hanriot, Chabot, Fabre d’Églantine, Pache, Roux, Momoro. C’est dans cette même loge que Bode et le baron de Busche, illuminés délégués par Weishaupt, négocient la fusion de l’Illuminisme et des loges du Grand Orient. Tandis que publie le Gouvernement de Bavière à l’ensemble des Nations européennes des «Écrits originaux de l’Ordre des Illuminés», décrivant le plan des Illuminés savoir l’instauration de la révolution universelle qui donnerait le coup fatal à la société, les Illuminés de Bavière rentrent en sommeil en Europe mais créent leur première loge dans le nouveau monde, en Virginie. En 1788 ils se reconstituent sous le nom de Deutsche Union, dirigée par Knigge et Bahrndt de la Halle.
1789 arrive, où est publié un Essai sur la secte des Illuminés par le Marquis de Luchet prédisant ce qui allait se dérouler en France durant l’année en cours. En mars de cette même année, les 266 loges du Grand Orient de France passent sous la tutelle de l’Ordre des Illuminés suite au dépôt du Code de Weishaupt par les Illuminés Bode et le baron de Busche, invités de Mirabeau, Illuminé lui-même, à la loge des «amis réunis». Le 14 juillet 1789, débute la «révolution» Française, par la prise de la Bastille, déclenchée par la conspiration Orléaniste aux mains de l’Illuminisme, qui organise la pénurie artificielle du blé et des farines au printemps et à l’été de cette même année. Le 22 juillet 1789, l’opinion manipulée par les Illuminés partout en France, le même jour à la même heure, est présentée une «ordonnance du Roi» qui stipule que les châteaux, hors celui du Roi, doivent être brûlés. Notons que tous les attentats, qu’il s’agisse de l’attaque des ateliers Réveillon en avril 1789 ou l’assassinat du boulanger François en octobre sont dirigés contre des hommes qui ont nourri le Peuple ou ont été des amis des pauvres, afin d’instaurer la raréfaction des approvisionnements et exciter le Peuple.
En octobre 1 789 est publié le Croquis ou projet de Révolution de Mirabeau décrivant les instructions les plus destructrices de l’Ordre des Illuminés. On note que l’Angleterre de William Pitt et Georges III se félicite de cette révolution, l’estimant un juste châtiment pour l’aide que la France avait concédé à l’indépendance Américaine, et déverse via Philippe d’Orléans, intime du Prince Galles et ouvertement en liaison avec le Cabinet Saint James, quantité d’or pour pousser aux émeutes, incitées entre autres par Danton et Mirabeau, agents à la solde de Saint James. Frédéric II de Prusse n’est pas en reste, lui qui rêvait de briser l’alliance Franco Autrichienne, et d’unifier l’Allemagne sous domination Prussienne, il utilise les services de ses agents prussiens avec à leur tête un juif nommé Ephraïm pour infiltrer la populace révolutionnaire et enflammer les passions, et en se servant d’un agent Français du nom de Carra. Notons que Frédéric II fut initié par son ministre rose-croix, Johan Cristhof von Willmer au spiritisme et à la magie noire au château de Charlottenburg. Ce Wollmer apparaît s’opposer ensuite à Weishaupt.
La formation de Clubs de Jacobins organisés en comités révolutionnaires directement inspirés par les Illuminés de Bavière permet d’étendre l’influence des dits Illuminés sur la «Révolution Française». Cette formation permet à un signal donné de déclencher des insurrections dans toutes les parties du pays simultanément.
Nous le voyons cette «révolution» n’est pas Française ni par le cœur ni par l’esprit. Elle est née sous les auspices de l’usure dont les agents sont à la fois les Allemands et les Anglais régissant par l’intermédiaire des loges maçonniques le déroulement de la dite «révolution». Ici se culmine cette entente en 1790 lors de l’invasion des armées révolutionnaires des pays d’Europe, facilitée en Allemagne, en Italie, et en Savoie par les maçons des pays envahis. La bataille de Valmy menée par le Duc de Brunswick, chef de toute la maçonnerie européenne illuminée, est une forfaiture ; il vend la victoire de Kellermann pour une partie des joyaux de la couronne Française afin d’éponger ses dettes. 1791 devient l’année de l’émancipation des juifs adoptée par l’Assemblée Nationale Française sous l’influence de Mirabeau, couvert de dettes, et l’abbé Grégoire et de la Loi Le Chapelier du 14 juin 1791 interdisant les syndicats professionnels qui existaient auparavant sous le nom de corporations d’ouvrier, afin que se soumettent les ouvriers aux lois morbides de l’usure. La terreur alors s’avance voyant en 1792 la fermeture de toutes les loges maçonniques.
La maçonnerie a suivi là son double tranchant, de doctrinaire et éducative, elle se dissout au profit de l’arbitraire révolutionnaire, dans le cas présent dans le cadre des clubs de Jacobins, maîtres de la France, pour ne pas être impliquée dans l’action révolutionnaire ainsi que l’action subversive internationale qu’elle guide en sous-main. On voit le Club de la Propagande lancer par l’intermédiaire de la Convention en décembre une invitation aux peuples dans toute l’Europe à se soulever contre tous les gouvernements établis, appel qui ne sera pas suivi, premier acte de la révolution mondiale.
On assiste le 10 août à l’abolition de la monarchie. Ici l’illuminisme entre en action, la bannière tricolore est remplacée par le drapeau rouge de la révolution sociale ordonnée au cri de Liberté, Égalité, Fraternité, insigne de ralliement des Illuminés. Les massacres commencent auxquels échappent ceux qui savent répondre aux signes maçonniques. Et nous parvenons à cette année de l’horreur 1793, commençant par l’assassinat du Roi Louis XVI ce 21 janvier, le Roi de France voyant la barbarie s’instaurer et se vouloir guide de la Nation, seul devant le couperet, pardonnant à ceux qui le martyrisent, car c’est cela la force et la grandeur, l’honneur de la France que de savoir pardonner, pardonner à l’errance venant martyriser la France.
Un martyr que tout un chacun se doit de révéler et respecter, car œuvre de notre légitimité, issu de notre grandeur et de notre splendeur, issu de la réalité face à ce coup d’État de l’errance sur les Nations Européennes, les États-Unis d’Amérique, un coup d’État qui jusqu’à ce jour se fait ressentir avec toute sa source d’atrocité pandémique à souhaits.
1793 est l’année du martyr de la France, le Roi de France guillotiné, la haine de tout ce qui n’est pas la France et tout ce qui ne sera jamais la France se déchaîne sans limite, (on ne reverra cela qu’en Russie avec l’assassinat de soixante millions de Russes au motif d’une «révolution» ), voyant une campagne contre la religion s’étendre à toute notre Nation, sur ordre de l’illuminé Chaumette (anaxagoras) une campagne d’affichage s’épandre dans les cimetières, des Fêtes de la Raison célébrées dans les églises de France avec pour emblèmes des prostituées, la dévastation des villes manufacturières, la destruction des bibliothèques, une campagne contre l’éducation, en cela suivant les préceptes établis pas Weishaupt et sa secte.
Vandalisme qui fit la fortune des receleurs et marchands vendant en Angleterre et ailleurs les meubles, tableaux, objets d’art, pillés des églises, des couvents, des châteaux. Le bureau de Louis XIV du Palais de Versailles, réapparut chez Christie à Londres en 1999, mis en vente pas les Rothschild. Vandalisme voyant les financiers agioteurs spéculer sur les biens nationaux vendus en monnaie de papier et remboursables à terme au cours du jour, complot bien documenté dans lequel on retrouve Clootz, Pereyra, les banquiers judéo maçons belges Walckiers et bien d’autres.
Mais 1793 n’est qu’un prélude pour ces hères sans Patrie et sans gloire, 1794 est bien pire voyant l’instruction publique déclarée inexistante en France, le chômage des ouvriers pandémique compte tenu de la destruction des industries manufacturières. Voyant Dubois Crancé, en avance sur le malthusianisme, proposer la dépopulation d’un tiers de la France, en raison du chômage.
La guillotine ne marche pas assez vite, et pourtant trois cent mille Françaises et Français sont assassinés par la terreur, dont environ 3 000 aristocrates sans compter le Roi de France, la folie ici est à son comble. Les guerres de Vendée sont un génocide organisé par la folie meurtrière de pseudos généraux de la République, les chouans noyés, guillotinés, assassinés dans une horreur sans nom. La Révolution laisse la France en guenille.
On n’oubliera pas ici la participation active de la finance apatride à la mise à sac de la France, par l’intermédiaire des financiers maçons avec leurs alliés le juif illuministe Clootz, proche des banquiers hollandais Van der Yver et cousin de Proli et leurs amis dont Duport qui a tout fait pour se débarrasser de la Monarchie pour la remplacer par un régime politique qui serve leurs intérêts
On n’oubliera pas ceux qui trempèrent dans le scandale de la liquidation de la Compagnie des Indes, outre Fabre d’Églantine, le défroqué Chabot du Comité de sûreté générale devenu beau-frère des banquiers juifs polonais Debrouchka venus s’installer à Paris, alias Junius et Emmanuel Frey, le banquier Kock, le juif Jacob Pereyra, l’Espagnol Guzman, non plus que les plus virulents francs-maçons aristocrates, membres du grand orient, les frères Lameth, juifs d’ascendance, qui entretenaient une bande d’émeutiers nommée le sabbat, l’avocat Bergasse qui réunissait une loge de révolutionnaires dans la maison parisienne du financier juif Kornmann, Madame de Stael la fille de Necker, Madame Récamier femme de financier, le salon de Madame Tallien, fille d’un banquier espagnol, de l’abbé Sieyes, Barras, Cambacerès et Bonaparte.
Non plus que le miracle après la mort de Robespierre, de voir la Franc-Maçonnerie, vierge veuve, renaître sous la direction de Laréveillère Lepaux et organiser le culte théophilanthropique reprit par l’Église deux siècles plus tard. Années d’horreur sous l’insigne des Illuminés de Bavière cornaqués par l’usure, qui auraient pu se poursuivre en 1795 et 1796 où l’on vit Babeuf, fils spirituel de Weishaupt, éditer ses journaux, le Cri du Peuple et le Tribun du Peuple, le Manifeste des égaux, reprenant point à point les préceptes de Weishaupt.
Bible par excellence du communisme si bien défini par Buonarroti : «Dans l’ordre social, le Pays s’empare de l’individu naissant pour ne l’abandonner qu’à sa mort. Il s’en occupe dès ses premiers instants, lui fournit le lait et le soin de celle qui lui donna naissance, le protège de tout ce qui pourrait attenter à sa santé ou affaiblir son corps, le préserve de la fausse tendresse et le conduit par la main de sa mère à la maison de la Nation, où il acquerra la vertu et la lumière nécessaire à un véritable citoyen.» Où le parfait esclave régit en fonction des besoins de la Nation, ce qui exclut toute culture, et du suprême principe d’égalité, ce qui exclut toute identité comme toute racine.
Un traître dans la secte Babouviste, Grizel, permet fort heureusement de faire échouer la tentative de renverser le pouvoir par Babeuf. Nous devons cette chute à Bonaparte qui fera exécuter Babeuf en 1797. Babeuf qui donne le flambeau à Buonarrotti pour que la subversion initiée par l’usure triomphe. Nous savons ce qu’il en fut de révolutions en révolutions, de crimes en crimes, voyant le génocide du Peuple Russe, le génocide des Peuples Européens par le fait de deux guerres mondiales initiées par l’usure, nous savons ce qu’il en est ce jour voyant la subversion l’ordre de ce monde !
Il est donc d’autant plus important de se recueillir sur la mort du Roi de France, Louis XVI, qui s’il avait survécu, compte tenu de l’aristocratie guerrière de notre Nation, eut pu avec des conseils éclairés exterminer la subversion dans l’œuf, ce qui n’a pas été, mais compte tenu désormais de sa triste réalité affichée dans ce monde, le sera par des Femmes et des Hommes de bonne volonté ayant l’honneur de recouvrir leur légitimité, voilée par le masque d’une démocratie usurpée. Ce temps viendra compte tenu du pourrissement visible de toutes les sociétés nées sous la tutelle de l’illuminisme et de ses prophètes de la mort, et ce en droit et toute légitimité.
Rappelons ici les principes de l’article de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de l’ONU.
«Dans la présente Convention, le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après commis, dans l’intention de détruire, en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel :
- a) Meurtre de membres du groupe.
- b) Atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membre du groupe.
- c) Soumissions intentionnelles du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle.
- d) Mesures visant à entraver les naissances au sein d’un groupe.»
Considérant l’invasion systémique organisée dans nos Nations d’Europe par la subversion et ses Agents, en vue de leur viol ethnique, culturel, spirituel, il est donc urgent que chaque citoyen Européen fasse pétition de ce lieu de non droit et dépose une plainte régulière près du Tribunal International de La Haye pour crime contre l’Humanité perpétré par tous les dirigeants de la Subversion, quels qu’ils soient, en chaque Nation considérée, du Maire à la Présidence, conjointement avec action de faire cesser immédiatement par quelque moyen que cela soit les viols ethniques, culturels et religieux, tendant à l’épuration ethnique des États Européens initiée par l’errance et ses supports.
© Vincent Thierry