Les révolutions
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Les révolutions
La façon dont a été financée la révolution russe, fut publié par le Service Secret américain et transmis par le haut-commissaire français à son gouvernement. Il fut publié par « La documentation catholique» de Paris, le 6 mars 1920, précédé des remarques suivantes: « Nous garantissons l'authenticité de ce document. En ce qui concerne l'exactitude des renseignements qu'i! contient, le Service Secret américain en prend la responsabilité ».
Ce document fut publié en 1920 dans un supplément du journal « La Vieille France », de Paris, qui ajoutait: « Tous les gouvernements de l'Entente eurent connaissance de ce mémorandum, rédigé d'après les informations du Service Secret américain, et envoyé en son temps au haut-commissaire français et à ses collègues» Le document est divisé en huit sections. Les sections, I a IV et les sections VI à VIII sont reproduites ici pour le bénéfice des lecteurs.
Section 1 : En février 1916, il fut d'abord découvert qu'une révolution était fomentée en Russie. On découvrit que les personnes ci-après nommées, de confession juive ainsi que les banques mentionnées, étaient engagées dans ce travail de destruction : Jacob Schiff, Guggenheim; Max Breitung; Kuhn, Locb et Co., banque dont les personnes suivantes sont directement : Jacob Schiff, Félix Varburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, S. H. Hanauer . Il ne fait aucun doute que la révolution russe qui éclata un an après que l'information ci-dessus ait été reçue fut fomentée et déclanchée par leurs influences. De fait, en avril 1917, Jacob Schiff fit une déclaration publique à l'effet que c'est lui avec son aide financière qui avait fait réussir la révolution russe. Section II : Au printemps de 1917, Jacob Schiff commença à fournir des fonds à Trotsky pour amener la révolution sociale en Russie. Le « New York Daily Forward », qui est un organe judéo-bolchévique, fit une souscription dans le même but. Par Stockholm, le juif Max Warburg fournissait de même des fonds à Trotsky et Compagnie. Ils reçurent aussi des fonds du Syndicat Wesphalien-Rhénan, qui est une importante entreprise bancaire juive, de même que d’Olaf Aschberg, de la banque Nya, de Stockholm, et de Givotovsky, dont la fille est mariée à Trotsky. « Ainsi fut fait le raccordement entre les multi-millionnaires juifs et les prolétaires juifs. Section III : En octobre 1917, la révolution éclata en Russie. Grâce à cette révolution les organisations soviétiques prirent la direction du peuple russe. Dans ces Soviets les individus suivants, de confession juive, se rendirent remarquables : Lénine (de son vrai nom Olllianoff) ; Trotsky (Bronstein) ; Zinoviev (Apfelbaum); Kameneff (Rosenfeld); Dan (Gourevitch); Ganetzky (Furstenberg) ; Parvus (Helphand); Uritsky (Pademilsky) ; Larine (Lurge) ; Bohrine (Nathanson) ; Martinoff (Zibar); Bogdanof" (Zilberstein) ; Garine (Garfeld) ; Suchanoff (Gimel) ; Kamnleff (Goldmann); Sagersky (Krochmann) ; Riazanoff (Goldenbach); SoluIzeff (Bleichmann) ; Piatnitsky (Ziwin) ; Axelrod (Orthodox) ; Glusunoff (Schultze); Zuriesain (Weinstein); Lapinsky (Loewensohn). Section IV : En même temps Paul Warburg qui avait été au Federal Reserve Board, se fit remarquer par ses rapports actifs avec certains bolchéviques notoires des Etats-Unis. Ces circonstances, jointes à d'autres points sur lesquels on avait obtenu des informations, furent cause qu'il ne fut pas élu au comité ci-haut mentionné (Federal Reserve). Section VI : D'un autre côté, judas Magnès, qui reçoit des subsides : jacob Schiff, est en rapport étroit avec l'organisation sioniste mondiale Poale-Sion dont il est de fait le directeur, Le but final de cette organisation est d'établir la suprématie internationale du Mouvement Travailliste Juif. Section VII : La révolution sociale avait à peine éclaté. en Allemagne que la Juive Rosa Luxembourg en prit automatiquement la direction politique. Un des principaux chefs du mouvement bolchévique international était le Juif Haase, A ce moment-là, la révolution sociale en Allemagne se développa de façon parallèle à la révolution sociale en Russie. Section VIII : Si nous tenons compte du fait que la Banque Kuhn, Loeb et Co, est en rapport avec le Syndicat WestphaIien Rhénan, banque juive-allemande, et avec Lazare Frères, banque juive de Paris, et aussi avec la maison juive Gunsbourg de Pétrograd, Tokio et Paris; si de plus nous remarquons que toutes les maisons juives ci haut mentionnées sont en correspondance étroite avec la maison juive Speyer et Co., de Londres, New-York et Frankfort-sur-le-Mein, de même qu'avec la Nya Banken, établissement judéo-bolchévique à Stockholm, il apparait manifeste que le mouvement bolcbévique est dans une certaine mesure l'expression d'un mouvement juif et que certaines banques juives sont intéressées à l'organisation de ce mouvement.
« L'ANNUAIRE OFFICIEL» hébraïque, publié aux E.U., donne avec orgueil la liste suivante des personnes exerçant un pouvoir en Russie, l'An 5678 de l'ère hébraïque :
« Aaronson, à Witebsk ; Alter, à Kamenetz-Podolsk; Apfelbaum dit Zinovief, à Petrograd; Beilis, magistrat; Bekerman. magistrat à Radom; Bernstam, à Petrograd; Bloch, au ministère de la Justice; Boff dit Kamkoff', à Pétrograd ; Bothner, police de MOSCOU. ; Bramson (Abrahamson), à Pétrograd; Braunstein dit Trotsky, dictateur, à l'armée ; Brodsky, juge à Pétrograd; Cohen, juge à Lodz ; Davidowitch, de .Kherson, à Pétrograd; Dickstein, procureur; Dalbrowsky, commissaire à Pétrograd pour les Affaires Juives ; Eiger, commissaire pour les Affaires Polonaises; Fisher, juge municipal à Pétrograd; Freedmann maire d'Odessa, au commissariat de la Justice ; Friedman, à Pétrograd; Geilman, commissaire de la Banque ; Ginzburg, à Kolomensky; Greenberg, police de Moscou; Greenberg, curateur du district de Pétrograd ; Grodski. juge à Pétrograd ; Grusenberg, enquêteur sur les affaires Navales de l'ancien régime, commissaire de la marine nouvelle ; Gunzburg, commissaire au Ravitail-lement; Guitnik d'Odessa, commissaire du Commerce ; Gurevitch, adjoint au commissariat de l’Intérieur ; Guterman, commissaire au ravitaillement de Saratov; Halperin, secrétaire général du cabinet; Halpern, adjoint au maire de Kolomensky; Hefez, adjoint au commissariat de la Justice; Hillsberg, juge à Lublin ; Hurgin, vice-commissaire pour les Affaires juives; Kahan, juge à Pétrokov; Kalmanovitch, procureur à Minsk; Kaminetski, juge à Pétrograd ; Kantorovitch, député à Pétrograd ; Kempner, juge à Lodz; Kerensky, de Saratov, député; Kohan Beirnstein, commissaire aux Charbons; Lazarowitch, Maire d’Odessa ; Lichtenfeld, juge à Varsovie; Lublinsky, à Pétrograd ; Luria, commissaire à la Banque ; Malderberg, maire de Zitomir ; Mandzin, procureur; Mcyerowitch, commissaire aux Armées ;. Minor, président du conseil municipal de Moscou; Nathanson au Conseil d'Etat de Pologne ; Per, juge à Varsovie ; Prelman, juge à Saratov; PerImutter, Conseil d'état de Pologne ; Pfeffer, Conseil d'état de Pologne ; Podghayetz, maire de Moghilev; Poznarsky, Cour de Cassation; Rabinowitz, commissaire du travail à Tavrida ; Rafes, adjoint au commissaire des affaires locales en Ukraine ; Ratner, administrateur de la cité de Nachichevansk; Rosenfeld dit Kameneff, député ; Rundstein, Cour de Cassation; Phinéas Ruttenberg, commandant en second de la Milice à Pétrograd ; Sacks, commissaire adjoint de l'Education; Schreiber, procureur à Irkoutsk ; Hirsch Schreider, maire de Pétrograd ; Silvergarb, ministre des Affaires juives en Ukraine ; Stechen, sénateur; Steinberg, commissaire à la Justice ; Sterling, juge à Varsovie ; Trachtenberg, juge à Pétrograd ; Unschlicht, commissaire à Pétrograd ; Vinaver, député ; Wainstein, administrateur de Minsk; Warshavsky, commissaire au Commerce, Pétrograd ; Kachnin, commissaire du Travail à Kherson; Yonstein, maire d'Oriel; Wegmeister, Conseil d'Etal de Pologne ; Zilzerman, procureur à Irkoutsk; Isaac son, à la Marine.
NOTE :
En Chine, l'organisateur du bolchévisme est Borodine-Crusenberg etc.
En Italie, le chef des marxistes est Claudio Trèves etc.
En Russie, Lénine, Trotsky, Kerinsky, Zinoviev, Radomilisky, Konstantinovitch, Abramovitch, Rosenblum, Litvinoff, Lindé, Ravitch, etc.
En Hongrie, le mouvement révolutionnaire de 1919 est dirigé par Bela-Kuhn (Cohen), Kunsi, Agoston, Peter, Grunbaum, Weinstein, etc.
En Bavière, la révolution de 1918 a pour chefs Kurt Eisner, assisté de Lewenberg, Rosenfeld, Koenigsberg, Birbaum, Kaiser, Hoch etc.
A Berlin, la révolution est dirigé par Lundsberg, Riesenfeld, Lewisohn, Moses, Rosa Luxembourg, Cohen, Reuss, Hodenberg etc.
A Munich, en avril 1919, les meneurs sont Levine, Levien, Axelrod, etc.
A Hambourg, en 1923, la révolution est portée par Sobelsohn (Karl Radek), etc.
Au Brésil, en 1936 l’insurrection marxiste est portée par Rosenberg, Gardelsran, Gutnik, Kaplansky, Goldberg, Sternberg, Jacob Gria, Weis Friedmann.
En Espagne, en 1936, la révolution voit « travailler BelaKuhn, Neumann, Ginsburg, Julius Deutch, Nelken, Rosenberg, ambassadeur de l’U. R. S: S., Del Vayo, délégué à la S. D. N.
Et chacune de ces révolutions abouti à des massacres des ELITES, PAYSANS et OUVRIERS sacrifiés pour quelle cause ? Cent cinquante millions de morts, dont soixante millions en Russie, dans des conditions effroyables, famine, assassinat, balle dans la nuque, tortures, noyades, goulag, camps de concentration et d’extermination, asiles psychiatriques, où ont excellés Yagoda, Staline, Beria, etc sans qu’aucun jugement ne soit fait par une cour internationale pour juger ce crime contre l’Humanité par excellence ! Que chacun retrouve les comptes de la terreur communiste diligentée par les précités, ces millions de cadavres qui jonchent le sol de notre Monde, et plus particulièrement de l’Eurasie, soumise à la barbarie la plus infecte qui soit, dépassant dans le crime les crimes du national-socialisme, autre petit frère du socialisme. Pour anecdote horrible, Bela Kuhn a fait assassiné 25000 personnes en cent jours, 2500 par jours !
Il serait temps de voir la réalité en face, le crime organisé, et le mystère de cette histoire que l’on cache aux enfants de ce jour, de cette tentative de coup d’état mondial par la duplicité la plus effrayante que l’Humanité ait connu. Cette histoire de 1915 à nos jours doit être dévoilée, les coupables des meurtres de masse jugés par contumace, s’il le faut, par un tribunal international impartial. Il est temps que la Russie déverse l’histoire dans laquelle elle fut mise en camisole de force, ses élites broyés par la folie démentielle de l’hystérie, comme on la verra appliquée à Katyn en Pologne. On occulte la réalité depuis 1945 sur les agissements et leurs auteurs de ces crimes impardonnables et impitoyables. Il est bien trop tard pour cacher cette réalité, tous les ouvrages d’avant cette guerre terrible financée par les mêmes que celle de 1914, destinées l’une l’autre à la destruction de l’intelligence européenne, sont sur le net, servez vous et lisez, lisez toutes les atrocités que l’on vous cache, l’atrocité du socialisme, père du communisme et du National-Socialisme, cette hérésie par excellence ne menant qu’au désastre et à cette pitoyable configuration mondiale que l’on voit actuellement, celle de l’esclavage ourdie par l’usure, au genre acclamé, à l’euthanasie bientôt garante de l’Etat eugéniste, dans la droite ligne de la pensée unique qui n’est que le reflet des crimes qu’elle devise.
© Vincent Thierry