Crise

Crise

 

Crise, voici le terme convenu pour déployer toute la suffisance de la barbarie dans ce monde. Mais tout un chacun doit savoir qu’une crise, cela se prépare, se motive et s’exerce afin que des réactions se propagent, pour lesquelles, en sauveur, on arrive pour calmer l’intempérance, le désordre, le fléau des attentats, fléau né des ismes, et notamment, de cette putridité de l’intelligence humaine, le socialisme. Car putridité il s’agit là, retour en la matière la plus visqueuse, la plus infamante, la plus délirante, en ses menstrues glauques et liquides, dont on voit les mains pleines de sang se goberger du commun, dont on voit la haine s’inscrire pour tout ce qui touche l’individualité, l’identité, la morale, les Races, l’Humanité, un chancre puant dont l’Humanité devra se débarrasser pour enfin respirer les chemins de la Liberté, cette Liberté conchiée par toute la piétaille avariée qui lui tient lieu de nid.

Un nid de scorpions enlisés jusqu’à la lie par leurs vices, leurs corruptions, leurs délires sexués, toute cette pourriture vivipare qui s’englue dans le matérialisme avec un sourire en coin qui témoigne de la lobotomie qui les conjoint. De pauvres êtres finalement, inconscients de la réalité qui s’ébrouent pour faire passer leurs lois iniques, ces lois de la destruction qu’ils cherchent à tout prix à faire valoir, fussent en organisant des matraquages sous faux drapeaux, des agressions homophobes sous faux drapeau, toutes inepties qui veulent faire croire à la violence dans les rues de celles et de ceux qui défilent contre leur hérésie qu’est ce mariage gay conduisant tout droit à la pédophilie.

Car la vérité, c’est celle-ci, c’est que tout cet aréopage aime les petits enfants, nos enfants, qu’ils cherchent à tout prix à voir dans leurs griffes afin de mieux les sodomiser, les torturer, dans cette jouissance de l’infection primale, de la dénature profonde de l’animal qu’il devient. Ne nous laissons leurrer par ce pourrissement de l’Esprit, cette déliquescence de l’Âme, cette dénaturation du Corps, voulus par tous les impétrants de la dictature qui ne jouissent que dans l’infection, avatars élus de l’atrophie qui rôde et les berce de mirobolants décors pour perclus insomniaques de la fétidité et de ses parures.

Faux drapeau donc, dans ces miasmes qui s’inventent et s’éberluent de leurs viscosités, voyant à peine deux cents personnes imposer leur diktat, qui doivent avoir de belles fiches blanches sur les coutumes sexuées de cette ineptie qui trône au Parlement, au Sénat, Francs-maçons de pacotille dont se torchera l’anus le véritable pouvoir lorsqu’ils auront bien servi la cause, la cause de cette dictature infâme qui s’avance.

Le goulag est là, mieux que le précédent, car incluant de vastes Nations sans que les Peuples n’y voient à redire, tellement sous le charme de la débilité mentale qui irradie les ondes hertziennes, cette télévision de la déchéance où se mirent toutes les lopettes de la terre, tous ces spécialistes qui touchent leur petit billet, tout ce monde interlope de la bassesse qui s’invite, s’enchante dans la flagellation, la morosité du sexe, l’appariement de la bestialité, tel en Allemagne, agréant aux revendications des zoophiles !

Cette poubelle de l’esprit ne sait plus quoi inventer pour se glorifier, ne tamisant plus ses traits pour se consommer dans la vulgarité la plus fécale, panache de son troupeau en soumission s’acharnant devant le public qui sommeille, abruti par tant de conneries débitées à la seconde, s’éveillant à peine pour regarder ces pots-pourris du «journalisme» qui disent la bonne parole de l’évangile, à quatre pattes devant les financiers qui les nourrissent, tous vers assoiffés qui souillent cette profession comme jamais, et que le public paie, grâce à ce racket d’État, cette redevance qui devrait être abolie, car ne rétribuant que la boue, où quelques éclairs passent parfois, bien vite oubliés devant la fumée, le brouillard opaque de l’inintelligence qui y musarde.

Une inintelligence telle, qu’elle cherche par tous les moyens à s’approprier la splendeur de l’Art, voyant des sans-noms, glorifier ce qui ne sera jamais eux, pauvres ères qui s’imaginent détenir un quelconque savoir alors qu’ils en sont les outils de destruction. Et ce petit monde s’égosille, protégé par les lois iniques limitant la Liberté de penser, une pensée qui n’est ni raciste, car respectant les Races, ni antisémite, car respectant les êtres Humains, ni «iste», toutes labialités permettant à des communautés de s’accroire les maîtres dans ce petit monde, alors qu’ils ne sont rien d’autre que des outils servant une cause qu’ils ignorent, qu’ils façonnent de leurs jeux de mots, de leurs livres inutiles, de leur philosophie de pacotille, de leurs accoutumances à accroire qu’ils sont Mozart, Bach, et tutti quanti alors qu’ils n’en sont que de pâles instrumentalisations, de se croire Louis XIV, Napoléon, alors qu’ils ne sont que des courtisans de la haine, cette haine qui les tient au ventre, la haine de tout ce qui n’est pas uniforme, de tout ce qui n’est pas avarié, de tout ce qui n’est pas métissé, de tout ce qui n’est pas socialiste en d’autres termes.

Cette suppuration de la dépravation qui glose ce jour et s’affirme monarque. Je l’ai déjà dit, le socialisme est le pourrissement de toute viduité naturelle. Cette idéologie n’est qu’un leurre, bâtissant dans l’abstraction ses nauséeuses perfidies, ses délires maniaques, ses prostrations débiles, qui tout de même ont occasionné cent cinquante millions de morts à travers notre petite planète, et bien d’autres encore dans des camps de concentration en Chine et ailleurs, ces camps qui manquent, on le sent bien, à toute sa frénésie qui s’agite en croyant un seul instant déjà détenir un pouvoir qu’elle n’aura jamais, tant la génuflexion, le mensonge, l’hypocrisie, la haine, sont ses ramures les plus visibles.

Arcanes sans mystères tenus par cette franc-maçonnerie inverse dont plus de quatre-vingt-dix pour cent de ses membres se sont fait élire, en cachant bien leur appartenance, pour «gouverner» la France. Et l’on devrait être en admiration devant cette déréliction la plus totale, fanfare de l’assassinat en 1789 de l’aristocratie Française, des Paysans Vendéens dans un génocide atroce, fanfare de la guerre de 1871, où Napoléon III totalement inféodé à leur secte se trouve défait, pour instaurer ces pseudos révolutions, voyant toute la pègre de cette secte s’agiter, avec Pike aux États-Unis, Mazzini en Italie, et leurs pontifes associés, voyant ce voleur des idées de Hebert se faire éditer grâce aux banquiers américains et anglais pour propager cette servilité, que l’on nomme le manifeste du parti «communiste».

Voyant ces brouets d’illuminés se jeter dans un ordre de bataille pour détruire les gouvernances, Bismarck, petit jouet utile, avilir la France, et déjà dans ces semis de bestialités de l’errance, forger la guerre de 1914, avec l’assassinat programmé d’une tête couronnée, un an auparavant par toute la faconde des loges du Grand Orient qui n’hésite pas à tuer pour commettre ses plans, qui ne sont pas ceux de cette guerre, mais bien ceux  de l’asservissement de la Russie sous son ordre de fer, de sang, de meurtre, composante s’il en fallait de la destruction de  l’intelligence Européenne.

Cette guerre a lieu dans l’excellence de la putridité, comme il se doit, les banquiers américains, anglais, allemands, propageant l’hallali, aux fins que la Russie tsariste, trahie comme jamais par les pions sur l’échiquier, interrompant les communications, déviant par des ordres consommés, les trains permettant le ravitaillement, solde sa permanence par l’arrêt des hostilités, pour connaître quoi ? L’horreur la plus totale, voyant ce Lénine, conduit par les Allemands en train blindé, se dévoiler pouvoir, pouvoir de mort, de destruction, agitant toute l’errance qu’il met à sa solde pour détruire et détruire encore, l’intelligence Humaine, les Paysans Russes, les aristocrates, les soldats, épurant, épurant sans cesse, dans un tsunami sanglant que rien ne peut arrêter, ceux qui le peuvent étant cloués au front de l’ouest.

La pourriture socialiste ici s’abat sur ce monde, pour laquelle il faudrait trépigner, et ses aisances se font de plus en plus hautaines, de plus en plus respectées par tous les donneurs d’ordre des banques qui en sont la litière, l’hébergement, trouvant nid de fortune en ce pays dont la neutralité devient suspecte, la Suisse, pauvre Suisse, accueillant toute la dépravation Humaine, cette dépravation allant jusqu’à torpiller la société des Nations, cette dépravation concluant ce traité infâme que fut celui de Versailles, condamnant tout un Peuple à la famine, déjà aiguisant par son intermédiaire Adolf Hitler la cime de ses réjouissances qui feront litière de ce monde usurpateur qui sévit ce jour.

Beau socialisme que celui-ci avec ses Rosa Luxembourg, ses Bella Kun, meurtriers en puissance, décimant jusqu’à mille citoyens par jour tel ce dernier, qui sera récupéré par le Kominterm au dernier moment pour diriger cette «guerre» d’Espagne dont l’ignominie n’a pas de nom, révélant ici derrière la cosmétique la veulerie, l’hypocrisie, de charognards en chasse de l’Humain, allant jusqu’à déterrer les nonnes pour les empaler et les montrer en attributs publics, aux fins de se grandir dans leur servilité à la morbidité. Est-ce donc tout cela que l’on doit respecter ?

En aucun cas, et ce ne seront les romans d’Hemingway qui s’est trompé de cause, qui y changera quoi que ce soit. La République Espagnole fut un laboratoire pour tout ce socialisme diligenté par les loges du Grand Orient, afin d’abaisser pour jamais la grandeur de l’Espagne, ne l’oublions jamais. Et pendant ce temps les Russes soviétiques, ces bons socialistes construisent les chars de l’Allemagne avec un dynamisme qui en dit long sur les réécritures de l’Histoire, et pendant ce temps tous les Juifs aisés partent d’Allemagne, tandis que les petits, les sans-grade, les obscurs, qui n’ont rien, qui croient en la vie, restent, sans possibilité de retour, devant la montée graduée et diligentée par les banquiers du National-socialisme, ce petit frère du socialisme que congratule Staline, petit jouet lui-même des banquiers, le petit père des Peuples qui devant les tueries ordonnées et consacrées de l’errance au pouvoir depuis Lénine, donne quelques coups de semonces afin de rassurer les petits Peuples qui croient encore que le «communisme» les sauvera de l’agitation des nantis.

Des nantis déjà décatis et pourris par l’opium du sexe, des affaires que diluent avec une insane vertu tous les grouillots du socialisme le plus vicieux, un underground bâti sur les piliers du vice, voleurs, tueurs, droguistes de la mort, qui jusqu’à ce jour poursuivent inlassablement leur œuvre afin de pouvoir tranquillement faire leurs petites affaires. Si vous en doutiez regardez l’armée des SA de Hitler, et vous comprendrez mieux pourquoi il s’est séparé de leur service afin de couronner ses litanies. 1939 met en ébullition ce petit monde, un petit monde qui doit se ranger aux usuriers, aux banquiers, à toutes ces pseudos élites qui déjà ont réduit les États-Unis en instaurant la FED, dans le mépris le plus absolu de sa Constitution, et qui voudraient bien voir désormais s’instaurer le nouvel ordre mondial dont en a plein la bouche le Führer, un ordre qui doit durer mille ans.

La guerre donc s’engage, et qu’importent les millions de morts, et qu’importent les camps de concentration, il y en a des centaines en union soviétique, un de plus, un de moins, cela n’a pas d’importance, il faut faire tuer et tuer encore un maximum de gens pour concrétiser par-delà l’ordre nouveau le nouvel ordre mondial. Les vampires sont là, exultant dans leur bestialité, noyant dans le sang les pauvres juifs qui n’ont pas d’argent pour aller aux États-Unis, noyant toutes résistances dans la torture, si bien développée par ces bons communistes, et surtout et par-devers tout initiant un Pays pour les juifs de ce monde, un retour vers le pays natal, développant ainsi l’esprit d’un nouvel isme, le sionisme, dans quel but ?

Le but de cette troisième guerre mondiale dont le terrain d’action ne sera pas finalement le Moyen-Orient, mais un combat entre la Chine et les États-Unis. Mais cela nous ne le savons pas encore, dans cette époque où tout et n’importe quoi a été dit, notamment sur l’assassinat de l’Élite Polonaise par les Russes, et de combien d’autres, y compris en fin de guerre dans ces «épurations» diligentées par les communistes prioritairement, faisant taire ainsi l’intelligence pour faire progresser l’ignorance. Quel régal que cette fin de guerre, où l’on voit se presser de faire disparaître tous les témoins gênants, notamment les fidéistes commissaires de ce National-socialisme aux ordres, dans un procès qui n’est pas un procès mais un monstre d’iniquité juridique. La piétaille doit disparaître, il faut faire place nette, ne surtout pas parler des bombardements sauvages, de ces millions d’Allemands livrés en pâture aux hordes rouges qui violent, déciment, tuent sans vergogne, de ces millions d’Allemands assassinés par des bombes, et des millions qui mourront dans les camps de concentration alliés et Français après la guerre, pour le seul plaisir d’une étoile supplémentaire sur un képi.

Une histoire bien tue par l’insolence des «vainqueurs» eux aussi aux ordres, et qu’on n’en doute lorsque Patton décide de passer le Rhin pour juguler la meute rouge, comme plus tard Mac Arthur qui voulait vitrifier la Corée du Nord, qui, lui, laissa sa vie comme par le plus grand des hasards dans un accident, comme ce fut le cas d’ailleurs d’un de nos Maréchal, trop gênant pour les apparatchiks qui montent en grade après cette guerre de l’horreur consommée. Une horreur partageant ce monde, un partage décidé par les valets des banquiers, voyant se propager le socialisme jusqu’aux terres Asiatiques, déjà en Chine sous le règne de ce pion des banquiers qui mitonnera la rééducation, la délation, tous ces rictus que pas même un animal n’affiche, horreur sublime qu’il faut bien entendu acclamer, apprendre dans ces «livres» d’ «histoire» qui ne sont que des tissus d’insanités, de reptations, de génuflexions, de soumission, des pavés infâmes que même le certificat d’étude de nos arrières grands-parents renierait tant le mensonge en est l’opiacé.

Sublime monde sous le règne du socialisme, voyant toujours jusqu’à nos jours ses cohortes de tueurs et d’égorgeurs s’affairer avec empressement, avec cette placidité du lobotomisé qui erre dans ses narcotiques dilués. Ne vous y fiez, les tueurs sont bien action dans notre petite France, pour noyer leur insanité et composer leur nouvel ordre mondial, cette «république» «universelle» qui n’est autre que la dictature de l’atrophie.

Et l’atrophie se montre, dans un dédale sans austérité, se rengorgeant de son omnipotence monétaire qu’elle véhicule dans un vide intellectuel qui la fait apparaître comme elle est réellement, un non-être, atrophié intellectuellement, atrophié physiquement, atrophié spirituellement, dessinant sa parure, celle du non-vivant, en destituant la famille, pour faire apologie de la pédophilie, en destituant l’identité en la noyant dans un métissage forcé, viol systémique des Races, en destituant sa culture, en mettant en avant toute la pourriture qu’un esprit humain avarié peut faire naître, en destituant toute spiritualité, agenouillée qu’elle est devant la religion de la soumission qui avec ses pétrodollars renfloue ses caisses vidées par l’usure qu’elle soutient avec avidité

Menstrues de l’horreur, devrions-nous nous agenouiller devant cette bestialité ? En aucun cas, et en respectant la légalité, cette légalité conchiée par ce socialisme suant le mensonge, dans ses chiffres annoncés, dans le refus de voir le Peuple se prononcer sur ses délires, l’euthanasie, le mariage gay, et j’en passe et des meilleurs, notamment cette subordination à cette europe dégoulinante de sa puanteur inféodée à toute l’usure de ce monde, une entité dont la France qui se respecte sortira en mettant au feu tous les traités qu’elle a pu passer avec elle, cela viendra. Dans la légalité donc, en votant le sérieux contre la parousie de l’atrophie, en votant sur la non-appartenance à la secte du Grand Orient, levier de ce bras armé que l’on appelle le socialisme, en votant sur la non-appartenance aux thinks tanks quelles qu’elles soient, en votant sur la non-appartenance au Siècle, courroie de transmission du Bilderberg, dont quelques espèces existent dans notre gouvernance, en éliminant systématiquement des votes tous ces hackers de l’impertinence qui jettent en pâture un de leur ministre, aimable membre du Grand Orient, afin de cacher la vérité sur leur appartenance, leur domesticité à tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais.

Une France qui s’éveillera comme ce monde s’éveille, malgré les attentats sous faux drapeau, une fois suffit, les agressions sous faux drapeau, arrêtons de prendre les gens pour des imbéciles, une France qui demain sera régie par la capacité, éloignant définitivement les élucubrations de la pestilence et de son aréopage, les banquiers qui trônent actuellement en sa gouvernance, tout simplement en usant de son droit de battre monnaie, tout simplement en se retirant de cette bureaucratie communiste maçonnique socialiste qui trône dans cette europe, elle-même assujettit par un parlement occulte qui n’a rien à y faire.

Cela vient, et cesseront alors cette dérive de l’illuminisme et ce pourrissement de l’Humanité, cette dénature intellectuelle, cette boue centralisatrice et cette écume spongieuse qui voudraient ne plus voir vivre l’Être Humain, qui devrait disparaître au profit d’un genre qui ne serait plus que l’esclave docile, illettré, consentant, acceptant, jouet de l’économie usuraire, de la bestialité pédophile, allant en chantant vers son euthanasie programmée.

Il suffit de toutes ces outrances à l’intelligence humaine, ne voyez pauvres atrophiés que vous faites rire comme jamais cette intelligence que vous croyez appauvrie, alors que déjà elle brille de tous ses feux au niveau international par l’intermédiaire, et merci à l’Armée Américaine, d’Internet, que jamais, je dis bien jamais vous ne pourrez anéantir à vos désirs.

Car il est trop tard pour votre combat d’hérétiques, il est trop tard, vous vous battez avec des siècles de retard par rapport au monde qui existe et dont vous voulez ignorer l’existence, vous contentant de votre fange, il est trop tard pour vos mystifications, vos engrenages de reptation, vos docilités hypocrites, le Peuple vous jugera par un vote sans défaillance qui sera celui de la Liberté contre la servilité, votre servilité qui ne sera jamais celle de l’Humanité.

© Vincent Thierry