Les faux drapeaux
- Détails
- Catégorie : Civilisations
Les faux drapeaux
Que la honte soit de cette gouvernance putride ! Refusant des référendums qui mettent en jeu notre Civilisation, notre Identité, notre devenir ! On ne peut que se déclarer contre cette subversion qui ose, talonnée par ses seigneurs de guerre qui se cachent dans les basses loges du grand Orient, par toute cette hérésie de tueurs nés qui se congratulent de chaque coup porté à la réalité, cette réalité qu’ils ne peuvent pas voir, tant ils sont dans le réduit de l’ignominie, de la déliquescence, de ce lisier où pourrissent toutes les formes de la vie pour engendrer cette boue glauque, immonde, qui saillie notre France, dans une éructation de connivence, de corruption sans précédent.
Et cette boue utilise sous faux drapeau tout l’underground qu’elle paie grassement pour faire accroire que la spontanéité du peuple de France soit larvée dans la fétidité de la violence, de ces quelques gueux armés par le pouvoir, payés par le pouvoir, comme on l’a si bien vu à Boston, petite répétition de la mise en coupe réglée des Libertés aux États-Unis. Il suffit de cette insolence, de cette dégradation de la parole, de cette outrance labiale et convexe de la bestialité qui trône ! Les Françaises et les Français auront enfin compris sous quelle dominance elles et ils sont, celle de la lâcheté, de la fourberie, de l’hypocrisie, et pire encore de la violence conjuguées, instrumentalisée, une perfidie sans nom qui va chercher ses mots d’ordre dans ses think tanks, ces couvées de la dictature la plus innommable, celle de l’usure!
Le socialisme est la peste rouge brune de notre siècle, qu’il faudra éradiquer par les votes utiles, et non par l’abnégation en sa fange, en sa bestialité organisée, en sa corruption répugnante, en son asservissement aux loges maçonniques et très certainement pire encore, aux loges sataniques par emprunts, ces loges noires où l’on massacre les enfants, sous les faveurs de la nuit, de cette pestilence mage que l’on a nommé Crowley, la plus ignoble que le siècle dernier ait engendré. Car comment cela en serait-il autrement ? Un Être Humain, normalement constitué ne cherchera jamais à détruire ce qui est le pilier des civilisations, la famille !
Il faut être assurément atrophié intellectuellement, ne parlons même pas spirituellement, pour falsifier le sens de la nature, le sens de la vie, le sens de la geste de l’Humain. Il faut être pire qu’un nain, qui est respectable, pour se lover dans le cocon du genre, cette chose amorphe, cette loque, ce bubon, ce chancre qui gémit sous les coups de reins de la subversion et en redemande, il faut être un lâche, un lâche consommé, un lâche démesuré, un individu dont les tares relèvent de la pure ignominie pour considérer instruire le procès de l’Humain, par cette fourberie qu’est le mariage gay, que les gays eux-mêmes contestent, soit le devenir de l’Humain.
Un avaloir vers cette prostitution de l’esprit qu’est la pédophilie ce que souhaite voir naître tout un aréopage qui se masturbe intellectuellement devant le petit écran, toutes ces choses, larves de leurs désirs, qui en matière d’excuses écrivent leurs torpeurs, leurs lits d’injures envers l’Enfance, cette Enfance qui est le devenir du monde, et dont l’ONU, pour une fois à bon escient, a fixé une charte envers laquelle cette gouvernance est reniement total. Une gouvernance ignoble tenue par le fric, le sexe, les égouts, le purin de la corruptibilité, des appartenances, de tout ce labour que charrie l’usure afin d’enliser les plus nobles volontés.
Il suffit donc de l’outrance comme du mensonge. Il convient de demander au service d’ordre des manifestations anti mariage gay de se saisir de celles et de ceux qui cassent, et de leur demander et non seulement leur demander mais les faire signer et devant journalistes, la plupart corrompus, on le sait, mais il en reste encore quelques-uns d’honnêtes, signer donc une déclaration formelle concernant leurs meneurs, leurs donneurs d’ordre, leurs financiers, tout ce ragoût de l’underground qui sert bien le bétail servile de la gouvernance sous condition qu’on lui laisse ses marchés tranquilles, ceux de la drogue, de la prostitution, et des femmes et des enfants, du trafic d’organes et de la fourniture de jeunes chairs pour leur torture, leur viol et leur meurtre organisé par la folie domestique de certaines sectes aux ordres.
Le mensonge ne peut durer qu’un temps, et c’est bien pour cela que se dépêche de s’organiser toute cette fange afin de faire passer cette loi inique, cette loi consacrant indirectement la pédophilie, cette loi consacrant déjà le genre, des bébés choisis sur catalogue totalement pervertis par des parents de même sexe, leur équilibre ne pouvant générer qu’une instabilité profonde qui se traduira par des actes pédophiles obligatoires, lorsqu’on reconnaît que la plupart des pédophiles ont été eux-mêmes sujets à ces actes sans noms dans leur prime jeunesse. Il n’y a que des tartuffes pour accroire l’inverse, des «spécialistes» payés à prix d’or pour leur mensonge comme on en voit tant concernant le pseudo-réchauffement climatique.
Le pire en tout cela relève du droit du Peuple à se manifester à l’encontre de cette loi répugnante, le pire dans tout cela est de voir le Peuple ignoré par toute la subversion qui accapare les antennes, la télévision, tous ces renégats de la vie qui préfèrent rester des cloportes plutôt que des femmes et des hommes, au nom de leurs appartenances inouïes, de celles qui les marquent à jamais du sceau de la trahison envers leur Peuple, envers leur Identité, envers leur Race, de celles qui les voient se vautrer dans les langes de la pitoyable béatitude de la corruption, mercenaires de la nuit, mercenaires de la dictature dont la dictature, qu’ils ne l’oublient pas, détruira chacune d’entre elle et chacun d’entre eux, car consommés par le vertige de la subversion, désormais sans le moindre intérêt pour sa course vers le pouvoir.
Cette loi n’est donc pas simplement inique, outrancière envers la Vie, mais porteuse des contre-valeurs de toute société Humaine, de tout pouvoir Humain, une insanité qui couvre sous ses draps le voile de l’immoralité la plus terrifiante qui permettra de voir nos petits-enfants servir de jouets sexuels à toutes ces cohortes de l’infâme. En d’autres temps, cette injure eut été lavée par la destitution de toute cette engeance permissive, mais la lâcheté rayonne désormais, introduite par la génuflexion, initiée par la reptation, soupesée et caricaturée à l’extrême depuis 1945 par des permissives langueurs qui n’ont rien d’humaines mais sont toutes de la dépravation orientée.
Cette loi n’est pas simplement le laxatif de la théurgie, qui abandonnant la peine de mort pour tous les désaxés, fussent-ils multirécidivistes, pour se protéger eux-mêmes de leurs vices, mais bien l’aboutissement de la pourriture qui se glorifie, la pourriture des institutions, des pouvoirs, de la Vie elle-même, par la subversion dans ses louanges absolues qui relèvent de la mort et en aucun cas de la Vie. Regardez-les, et posez-vous la question de la réalité en face de leur morgue, de leur indécence, de cette hypocrisie qui les tient debout, regardez les bien dans leur gouvernance, une gouvernance qui ne signifie plus rien au regard du réel, s’enfonçant dans les limbes de la mort, en violant les lois de la Vie, de la Vie des corps par l’outrance médicamenteuse, par l’affinité de maladies ignobles fabriquées de toutes pièces en laboratoires, par ce souci de l’euthanasie, de l’eugénisme dont n’auraient même pas pu rêver Hitler et Staline réunis, voyant des milliardaires se réunir à l’OMS pour décider de la létalité à venir.
De la Vie des Esprits, les uns les autres façonnés par la fange, par le mea culpa des imbéciles, des incapables à réfléchir, formant des illettrés, des benêts qui consentiront à leur esclavage programmé, par la destruction de toute culture, par la destruction de toute intelligence au profit de la vase, de l’égout institutionnalisé que reflète bien l’Éducation dite «Nationale» qui n’est que mantisse de la franc-maçonnerie inverse voulant réduire l’humain à son point final, la culture à sa débilité profonde, l’intelligence à sa caducité, en cela promesse de la destruction de toute spiritualité.
Si bien ancrée en ce moment par la tentative de destruction de la Chrétienté, le meurtre autorisé de celles et ceux en sa confession à travers le monde, alors qu’on s’apitoie avec tant de compassion sur ce qui n’est en aucun cas le Christianisme, alors que cette gouvernance facilite et paie en sous-main l’ardeur conquérante de la religion de la soumission dans nos terres, ainsi, toutes destructions cumulées qui se multiplient à l’infini et que tout un chacun doit accepter.
Cette loi est donc immondice qui à la reprise du pouvoir de l’autorité Humaine, je dis bien Humaine, et en aucun cas non-humaine, en cela pervertie par des appartenances douteuses, devra être anéantie, comme d’ailleurs toutes ces lois iniques atteignant la Liberté de penser qui ne sont là que pour protéger des communautarismes qui doivent s’intégrer à la France et non la renier.
Ici le bât blesse pour toute la faisanderie des oripeaux qui s’imaginent dicter la pensée Française, où on voit accourir en meutes les tenants et les aboutissants de la subversion pour hurler contre la France traditionaliste, celle qui jusqu’à présent ne disait rien, et dont lentement la voix résonne pour appeler au bon sens, à la raison, et détruire la couardise envenimée depuis des dizaines d’années par les subversifs encouragements à la reptation, à la prosternation, à la flagellation !
Les Enfants de France ne sont pas coupables d’un quelconque génocide, les Enfants de France ne sont pas coupables d’un quelconque esclavagisme, les Enfants de France ne sont pas coupables d’un quelconque racisme, il serait peut-être temps que la subversion, qui a fait son nid de vipères sur des abstractions, s’en rende compte, non, les Enfants de France ne sont plus en génuflexion, ils se lèvent, et au grand mécontentement de cette subversion, ils s’allient dans la tradition multimillénaire qui ne relève pas de leur profanation née en 1789, ils se lèvent et leurs étendards lentement mais sûrement vont faire voler en éclat cette tête de Janus au profit d’alliances objectives entre toutes les pensées, tous les mouvements qui ont pour objectif la défense de la Nation, la défense de l’Identité Française, la défense de la Culture Française, la défense tout simplement de la Vie, dans sa spiritualité la plus profonde qui est Chrétienne, dans sa volition la plus rayonnante, qui est celle de l’Ordre contre le désordre, de la Voie contre la Voie détournée, de la Liberté contre le servage.
Ce qui fait peur à cette minorité en gouvernance voyant que la majorité est là, dans sa puissance, dans sa vaillance, dans sa promptitude, dans sa désinence qui n’est pas celle de s’accoupler avec la fétidité, mais bien de redonner le sens de la construction de la France face à sa désorientation, face au voile qu’on lui impose devant les yeux, face à ce mensonge qui depuis trois cents ans la trépane, et la désoblige.
Comme je le disais lors d’un précédent, il est trop tard pour la subversion, il est trop tard pour la dictature, il est trop tard pour le mensonge, les crimes contre l’Humanité ressurgissent et tancent en plein visage tous les remugles qui veulent les cacher, toute cette boue dans laquelle nous devrions patauger indéfiniment, toute cette boue qui se glorifie, cette poudre aux yeux qui révèle dans toute son horreur ses passementeries douteuses qui suent du sang Humain, de ces centaines de millions de victimes qu’elle traîne à ses basques, et que nous devrions oublier pour sa folie qui s’imagine vaincre l’Esprit Humain.
Alors qu’elle n’est que poussière des tombes de nos Ancêtres, non la poussière de leurs corps, mais ces miasmes qui courent le long des tombes, dont la pâleur distincte est théurgie de tout ce que le non-humain peut circonscrire, la fourberie, l’hypocrisie, le mensonge, le vol, la rapine, le meurtre, le génocide, pour s’approprier ce qui ne sera jamais sa fécondité, car dans l’incapacité de créer quoi que ce soit, se réfugiant dans les labyrinthes d’une quelconque élection qui n’est que celle de la mort, son joyau, cette mort qu’elle imagine destruction des idées de la Vie, la Vie qui jamais ne cesse de rejaillir pour fertiliser où elle veut, la capacité de la réflexion, la grandeur, l’honneur, le partage, la solidarité, la complémentarité, l’harmonie, au-delà de sa barbarie qu’elle enchante.
Il est trop tard pour toutes celles et tous ceux qui défendent cette barbarie, ils ont un train de retard sur l’évolution qui n’est pas leur conséquence, alors que déjà les sciences pourfendent ses circonscriptions du néant, son darwinisme de pacotille, son freudisme anal, son marxisme délétère, son einsteinisme de circonstance, son friedmanisme de l’épuisement, toutes veuleries associées qui ne sont que les marques du néant qui veulent domestiquer l’Humain à leur profit, via leurs petites institutions psychologiques, économétriques, leurs petites think tanks à l’esprit oisif, leurs loges avariées où se commettent la vulnérabilité et l’encensement, la croyance nubile d’être alors que l’inverse n’est pas une proposition mais une réalité.
Il est trop tard pour tous ces laminoirs de la pensée, ces religions de l’absurde, ces consonances du délire organisé, ces corruptions reptiliennes qui s’enfantent, toutes ces admonestations se réfugiant dans le cocon du larvaire et de l’abstraction.
La France se lève, consciente de sa responsabilité, consciente en son Peuple et par son Peuple, voyant qu’il est temps de se défaire de ses habits de ténèbres, enfantés par des «lumières», petits agents versatiles de l’illumination la plus glauque. La France en son Peuple se découvre de ses voiles de l’illusion, et comme précité voit les leurres se précipiter au secours de toute la subversion qui la couvre de ses bubons, de ses glaires infectes, de cette rapsodie de l’inintelligible, de cette coercition de lamentables personnages en quête d’auteur, aux personnalités brisées, quadrillées, récupérées, flagellées, ornementées aux fins qu’elles servent et servent encore, serpillières du taudis de la mort qui se nécrose dans la matière qui n’est même plus la matière, mais la vomissure de ses chancres, une bouillie qui redresse la tête, et qui du mouvement du menton insiste pour qu’on la suive dans ses putrides langueurs, ses délires permanents, cette folie qui n’est que la mesure de l’usure qui trône dans tous les pouvoirs.
Conseil de-ci de-là, de ministres d’occasion qui obéissent à ses ordres délirants, à son officiante dénature qui comble le vide qui lui sert de mental, ce mental n’étant à propos que celui du service du vol organisé, du pillage diligenté, afin d’asseoir sa «noblesse» de la barbarie la plus horrible que la terre ait connue, les barbares d’hier ayant la décence de se battre à visage découvert et non caché au fin fond de conseils d’administration suant le cuir et les rondeurs, cette obésité du crime qui dans sa désolante acceptation s’enlumine de la graisse du vivant, telle une parure, une joaillerie perverse qui est la mesure même du sang versé, de la sueur décuplée, des larves qui la servent.
Sainte barbarie dont on voit aujourd’hui se libérer toutes les fadaises, les incongruités, les bestiales errances, du socialisme l’éventail qui se mire, n’en peut plus de ses invectives, s’invente des tentatives d’assassinats burlesques, en payant ses sbires, ses outils, ses pauvres gens affamés qui quémandent et servent sans se poser de question, tellement familiers de l’outrance de cette perversion en venant à inventer des «mouvements» hétéroclites d’une pseudo-droite tournée vers la violence, en oubliant ses propres agitateurs, ses troupes dans l’underground n’attendant que ses ordres pour violer et piller.
Faut-il qu’elle soit aux abois ! Elle peut l’être, car ce n’est pas dans la rue que se soldera son compte, mais bien dans les urnes, de cette République avilie par sa démence, dans les urnes et uniquement par les urnes que seront dissipés tous ses avatars de la permissivité, au langage boueux et nauséeux à souhait qui voudrait s’inventer morale publique dans l’école du même nom, précis maoïste du socialisme servant la maçonnerie déviante, que nos Enfants ne se trompent !
Cette hérésie qui va frapper une heure durant les esprits doit être dissipée dans son néant, car immorale, fosse commune des tueries que comptent trois siècles de son histoire, tentative d’abrutissement des égarés qui foulent encore ces écoles publiques qui n’ont plus lieu d’être tellement elles sont les basses-cours de l’inintelligence programmée.
La morale, c’est la Justice, l’Honneur, le Service, ce n’est pas le déshonneur, la duplicité, la traîtrise, tous piliers nés de dépendances soit monétaire, soit sexuelle, soit de circonstance, panoplies de l’inconsistance qui se cache et agite ses larbins, ses journalistes sans imagination, ses politiques sans fertilité, ses miroirs redondants dont la cristallisation engendre le clinquant qui se veut règne.
Assez de cette pestilence rouge brune ! Assez de ce décor débile ancré pour des débiles, que les Françaises et les Français ne sont pas, n’en déplaise à la théorie du genre et ses infections, à ses poules mouillées qui n’osent regarder la Vie dans sa splendeur, mais se contentent d’en avilir la destinée car incapables d’en initier la beauté, tant la fange est leur souci, assez donc de ces manipulations ridicules voulant faire «peur» en voulant faire croire à la réception de colis piégés, en la réalité d’une organisation sous faux drapeau, assez de ces ridicules provocateurs, ridicules grassement payés par les pouvoirs dans des manifestations qui sont le souffle de la France et non cette arriération ridicule qui est le cachet même de la subversion, assez de cette barbarie qui se déguise sous les voiles souillés de la Démocratie !
Les urnes sauront se séparer de cette ivraie, et les lois de ces barbares seront jetées dans les oubliettes, sans surtout oublier, les uns les autres les ayant votées afin que nul n’élise à nouveau ces personnages troubles qui retourneront à leurs chères études subversives
Le crétinisme, contrairement à ce qu’ils pensent, n’est pas de mise dans le Peuple de France, où la vision claire de leurs agissements ne trompe personne, qu’ils se le disent, pauvres petits soldats de l’errance, pauvres petits larbins de l’usure, qui se protègent les uns les autres comme un nid de vipères que les élections futures, fussent-elles municipales, ou nationales, renverront définitivement à leurs sarcasmes, leurs niaiseries, leurs croyances insipides, leurs désirs de destruction répugnants, leurs fades réalités que la compassion seule d’autrui permettra d’évacuer sans fracas.
Cela vient, comme un chant serein qui n’a pas besoin de la violence pour vivre, car de la Vie elle-même l’expression, la Vie qui comme une tornade balaie les scories qui cherchent à la détruire, la Vie impérieuse qui n’a besoin des contractions qui l’obligent, pour enlever les chaînes qui cherchent à l’immobiliser.
© Vincent Thierry