Le mur des « cons »
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Le mur des «cons»
Le mur du son est atteint dans ce vivier de francs-maçons à la voie inverse jusque dans les ténèbres de la magistrature, et cela en étonne certains ? C'est ne rien comprendre à l'insinuation dans tous les rouages de l'état et ses institutions de cette vague rouge noire de la subversion. Ne vous est-il pas venu à l'oreille, qu'aujourd'hui, un assassin est présenté comme un héros près de notre Peuple par toute la panoplie des pseudos experts, des psychologues de pacotille, des psychiatres en peau de banane, les victimes comme étant «normalement» assassinées, brûlées, violées, découpées en morceau, lapidées devant public ou non, quoi de plus normal dans une société avariée ?
Ne vous est-il pas venu à l'oreille que pour être admis dans cette magistrature à des postes signifiants, il fallait montrer patte blanche en trois points, sinon vous n'étiez rien, ce qui explique bien la main mise globale de la subversion, cautionnée par de pseudos initiations dont certaines relèvent, par des déclarations de certains enfants de juge, du meurtre rituel d'enfants, de tortures d'enfants, de viols d'enfants, pseudos initiations tenant à jamais leurs impétrants dans les griffes de ladite subversion.
Comprendrez-vous ainsi la lutte acharnée contre la peine de mort par les missi dominici de cette subversion, notamment pour celles et ceux commettant en privé ou en réunion le viol, la torture, le dépeçage des enfants, afin de s'autoprotéger et protéger leurs rabatteurs. Comprendrez-vous ainsi le laxisme total envers les populations exogènes qui ont le "droit" d'être armées dans les zones de non droit pour faire régner "la paix sociale" sous les auspices des trafics en tout genre, drogue, prostitution, des femmes, des enfants, des hommes, fourniture de main-d’œuvre au noir pour des œuvres de basse police comme on l'a vu dans les manifestations récemment, fourniture de petites mains pour le business du trafic d’organes, toutes filières confondues vivant grassement de leurs lucres sous le regard émerveillé de la magistrature.
Qu'il existât donc dans certains locaux de cette "magistrature" dévouée, à part quelques exceptions, qui bien souvent sont abattues, un mur des "cons", savoir un mur sur lequel sont inscrits des personnalités ou parents de victimes qui ne tolèrent pas le laxisme prétentieux, aux ordres de la subversion par mise en laisse sexuelle et pire encore, subversion elle-même aux ordres de l'usure, ne doit donc pas étonner. Cette écurie comme l'écurie politique est totalement viciée, et comme pour le politique, il conviendrait d’en éradiquer tout ce qui n'est pas au service de la France et des Français, et qui a signé par ses appartenances sa dépendance à une maçonnerie inverse ne désirant que la destruction de tout ce qui existe pour instaurer sa dictature de nains - car enfin n'est pas César qui veut !
La délation, accompagnée de ses rituels de dénigrement, de rabaissement et d'avilissement, est le propre de cette théurgie à l'encontre de celles et de ceux qui ne complaisent, et que cherchent à tout prix à réduire l'abjection subversive. Face à cet ahurissant "mur des cons" il va falloir mettre en place le "mur de la subversion" et y inscrire tous ses fidéistes commissaires en leur appartenance, dépendance, loge, think tank, société discrète, fiche blanche, relation, interrelation, profil psychologique, profil sexuel, profil spirituel, etc., etc., et bien entendu placarder sur tous sites internet à travers le monde ce "mur". À l'image d'un certain réseau social, il conviendrait de mettre en œuvre cette cartographie de la subversion, non seulement dans le cadre politique, judiciaire, sur le sol national, mais bien aussi au niveau international. Les réseaux, tables gigognes, ici, tomberaient tout seul sous les regards du Public, qui comprendrait alors, l'horreur signifiante de cette pieuvre aux ordres des sangsues de ce monde.
Il ne faut que rien ne nous étonne, donc, dans ce petit monde, l'image du politique se reflète dans le judiciaire et inversement. Les magouilles extrêmes y sont de mêmes acabits, les uns les autres se tenant par la barbichette, comme on l'a si bien vu dans le cadre de cette "loi" absurde sur le mariage gay où un groupe de pression d'environ cent cinquante membres fait plier un gouvernement, une assemblée nationale et un sénat. Faut-il que cette minorité dispose de fiches bien fournies en toute matière, de leur représentation pour voir l'empressement à voter cette loi.
Le "mur des cons" souligne l'indigence monumentale de celles et de ceux qui ne sont pas là pour œuvrer, à la destruction des uns et des autres, mais bien, dans le cadre de la fonction judiciaire, éclairer et rendre la justice au-delà des appartenances et de la dépendance des uns et des autres. Devant cette carence devant la déviance profonde de la subversion, il convient de répondre en toute clarté et en toute concision par la mise sous les yeux du Peuple de toutes les appartenances, dépendances et de tout ce corps parasité par la subversion.
Il suffit de son laxisme, laxisme envers tous les trafics exogènes, laxisme envers tous les crimes pédophiles, laxisme envers les viols, laxisme envers les amis des amis, laxisme envers la théurgie cosmopolite et communautariste, laxisme qui voit ce jour se profiler derrière la justice éclairée une justice aveugle et barbare, se récompensant de ses méfaits, sous ses passementeries et ses dorures qui ne représentent rien aux yeux des citoyens, voyant relaxes les commettants du sang contaminé, de l'amiante, et tutti quanti, voyant relaxes les criminels exogènes, les pédophiles récidivistes, les violeurs récidivistes, voyant relaxes les affairistes, voyant relaxes toute la lie de la société qui est litière et subordination de la subversion.
Et l'on s'étonnera ensuite du nombre de policiers et de gendarmes qui se suicident, devant cette prosternation au crime qui sous-tend prébendes de toute une "caste" qui s'autoprotège et n'hésite pas à faire disparaître celles et ceux qui gênent tel Stan Maillaud dont on est sans nouvelles depuis des mois, qui enquêtait sur les réseaux pédophiles en France et en Europe.
La France est pourrie par la subversion et on voudrait penser que la justice ne le soit pas ? Il n'y a pas de présomption d'innocence pour la corruption qui inonde nos institutions, et qui comble, après avoir purgé une peine, se présente pour être réélu. La soupe est bonne pour revenir ainsi, cette soupe dégueulasse qui vient couronner la misère du Peuple qui est trait bien plus que sous la Royauté que cette bassesse présomptueuse présente comme décadente dans ses historiographies totalement mensongères sur notre Histoire de France.
N'en déplaise à tous les pairs de la franc-maçonnerie déviante qui se veulent gouvernance, morale et à l'occasion historiens, historiens de quoi ? De la délirante perversion qui s’agite dans les soubresauts de la subversion ? De cette déliquescence qui pourrit la France comme d’ailleurs l’Europe depuis 1776, de cette illumination morbide destinée uniquement à faire trôner la jalousie, le délire de persécution, l’antinomie globale du vivant aux profits des archétypes de la mort et de sa sublimation ? Ah la belle histoire, que celle-ci, voyant pervertie l’Aristocratie par les dettes, le sexe, enluminés par la pourriture des corps, la déviance mentale des Balsamo, des Sade, de toute cette pourriture de l’âme qui se glisse jusqu’aux fécales obsessions les plus instruites afin de s’avancer dans la barbarie la plus extrême, l’embrochage des enfants, la luxure des étrons, la fornication de la bestialité qui s’initie et se veut morale !
Et ce venin de s’accroire, ce venin de notre Histoire qui devient involution dans ses édifices lézardés par les bacchanales, non romaines celles-ci, mais maçonniques, une maçonnerie déviant de sa richesse, de sa portée, de sa destinée, par les lubriques errances, le matérialisme le plus athée, le visage de la parousie de l’hypocrisie et de ses chancres, là, ici, plus loin, assaillant les pouvoirs de leurs petits conseils, de leur ignoble sagesse, de leur régurgitation obscène de leur dépendance, toutes voies qui s’avancent et se veulent triomphe, triomphe sur l’Être Humain, triomphe sur la Nation, triomphe sur la Vie elle-même, dans ce relent putride et morbide qui est le phare de cette outrance qui désormais tient les rênes du pouvoir.
Rênes du pouvoir dans cette France anémiée, pourrie comme le fumier par les exogènes apitoiements, aux corollaires infectieux brisant la cristallisation pour offrir aux lendemains cette errance qui profite à l’errance elle-même, voyant de jeunes Français dormir dans leur voiture en attendant l’aube pour travailler, tandis que toute la lâcheté humaine se précipite dans nos ports, nos aéroports afin de profiter, de sucer jusqu’au sang les caisses de la sécurité sociale, les caisses des allocations familiales, les caisses de retraite, eh oui même celles-ci, voyant des exogènes retraitables, n’ayant jamais travaillé en France toucher bien plus que ne peuvent toucher certaines de nos concitoyennes et de nos concitoyens.
Et l’infection se propose ici morale, dans nos écoles devenues la putridité par excellence, la putridité intellectuelle où l’on apprend la repentance de ce qui ne nous appartient pas, la génuflexion devant des religions qui ne sont pas les nôtres, et par-dessus le marché la loi du racket, de la violence organisée, voulant faire accroire une quelconque supériorité des exogènes sur les endogènes, qui doivent se taire pour ne pas tomber dans les révélations des «ismes», de toute cette pourriture de l’esprit qui permet à certaines communautés de cracher sur notre Race, de cracher sur notre Peuple, de souiller notre sol de leurs immondices, favorisées, exclamées, devisées, et enrichies par la pertinence labiale de juridictions aux ordres.
La Haine est de ce côté-là, ne la cherchez ailleurs, une haine viscérale à l’encontre de la grandeur, de l’honneur, de la beauté, de la vaillance, du courage, de la complémentarité, une haine tribale arborant son pavillon, ce drapeau rouge et noir de la bestialité qui s’enchante, de cette souillure de l’esprit qui s’avance, pédophile, sans patrie, glosant sur le devenir comme si elle était le messie, à la ressemblance de pauvres individus ayant perdu jusqu’à la notion même de leur réalité pour quelques euros, des prébendes, qui ont peur de leur lâcheté sexuelle à découvert, qui ont peur tout simplement d’être mis à nu devant le public qui les verra dans leur laideur, leur accoutrement bestial, leur dépendance addictive à toute la pourriture qui grée ce monde interlope, officié, dénaturé qui pullule comme le chiendent de la terre.
Le décor est achevé de ce pourrissement et tout un chacun peut le voir dans sa narrative indécence, dans ce bubon de cette belle école où un million de «personnes» végètent l’incalculable tolérance envers la putréfaction de notre Nation, dans ce bubon de la magistrature qui vient de sonner le glas de sa permissivité en affichant le mur des «cons», dans l’indécence la plus parfaite envers les parents de victimes, qui doit être jugée, sauf à penser qu’il n’y a plus rien dans cette Nation soumise à la dictature du socialisme le plus infect qui soit, ses petits frères au moins ayant le courage de leur opinion et se lançant à l’offensive des Peuples ne croyant pas en eux, hypocrisie des temps qui a plus que suffit dans ce couronnement de la violence d’État, dans cette «loi» putride qui adviendra inévitablement la pédophilie incarnée, le viol d’enfants, et la vente à l’encan pour les petits jeux de maniaques qui se déguisent sous les phares de la maçonnerie.
Ne parlons du «politique» de cette infâme machine à prostitution et à corruption, nous en avons assez parlé. La coupe est pleine de ces réseaux de la perversion, de ces réseaux de l’outrance, de ces réseaux de l’infamie qui se veulent couronnement. Face au mur des «cons» mettez le mur de celles et de ceux qui ont voté pour la «loi» pour le mariage gay, vous aurez une image assez précise de leur dépendance et de leur appartenance à ces réseaux de l’infection vivante qui se promeut. D’ores et déjà éliminez systématiquement de vos votes ces noms, qui sont la nuisance personnifiée de notre État, de notre sol, de notre France, de notre Peuple qui n’a pas à s’agenouiller devant leur subversion.
Car n’en déplaise à toute la panoplie qui s’enrichit de l’aveuglement des Françaises et des Français, qu’ils ne s’attendent à la violence pour déboulonner leur château de cartes, les urnes, et seules les urnes parleront dans le cadre de la véritable démocratie qui n’est pas ce torchon souillé que certains veulent brandir comme «morale». Leurs chiens de haine comme de guerre en auront pour leur peine, ils devront rester en laisse, car de martyrs dans leurs troupes il n’y aura jamais, ce serait faire injure à l’honneur, à ce respect inconditionnel de l’Être Humain, ce serait faire injure à la Vie que de se parjurer dans la violence envers de pauvres Êtres inconscients dans leurs refuges, dans leur croyance, qu’il conviendra de réconcilier avec la Vie, et cela sera, car le fond de chacun n’est pas cette pornographie de la virtualité qui rutile, coule comme un crachat, sur tout ce qui l’entoure.
Qu’on se le dise, tout acte de violence sera fait sous faux drapeau par la subversion dans le cadre du renouveau de notre Nation, de cette vague bleue, immense qui s’avance. Je ne le répéterai jamais assez, lorsque dans une manifestation des «casseurs» arrivent, faites en sorte d’en faire parler quelques-uns, et ils vous diront par qui ils sont payés pour faire accroire, pour faire croire un seul instant que la violence est issue de ces manifestations. Ce jeu morbide des pouvoirs comme on le voit actuellement avec l’attentat de Boston qui révèle toute sa putridité ne fonctionne plus, qu’on se le dise, il fonctionnait avec les masses dont l’intelligence diminue comme le carré de leur échantillon, mais en aucun cas avec des individualités qui se joignent et dont l’intelligence se multiplie, permettant ainsi de voir dans certaines manifestations qui fait le jeu de qui. Jusqu’à ce courrier adressé à un membre de la Nation qui fait rire le monde entier !
Il suffit, les assauts de la subversion s’essouffleront devant le roc inébranlable de la réalité qui fustigera toute atteinte à sa marche en avant, sa marche en avant qui s’inscrit dans l’Histoire avec un H majuscule, qui est celle de la renaissance des Êtres Humains, des Identités, des Nations, des Races, de l’Humanité, par-delà le flou entretenu du machiavélisme de la subversion et de ses tenants et aboutissants, l’usure d’abord, puis ses féaux, dans les loges avariées, dans les think tanks qui se voudraient pouvoir, dans ses sociétés discrètes qui font et défont les gouvernements, dans ses conseils qui ne sont que la panoplie du vide dévouée à l’argent et ses commissaires, dans les éjaculations de ces pseudos philosophes qui sont la lie de la servilité comme de la bestialité, dans le vomissement de ces pseudos romanciers, artistes, compositeurs, dévoués à la destruction de tout itinéraire constructif pour l’Être Humain, dans cette forge de l’outrance envers l’Humanité, dénommée par ses ismes les plus purulents, ses égouts de l’Humanité, le darwinisme, le freudisme, le marxisme, le einsteinisme, le friedmanisme, dans tous ses drapeaux rouges et noirs qui sont les fourriers de tous les génocides que l’Univers ait connus, cent cinquante millions de morts diligentés par des banquiers pourris, dévoués à la mort, atrophiés de toute humanité pour rendre serviles les Êtres Humains.
Non, il n’y aura ni violence, ni mépris, car enfin, tous ces gens qui ruminent dans l’atrophie sont plus à plaindre qu’autre chose, pauvre genre dévoué à l’usure et se prosternant du matin au soir pour quelques prébendes, de pauvres jouets que l’usure fera disparaître comme elle aime faire disparaître toutes celles et tous ceux qui l’ont bien servi, car ils en savent trop, et ne doivent surtout pas parler de leur mérite et de leur gloire à leur service. Non il n’y aura ni violence mais clarté, clarté dans ce monde des institutions dans lequel le coup d’État de la subversion se mire, se congratule, dans une haine inconditionnelle envers tout ce qui est la Vie, la lumière, la prospérité, le suivi des discours à l’Assemblée Nationale devant suffire pour comprendre dans la mesure des traits crispés, hilarants, répugnants de sauvagerie, que cette haine est là, dans sa limpidité, sa répugnance, son horreur absolue.
La Haine, nous savons de quel côté elle est, du côté de cette subversion, dont l’atrophie relève du complexe de supériorité marquant un complexe infini d’infériorité, un complexe qui n’existe que dans l’atrophie car dans la réalité il n’y a ni supériorité ni infériorité mais bien une complémentarité entre les Êtres, cette complémentarité conchiée par cette atrophie qui se veut suivant l’usage pouvoir ou bien victime, jouant sur tous les tableaux, pour affiner dans son hypocrisie ce que tout un chacun possède, l’altérité, cette altérité qui ne doit pas sombrer sous les sourires visqueux, sous les poignées de mains humides, toute cette frivolité qui montre non pas de la compassion mais de la haine et que la haine seule sous-tend.
Aucune violence donc contre ces pauvres êtres enracinés dans leur haine, mais un jugement opportun par les urnes, permettant de se débarrasser à jamais de la dépendance qui voit l’Assemblée Nationale, le Sénat, le Gouvernement, tous dirigé par le Grand Orient et ses larbins, un Grand Orient n’ayant pour autre objectif que la destruction de tout ce qui est, Nation, identité, Famille, pour faire régner sa dictature, la dictature de l’atrophie, sous le nom de «République Universelle», ou «nouvel ordre mondial» comme on le voudra. Les urnes seront donc, puisque les référendums n’existent pas en dictature socialiste, le répons signifiant à l’exaction subversive et renverseront son aberration systémique. Le reste ne sera que pulsions de son pouvoir morbide, qui inventera peut-être, comme aux États-Unis, des attentats sous faux drapeau pour voir le Peuple inconscient se précipiter dans son giron, dans ses jupes, dans sa pseudo-autorité de nain.
N’oubliez jamais qu’un choc, tel qu’un attentat notamment, permet de voir naître un sentiment de sympathie pour le pouvoir quel qu’il soit, l’Être Humain ayant besoin de repère afin de faire face à ce choc. Cette règle est élémentaire pour toute dictature afin qu’elle voit le Peuple s’allier avec elle. Voile de l’illusion permettant ainsi de faire accroire que seule la gouvernance en place permet de faire face au choc induit. En cela les attentats sous faux drapeau, sont magnifiques pour les pouvoirs dictatoriaux vacillants, ils leur permettent de se rétablir et d’associer ainsi les masses qu’ils rendent ignares, mais bien entendu pas les individualités qui réfléchissent aux tenants et aboutissants de ces horreurs inhumaines qui naissent toujours de l’atrophie globale de non-humains prêts à tout pour faire réussir leurs actes subversifs.
La manipulation des masses est le b a ba que tout un chacun doit reconnaître pour ne pas tomber dans son panneau. Je recommanderais de lire encore et encore le chantre de cette mystique du pouvoir qui est Serge Tchakhotine «Le viol des Foules par la propagande politique» et ne pas oublier aussi de lire Georges Sorel «Réflexions sur la violence» qui prit en son inverse reflète parfaitement l’actualité de ces derniers temps. N’oublions pas un instant que la subversion pour asseoir sa volonté utilise tout ce qui existe dans la barbarie qui est son lieu et son lien, le meurtre de masse, le meurtre individuel, la délation, le mur des «cons» en est un vivant exemple, la dénaturation, le vice, la pédophilie, le meurtre rituel, toutes ces litanies de la sauvagerie la plus purulente qui accompagne bien entendu la corruption, le déshonneur, le parjure, la traîtrise, pour arriver à ses fins.
Lorsque tout un chacun aura compris cela, il comprendra aussi que l’on ne pourra se débarrasser de ce qui pourrit l’Humanité depuis 1776, que par le dessein des urnes, par un vote global vers un parti qu’il reste à créer réunissant toutes les voix traditionnelles, au-delà des mystères d’iniquité, de cette insanité que l’on nomme le «pacte républicain» qui n’est que le pacte de la maçonnerie inverse qui régit actuellement notre gouvernance et fait rayonner la subversion. Prenez mesure, et ne soyez plus étonné comme je le disais plus haut qu’existât dans notre État des murs des «cons» dont les protagonistes devront être jugés comme ils le méritent, surtout en faisant abstraction de leur demande d’impétrance lors d’un quelconque vote.
© Vincent Thierry