La bestialité

La bestialité

 

Des nouvelles de Terre où la barbarie semble maintenant la domination de tout ce qui existe, mais lisons :

« La barbarie, la cruauté, l’appel au génocide du Peuple Palestinien, la tuerie systématique des femmes, des enfants, des vieillards, l’ethnocide programmé et sanctifié par une communauté dite internationale à la botte de l’usure, de la city et de wall street, voici ce qu’il nous est donné à voir, fomenté par un Peuple dont une partie de la population, désargentée et donc à la merci de l’horreur, cautionnée par les banksters, a été soumise à un génocide, comme le furent soixante millions de Russes, sous les auspices du bolchevisme et communisme associés, financés par les mêmes banksters précédents.

Ce génocide se passe sous nos yeux et on voit les gouvernances alliées à ce massacre interdire des manifestations au prétexte de ce passe-partout que l’on nomme l’antisémitisme. Qu’y-a-t-il de commun entre l’antisémitisme et la dénonciation d’une boucherie sans nom perpétré au nom et par un Peuple qui a subi le même type d’holocauste ? Rien, sinon ce constat terrible, que les victimes sont des bourreaux. Que l’on se défende contre des tirs de roquette, et détruise les nids d’où proviennent les tirs est une chose, que l’on en profite, dans le plus vaste mépris des lois internationales pour commettre un génocide, en est une autre. En compassion habituelle nous pensons que celles et ceux qui décrètent cette ignominie sont une minorité dans ce Peuple.

Ainsi s’il en est ainsi, nous serions honorés de voir défiler ces femmes et hommes de bonne volonté pour faire cesser cette répugnance. Mais, rien, pas un mot, pas un acte, sauf ce sacro-saint antisémitisme vociféré, qui comme un bouclier devrait évacuer les crimes contre l’Humanité perpétrés chaque jour qui se suivent, jusqu’à voir des spectateurs, comme à la plage, passer leur journée comme leur nuit à applaudir à l’horreur. Car il s’agit bien ici de l’horreur, de l’extermination d’un Peuple comme l’est actuellement le Peuple Serbe resté au Kosovo, le Peuple Congolais et tutti quanti.

La monstruosité n’a plus de limite, et cette monstruosité se cache sous le masque du crime commis contre les passagers de l’avion Malaisien, dont les auteurs ne peuvent être qu’à la solde de l’Ukraine, elle-même à la solde de cette "europe" dégénérée, elle-même entre les mains des banksters qui agitent leurs pions pour faire main basse sur le gisement de gaz de Gaza. La fétidité des intentions qui s’imaginent masquées, alors que chacun peut voir avec discernement le mensonge qui se veut dissimulation, est désormais d’un ridicule consommé. Nonobstant le ratage de la cible désignée a priori, l’avion que le Président de Russie empruntait, cette immolation des passagers de l’avion Malaisien, tombe à pic pour masquer la barbarie qui s’agite à Gaza.

Élémentaire, occuper l’attention sur deux fronts pour minimiser l’horreur, moins par moins donne plus. Ce plus qui facilite la mise en œuvre de la tuerie qui se poursuit. Nous ne pouvons passer sous silence cette tuerie, quel que soit le respect que l’on puisse porter au Peuple d’Israël. Cependant, dans la tonalité, on décrète trois jours de deuil national pour un avion tombé au Mali, et tout en ayant une pensée émue pour les victimes, on ne peut qu’avoir honte de ce deuil dit national, qui, dans le même ordre d’idée que l’avion Malaisien, sert de masque à la boucherie qui se poursuit.

Petit valet soumis, notre Pays, emprisonné dans le goulag de la pensée unique, instruite par les féaux qui encouragent cette boucherie, s’insère dans le blanc-seing donné à la barbarie. Le temps des barbares est venu, comme cela devait se produire, devant l’inanité intellectuelle, le manque de réflexion, l’impossible critique, qui sont désormais la raison gardée du camp de concentration occidental. Ce manque de lucidité témoigne du degré zéro de l’intelligence dans ses frontières, il n’y a plus en elles que des êtres serviles, des sous singes, car le singe a au moins le mérite d’une intelligence naturelle et se bat pour préserver et nourrir sa tribu, des sous singes donc qui déambulent en flattant leur ignorance, les écouteurs gravés dans leurs oreilles pour s’abreuver de la propagande, inconscient de leur corps qu’ils masquent par des accoutrements hilarants, des jeans qui leur tombent sur les fesses, des shorts qui ne sont pas des shorts mais des pantalons découpés en dessous du genou, l’un l’autre de ces accoutrements témoignant pour l’un le désir de se voir sodomiser, l’autre de masquer son désir de sodomie, mode par excellence qui verra bientôt des hommes porter des jupes, n’en doutons pas, bestiaire dont l’intellect repose sur l’ignorance de tout, la connaissance du superflu, le désir de jouissance d’une consommation avide, si bien témoignée par l’obésité qui est le phare de ce dont l’individu est incapable de s’acheter, miroir de la défécation, de ce gruau de commerçants sans foi ni lois qui vendent l’obsolescence, pois chiche donc, malléable à souhait, n’ayant qu’une peur, celle de marcher debout, ainsi se réfugiant dans le giron de l’État quel qu’il soit du moment qu’il lui permette de jouir matériellement.

On ne peut être qu’horrifié du devenir de ces larves ! Et celles et ceux qui ont compris cette règle malsaine du jeu en profitent, mafia, politiciens, banquiers, instaurant entre eux des normes leur permettant de traire ces larves jusqu’à la lie, détruisant pas à pas leur liberté pour qu’elles se fondent dans ce magma gluant qui ressemble à une diarrhée plutôt qu’à l’accomplissement de la beauté. Ne cherchez dans cette fange qui devient, le moindre esprit de conquête, le moindre espoir de se sortir de cette gangue, il n’y a rien de tel dans ce qui reste de l’esprit désormais formaté des larves, il n’y a plus que l’acceptation qu’aucun être humain, fut-il dans la pire des mauvaises passes, ne saurait tolérer.

Quelques exceptions, comme un vent frais venant balayer cette fournaise délirante, se multiplient, quoi de plus normal lorsque la gangrène paraît, les anticorps s’activent, se dévoilent. Cela est pour le mieux, et ce vent deviendra, n’en doutons pas, ce cyclone intellectuel, que rien ni personne, et en aucun cas les féaux des ismes, ne pourra contrarier, la bassesse, la trivialité, la bêtise comme la médiocrité n’étant de ce vent moissonneur. Ce vent sera constructeur, induit par des Êtres Humains et non des sous singes qui rampent dans leur fange, leur philosophie de bazar, leur culture de verroterie, leur comportement physique atrophié, périmètres du carcan forgé par l’abstraction et ses besoins, caricature que l’espèce Humaine ne peut continuer à regarder comme le sommet de l’humanité lorsqu’il en est la fosse commune.

Ce jour sans absence est déjà là, décimant le mensonge comme la propagande servile, ces expressions que seule la faiblesse peut engendrer. N’en doutons un seul instant et participons massivement à éclairer nos congénères afin qu’eux-mêmes fassent de même. N’oubliez pas que la subversion ne règne que par la division et manipule toutes les strates pour parvenir à ses fins. Nous sommes dans ce creuset voyant la subversion alliée à l’apatride finance se déterminer dans les plus grandes manipulations de masse que la terre ait connue. N’oubliez pas l’Irak et ses "armes" de destruction massive, ses "massacres d’enfants », la Libye et son "tyran", voyez ce qu’il en est, le massacre de millions d’enfants par famine, le massacre des innocents qui ne comptent pas pour les terroristes planétaires qui en sus prennent des participations dans les sociétés qui reconstruisent ces Pays. Je dis bien terroristes, car ils provoquent le chaos, s’alliant avec les tueurs nés qu’ils forment depuis l’occupation Russe de l’Afghanistan, et ensuite s’invitent en vainqueur, dans le plus grand mépris du sang versé par leurs armées, et dès lors assoient leur emprise sur toutes les réserves naturelles de ces Nations.

Nations qui n’ont plus le droit d’exister, sinon que comme vivier de toutes les prébendes dont les instigateurs manipulent à souhait les prévarications, tel d’ailleurs que dans notre Nation soumise au rituel du dépeçage administré par la putridité des loges noires au nom de leur utopie qu’ils osent appeler "république universelle", lorsque cette dernière se révèle une dictature universelle. Les féaux de cette farce sont aux manettes, voyant les apatrides diriger tant notre Nation que les autres soumises à ce carcan principalement protestant, né du judaïsme ne l’oublions pas, ce qui explique la vassalité à Israël de tout ce petit monde. Israël n’a pas besoin de ces valets aux petits pieds et doit bien rire que de les voir se courber pour obtenir le droit de gouvernance, et l’on peut comprendre le mépris que cette Nation affiche pour tous les règlements internationaux qui ont été conçus pour la servir. La guerre qu’elle poursuit à Gaza, est une guerre visant à l’anéantissement de la population palestinienne, et l’annexion des réserves de gaz s’y trouvant.

En cela elle ne diffère pas des modalités initiées par d’autres Nations qui sont en déférence, telle la nôtre qui s’invite au Mali après avoir armé les djihadistes, via le génocide du Peuple Syrien par les mêmes bandes de tueurs nés qu’elle a entraînées, guidés, petite armée sanglante, aux ordres, ne jouissant que par la décapitation, la crucifixion, la destruction, de tout ce qui représente plus particulièrement la Chrétienté. Pauvres Chrétiens dont le génocide est parfaitement orchestré, jusqu’à voir le Vatican, investi par des hordes sous fausse bannière, qui n’ont que pour seule mission que d’avilir l’église, initiant la sodomie des enfants par leurs zélotes, et quoi de plus normal car certaines religions permettent jusqu’à l’âge de neuf ans cette ignominie, initiant une reptation devant les arcanes du nouveau désordre mondial, initiant des alliances avec celles et ceux qui nient la Vierge Marie et crachent sur le Christ, initiant par un laisser faire total la destruction comme le pillage des églises. On le voit l’église de ce jour ne représente en aucun cas le Christianisme, du fait de ses alliances, du fait de ses représentants qui n’ont pas l’ombre de la Foi, préférant s’inscrire dans la descente aux enfers de la théorie de la dépersonnalisation, plutôt que d’affronter le réel et l’élever.

Voici donc l’état de ce monde livré à la prédation la plus totale, et il y en a pour parler d’empire, on croit rêver ! Comment peut-on comparer l’Empire avec cette ruée de hyènes et de chacals accouplés à l’usure, à cette pestilence subversive qui ne vit que par le meurtre, le génocide, l’asservissement des Êtres Humains ? Cette sous bestialité ne mérite que son nom, la barbarie, le règne de la barbarie et rien d’autre. Il y a mille lieues entre l’Empire de Charlemagne, l'Empire Romain, l’Empire Chrétien, et ce vestibule de l’horreur, où, comme une meute de rats s’engraissent ses féaux, philosophes de pacotille, romanciers publicistes, artistes eunuques de toute pensée, pédéraste en tout genre qui investissent les partis politiques pour mieux les châtrer, et les voir jusqu’à prôner la pédophilie, toute une ribambelle d’apatrides qui défèquent du matin au soir sur la Nation, la Chrétienté, et qui s’imaginent le centre du monde alors que ce n’en sont que des errants, sans racines, sans culture, sans spiritualité, à l’image des nains politiques apatrides qui servent des intérêts étrangers, tenus par leur vice comme leur servitude, à l’usure nauséabonde qui pullule.

Nains grotesques le visage déformé de haine envers le vivant, pondant des lois iniques, des lois de mort, sous le regard d’une population illettrée, se gavant de foot ball jusqu’à l’obésité chronique, un champ de vaches moribondes qui lèvent la queue pour mieux se faire sodomiser par les hausses d’impôts, le paiement des intérêts de la dette de l’usure, le rabotement des retraites, le pillage des caisses collectives par toute la misère du monde, les délocalisations à marche forcée, la désintégration du système hospitalier, etc etc. Qui se laisse faire sans sourciller tellement la bêtise est devenue leur culture, la braguette leur divertissement majeur, la laideur leur phare artistique. Qui se laisse prendre aux actions psychosociologiques, réfutant leur Race, leur Racine, leur honneur, afin d’applaudir à ce qui est leur châtrage intellectuel, physique, spirituel, le métissage de tout ce qui existe, un métissage voyant naître cette pâte molle, fade, sans saveur, vulgaire, prête à l’acceptation des donneurs d’ordre de la lie composite qui se veut gouvernance de ce monde

Une lie qui se croit tout permise, violant toutes les lois, dans un silence assourdissant, dans une impunité totale, tant au niveau économique qu’au niveau humain, se servant de ce dernier comme une paillasse, une prostituée consentante ou non, ce que sont devenus pour la plupart les filles et les garçons de Charlemagne, dans cette tragicomédie que nous traversons. Des culs et des ventres, inintelligents au possible, malléable à souhait dans le carcan des ismes qui ne sont là que pour protéger les couards, les lâches, les serviles, celles et ceux qui ne se respectent pas et ne respectent en aucun cas autrui.

Pendant ce temps les nuits de cristal se poursuivent à Gaza, cinq cents morts la nuit dernière, autant ce soir, et combien encore, un million huit cent mille, sa population ? Ne croyons un seul instant que cela ne soit pas le cas devant l’altération de l’intégrité intellectuelle et spirituelle de ces gouvernances pour la plupart issues des loges et des sociétés discrètes à la solde de l’hérésie la plus purulente. Entendez-vous cette « europe « se manifester ? Le gouvernement de la France lui s’en garde bien, si tant courbé jusqu’à la lie devant la barbarie qu’elle alimente, qu’elle entretient, qu’elle garantit. Il n’y a plus de gouvernement Français, il y a un gouvernement qui n’obéit pas aux Lois des Nations mais aux Lois dictées par le consensus apatride qui cherche à faire main basse sur les ressources de gaz de Gaza.

Et qu’importe le génocide perpétré, qu’importe que soit sacrifié un Peuple sur l’autel de l’usure, Tamerlan ne vivait bien après ses combats qu’au milieu des têtes coupées de ses ennemis, l’usure elle ne vit bien que lorsqu’elle a mis un terme à toute vie dans les Nations qu’elle cherche à s’approprier, mais bien entendu elle se cache, elle n’apparaît pas, et fait faire ses basses besognes par d’autres qu’elle-même. Et ces besogneux de la mort sont en action dans notre propre Nation, dans notre gouvernance, ne l’oublions jamais, n’oublions jamais que pas une parole n’a été prononcée en faveur du Peuple Palestinien, ses femmes, ses enfants, ses vieillards par cette puanteur socialiste qui s’imagine le centre du monde avec sa pourriture mondiale socialiste, cette gangrène du monde qu’il faudra bien un jour soigner, et qui se soigne grâce à des Nations comme la Russie et même la Chine, l’Inde, les Nations d’Amérique du Sud.

Il est temps que les regards se dessillent et voient la réalité en face et cesse de croire les suces queues médiatiques qui pourrissent nos écrans de télévision, une télévision qui devrait être culturelle, une télévision qui devrait apporter des faits et non une propagande insipide et rituelle qui aujourd’hui fait rire le monde entier. Car le monde entier rit de ces mensonges, de cette sauce avariée qui pue la prébende, et il conviendra bien un jour que ces pseudos journalistes s’en rendent comptent, car l’information ne leur appartient plus depuis longtemps et ne leur appartiendra plus jamais, les réseaux s’en chargeant bien mieux qu’eux, et faisant apparaître des crimes insoupçonnés et insoupçonnables, tels ceux des djihadistes en Syrie, tels ceux manifestes des soldats d’Israël diligentés par leur gouvernance à Gaza, tels ceux perpétrés grâce à la division instaurée des clans dans les Nations Africaines, etc, etc.

N’en jetons plus, la cour est pleine de cette barbarie qui voudrait que tout un chacun applaudisse à ses méfaits. Elle n’est le fait d’une Nation mais bien d’une caste qui, déjà, par manipulation a provoqué pour ses intérêts la première guerre mondiale, puis la seconde, et voudrait, devant sa faillite mémorable, une dernière guerre pour reprendre ses activités pandémiques et barbares. Nous sommes bien loin là des concepts Indo Européens, qui sont nos racines souveraines, et qui n’ont rien à voir avec cette bestialité mentale que l’on cherche à nous imposer. Ces concepts et ces valeurs d’honneur, de grandeur, de compassion, reviendront, car ce sont les seules qui permettront aux Peuples de s’autodéterminer dans la Paix en multipliant leurs échanges et non en s’asservissant mutuellement. Cela n’est qu’une question de temps, et le temps n’est rien, ne l’oublions pas, la Terre a quatre milliards cinq cents millions d’années et il lui reste autant de temps à vivre, alors les épiphénomènes, les contractions temporelles, elle en a vu d’autres ! La nature revient toujours à l’équilibre, et elle reviendra à l’équilibre lorsque la conscience sera le phare de l’Humanité et en aucun cas la barbarie. »

Tristes nouvelles où l’on voit la manipulation des masses en action pour masquer la tragédie d’un génocide programmé.

© Vincent Thierry