La boite de Pandore

La boite de Pandore

 

Petites nouvelles de Terre, où l’on voit les mercenaires du véritable pouvoir se retourner contre lui, très intéressante perspective qui permettra peut-être une reprise de conscience de la part de celles et de ceux qui en sont les moteurs, mais lisons:

" Nous voici donc dans la nasse du Reich et de sa puissance convoitée et dirigée, jusqu’à voir la gouvernance de notre Nation, abjurant et reniant notre souveraineté, venir à Canossa pour, féale, demander son aide économique. Belle revanche de l’empire germanique sur la fille aînée de l’Église, entremise par les Anglo-Saxons, clouant ainsi au pilori toutes les belles expressions qui tuméfient de leurs langueurs les sons entendus de ces partis ridicules qui s’imaginent précieux, alors qu’ils ne sont rien d’autre que les terreaux de la traîtrise et du parjure au motif de cette entente illicite. En conscience, aucune confiance ne devra plus être accordée à cette ripaille de la maçonnerie bigarrée qui se veut faste lorsqu’elle n’est que tremplin vers la matérialité la plus abrupte, initiant cet hymne barbare qui retentit par toutes les nébuleuses qui s’imaginent déité lorsqu’elles ne sont que cacophonie de la Déité.

Se sortir de cette impasse relève de la gageure, mais il y a plus de ressort dans notre France que ne peuvent en croire les pédants, les bobos, celles et ceux qui osent avec leur casier judiciaire, sans honte, vouloir se présenter à son poste suprême, saturation glauque de la pensée unique onirique qui n’est qu’acceptation dès l’instant où cette acceptation larvaire lui permet de jouir de sa pauvreté intellectuelle, de sa réduction physique et enfin de son désert spirituel, jouet monstrueux façonné par les médias errants, ces guides infernaux d’une finance apatride et veule ne rêvant que de correspondre l’esclavagisme par toute la terre afin d’user et d’abuser de toute cette lie devenue de l’Humanité comme elle le désirera.

Cette tourbe saillit ses avanies, là à Gaza, là en Irak, là en Syrie, là en Ukraine, joignant l’imaginable à l’inimaginable, où la destruction est le cœur même de la panoplie du parfait barbare qui s’impose, usant des uns et des autres aux fins de créer des foyers sanglants, ou bien entendu sont massacrés tout ce qui a embrassé la religion Chrétienne, crucifié, éventré, torturé, dans l’impunité absolue. Car le génocide est maintenant la devise de cette errance, elle emploie les grands moyens, se gaussant des Lois internationales, conchiant leur réalité, et les foulant aux pieds de leurs désirs de rapaces, là pour le pétrole, ici pour le gaz, dans un tourbillon sans fins où l’on voit les gouvernances alliées par leurs crimes à peine se rebeller contre les tueries, bien au contraire les encourageant, tel que cela se voit en Irak, où après avoir armé et entraîné le front Islamique, elle vient le combattre pour hisser les Kurdes au premier plan, Kurdes qui n’ont qu’une vocation, celle de s’établir en Empire et liquider ainsi les Nations, telles la Syrie, la Jordanie, la Turquie, etc.

La manipulation est au service de l’errance, et on ne peut pas dire qu’elle ne manipule pas comme il lui convient, consacrant dans la noirceur la plus globale l’instrumentalisation de minorités et de groupes d’illuminés tant politiques que religieux, qu’elle consacre en leur assignant les points de révolte nécessaires à sa venue en libérateur de ses propres contraintes, sans compter le moins du monde le nombre de ses victimes, quoi? Des Êtres Humains, est-ce que cela compte aujourd’hui ? Que non, bien entendu, le but restant le but ultime de la barbarie, le pillage, le viol, la destruction, la désintégration, aux fins de s’accaparer les ressources minières et autres des Nations dévastées par ces fléaux.

Il n’y a là que des guerres apparentes, comme le sont les pseudos duels politiques auxquels nous avons affaire dans cette glauque prostration que l’on ose nommer l’europe, une chose fédéraliste sans devenir car ne tenant en aucun cas de la réalité identitaire, économique, culturelle et spirituelle de chaque Peuple circonscrit bio géographiquement et historiquement dans des Existants, que cherche à détruire toute la souillure humaine en pulvérisant par de pseudos régions ses Nations. N’oublions jamais que la division est le levier de cette subversion barbare, telle qu’on la voit avec la mise au pinacle des communautarismes dans notre France, une et indivisible, où la population de souche est spoliée, violée, tant physiquement qu’intellectuellement, ne parlons même pas spirituellement, lorsqu’on compte le nombre d’églises incendiées, volées, détruites par les féaux politiques sataniques qui présentent leur fondement aux religions rivales afin d’obtenir quelques subsides.

Nous avons affaire ici, face à cette boursouflure, à un monde de lâches, des lâches congénitaux qui se réfugient dans le virtuel, dans cette sphère, cette bulle en laquelle ils s’imaginent toute puissance alors qu’ils ne sont que les larves qui préparent leur propre agonie, et bien peu le perçoivent, par peur de se voir traités de tous les ismes inventés et répertoriés, qui ne valent strictement rien au regard de l’Être Humain qui se respecte et respecte autrui, et se fait respecter d’autrui, ismes des louanges de la culpabilisation, de la flagellation, mais surtout de la couardise, masquant les crimes indicibles du socialisme via le communisme et le national-socialisme, dont la résultante est cent cinquante millions de morts à travers le monde, dont soixante millions seulement en Russie soviétique dont les auteurs sont parfaitement connus au regard des archives du KGB que des lois iniques et liberticides empêchent bien entendu de prononcer.

Ce qui se passe en Irak, en Syrie, à Gaza, hier en Libye, en Égypte, en Tunisie, est l’exacte moule de cette horreur qui fut, et qui revient, dans le conte pour enfants de l’action réaction initiée politiquement. Aujourd’hui l’ennemi n’est pas le terrorisme mais bien la barbarie qui actionne le terrorisme et s’en sert afin de destituer des gouvernements, asservir des Nations. L’invention du terrorisme, encore un isme, est un fait, et personne ne peut contredire cette affirmation, au regard de l’utilisation de ce dit terrorisme par des États sans foi ni loi, sinon celles du profit, ceci personne ne peut le nier, comme on l’a vu en action au Mali, comme on le voit en action en République centrafricaine, comme on le voit en action en Syrie, comme on le voit en action en Libye, comme on le voit en action en Irak, comme on le voit en action en Ukraine.

N’en jetons plus la cour est pleine de ces exactions dont l’impunité relève de la tragédie, à l’image des actions des tueurs nés agissant en Ukraine, ayant assassinés dans un bâtiment des dizaines de pro Russes avant que de regarder brûler les derniers occupants dans une joie sadique non récupérable pour l’Humanité. Soyons clairs, le but quel qu’il soit, lorsqu’il relève de crimes contre l’Humanité, qui aujourd’hui se multiplient à l’infini, ne peut voir l’un ou l’autre applaudir à cette dérive sans être lui-même atrophié à tout niveau. Nous sommes actuellement, sous le joug des cartels financiers apatrides et dissolus, ne cherchant en aucun cas à faire naître une civilisation, mais bien la fin de toute civilisation, celle menant au néant, à la matière glauque et putride sur laquelle ils régneront comme des nababs, des potentats, des petits empereurs Romains, hissant le vice vertu et le meurtre apothéose.

Deux conceptions de l’avenir vont désormais s’affronter au regard de cette fumisterie, la conception de l’élévation de l’Humanité, et la conception de sa destruction, une destruction liée à une atrophie mentale qui n’a rien d’humaine mais tout d’une folie qui n’est pas ordinaire, celle d’un surmoi démesuré initié par des typologies classiques, primitives, matérialistes ou spiritualistes. Ce surmoi est la dimension qui nous est donnée à voir dans toutes les actions entreprises depuis 1776, car ne l’oublions pas, la subversion est en action depuis cette date fatidique et plie à sa dérive tout le petit monde des enrichis tenus par leurs vices, leurs meurtres, leurs prévarications, leurs reptations.

Pour tout un chacun qui recherche à élever son prochain, qui s’inscrit dans la réalité, l’existence une et indivisible des Nations comme des Peuples, on comprendra que ne peuvent s’inscrire ces voleurs, ces pillards, ces pirates qui infestent les États, actionnés par l’appât de l’or, l’appât de la pacotille, l’appât de la commisération, dans cette réalisation, car ils sont à l’inverse de toutes les valeurs éternelles, qui sont celles de l’honneur, de la grandeur, du don de sa personne aux autres, en fonction de ses capacités, toutes résonances de nos racines antédiluviennes, indo Européennes, que rien ni personne ne pourra effacer de l’histoire de ce monde, et certainement pas les sextants de l’usure et de leurs dévots, qui ne sont eux-mêmes que les esclaves de la barbarie qui sème la mort sur notre monde.

Deux mondes, donc, un monde de barbares qui se servent de tous les outils possibles et imaginables pour corrompre et les Êtres Humains et les États, violer les Peuples et les voler, notamment par le terrorisme qui n’est qu’une facette de ses armes de destruction massive, et face à cette lie de l’Humanité, un monde d’Êtres Humains qui doivent par tous les moyens entrer en résistance active contre cette inhumanité. La résistance active n’est pas celle des armes, - ce serait faire trop d’honneur à la subversion qui ne mérite d’être battue physiquement, et ainsi entrer dans son jeu bestial - mais bien intellectuellement, un intellect combatif que l’on retrouve remarquablement dans les réseaux sociaux qui ce jour démontrent l’inanité du respire de la pensée unique, de ce joyau de puanteur qui voudrait imposer sa volonté, un intellect qui ne se laisse prendre aux filets de la propagande et qui par de vrais journalistes dévoilent la vérité sur les faits, un intellect qui chaque jour concoure à nettoyer le gruau des informations ridicules que nous servent les médias aux ordres, afin d’éclairer chacun de par ce monde.

Son éclairage permettra à moyen terme de remettre de l’ordre dans les États, n’en doutons pas. La France, pauvre France, est depuis 1789 levier de cette subversion, le combat doit donc être mené en son sein, par toutes surfaces, par toutes associations, par toutes strates sociales, afin d’éveiller tout un chacun à sa condition qui le détermine esclave, esclave de la boue putride qui ronge nos Institutions et notre Gouvernement dont les miasmes travaillent à sa destruction. Regardez s’il en fallait pour démonstration, cette tentative de destruction de la classe moyenne pour nourrir le monde entier, en la volant de ses économies, en la spoliant de ses salaires mérités, et pire encore en augmentant ses impôts par cette suffisance qui désormais est maîtresse de nos terres, de notre Terre de France qui vomit cette pestilence qui l’englue.

Cette pestilence est partout, chacun de ses féaux se sert, se goinfre, se donne mesure à des retraites dorées, tout en sanctifiant des lois pour l’avortement, tout en préparant les lois pour l’euthanasie, aux fins de détruire et détruire encore l’Âme Française, cette Âme qui ne doit rien à ces parasites, ces gargouilles de loges sataniques qui sont tenus par leurs vices, leurs crimes, leurs comptes en banques, tout un brouet qu’il conviendra d’évider de notre Nation pour qu’elle se sorte de leur prurit infecté. Lorsqu’on ne sert pas la France, on se retire du Pouvoir, lorsqu’on est Franc-Maçon on n’insinue pas le Pouvoir, lorsqu’on appartient aux think tanks, quelles qu’elles soient, on n’oblige pas le Pouvoir, lorsqu’on est astreint de l’usure, on ne s’implique pas dans l’économie de la Nation en ses Ministères.

Mesurez le nombre des valets qui se gobergent et se restaurent dans nos Institutions en vous regardant naître à la misère, voyant des retraités à faibles revenus, obligés de payer des impôts qu’ils ne payaient pas antérieurement, et cette frénésie de volaille guidée par le coq de la subversion se réjouit de cela ! La médiocrité est là dans ses apparences comme en ses fondements et faute de valeur veut dissoudre toute réalité dans sa virtualité hideuse, qu’il nous faudrait accepter, que nous devons accepter afin de lui complaire, complaire à la dépravation, complaire à tout ce qui détruit l’Être Humain jusqu’à le considérer comme une marchandise dans le cadre de cette théorie issue d’un cerveau malade, le genre.

L’abjection maintenant est à son comble et les ignares l’acclament, il est donc temps que se dresse face à cette école de cette sous-oligarchie l’école de la République, celle qui inscrit l’Identité Française et non sa vomissure comme sa flétrissure, où tout un chacun peut conchier le Peuple de France, violer ses enfants, comme on l’a vu pour une jeune fille blanche traitée de pute française, ce qui ne provoque aucune suite dans cette gouvernance malade de son idéologie qui ne s’émeut que de la mort, certes tragique, d’un jeune noir aux États Unis. On comprendra où va le but idéologique de cette bestialité que l’on nomme le socialisme qui est le chiendent de la terre.

Un Gouvernement quel qu’il soit qui n’agit pas dans le sens de la République une et indivisible, n’est pas un Gouvernement, mais un assemblage de pions sur l’échiquier que manipulent les banksters, ces pauvres gens qui sont vides de toute humanité et qui tournent en rond après avoir volé tout un chacun, volés grâce à l’usure, cette sordide invention de l’atrophie matérialiste, qui imagine la Terre comme un terrain de jeu, un paradis pour de pauvres élus du portefeuille dont l’intelligence est inversement proportionnelle au montant de leurs capitaux, ignorant toute faculté mentale de l’Être Humain car n’ayant aucune faculté mentale, des brutes, barbares qui ne se contemplent que dans le sang de l’Humanité dont ils usent et abusent à souhait devant l’écran de fumée qu’ils mettent en place afin que tout un chacun ne voit leurs actions putrides et délétères.

Ils n’emporteront rien lorsqu’ils se transformeront, ni de cette Vie, ni de leurs autres Vies, et poursuivront leur chemin dans le désert qui est le propre de leur déshérence. Compassion donc pour ces malades mentaux qui ont oublié la seule réalité, celle de la Vie. Et l’on s’étonnera ensuite que leurs pions soient sans foi ni loi, barbares déguisés dans l’hypocrisie la plus suintante, la plus molle, la plus obséquieuse, la plus répugnante, qui s’exprime pour donner les mots d’ordre qu’ils reçoivent, dans un jeu de quilles qui vu de l’extérieur est tellement visible qu’ils l’imaginent invisible.

Il est temps que tout un chacun fasse l’effort de reconnaître ce jeu puéril dans lequel il est pantomime, agissant suivant les modes tant du corps que de l’esprit, ne parlons pas de l’Âme, totalement oubliée par les narcotiques desservis chaque jour par les voix de la propagande qui se veut régulatrice, alors qu’elle permet bien au contraire de reconnaître le mensonge, ce mensonge qui tient debout, ce mensonge en Irak, en Syrie, en Irak où les djihadistes ont été entraînés par ce que l’on ose encore appeler l’Occident.

Les actions sous faux drapeau sont désormais l’accès aux dividendes de la décomposition de cet Occident. Et la mise à mort par pion interposé telle qu’on a pu l’entendre avec ce journaliste Américain en Irak, est de mise. Si ce fait est réel, car ici encore il faut se méfier des dires de la voie de l’usure, les États-Unis, comme d’ailleurs notre Nation, sont responsables de la mort de ce journaliste, confère l’armement et l’entraînement de ce front que l’on dit Islamique en Irak.

Il convient de bien comprendre que les différents gouvernements ont ouvert la boîte de Pandore en armant les djihadistes en Afghanistan pendant l’occupation Russe. Il convient de bien comprendre aussi que cette boîte de Pandore est manipulée à souhait par les mêmes gouvernements pour servir les intérêts de l’usure, et en aucun cas des Peuples quels qu’ils soient. La maîtrise du destin est la création de ce destin, donc une action non admise par la vox populi, au sens de l’empathie, entraîne une réaction, où l’on voit arriver en vainqueur ceux qui ont commis l’irréparable. Nous sommes dans le cadre d’un très mauvais scénario où règne le factice, l’illusion. L’exemple de l’Irak est exemplaire sur ce sujet, « on » fait accroire qu’il existe des armes de destruction massives en Irak, dont le Gouvernement ne voulait plus se faire payer en dollar pour ses barils de pétrole, et en jouant sur la peur et la terreur on fait accepter aux masses l’urgence d’une intervention, qui vient en réaction, permettant ainsi de faire accroire à une action humanitaire.

Ceci s’est passé en Serbie, ceci s’est passé en Irak, ceci s’est passé en Tunisie, ceci s’est passé en Libye. Regardez et étudiez bien les années qui ont précédé le 09/2001, et vous verrez que lorsque les Pays Arabes se sont comportés comme de bons commerçants acceptants, tout se passait à merveille, ce n’est que lorsque les gouvernances, notamment de l’Irak et de la Libye ont décidé de ne plus accepter comme moyen de paiement le dollar, que les banksters se sont révélés et par le mensonge ont détruits ces Nations.

Le mensonge est une arme de la gouvernance, le non-dit de même. Nous le vivons dans notre Nation chaque jour qui passe, voyant l’ignorance domptée par le mensonge et le non-dit. Cette ignorance qui se diffuse par cette soi-disant « éducation nationale » qui n’est que l’éducation forgée par les basses loges, celle de la matérialité abrupte et sans devenir sinon celui de la boue et de ses abîmes. Cette ignorance qui se diffuse dans ce que l’on ose appeler les médias, qui ne sont que les valets de leurs commettants, usuriers en tout genre, apatrides en tous genres, qui ne rêvent de voir que le village mondial mis en coupe réglée par leurs souhaits, savoir leur règne sur des esclaves consentants.

La gouvernance est désormais féale de la barbarie. Il suffit de regarder notre histoire mondiale actuelle pour s’en rendre compte, il suffit d’ouvrir les yeux pour en constater l’horreur planifiée. Car cette horreur est planifiée, n’en doutons un seul instant. Si vous en doutez, regardez le prétendant à la Présidence conspuer la finance véreuse et apatride, avant même d’être élu se prosterner à la City, et ignorer totalement ses engagements une fois élu. S’il vous fallait voir un pion, en voici un, qui s’agite dans des cérémonies pour parfaire son image de marque qui ne représente plus rien pour toutes celles et tous ceux qui ont déjoué le piège du mensonge politicien, un art qui est le placage de cette sinistre dérive qui se soumet à la barbarie.

En conscience, tout un chacun sait qu’il ne peut faire confiance à celles et ceux qui ne s’appartiennent pas mais appartiennent aux sectes manipulées par l’usure et ses féaux, des sectes qui se cachent dans les think tanks, dans les relais de la maçonnerie avariée, et les milieux associatifs et politiques qui ne se dirigent plus mais sont dirigés par insinuation, vers cette matière brute qui est l’icône de ces indécences qui agissent dans l’ombre par peur de se faire découvrir et surtout que tout un chacun découvre leurs buts.

Leur action principale, rappelons-le est la division. Elle est le fait de la déshérence politique que nous vivons actuellement, cohabitée par le communautarisme le plus virulent que nous ayons connu, appuyé par des Lois cyniques et iniques, et témoigne que le redressement de notre Nation ne pourra passer que par l'équilibre nécessaire fondant le cadre de la multipolarité qui se précise. Ceci implique l'unité et l'indivisibilité du Peuple de France qui ne peut se soumettre à toutes les trivialités communautaires que l'on connaît actuellement, qui enrichit le politique et dénature le Peuple dans son essence comme son existence. Retrouver cette indivisibilité passe par la dilution des communautarismes, et de la panoplie politique soumise tant à ces communautés qu'au jeu incessant de l'Ouest tendant à faire disparaître les États au profit de dominions manipulés et thésaurisés dans un devenir qui est plus qu'inquiétant, car relevant d'une dictature in fine où la Liberté n'existe plus, où le sens n'existe plus, où l'insolence est permissivité, l'insolence de la boucherie que nous voyons en œuvre depuis le 09/2001.

Nous ne pouvons plus faire confiance à des classes, qu'elles soient de gauche comme de "droite", qui sont manipulés à souhait par l'étranger, et manipulent à souhait le terrorisme qu'ils arment, entraînent et présentent comme les brebis galeuses de ce siècle, lorsqu’il conviendrait de reconnaître la réalité qui est celle d'un double sinon d'un triple jeu motivé par ce souhait de certains de faire naître une "République universelle" mondiale quels que soient les moyens employés. La fin justifie les moyens, et l’on peut comprendre ici que le véritable fléau de la subversion se caractérise par la division, maître mot de cette errance qui voudrait voir un monde non plus d'humains, mais de robots vides de conscience, acceptant toute inanité pour préserver leur petite jouissance d'assisté.

On comprendra mieux la faiblesse des réactions de nos contemporains par rapport aux grands problèmes que nous connaissons, pour la plupart anesthésiés par des médias aux ordres, des pseudos philosophes, des artistes avariés, qui les guident vers cette pensée unique qui n'est que bourbier nauséabond destituant l'esprit critique, à l'image, bis repetita, de cette dite éducation nationale qui préfère niveler par le bas plutôt que d'élever les uns les autres dans notre République, facilitant ainsi le règne de l’ignorance activée par le mensonge.

Ne nous leurrons pas sur le potentiel de redressement de notre Peuple, tant qu'il sera sous le boisseau d'une "europe" fédérale non consentie, dépendant des communautarismes les plus agissants, et des oligarchies de faits qui interagissent afin de saboter toute réalisation unitaire dans le cadre des Nations quelles qu'elles soient. Si la lucidité est le propre du courage, la Liberté d'agir ce jour est viciée, à la fois par l’ignorance et par le mensonge compulsif. Il convient donc que tout un chacun en délie les nœuds pour en comprendre les sources et ainsi ne reste plus aveugle, sourd et muet aux problèmes auxquels nous sommes confrontés.

Le cœur du problème, né de la division, doit apparaître en pleine clarté, et relève actuellement au niveau international de la boîte de pandore initiée par l’Occident, mais non seulement l’Occident, le Moyen Orient qui trouve son compte dans le chaos organisé et planifié tendant à faire disparaître les Nations Arabes et Africaines, cette boîte de pandore donnant libre cours aux pulsions mortifères d’un ensemble hétéroclite de mercenaires qui, suivant l’humeur du moment, se retourne contre leurs mandants ou bien interagissent suivant leur vue, sur tous les terrains d’opération où se situent les ressources minières, pétrolières, gazières, nonobstant les ressources en drogues lourdes qui sont les moyens de paiement de ce mercenariat composite.

Les acteurs de cette boîte de pandore, ne se trouvent uniquement concentrés au Moyen Orient, mais se trouvent en Afrique, en Europe, aux États-Unis, en Russie, etc. Il convient d’araser ces acteurs si l’on veut retrouver la Paix. Et cet arasement passe par la désintégration de la division qui est le maître mot de leurs mandants, qui usent et abusent de cette armée aux fins de mettre à feu et à sang ce petit monde. Ne nous leurrons sur les quelques frappes auxquels nous assistons en Irak, où tout un chacun pleure sur un communautarisme particulier en oubliant la mise à mort de toute la chrétienté s’y trouvant encore. Comme précisé plus haut, le jeu Kurde n’est qu’un jeu de division dans lequel s’engouffrent toutes les gouvernances à la botte de l’usure. Le levier du terrorisme ne se trouve en ses acteurs uniquement cantonné en Irak, et ce n’est que pauvre pansement sur une plaie béante ouverte par l’Occident et ses alliés sur notre pauvre petite Terre.

Une gouvernance sensée, non liée et dépendante de l’usure et ses féaux, prendrait la mesure de ce fléau et s’allierait au niveau International avec l’Iran, ce que semblent faire les États-Unis, la Syrie, la Russie, pour écraser les velléités de ce mercenariat à la solde, et parallèlement mènerait une offensive généralisée dans chaque Nation pour en extirper le venin qui s’y cache, tel qu’on peut le voir en France dans ces banlieues de non droit, ghettos du trafic de drogue qui sert les intérêts des féaux de la division et de la destruction. Mais il ne suffit d’éradiquer les acteurs, faut-il mettre aux bans de l’Humanité les auteurs, bloquer les comptes de toutes les strates financières qui participent à la prospérité de ces mercenaires. Le courage ici, n’en doutons pas, ne sera pas des gouvernances totalement inféodées, qui par utopie, par croyance avide, par dénature de l’esprit, n’ont qu’un seul but, la disparition de la réalité, au profit de leur virtualité sordide et sans limites.

Ainsi, tout doit se résoudre par élection, que ce soit aux États-Unis comme dans les Pays Européens, par rejet de celles et de ceux qui, formatés par les auteurs de cette tragédie humaine, ne peuvent aller à l’encontre de leurs maîtres, ne s’appartiennent plus et sombrent dans la palinodie, la bêtise cruelle, l’obséquieuse vantardise, la vanité avariée, l’horreur en fait, car complicité de ce méfait international qui touche le cœur de la terre et chaque Nation en son sein, une horreur qu’il convient de défaire.

Ne nous méprenons pas, dans toutes les strates, qu’elles soient financières, politiques, maçonniques et autres, existent des Êtres Humains de bonne volonté, mais cette bonne volonté ne suffit pas, faut-il encore qu’elle soit portée par la vox populi, une vox populi anesthésiée, dont le devoir de chacun sur cette Terre est de réveiller la conscience. Vain combat me dira-t-on, devant les moyens mis en œuvre pour détruire jusqu’à la moindre parcelle de culture de ces Êtres Humains assoupis par les mièvreries, le foot Ball, les mensonges diffusés chromatiquement par ces radios et ces télévisions financés par les auteurs de l’horreur que nous vivons, où pas un mot n’est prononcé devant les massacres, ici les massacres en Ukraine par le mercenariat nihiliste, là à Gaza par l’idéologie dominante d’Israël, là en Syrie par la peste djihadiste entraînée et financée par l’Occident et le Moyen Orient vénal, là en Afrique par tous les mercenaires des multinationales et des banques associées, etc, etc.

Alors, courage, ne baissez pas les bras, retroussez vos manches, et au travail pour nettoyer les écuries d’Augias. »

Pauvre Terre martyrisée par la bestialité qui se veut règne, aurons-nous un jour de bonnes nouvelles de cette poussière d’étoiles située à des milliards de parsecs de notre Monde, naturé, équilibré, élevant ses enfants, dans une Paix partagée où tout un chacun est respect et respecté quelle que soit son Identité, sa Nation, sa Culture, sa Spiritualité, attendons la suite.

© Vincent Thierry