Les reptiles

Les reptiles

 

Petites nouvelles de la Terre qui se propagent à la vitesse de l’éclair, lisons :

« Nous voici dans la propagande la plus stupide qui soit, ivre de sa bestialité et de son onirisme le plus reptilien, alors que, pire que les grandes oreilles du NSA, vient se greffer sur chaque citoyenne comme chaque citoyen de notre Peuple le flicage des commissaires politiques de cette subversion ambulante que l'on nomme le socialisme. Cette puanteur se donne tous les droits des lâches et des serviles, ignorant le droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes. De les regarder en reptation devant l'Arabie Saoudite comme le Qatar pour obtenir l'aumône, n'est pas le moindre défaut de cette lâcheté, vendue aux moins offrants, comme une péripatéticienne non de luxe, mais clochardesque.

On croit rêver en entendant les médiatiques errances pousser vers 2017 une caricature de ce proxénétisme. Vendu comme le fut le Président, comme le précédent, par l'armada des violeurs de la pensée, ces larves insipides, maîtres en plagiats en tout genre, achetant leurs diplômes comme d'autres des navets, petites mains qui comme certains se font tacler par le Président de la Syrie, devant tant de mensonges éhontés que diffusent des langues de vipères  qui n'ont aucun testicule pour être des grands reporters et voir sur le terrain la réalité de cette horreur que fait subir au Peuple Syrien la débauche des tueurs nés qui plus est, armée par notre propre gouvernance.

Mais cela est normal dans cette oligarchie qui n'est qu'une pègre, dont Lénine aurait apprécié la démesure, ne pouvant faire partie de son bolchevisme que les tueurs affirmés doublés de voleurs patentés. Car de bolchevisme, ici, il s'agit. La République usurpée par cette démence intellectuelle, n'est plus qu'un haillon, une serpillière sur laquelle s'essuient les pieds toute la misère humaine qui, ici, trouve de quoi se sustenter en suçant le sang des autochtones, avec l'assentiment de toute la pourriture idéologique, qui, telle la vermine, souille nos Institutions. Cette fripouille associée ne s'émeut pas du vandalisme subi par la Chapelle Militaire de la Base Navale de Toulon, qui a vu son Tabernacle renversé et brisé, les saintes espèces répandues sur le sol, son baptistère totalement brisé, la parole de Dieu jetée à terre et piétinée, ce qui n'a pu être occasionné que par des insinués dans notre Marine Nationale, déféquant sur toutes nos valeurs, au profit de ce qui n'est et ne sera jamais la France.

Il est temps que nos corps d'armée fassent le ménage de ces équivoques personnages qui passent avec armes et bagages dans le camp de l'ennemi irréductible de la France, l'Islam, qu'il fut radical ou non. L'Islam est comme la maçonnerie avariée, lisse à l'extérieur, noir à l'intérieur et que l'on ne s'étonne que s'entendent remarquablement ces deux expressions qui n'ont qu'un souci, la mise en place d'une dictature mondiale. Nous sommes à mi-chemin de cette dictature, dans l'Ouest et par l'ouest affirmé, ici je ne parle pas de l'occident, violé dans son essor par toute la médiocrité de ce monde. Le traité transatlantique unifiant et régulant les flux économiques entre l'europe des parias et les États-Unis sous domination mondialiste n'est que prémisse destructrice de tout ce qui fait l'honneur comme la grandeur des Nations Européennes, pauvre Europe guidée par un quatrième Reich bolchevique, en reptation et en soumission, subissant jusque dans ses derniers films le joug d'une culpabilisation qui ne regardent que ses aïeux embrigadés par le socialisme, l'hydre à plusieurs têtes, nationale, financée par les mêmes banquiers de l'internationale communiste et ce jour mondialiste.

Ce bestiaire est le vivier de toutes les lâchetés qui ne regarde que l'arbre qui cache la forêt, mais en aucun cas l’assassinat des soixante millions de Russes au zénith du communisme, cette idéologie atrophiée tournant en rond dans sa dialectique matérialiste, ineffable prostitution de l'esprit comme le sont les arcanes du darwinisme, du marxisme, du freudisme, du einsteinisme, et du friedmanisme, égouts de la pensée qui se veulent les drapeaux de l'humanité alors qu'ils en sont les linceuls.

Cette domesticité rugit, cette domesticité usurpant les noms de République, laïcité, démocratie, se pavane pour obtenir la grâce des incultes, et surtout celles des migrants de fraîche date, ignorants tout de l'histoire Européenne. Cette bestialité s'invente une religion, au nom de ses prévarications, de sa haine intarissable des Êtres Vivants qui ne se soumettent à sa théurgie ridicule. Les opiacées ne font pas long feu devant ses actes d'incapables congénitaux. Il suffit de regarder ce qui sort de l'école publique pour voir ce qu'il en est, il suffit de voir affluer les exogènes pour se rendre compte que nous ne vivons plus chez nous, dans ce désert qui se régit, cette épuration ethnique sans précédent des Peuples d'Europe. La médiocrité est le propre des larves, des larves qui sont en reptation devant tout ce qui peut leur permettre de justifier leur horreur comme leur haine de ce qu'elles sont.

Voici l'image exacte de ce que sont les litières de cette idéologie nauséabonde, rouge brune, par perversité qui passe bien entendu comme bon sentiment aux yeux des aveugles, de ces cloportes qui s'enchantent de cette viscosité si tant incapables de se prononcer au nom de leur déni de vivant, qu'ils ont besoin de cet opium pour survivre, dans leur croyance particulière d'un égalitarisme qui n'est qu'une souillure de l'esprit. Je ne parle pas d'égalité en droits, mais bien de cette égalité utopique entre les êtres humains qui n'ont rien d'égaux mais tout de complémentaires. Car la farce ne s'arrête pas là, au nom de cette utopie, cette fosse d'aisances veut que tout un chacun soit un étron nageant dans sa fange, tant ses personnages ne peuvent supporter qu'il existât des différences physiques comme des différences d'intelligences, à telle fin qu'ils nivellent tout à leur hauteur qui ne dépasse que rarement le sol, si amputés sont-ils de cette force de transcendance qui marque l'honneur et la grandeur de l'humain.

Regardez-les se coucher devant l'histoire qu'ils ne veulent plus reconnaître, jusqu'à la nier et comme des bourgeois de Calais implorer la mansuétude de leurs ennemis d'hier, jusqu'à déshonorer les faits d'armes de nos armées. Regardez les trépigner jusqu'à la moelle lorsque se lève le vent identitaire, se réfugiant dans les jupes de leurs mentors, hagards et tremblants, portant à la vindicte celles ceux qui ne partagent pas leur atrophie. Regardez-les en reptation devant des monothéismes qui sont leur privilège, ignorant le catholicisme et son martyr en ses églises souillées, ses cimetières vandalisés, au nom d'un "vivre ensemble" qui ne regarde que les soumis et les défroqués du cerveau.

Regardez les conspuer la seule Nation qui a de l'honneur, la Russie de ce jour, une Russie qui doit faire face à toute la subversion qui se pavane à l'Ouest, gruau de banquiers séniles et de valets serviles, gruau de toute la moisissure de ce monde qui s'invente et fabrique le terrorisme pour mieux défendre ses pouvoirs minables, car ils sont minables, n'en doutez un seul instant. Quelle audace et quel courage faut-il pour anémier des Nations entières, les soumettre à la famine, les racketter par l’usure ? Aucun. Il n'y a donc ni audace, ni courage, ni perspective chez ces gens-là, chiendent de la Terre, que le BRICS laminera comme cela se doit, car on ne peut impunément vivre en sangsue de ce monde sans un jour devoir rendre des comptes pour crime contre l'humanité, crime par guerres interposées, par spoliations devisées, par traîtrise et félonie mariées.

Le temps de cette charia de la démence est proche de sa fin, car les Peuples se réveillent et en ont assez d'être les esclaves de ce système né d'esprits retors, oublieux de ce qui fait l'Être Humain comme l'Humanité, qu'ils cherchent à ligaturer dans cette idéologie fangeuse qui fait accroire travailler pour le bien des Peuples, et qui en est exactement le contraire. L’opiacé est perfide, cherchant à détruire par ses miasmes, sous-produits d'une franc-maçonnerie avariée, les partis des Nations, comme on peut le voir en France où se bat une fille contre son père au nom de la pensée unique, cette stérilité des lâches et des veules qui ont besoin de masquer leurs crimes derrière des lois afin de parfaire leur néant. Cornélien est le thème, Shakespeare y eut trouvé le bon mot pour décrire cette tragédie, née de la médiocrité, portée par la médiocrité, où la Reine en sa cour de folles s'éblouit conseillée par l'hydre noire de loges infectes que contemple un père qui tant de fois a servi la cause de la France, qu’en ce jour de coup d'État des médiocres, il ne peut que se rebeller.

Nous attendons de voir ce Parti se scinder, d'un côté les mauviettes et les folles, de l'autre les femmes et les hommes d'honneur qui n'ont pas simplement le verbe pour étoffe, mais leur Être tout entier, un Être qui ne plie pas devant l'ahurissante vague des simagrées des plus épanouies, là reconnaissant des "erreurs" aux monstres communistes, ici sans égard pour le vainqueur de Verdun, - car que fut devenue la France sous l'hydre Allemande en 1918 ? - Là sans la moindre reconnaissance pour les plus de cinquante millions de victimes de la seconde guerre mondiale, et n'ayant de voix que pour les assassinats commis dans les camps concentration, en oubliant sciemment les assassinats commis dans les goulags et les asiles psychiatriques soviétiques !

Nul en ce monde n'a le privilège de la douleur. Et dans la douleur on n’oubliera pas celles et ceux qui ont souffert par le meurtre d’un des leurs à la libération, qui pour un champ, qui pour un commerce, qui pour le jugement falsifié de tueurs communistes faisant office de juges, et certainement pas celles et ceux dont l’un des leurs a été emprisonné dans les camps vietminh où les interrogatoires étaient faits en partie par des «Français», des traîtres à la Patrie récompensés qui ont fini leurs jours tranquillement dans l’éducation nationale, et certainement pas celles et ceux dont l’un des leurs a été assassiné par les bombes livrées par des « Français » aux rebelles Algériens qui coupaient leurs testicules et laissaient le sexe de leur victime dans leur bouche, et certainement pas celles et ceux dont les proches ont été assassinés à la fin de la guerre d’Algérie, dans des conditions atroces, parce qu’ils avaient choisi le drapeau de notre France comme emblème, et certainement pas celles et ceux dont les proches ont fini, parce qu’ils étaient résistants, catholiques, et traditionalistes, dans les camps de concentration de cette idéologie socialiste que fut le national-socialisme.

Non, nul n’a le privilège de la douleur dans ce monde, qui oublie volontairement le massacre des Russes, des Chinois, des Cambodgiens, pour se réfugier dans le giron plébiscite du génocide organisé par le socialisme national d’Adolphe Hitler, lors que Lénine, Staline et consorts, et Mao ainsi que Pol Pot furent des criminels autrement plus puissants et égarés. N’allons pas bien loin dans le cadre des génocides, regardons ce qui se passe au Congo où la mort sème, plus de sept millions d’assassinats en une dizaine d’années, n’allons pas plus loin et regardons le Kosovo où la population Serbe, dont c’est le berceau, est traitée de la même manière que les esclaves des goulags comme des camps de concentration.

Ce jour voit la commémoration de la fin de l’esclavage, mais si nous devons parler de l’esclavage, parlons de l’esclavage dans sa globalité, l’esclavage sous le joug communiste, l’esclavage sous le joug national socialiste, l’esclavage, et oui, sous le joug socialiste, - car nous vivons ce jour en esclave de cette perfidie idéologique, sans aucun droit de nous exprimer, juste bon à être trait de nos économies par des impôts scandaleux qui servent à nourrir la misère humaine, etc, etc – parlons de l’esclavage des gens de race blanche, plus d’un million vendu comme des pourceaux sur les terres musulmanes, parlons aussi de l’origine de l’esclavage des Africains, qui les vendaient, et pour quelle contrepartie ? Il serait temps de rendre à César ce qui appartient à César dans cette vaste duperie qui congèle le cerveau des citoyennes et des citoyens, quelle que soit leur couleur, leur origine, leur croyance !

Nul n’a donc ici le privilège de l’esclavage, car nous sommes les uns les autres, tous dans le cadre d’un esclavagisme barbare, tellement barbare, qu’il fait venir de la main-d’œuvre à bon marché qui votera bien, n’est-ce pas, pour ses maîtres, ces inénarrables pourrisseurs des Civilisations que sont les marchands ubuesques agitant des pantins, des baudruches dites politiques issues des think tanks telle que la Fondation dite Franco Américaine, qui pourrit totalement nos Institutions ce jour. Nous devons rebâtir la France dans son intégralité et en évacuer à jamais cette idéologie qui se veut sa maîtresse, comme elle se veut la maîtresse de nos Nations Européennes. Cette contre-révolution doit s’accomplir dans le cadre de la légalité la plus parfaite et la plus déterminée, par la reprise de tous les pouvoirs où qu’ils soient, afin que nos enfants et nos petits enfants ne soient les esclaves accomplis par le pourrissoir d’une éducation qui n’a plus rien de nationale, mais tout de l’idéologie maçonnique avariée, ne voulant voir qu’une seule tête soumise à sa bestialité, l’idéologie en isme qui se veut règne.

Et cette action ne doit seulement venir de France, mais de l’intégralité des Nations Européennes, qui ne peuvent continuer ainsi à s’avilir dans la traite esclavagiste qu’elles subissent, jusqu’à l’acceptation de la soumission la plus répugnante qui soit, la marchandisation de leurs Peuples. Ceci passe par l’action, le vote pour les partis défendant les Nations. L’Europe n’est pas cette oligarchie qui s’est greffée comme une hyène sur l’idéal Européen, pour en défaire la grandeur et la splendeur, et la réduire à un petit arrangement entre usuriers. On nous parlera des traités passés entre ces aigrefins ! Ces traités n’ont aucune valeur, car ils ne tiennent pas compte de la réalité humaine, de la réalité des Peuples Européens, de leur histoire commune, de leur culture qui est l’image d’un diamant à multiples facettes, qui ne doit en aucun cas s’éperdre dans la boue sous culturelle que font reluire les tenants et les aboutissants de cette mascarade qu’on ose appeler l’Europe.

Il n’y a pas de démocratie dans cette chose devenue putride. Nous sommes très loin de l’Idéal de Coudenhove-Kalergi – dont les écrits sont interprétés à l’emporte-pièce sans en reconnaître l’évolution, et encore moins le contexte historique lors desquels ils ont été élaborés, sa pierre d’œuvre restant son ouvrage magistral Paneuropa - je dirais même à ces antipodes. Les Peuples Européens ont toujours été héroïques et souverains, et ne se sont jamais laissé emporter par les délires consensuels d’une anarchie idéologique grégaire et malfaisante, communiste par essence, dictatoriale par les faits, ce que représentent ces pantins qui voudraient les diriger par l’intermédiaire de leurs textes ridicules. Nous n’avons, nous les Peuples de cette Europe, rien de cette trivialité sans honneur, rien de cette forfaiture, rien de cette soupe abstraite qui se réjouit de sa propre logorrhée, cette vasque inverse suant des lois qui sont des pantomimes, des aberrations qui ne ciblent que la destruction de toutes les valeurs humaines au profit du profit lui-même.

Ces traités disparaîtront comme cela se doit lorsque les Peuples reprendront leur droit absolu à disposer d’eux-mêmes, brisant la laisse puérile des fornicateurs dont le bestiaire aujourd’hui n’est plus à conter, tant leurs fresques sont les mouroirs de toutes les réalités, de toutes les valeurs de l’Humanité. Nous ne devons rien à cette chose, sinon que notre mise en esclavage ! L’Angleterre ne s’y trompe pas, qui après avoir voté pour le réalisme, et non l’utopie putride, va mettre en œuvre un référendum pour que le Peuple vote sa mise en servage ou sa libération. Tous les Peuples Européens doivent demander ce référendum, je dis bien tous, et explosera cette construction bâtie sur le sable gluant de l’usure, qui n’a aucune histoire sinon celle de son insinuation par tout ce qui n’est pas l’Europe et ne le sera jamais. La construction Européenne reviendra, mais ses fondations passeront par la reconnaissance de ses Peuples, à l’image des fondations de ce Pays qui ne s’est pas laissé prendre dans les filets des pirates au long cours qui fécondent cette atrophie de l’esprit, la Suisse.

Oui, les États-Unis d’Europe existeront, mais sans ces bubons qui l’immobilisent, qui se prennent pour des Empereurs Romains, alors qu’ils n’en arrivent pas au talon, pauvres individus liés par leurs dépendances à toutes les souches profondes qui sont la lie de l’Humanité, tel en France, cette imposition par médias interposés des représentants de cette Fondation dite Franco Américaine, qui n’a rien de la France et ne le sera jamais, et qui a usurpé par ubuesques malversations de l’esprit de notre Peuple, le pouvoir qui revient à ce dernier. Cette oligarchie est là dans notre Nation, chiant dans les bottes de la Démocratie, de la Liberté, de l’Identité, n’ayant pour préférence que son délire permanent, celui de l’anéantissement de ce Peuple qui a forgé les préliminaires de l’Europe avec Charlemagne et Napoléon.

Nous ne devons rien à ses valets, à ses croupiers, à ses pauvres hères qui ne s’appartiennent plus, nous ne devons rien aux vendus et aux traîtres à la Nation, et tout ce qu’ils signeront avec qui que ce soit, devra être éradiqué, comme devront être éradiquées leurs lois puantes, leurs lois pédophiles, leurs lois nécrophiles. Un Peuple ne se vend pas à la pourriture, un Peuple qui se respecte se redresse et se lave de la déjection qui cherche à l’anéantir et l’ensevelir. Regardez-les en débauche contorsionniste devant tout ce qui ne représente pas la France, mais représente des intérêts étrangers, des intérêts qui n’ont rien d’Européens, des intérêts personnels qui les soudent dans la débauche de l’atrophie qui les tient debout, et qui se démarque lorsque mis en face de leur portrait, ils se mettent à trembler comme leur digne professeur, Adolphe Hitler.

La France ce n’est pas cela, et ce n’est pas avec cela que l’Europe deviendra une puissance qui se fera respecter. Nous ne sommes plus à l’ère de ce mondialisme pourri, mais bien à l’ère des empires qui doivent se dresser pour en finir avec la moisissure intellectuelle et spirituelle qui cherche à anéantir le vivant au nom de marchés de dupes. Ne perdez plus de temps à attendre de cette dysfonction, associée avec son éventail favori, si bien dénommé umpsudi, le réveil de notre Nation, soyez réaliste et pragmatique. Le pouvoir, ne l’oubliez pas n’appartient à personne, il se prend et il faut le prendre partout où il se révèle, jusqu’en ces partis du déclin, afin d’apporter l’air frais nécessaire à notre Nation, comme aux autres Nations Européennes.

Un air vif, qui permettra d’éradiquer la moisissure qui stagne dans nos Institutions comme dans les Institutions Européennes, - car ne l’oubliez pas, ce ne sont pas les Institutions qui sont en cause mais les femmes et les hommes qui ne s’appartiennent pas qui en pourrissent les fondations – et bien plus, les Institutions Internationales, et notamment l’ONU, le FMI, l’OMS, l’OMC, qui sont complices de leurs fournisseurs de liquidités. Ne croyez que cela soit difficile, il suffit d’avancer dans l’hypocrisie – qui est le maître mot de cette atrophie qui se veut dirigeante - dans une contre-révolution silencieuse, hermétique, qui n’a besoin de parti pour se réunir, l’individu étant tout dans cette abstraction et sachant reconnaître les uns les autres participants à l’évincement de la barbarie dans tous les pouvoirs quels qu’ils soient. Cette unité dans la complémentarité permettra les actes et les prises de position permettant l’anéantissement de la subversion où qu’elle se situe.

À chacun de se diriger vers la sortie de ces ténèbres, avec pour seule volonté la dynamique physique, intellectuelle et spirituelle, qui, symbiotique, permettra l’évanescence du processus mortifère auquel on assiste, chacun en ses talents, chacun en l’aspiration de la sortie de ce tunnel de l’esclavagisme le plus tonitruant qui ait existé sur cette petite terre. Il n’est pas besoin de se réunir pour se reconnaître, ne l’oubliez jamais, cela fait partie de cette force que déploie l’Être Humain, au-delà de ses couleurs comme de ses confessions, afin de construire. L’égrégore manifeste réalisé suffira à balayer la faiblesse de cette subversion, car ne croyez un seul instant qu’elle n’est pas bâtie sur la faiblesse, la faiblesse se reconnaissant dans sa haine de tout ce qui vit, dans tout ce qui pense, dans tout ce qui agit, et contre lesquels elle déploie toute sa morgue, son hypocrisie, sa démence née de la jalousie et surtout son incapacité à la moindre création.

L’Art est le miroir des civilisations qui s’échelonnent, se bâtissent, se détruisent, et lorsque vous analysez à quel stade en est rendu ce concept, qui n’a rien à voir avec l’Occident, voyant l’informe et l’étron dans une sous culture de basse-cour se noyant dans la fange, vous comprendrez que cette pseudo-civilisation qui s’est instaurée depuis 1645 en Angleterre, et 1789 en France, est d’essence mortifère et que nous n’avons, nous les vivants, rien à en attendre, sinon qu’à la laisser disparaître dans le terreau dans lequel elle est née, celui de l’atrophie, car le néant appelle le néant. Boursouflure de notre temps, cette civilisation n’a plus aucun repère et se livre au carnage de l’espèce humaine dans le seul souci de préserver les apparences. Elle n’est ni de la Vie, ni du Vivant, mais tout de leur inversion devant laquelle elle se prosterne, fabule et s’imagine mesure alors qu’elle n’est que poussière, régit par l’impensable, l’innommable, cette croyance insipide de voir celles et ceux qui la meuvent s’imaginer l’éternité, alors qu’ils n’en sont que sable onirique destiné à la désintégration.

L’avenir nous dira si le subterfuge auquel nous assistons et dans lequel les valets de l’usure cherchent à nous enliser se poursuivra. J’en doute, car il n’existe le moindre esprit comme la moindre qualité dans leur château de cartes duquel les Peuples doivent s’émanciper pour retrouver leur droit inalliable à disposer d’eux-mêmes, dans un esprit de Liberté qui ne masquera pas les crimes ni les criminels, dans un esprit de complémentarité qui mettra fin au racket intellectuel qu’ils subissent, dans un esprit organique et symbiotique qui permettra de faire renaître les Nations, et singulièrement, la portée des États-Unis d’Europe, une force morale, intellectuelle, spirituelle, qui ne se laissera plus jamais anéantir par le fardeau de l’usure et de ses machiavéliques distorsions dont le socialisme est le fer de lance. »

L’Occident drapé sous les plis du communisme allié au national-socialisme, travesti sous la parure honteuse du socialisme et de la démocratie sociale, saura-t-il se défaire de ces oripeaux qui portent en bannière le génocide des Peuples, l’anéantissement de la Culture, le travestissement de la Spiritualité ?

© Vincent Thierry