Opérandes
- Détails
- Catégorie : Civilisations
Opérandes
Quelques nouvelles de cette petite Terre voyant l’invasion massive du Continent Européen par le Continent Africain, avec le blanc-seing de la subversion qui y règne sans droits. Mais lisons :
« Le vent se lève, clameur d'une rive tout d'abord, essaim galopant dans la minute qui suit, enfin rafale avant que, discordant s'amplifie son mouvement dans le gréement des voilures, attisant la théurgie de la nature, où l'éclair solaire, parmi les flots, resplendit. Voici, incantatoire les prémisses que vivront nos armées aux frontières du Sud, avant que d'embarquer pour taire tous afflux de vagues maladives, prêtrises de lâches agenouillés n'ayant pour théorie que le gain pour adage et pour sépulcre. Hères déployés là, ici, plus loin, vendant leurs enfants pour une bouchée de pain, pour payer aux animaliers un droit de passage, un droit de cuissage, sordide démesure dont s'enrichissent des deux côtés de la mare nostrum, les complaintes boueuses de Barbaresques anachroniques.
Voyez-les, naviguant aux petits pieds, serrés dans les filets de la traite esclavagiste, s'imaginant des rois au nord alors qu'ils ne seront que des mendiants, regardez-les, ces lâches serviles qui viennent en conquérants et qui ne seront que passants. Au même moment se battent leurs sœurs et leurs frères sur leur terre, pour ce mieux vivre qu'il faut conquérir de haute lutte, pour lequel il faut mettre sa vie en danger, pour lequel l'honneur est une nécessité. La misère est inexistante au regard des ressources dont leur pays dispose, la richesse seule y est mal répartie, le reste n'est que discours ridicule tendant à faire verser quelques larmes à l'outrance qui s'émet lorsqu’on n’a pas à assurer la subsistance de sa famille. Le reste n'est que bréviaire de l'utopie, du mensonge et de la fourberie, si bien manié par les marchands d’esclaves qui au golf, qui sur le cours de tennis, s'essaient à la rhétorique, dans des rires gras, suant le sang humain, la chair qui se distille dans les eaux trouble, où le meurtre des convoyés de foi chrétienne fait partie de l'aventure développée.
Dans cette tragédie des bernés, car il s'agit bien là de la vente d'un rêve qui n'existe plus depuis bien longtemps au Nord, où les moutons ne portent plus de laine, s'aventurent les arabesques les plus tonitruantes, vecteurs de la rançon des Peuples au service de leur religion de la soumission, et leur nombre croît sans cesse, déferlante invasive cherchant à domestiquer les Peuples du Nord en leur imposant leurs lois et leurs coutumes. Ainsi les Armées ne sont seulement sur les côtes des afflux mais bien sur nos propres terres une armée d’envahisseurs qui s'imposent par la tuerie, qu'elle fut physique ou verbale, vestimentaire ou sacerdotale, de toutes les valeurs traditionnelles du Nord, sa propre religion, ses églises, ses cimetières, ses langues, son histoire.
Double front seulement ? Non un troisième front s'ouvre pour chasser des pouvoirs du Nord les vendus et les traîtres à la cause de leur Peuple, à la cause de leur Nation, aux criminels qui sont rétribués pour aider à faire construire des édifices qui n'ont rien de la religion multimillénaire qui les porte, qui sont rétribués pour faciliter le trafic des armes aux fins d'armer les zones de non droits dont la barbarie s'alimente, qui sont rétribués pour faciliter le trafic de drogue aux fins d'anéantir la jeunesse de nos Nations. La guerre pour préserver la Vie, la vie de nos Peuples, la vie de nos Nations est ici irréductible aux cris d'orfraies des flagellants, des ridicules homoncules qui admettent leur servage, une guerre sur trois fronts comme précitée.
À l’intérieur l'arrestation et le jugement immédiat des esclavagistes, petits et grands patrons se satisfaisant de la traite des esclaves pour forger leur fortune sur la sueur et le sang humain, toujours à l'intérieur la suppression immédiate de toutes allocations sociales aux migrants sans papiers et sans autorisation de séjour, la suppression de tout regroupement familial quel qu'il soit, la suppression des allocations familiales et des retraites à quiconque n'a jamais versé un centime d'euro dans les caisses sociales, l’investissement par l'armée des sept cent cinquante zones de non droit, la pacification de ces zones dont doit être extrait tout trafic, qu'il soit d'arme ou de drogue, la reconduite à la frontière de tout zélote de l'Islam, ainsi que de tous les prisonniers de droit commun n'ayant pas la nationalité française, l’arrestation des créanciers et bénéficiaires des trafics d'arme et de drogue, notamment les fermes yeux qui pour une "paix" sociale inexistante touchent leurs subsides de ces trafics éhontés, l’épuration de la police, de la gendarmerie, de l'armée, de la justice de tous les prébendiers de ces trafics.
Sur nos frontières européennes, la mise en place d'un dispositif de salubrité publique permettant par l'intermédiaire de nos armées de refouler un quelconque migrant non autorisé, quel que soit son sexe, son âge, sa qualité, avec mise en place d'un retour immédiat vers les pays d'origine desdits migrants.
À l’extérieur, par voie maritime, la reconduite de tous navires de migrants vers leur port d'origine, par voie de terre, la prise de dominion dans les pays de transit avec mise en œuvre de la liquidation physique et systématique des trafiquants de chair humaine, et l’instauration d’un cordon sanitaire via le corps de la Marine en Méditerranée comme en Atlantique. En complément, l’invasion du Continent Africain, aux fins de le développer économiquement et plus encore en prendre la direction dans le cadre de la démocratie afin que cessent ces flux issus tant de la lâcheté que de la misère.
Cette action permettant de juguler l’invasion du Sud, nécessite que dans toute Nation Européenne existât un pouvoir capable de mettre en œuvre leurs opérandes. En quelques mois quarante mille migrants sont arrivés dans nos Ports, recueillis par nos Marines, on peut s’attendre dans les prochaines années à l’arrivée de dizaine de millions de migrants. Ainsi faut-il réagir. À chacun de voir dans la légalité quels sont les Partis démocratiques qui pourront juguler cette invasion. En attendant cette opération de salubrité publique, préservons et faisons respecter nos Lois et nos coutumes, et ne nous roulons pas dans la fange des castrés et des vendus politiques qui veulent nous imposer notre disparition au nom de leur théurgie de débile mental programmée tant par l’Onu que par les esclavagistes qui ont la mainmise sur cet organisme… »
La folie domine cette pauvre petite Terre. Espérons que les Êtres Humains se lèvent contre cette dantesque fange dans laquelle on veut les noyer.
® Vincent Thierry