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Petites nouvelles de cette petite Terre livrée à une barbarie abjecte encouragée par la subversion qui y règne, cela ne s’arrange guère et nous rappelle les années sombres de nos propres planètes lorsqu’elles étaient sous le joug de l’atrophie, mais lisons :
« L'apartheid envers les Blancs dans le régime bolchevique qui sévit en France, s'en donne à cœur joie, voyant s'initier une atteinte envers la femme blanche sans que rien ne semble vouloir arrêter ce processus, la justice Française menottée par la subversion ne pouvant rien faire. Pour certaines strates de l'humanité, préférant "courageusement" migrer sur le sol de France, il faut, à grand effet d'annonce au nom d'un art dégénéré, violer les femmes blanches qui "appartiennent" à ces dites strates. On retrouve cette agression jusque dans le métro parisien où les tags se multiplient pour ordonner le viol des Françaises, traitées de prostituées parce qu'elles portent des minijupes.
Le laxisme des pouvoirs courbés devant tout ce qui n'est pas la France et ne le sera jamais, encourage cette perversion, laissant la barbarie s'instaurer jusqu'à la diluer dans nos provinces. De multiples exemples commencent à fleurir sur notre sol, voyant coloniser des villes hier françaises, ce jour en voie de non droit, comme le sont les sept cent cinquante, oui je répète, les sept cent cinquante zones de non droits qui tracent les frontières entre le pays réel et un pays étranger peuplé par une invasion programmée par de pseudos élites qui n'ont d'élites que celles de la haine envers la vie et ses floralies.
L'acceptation de cette barbarie, digne de celle de 1936 dans l’Espagne bolchevique, a des limites, le racisme unilatéral des strates qui s'imaginent dominer notre Nation au nom de "droits" inexistants, sinon ceux que leur octroient tous les pillards des réserves des Françaises et des Français de souche, quelle que soit leur confession, leur couleur, ne saurait durer très longtemps. Et ce ne seront les lois destinées à nous "protéger" du terrorisme qui y changeront quoi que ce soit, car le terrorisme est là dans sa prégnance, son avidité, sa démesure, jusque sur les bancs des Assemblées, voyant au nom d'une "paix sociale" inexistante, en reptation toute une partie de leurs hémicycles.
Si nous observons cette loi, nous voyons qu'elle n'est pas destinée à la lutte contre le terrorisme, mais bien au contraire destinée à mettre en fiche toutes celles et tous ceux qui n'acceptent pas la volonté de génocide du Peuple de France, un "Peuplicide" parfaitement orchestré, si bien servi par un "terrorisme" qui ne dit pas son nom mais obscurcit parfaitement le devenir de notre Nation, si visible en fait, qu'il faut être un lâche ou un aveugle pour ne pas voir, ce qu'on nomme tout simplement le terrorisme d'état, qui a servi à la liquidation massive de soixante millions de Russes, et tutti quanti à travers ce monde. En sommes-nous là ?
Nous en approchons. Et il apparaît que nos services de renseignements ne vont devenir plus que des outils aux mains de commissaires politiques qui ignorent le sens de la République - qui n'est qu'un outil de gouvernement - le sens de la Nation - qui est la matrice achevée d'un Peuple -, le sens de la Démocratie - qui est garante de la Liberté des Peuples -, ignorance renversante les mutants vers le collectif asexué de la matière brute qu'ils cherchent à imposer à tous. Vous savez cette matière sans racines, sans devenir, acceptant tout, prête à se faire avorter ou euthanasier sur commande, cette chose curieuse qui disparaîtra dans les ordures de l'Histoire Humaine, qui ne se soucie que de la Vie et des vivants et non des zombis trépanés de l'intelligence, cultivés par la bestialité hystérique et atrophiée.
Le problème majeur de notre temps pour la survie de notre Race de l'Esprit est là, cette écume boueuse qui se satisfait de sa médiocrité, dont l'institution nous permet de voir son laxisme s'instaurer, sa prévarication, et pire encore son racisme qui ne peut supporter la moindre critique sur de pseudos miséreux qui envahissent notre Nation, avec son accord, aux fins d'anéantir notre droit naturel à vivre et prospérer sur la terre de nos aïeux. Cette écume insulte, injure, viole, notre Identité, encouragée par toute la prostitution de l'esprit qui veut nous noyer dans sa fange. Ne cherchez plus loin le directeur de conscience de cette corruption, de cette maladie qui couve, dont les bubons moisissent dans des sectes qui se veulent gouvernance, usant, abusant de leurs oligarchies, dans un secret qui est une pantalonnade répugnante, ne cherchant en aucun cas à élever les Peuples, mais bien à les réduire à l'état larvaire afin de s'ériger pouvoir absolu sur leur termitière devenue.
Lorsqu'on analyse in fine la nature abjecte de leur pensée qui se veut règne, on comprendra que l'inversion des pôles a eu lieu, et que désormais notre Occident est livré à la domesticité la plus abyssale où l'esclavagisme devient Loi. Ce qui nous entraîne dans cette puanteur glauque où l'on voit ces strates déracinées, parfaites esclaves, vouloir jusqu'à violer nos enfants, comme cela se pratique si bien en Afrique du Sud, où les jeunes blanches sont continuellement violées sans que l'ONU n'y voit rien à redire, et encore moins nos gouvernances qui osent parler des « droits de l’homme » et s’offusquent unilatéralement pour condamner sans la moindre preuve ou preuve fabriquée les uns les autres qui s’insurgent contre leur viol systémique.
Qu'on le veuille ou non, nous nous dirigeons droit vers une impasse que des lois cyniques et iniques ne parviendront en aucun cas à masquer. L'intolérable est atteint lorsqu'on constate que des jeunes Français travaillant doivent coucher dans leur voiture alors que des migrants incapables par lâcheté, de se battre chez eux pour instaurer un cadre de vie décente, sont nourris, blanchis, logés dans des hôtels trois étoiles, par un état végétatif, alors que les Françaises et les Français atteignent un seuil de pauvreté inimaginable il y a trente ans, et que cet État ridicule au lieu d'aider les plus pauvres de son Peuple, alloue des retraites inespérées et des allocations avides à celles et ceux qui n'ont jamais travaillé et versé un seul centime de cotisation sociale dans notre Nation.
Et il y en a, déformant la réalité, pour parler de l'apartheid vis-à-vis des migrants, dont les lieux de vie sont arrosés de milliards d'euros, alors que l’inverse est la stricte réalité. Et ces médiocres ignorants en sus injurient le Peuple, et non seulement le Peuple, mais la France elle-même, matrice de ce Peuple, qui pour ces esprits malsains orientés par leur utopie babélienne ne voient plus dans la France qu'un concept, et en aucun une réalité forgée par le sang de nos racines. Cette indécence putride ne peut que se refléter dans et par les tags racistes que le Peuple de France doit subir.
Tout est lié, et tout peut se délier, car il ne faut pas grand-chose pour remettre le train sur ses rails, savoir reconquérir militairement toutes les zones de non droits, supprimer toute subvention sociale aux migrants, restaurer l'école publique en supprimant l'éducation dite nationale qui est le fourrier par excellence de l'acculturation et de l'illettrisme, restaurer le service national obligatoire, donner pouvoir de police sans limite dans les zones sensibles pour en éradiquer le trafic d'armes et de drogues, fourriers du djihadisme terroriste.
Nous pourrions nous répéter au regard de nos précédents éditoriaux, mais si seulement ces quatre points étaient mis en œuvre, cela permettrait de remettre à l'eau notre Navire France, échoué sur la grève de la subversion bolchevique totalitaire. Le Peuple de France saura lui rendre la monnaie de sa pièce, dans la légalité la plus absolue, lors des prochains votes qui sanctionneront définitivement cette haine qui cherche à le pulvériser, dans l’injure, la mythomanie, le délire des grandeurs des petits pieds en équerre, la bêtise inénarrable qui conspue. Car qu’on se le dise, il ne s’agit d’appartenir à une quelconque secte, être grand maître de ceci ou de cela, chevalier perdu par des serments de sang, pour croire un seul instant être en capacité de gouverner.
Pour cela il faut de l’intelligence, de la capacité, un sens inné historique qui ne s’acquiert pas en une génération, de la grandeur, de l’honneur et du respect, un respect inconditionnel du Peuple que l’on veut diriger. Or que voit-on ? Tout l’inverse de ces caractéristiques dans toutes les Institutions, hormis quelques rares personnalités qui bien entendu n’ont pas droit à la parole, car dans le milieu de la subversion il faut se taire, ne pas entendre et ne pas voir, les collusions, les prévarications, les reptations, tous ces actes de valets qui se prosternent devant leurs sociétés dites de pensée, ces errements de la pensée humaine qui n’ont d’autres finalités que d’implanter la dictature par quelque moyen que ce soit, la dictature de la médiocratie.
Le Peuple, et notamment le Peuple de France, n’est pas dupe de cette faconde, de cette tentative de spolier ses acquis multimillénaires, il voit très bien ce que veulent faire les commissaires politiques bolcheviques qui s’imaginent règne, ces petits histrions enchaînés par des serments se croyant au-dessus de toutes les Lois Humaines. Ce règne aura une fin légale, car le Peuple ne peut continuer ainsi à être dépossédé de sa Nation, de son héritage, de son Identité, au profit de masses malléables à souhait qui aujourd’hui jettent leur venin à la face de celles et de ceux qui les tolèrent. On remarquera ici qu’il n’y a pas plus grande tolérance que celle de notre Peuple à l’égard de ces masses, et que le terme racisme ne peut en aucun cas lui être appliqué.
Le racisme, il vient des oligarchies douteuses, de ces cherche profits, de ces nauséeux qui ne respirent que par la destruction de la Vie, la destruction des racines, la destruction des identités, la destruction des Nations, tel aujourd’hui cet ONU minable qui voudrait au nom de son Agenda 21/Développement Durable/Biodiversité imposer :
- La fin de la souveraineté nationale.
- La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l’eau douce ; l’agriculture ; le développement rural ; la biotechnologie ; et l’assurance d’une « équité » (esclavage équitable).
- Où l’État « définit le rôle » des entreprises et des ressources financières.
- Abolie la propriété privée
- « Restructure » l’unité familiale.
- Voyant des enfants élevés par l’État.
- à qui on dit comme à leurs parents naturels quel sera leur travail.
- Initiant une restriction majeure des déplacements.
- La création de « zones de peuplement humain ».
- Le repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant.
- Une éducation abrutissante (réalisée).
- Enfin une dépopulation mondiale massive.
Nous sommes confrontés à cette perversion qui tisse sa toile sans que les Peuples, et encore moins le Peuple de France n’ait son mot à dire. Relier les événements les uns les autres, la pleurnicherie des médiatiques errances au regard des « pauvres réfugiés » qui paient jusqu’à 7500 dollars pour embarquer, l’invasion des Nations Européennes par cette masse de migrants à qui l’on doit bien entendu tout donner, sans surtout rien leur réclamer, et on comprend mieux le dessein infect qui se tresse, ce dessein sorti d’esprits malades, retors et pervers, qu’il convient d’évacuer de tous les votes quels qu’ils soient tant au niveau national qu’au niveau des Nations Européennes, ce jour sous le joug de cette inféodation abracadabrantesque, pour paraphraser un de nos Présidents.
La mesure du temps ne se fait plus au niveau National, Nation à laquelle il faudra rendre ses lettres de noblesse, car seule entité permettant de bâtir ce monde au-delà de la dictature, mais bien au niveau international sans que les Peuples, soumis, ne soient avertis, comme il en est actuellement avec ce traité transatlantique qui donne plus de droits à des actionnaires apatrides qu’aux Françaises et Français de souche, et qui subordonne notre Nation à l’hégémonie nébuleuse des États-Unis qui ne s’appartiennent plus.
Comme dit précédemment, les pôles se sont inversés, nous nous dirigeons vers la dictature bolchevique sanglante, dans notre Occident, et seuls des Peuples libres comme le Peuple de Russie, nous permettront peut-être de survivre à cet assaut subversif. À bon droit, le communisme n’ayant duré que soixante-seize ans, le national-socialisme beaucoup moins, on peut prétendre que le socialisme mondialiste, le père de ces barbaries ignobles, s’écroulera très rapidement, l’abêtissement, l’acculturation, la propagande matérialiste, la dialectique matérialiste qui se mord la queue, ne pouvant perdurer indéfiniment sur notre globe.
Nul n’est dupe, n’en déplaise, et les votes sauront écarter ces écarts primitifs qui veulent enrayer la progression de ce monde comme de l’Humanité, en ses Races, ses Peuples, ses Ethnies, ses Nations, et ce ne seront les dictatures quelles qu’elles soient qui viendront balayer la Vie de cette planète, une Vie qui aspire à la Liberté inscrite dans les gènes Humains, que rien, ni personne, ne pourra détruire. Se substituera au nouveau désordre mondial l’Ordre Mondial naturel, n’en doutons un seul instant, la destruction ne pouvant que se détruire elle-même, comme on l’a si bien vu dans cette révolution dite Française où la nature a repris ses droits et renversé la tyrannie des tueurs initiés et parrainés au service de cette révolution.
En attendant les futures élections, courage et persévérance, ne l’oubliez pas, l’individu est tout, le collectif, cette invention socialiste, n’est rien, car l’intelligence humaine diminue comme le carré de l’échantillon considéré, et c’est bien pour cela que cette prébende cherche par tous les moyens à faire un désert tant de la culture que de l’éducation. »
Pauvre France, humilié, bafouée, violée, prostituée, pauvre France et pauvre Terre où la perversité devient règle, or quelques Nations qui ont le courage de faire front, espérons que les Humains se réveillent de ce cauchemar qui cherche à les anéantir.
® Vincent Thierry