Corrélation-causalité
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Corrélation causalité
Lorsqu’on annonce avec fermeté, insouciance, nanti du chapeau d’une pseudo-infaillibilité puisée aux arcanes de la science, que la corrélation n’est pas la causalité, on oublie jusqu’aux principes élémentaires de recul, surtout lorsque le sujet est "le réchauffement de la planète". En ce cas précis il est parlé de l’action du soleil sur le "réchauffement", dont l’indice de corrélation ne serait pas causalité. Ce mensonge éhonté, la proposition inverse émission de gaz à effet de serre et "réchauffement" ferait hurler, mais là, la communauté scientifique dont l’indépendance est liée à l’aune des subsides accordés par les États et les fondations, se tait bien, autruche formaliste ne désirant pas se mettre à dos ses généreux donateurs.
Pour répondre à ce troupeau de quémandeurs en tout genre, nous dirons que si la corrélation n’est pas causalité, elle participe à cette causalité, les apparences n’étant le tout, les gaz à effet de serre n’étant qu’une partie, et qu’il serait temps d’ouvrir les yeux sur la réalité du climat et non sur ce désert que le politique, qui y a tout intérêt au regard des éco taxes qu’il assène, légifère, radote à tout bout de champ.
Législation particulièrement pernicieuse car contribuant à la mise aux bancs des accusés de l’Humanité tout entière, qui partie intégrante de l’écosystème, par le miracle du politique, se trouverait exclue du dit écosystème. Cette manœuvre grossière tendant à la culpabilisation ressort d’une pure opération psychosociologique tendant à l’asservissement de l’humain, il n’y a que les aveugles qui ne veulent pas voir cette réalité abrupte, imagée par le propos précité où les mots perdent leur sens, où les mots proférés par des pseudos "élites" doivent paraître comme vérité absolue.
La tenue d’une conférence mondiale sur le sujet du "réchauffement" trouve là le consensus du et de ce mensonge organisé dont cette phrase n’est qu’une goutte d’eau. Les radios, télévisions d’état, amplifient ce mouvement d’une façon éhontée, accablant par exemple les États-Unis alors qu’aujourd’hui les plus gros pollueurs sont les Pays Asiatiques, en pleine crise, dessinent des vertus qui n’existent pas, tel que la mise en œuvre d’éoliennes qui polluent plus qu’elles ne produisent au regard de leur coût de construction, ici le mensonge est roi.
Me direz-vous, en matière de substitution, il y a l’énergie solaire, qui à titre individuel n’est pas négligeable, je n’en disconviens pas, mais pour faire fonctionner des infrastructures et des industries, pose quelques problèmes. L’énergie nucléaire est là pour remédier à la quantité demandée. Et là encore on ne peut que s’amuser de la gesticulation de pseudos ONG, contre l’énergie nucléaire, toutes dévouées à une économie du passe-droit des énergies traditionnelles, qui, il faut quand même le dire ne sont pas sur le point de se raréfier, il n’y a qu’à s’intéresser aux gisements arctiques pour le comprendre.
Nous pourrions ainsi deviser à l’infini sur les thèses de l’écologie politique, sur l’affligeante coercition de ses propos, le mensonge permanent qu’il diffuse, l’acculturation qu’il détermine, notre propos n’est pas ici de faire son procès, qui sera fait par les populations elles-mêmes lorsqu’elles comprendront les couleuvres qu’elle cherche à leur faire avaler pour mieux les culpabiliser, les asservir et surtout de permettre à leurs États de renflouer leurs caisses déficitaires en déployant de magistrales éco taxes.
Restons sérieux et ne perdons pas de temps avec ces maniaques de l’ours et du loup, qui sont nuisibles pour l’Être Humain, vers lesquels nous les renverrons un jour pour mieux comprendre ce qu’est la Nature, indomptable et sauvage, qu’ils le veuillent ou non. Notre propos ici est de faire comprendre qu’il convient de disséquer toute phrase dans son contexte et encore plus lorsque les textes sont émis par des "élites" scientifiques.
La Science n’est pas la vérité, mais une face de la vérité, et lorsque cette face est liée aux subsides des États, elle ne peut en aucun cas dire le vrai, mais une composante du vrai ne pouvant que complaire à ses mécènes. Ainsi demandons donc à nos Politiques de réunir des climatologues de toutes Nations, indépendants des pouvoirs, et là, nous serions surpris de voir le résultat, qui n’a rien à voir avec cette mise en scène délirante que l’on nous inflige sans que nous ayons notre mot à dire, car la démocratie aujourd’hui c’est cela : le couronnement du mensonge absolu, du leurre, de la bêtise, de la connivence, de l’irradiation de l’acculturation la plus stérile, de la manipulation la plus servile.
Les écologistes, qui s’imaginent des élites alors qu’ils confondent développement durable et écologie politique, au lieu de s’en prendre à la nourriture chimique, permettant de réduire l’humain à l’état larvaire, au pourrissement de l’intelligence par la propagation de neuroleptiques, à la destruction de la pensée par le conditionnement médiatique purulent, bien entendu suivent ce vaisseau fantôme que l’on nomme avec avidité le réchauffement, la soupe est bonne, bien payée, ils font œuvre de mondialistes et dans leur singerie pitoyable s’imaginent déjà le pouvoir, alors qu’ils n’en sont que les valets.
Pour ces nantis de Thanatos viendra l’heure de rendre des comptes à l’Humanité qu’ils méprisent, car il faudra bien un jour qu’ils comprennent que les Êtres Humains ne sont ni des animaux, ni des imbéciles, encore moins les idiots congénitaux qu’ils voudraient bien voir en reptation devant leur sommet d’ignorance que n’importe quel scientifique courageux, au-delà du système des prébendes, peut juger.
À la guerre des mots, ils ne seront pas les plus forts et encore moins les plus hardis, et cette guerre ils ne la gagneront pas, sauf à penser que la Liberté de penser soit totalement évacuée de ce système mortel pour l’Humain qu’ils mettent en œuvre, dans une joie d’autodestruction qui fait pitié à voir, tant elle est sommet de la non-humanité, du non-Être, qu’ils représentent avec félicité.
Ceci étant, la pensée serait-elle bafouée, comme elle l’est à longueur de temps dans ce système de pensée unique qui s’autosatisfait dans un cercle masturbatoire totalement virtuel, elle saura renaître du carcan qu’on lui impose, en quelque lieu que ce soit, ou que ce soit, car elle n’est prévaloir de ces fantômes qui n’osent se confronter au réel, le réel du Vivant qui n’a pas pour devenir d’être l’esclave d’un mythe, mais bien conquérant d’univers à sa portée.
Cela est une question de temps, tout comme l’économie virtuelle, qui vient de subir sa plus belle défaillance, l’écologie virtuelle explosera de la même manière, car elle n’est basée aujourd’hui, hors le développement durable, que sur des affirmations sans fondements sérieux, savoir renouvelables. On ne tire pas des conclusions sur un fait en matière scientifique mais sur la répétition des faits, et rien à ce jour ne permet d’accroire un seul instant l’illusion fantasmatique qui sert les prêtres de Thanatos.
Par contre la réalité naturelle est là pour nous prouver que l’intensité des orages solaires provoque un réchauffement, et bien entendu ce que l’on cache au public, l’inversion du champ magnétique terrestre qui bouleversera totalement les plaques tectoniques de notre planète, provoquant catastrophes naturelles sur catastrophes naturelles, qui n’auront en aucun cas de rapport avec le pseudo-réchauffement climatique créé soi-disant par les Êtres Humains !
Le mensonge ne dure qu’un temps, telle est la Loi de l’Histoire avec un H majuscule, et non un h minuscule qui relève de l’histoire réécrite pour complaire aux quelques pouvoirs qui à l’échelle du temps ne sont que poussières.
En conclusion, nous ne saurions dire à nos lectrices et lecteurs, méfiez-vous des phrases toutes faites, des mots inconsidérément utilisés, surtout, si elles ou ils proviennent de revues ou livres « scientifiques », et encore plus si elles ou ils proviennent de revues ou livres « écologiques ». Prenez mesure des Auteurs et prenez mesure de leurs sources de financement et de leurs appartenances. Vous comprendrez mieux leurs mobiles.
© Vincent Thierry