Eclair des urnes
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- Catégorie : Civilisations
Éclair des urnes
Éclair de la pluie d’ivoire aux isthmes de l’Histoire perdue des mondes éternels, des fruits d’hiver aux passementeries exondes, le lieu nous indique et se perpétue dans la féconde majesté du signe qui ne renonce, de l’acte qui engage, de l’œuvre qui détermine, car il ne suffit de l’outrance et du parjure, de la forfaiture et de la vassalité, pour qu’un Peuple s’effeuille en la tombe de la boue qui cherche à l’enliser dans ces pénombres sans nombres, sans destin, sans racines, qui tels des vols de sauterelles, s’installent, gravitent, ordonnent, imposent, là, leurs primitives démesures, ici, leurs tribales arborescences, plus loin, leurs croyances soumises, et surtout investissent chaque face de nos terres, réclamant des droits, encore plus de droits et jamais le moindre devoir.
S’initiant les uns les autres à la prébende au nom des lois iniques qui régissent la destruction des Nations, encouragées par le creuset de l’indifférencié, cette organisation des nations unies la couronnant dans cet abus du "droit" du sol voyant se répandre des masses humaines ayant perdu toute dignité d’Être pour devenir de futurs esclaves qui l’ignorent encore, afin de profiter de chaque règle du système qui les parfond jusqu’à la lie au nom de l’usurpation qui les manipule comme des girouettes, nous sommes en ce fléau qui ne touche que l’Occident.
Un fléau régicide organisé par la démence de l’atrophie qui guide les pas de l’Humanité vers la tombe, un fléau dilapidant la beauté pour qu’elle devienne informe, respire de bandes assoiffées de prébendes, tueurs nés de nos civilisations qui se dissolvent dans la légitimité de l’ignorance, fête de "l’homme" dieu, cet esclave amorphe et sado masochiste qui renie jusqu’à son droit de vivre pour goûter les miettes d’une luxure sans fin dont les bulles éclatent les unes derrière les autres et que l’on masque par des guerres sans nom, en créant les prétextes et les mobiles de leur emphase, pseudos attentats manipulés, "délits" d’opinion inventés, mises en scènes déployées, toutes permissivités engluées dans la lâcheté divine qui sied au non-être en règne.
Ce butut vide de conscience dont nous rencontrons chaque jour les visages dans chaque espace de nos Histoires, de nos terres colonisées, de nos identités dévoyées, de nos religions bafouées, de nos cœurs insultés, qu’il convient de traiter avec la plus grande indifférence, le mépris étant trop fort pour cette espèce en voie d’autodestruction, qu’il convient d’évacuer de son champ de vision afin de défendre ce qui mérite d’être défendu, le devenir, l’avenir, en combattant par les urnes tous les suppôts de la déréliction qui se veut règne, ces fourriers de la lie, ces dévoyés des lits de fortunes, toute cette plèbe atrophiée qui cherche à régir, alors qu’elle est elle-même régie par les fossoyeurs qui se pressent en chaque gouvernement, en chaque Institution.
Œuvre de longue haleine, sans mystères dans la conquête du pouvoir qui permettra d’évacuer les "lois" mortelles pour nos Peuples, nos Nations, notre espace menacé de disparition par la grotesque et hilarante attitude de leurs fossoyeurs, dictateurs en puissance qui veulent notre devenir associé à la décrépitude de nos valeurs millénaires, dont se relèveront nos chants Humains qui disparaîtront le couronnement de leur lie, leur faillite intellectuelle consumée par le sida génétique, leur boue outrancière et ses armées de non-humains qui jouissent du pourrissement et de la dépravation, lorsque se lèveront nos armées dans la fierté couronnée du renouveau de nos racines pour mettre un terme à ce cancer qui ronge nos Nations, nos Identités, notre Histoire universelle qui n’a aucun compte à rendre à la bassesse, l’ignominie, la torpeur, la désintégration.
Cette folie endémique qui baigne notre avenir dans le lac noir de la soumission, dans ce singulier hommage que rendent les esclaves à leurs maîtres devenus en leur donnant à qui mieux mieux agapes de leurs maux, remplissant les gouffres financiers de leurs velléités, endettant à jamais nos arrières arrière-petits-enfants pour le bon plaisir de leurs nocturnes opiacées qui vident de sa substance tout avenir dans un grotesque siècle de paraître, tribal de l’atrophie qui règne, grotesque parade dont les bubons explosent les uns après les autres en se heurtant à la réalité, cette réalité qui ne se laisse transcender ni acheter par aucune verroterie, cette force impérieuse qui ne se laisse entacher par aucune aperception, par aucune contingence, car inscrite au plus profond du code génétique Humain.
Force dont la faculté naît cette Liberté que rien ni personne ne peut détruire, car intrinsèque à la Vie, cette Vie nuptiale qui saura rétablir l’équilibre et l’Harmonie en destituant la moisissure qui voudrait s’installer pour l’éternité, alors que l’éternité veille à ce que la volition s’ordonne dans l’élévation et non le conditionnement, le prisme de la vérité et non celui du mensonge, le savoir et non l’ignorance, loin de tous les maux que portent en rupture de son chant, les inaptes à vivre, les pleutres et les lâches, privilégiés de l’infection qu’ils affectionnent, qui se réfugient dans une pensée unique qui s’inscrit dans la moisissure extrême afin de conserver leurs privilèges souillés par le sang des Peuples, et notamment cette écologie putride voulant taxer la Vie.
Infâme monstruosité née de la couardise et du déni de vivre dont tous les apologistes ne sont que de ridicules pantins qu’agitent les affairistes en tout genre, dictateurs de ce monde, guignols aux sermons, vides d’intelligence, incapables de regarder la réalité, que l’harmonie renverra à leurs odes primitives dans une proximité qui leur fera comprendre que s’ils n’agissent ils seront obérés de ce règne qu’ils renient, le règne Humain, ce règne qu’ils délitent au nom du non-humain qu’ils représentent, larves en soumission à la prédation de leurs maîtres qui les agitent sous le nez des Peuples afin de masquer l’horreur qu’ils préparent, une sous-civilisation au service de la bestialité qui se dévorera elle-même comme elle le fait avec tant d’insolence ce jour.
Ainsi alors que se profile le combat des urnes, dont aucune voix ne doit couronner les apôtres de la destruction, qu’ils soient de "droite", de "gauche", "écologiste", "trotskiste", tous liés par le pacte de la destruction de notre Identité, de notre Peuple, de notre Nation, de notre Humanité, qui doivent laisser place aux voix des Nations, aux voix des Peuples, aux voix des Identités souveraines afin que soir restitué à la Vie son cycle élévateur et que disparaisse à jamais leur cycle de mort, couronnement de leur incapacité à vivre !
© Vincent Thierry