L'esclavagisme

L’esclavagisme

 

Le masque est là, dans sa théurgie, dans son inamovible béatitude et prostitution de l’esprit, dans son manteau subversif ne voyant que le bout de la lorgnette pour faire accroire, pour faire valoir, pour faire exploser ses sentences ridicules, ses démons outrageants, ses délires surannés, toute cette pestilence, qui, dans sa morgue, se voudrait culpabilisation.

Le révisionnisme est son assaut, ses louanges, ses émois et ses dithyrambes consternations, dans cet effort qui est celui de la couardise, dans cet essor qui est celui de l’aveuglement. Et il nous faudrait, en reptation se faire son adorateur, dans la prosternation d’un mensonge qui n’est pas le premier ni le dernier qu’inventent toutes ses hordes qui se veulent le règne avant même que de naître au règne, qui se veulent la pensée alors qu’elles n’en sont que les insultes, des insultes que nous devrions accepter au nom d’une mémoire tronquée, avide, d’une mémoire qui ne broie que le délire d’obtenir des subsides, des espèces tintinnabulantes. Quel regard devons-nous porter sur cette misérable désinence, sinon celui de la simple compassion, tellement il est ridicule, aussi ridicule que tout ce qui le porte, de ces mouvements de mentons qui feraient rire tout individu normalement constitué, tant il est dérive de la réalité, allant vers cette imbécillité chronique qui depuis trois cents ans pourrit la vie de Peuples entiers, esclaves de cette putridité qui se montre, fouette, s’engraisse, se parfait dans la destinée funèbre qui est la sienne, celle de l’horreur dont les commensaux sont féaux.

Visitons donc cette horreur qui fut et continue, de ce que l’on nomme l’esclavage et pour lequel chacun d’entre nous doit être rendu coupable afin qu’il paie pour celles et ceux qui l’ont commis et s’en sont bien repus, les uns les autres, boutiquiers, petites mains, criminels en tout genre qui font oublier qu’ils étaient le sommet d’une partie de cette usure qui ce jour commet le plus grand marché aux esclaves que la terre ait connu, un marché où l’on voit les enfants s’exténuer à travailler, les adultes, pour une bouchée de pain, dans les camps de concentrations économiques, faire fondre leur vie pour quelques euros ou dollars afin de vivre dans les taudis qui prospèrent, et non seulement dans des pays que l’on dit pauvres, mais bien dans nos Nations où tout exogène n’est qu’un parfait esclave, en considération mutant l’endogène lui-même esclave d’un capital éhonté qui bruit la paresse, l’insolence, la duplicité, la morgue de tout ce qui toujours régna jusqu’à cette pestilence, de nouveau bien vivante, ce que l’on veut nommer l’esclavage, d’un Race ?

Non, de toutes les Races, voici la vérité dans sa cruauté, dans cette légitimité qui fait que diviser permet de mieux régner, afin que l’arbre cache la forêt. La traite que l’on appelle la traite des «Noirs» ne fut commise qu’avec l’accord participe des chefs de Tribus dans cette Afrique où l’on veut faire oublier la réalité, et cette traite bien entendu n’était due au seul fait de ces chefs de tribus, mais bien dû et ce depuis l’antiquité aux marchés sauvages initiés par les Arabo musulmans, lâchement oubliés par la «repentance» caractérisée de l’atrophie qui veille à réinscrire l’histoire dans son délire.

Rendons donc à César ce qui appartient à César, et que tout un chacun puisse voir que la loi dictée envers les générations nées après 1848, en ce qui concerne les Françaises et les Français qui n’ont strictement rien à voir avec cette traite, est sans finalité sinon que celle que voudraient lui donner tous les suppôts de la subversion qui mêlent le réel et le virtuel afin d’initier cette nauséeuse perversion que l’on nomme la repentance. Toute Française comme tout Français, ce jour n’a pas à subir cette flagellation ordonnée par la subversion, et ne doit en aucun cas tenir compte de son propos qui est celui du mensonge né du révisionnisme le plus dénué de sens historique, d’accomplissement historique.

Car si repentance il devrait y avoir, elle doit être initiée à la source, et doit être celle des marchands d’esclaves et en aucun cas de Peuples entiers qui devraient payer pour quelques êtres sans morales qui ont pratiqué et continue à pratiquer l’esclavagisme le plus stupéfiant, oubliés dans tous les discours, les tenants et aboutissants de l’usure dans sa destinée destructrice. Regardons dans notre Nation ce qu’il en est de cet esclavagisme le plus consternant qui soit, dominé par l’usure, les prêts à intérêts les plus répugnants qui soit mettant la corde au cou à tout un chacun désirant bâtir son foyer, et pour des durées absolument inconvenantes, regardons cet esclavagisme voyant les endogènes se soumettre par obligation à l’usure pour accepter n’importe quel travail et surtout s’y taire, ne point manifester, afin de le conserver, pour bien entendu payer les usuriers, regardons cet esclavagisme poussé au maximum par infiltration de toutes populations exogènes, acceptant tous travaux pour des paies moins importantes et ainsi dévaluant le travail au profit du capital, esclaves parfaits qui ont droit à tous les égards, logements, soins gratuits, retraites pour celles et ceux qui n’ont jamais travaillé sur le sol de France, au détriment des endogènes qui dès lors font l’objet d’un racisme affligeant, qu’ils doivent accepter, jusqu’à être traités de sous-chiens, sans que la moindre pensée ne les effleure que de se voir ainsi dans la prosternation de tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, n’est-ce par-là le plus bel esclavagisme qui soit ?

Un esclavagisme dont se gardent bien de parler les poncifs viscéraux de cette loge outrancière qui domine actuellement notre Nation. Oui, nous sommes esclaves, esclaves de l’usure et de ses représentants dans ce marché du travail totalement usurpé et déployé dans l’abrupte pauvreté, oui nous sommes esclaves d’une pensée unique délirante, révisionniste, en reptation devant tout ce qui n’est pas notre Histoire, notre cohésion Nationale, notre aspiration internationale, oui nous sommes les esclaves de l’usure dans sa globalité, cette puanteur de la fainéantise qui collecte son droit de cuissage, non pour nourrir ses employés, mais pour nourrir ses coffres où s’entassent des centaines de milliards d’euros escroqués aux Peuples, fruits de leurs larmes, de leur sang, de leur sueur, de leur mort, cela on ne veut bien entendu ne point en parler pour laisser accroire, par un mot sur ce qui ne s’adresse à une Race, mais à toutes les Races, ces Races que n’aime en aucun cas l’usure, qu’elle voudrait voir fondre dans cette couleur sans couleur afin d‘induire l’esclave parfait, aimant sa domination, aimant être flagellé, comme un toutou remuant la queue pour quelques miettes de pain.

Voilà la triste réalité pour laquelle nulle loi de mémoire n’a été activée, alors qu’elle devrait être la seule loi ouvragée permettant de juger ces criminels ayant réduit au servage l’Humanité pour leur seul plaisir, tristes personnages qui se voudraient pouvoir, alors qu’ils ne sont qu’atrophie des pouvoirs, régnants sur des larves acquises à coups d’argent quand ce n’est pas le sexe, et pire encore le meurtre par ordonnance. De la «repentance» devant cette abjection ? Laissez-moi rire, et que chacun rit à gorge déployée devant cette outrance du langage qui ne regarde que par le petit bout de la lorgnette pour mieux diviser, et surtout mentir, mentir et mentir encore, car voici le vœu, car voici le choc dans les esprits, que ce mensonge fasse oublier cette réalité indivise entre les Races, indivise entre les Peuples, en Chine, comme en Inde, en Indonésie comme en France, en Allemagne comme au Bangladesh, etc.…

Tout un chacun subit l’esclavagisme de l’usure, d’un quarteron de «généraux» dont l’édifice n’est pas celui qu’ils croient, car bâti sur le sable de l’ignorance, bâti sur l’outrance du verbe, sur de fallacieuses répugnances qui se devisent, le viol de l’Esprit, le viol des Peuples, le viol dans tout ce qu’il a de plus horrible, car sévices envers l’Humanité, crime par excellence que tout un chacun ne voit pas, perdu dans les affligeantes reptations à la génuflexion devant le mensonge et sa barbarie. Lorsque comme en Islande, tout un chacun aura compris que le véritable esclavage, de tout temps, de tout siècle, de toute condition, de toute Nation, est celui porté par l’usure, alors le jeu de cartes monté par les esclavagistes s’effondrera en l’espace d’un éclair, et là nous pourrons effectivement inscrire une Loi Humaine, une Loi qui se débarrassera à jamais de l’esclavagisme, une Loi qui décrétera criminelle envers l’Humanité toute action usuraire quelle qu’elle soit. Comme je le disais plus haut, il ne faut pas que l’arbre cache la forêt et si comptes il y a à demander, c’est bien à l’usure et ses exactions les plus répugnantes, à tout un chacun d’ailleurs de celles et de ceux qui en vivent grassement, à toutes celles et ceux qui importent des produits fabriqués, avec des salaires de misère, par des enfants principalement dans certaines Nations livrées à la barbarie de l’usure.

Il est temps de mettre à plat ce système de l’errance et de lui substituer un système cohérent, basé sur des échanges productifs et fructueux pour tout un chacun, voyant tout bénéfice divisé en trois, une partie pour l’investissement, une partie pour la rémunération du capital, une partie pour la rémunération du travail, voyant les taux usuraires liquidés pour faire place à des taux de principes qui permettent à tout un chacun de s’épanouir librement, sans le joug de la fainéantise, sous regard des États, voyant les Banques Nationales émettre leur monnaie et non plus se trouver enlisées par des marchés usuraires qui en viennent jusqu’à s’inventer des formules mathématiques afin d’abstraire le réel et le rendre toxique, voyant les lois sur le travail proscrire le travail des enfants, et soumettre les entrepreneurs à la règle de trois circonscrite ci-dessus, voyant les syndicats aux ordres du patronat dissous au profit de corporations veillant à la rectitude des droits moraux concernant le travail dans chaque édifice de la production etc.

Ce n’est qu’à ce prix que les esclaves que nous sommes se libéreront de l’usure et de ses féaux, ses chiens de guerre qui immolent la pensée pour la fourvoyer dans ce néant insipide qui nous voudrait tous atteint du syndrome de Stockholm, ce qui n’est fort heureusement, pour la majorité, pas le cas, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les bêlements des loges subversives qui idolâtrent le néant.

Que tout un chacun ici prenne mesure du mensonge lié à l’errance et ses propos, cette errance qui toujours se cache derrière des drapeaux anonymes qui au regard de l’Histoire avec un H majuscule, se dissolvent toujours. Le révisionnisme est ce qu’il croit sa force, mais ce révisionnisme qu’il déploie permet bien au contraire de voir les failles de son discours, ses incohérences, ses ineffables acceptations du néant qui le dirige. Il est temps de sortir de ses impasses les plus intolérables, les plus ignobles, les plus perverties, les plus glauques, les plus sordides, qui voudraient atteindre nos enfants, dans ce qu’ils ont de plus fragile, leur altruisme naturel, leur empathie génétique, et faire éclore en tous lieux, en toutes Nations, en toutes Races, en tous Peuples, en toutes Ethnies, le cœur réel du problème de l’esclavagisme, et non ce conte dévoyé où le malheur et la souffrance de celles et ceux qui ont été vendus par leurs pairs directement, ou en place publique par les réseaux arabo musulmans, ou autre, nous enseigne que le mensonge est une atteinte même à cette fragilité humaine qui a permis à l’usure de s’enrichir.

Il n’y a donc devoir de mémoire pour les Peuples innocents, mais bien devoir de mémoire pour les victimes de cette insanité qui pervertit le monde depuis des millénaires. Ainsi que tout un chacun ne se trompe pas de cible dans le cadre de ce mensonge qui n’en est qu’un parmi les multiples que nous devons entendre, rabâchés les uns les autres afin que tout un chacun accepte sa servitude à l’usure, son acculturation, sa flagellation, sa contrition, sa disparition dans le genre, dans ce point final de l’humain qui, dans son ignorance, accueillera avec dévotion son euthanasie la plus répugnante. Il suffit donc du mensonge et de sa honte manipulatrice, de sa déshérence la plus commune, aucun enfant, qu’il soit de quelque couleur qu’elle soit n’est responsable de l’esclavage, par contre il se doit de lutter contre l’esclavagisme qui depuis des millénaires détruit l’Humanité et ses représentations bio géo historiques, et ses réalités qui ne sont d’adventices errances mais bien des points d’appui sur lesquels se fondera ce monde qui ne sera pas celui de l’usure mais de l’Humanité dans sa réalité, ses couleurs complémentaires, ses cultures multipliées et non divisées, ses ardeurs magnifiées dans la création, par l’épanouissement nécessaire à son épanchement, qui ne pourra se réaliser que par la disparition de l’usure, l’esclavagisme par excellence, dont on voudrait faire oublier la réalité.

© Vincent Thierry