Beauté de ce monde

Beauté de ce monde

 

Beauté de ce monde, où les mafias règnent en maîtres. Les Peuples sous leur joug doivent s’incliner, se taire et surtout ne pas médire. Le plus bel exemple de ce pourrissement des valeurs humaines reste "l’europe", modèle du genre dans la reptation, la forfaiture, l’hypocrisie, sommet de cette dictature qui se prononce avec cet entregent familier à la caste des parvenus qui ne sont que panaches de leur forfanterie. Les GX se succèdent avec la même quadrature du cercle, celle de l’impéritie, de l’incapacité, de la duperie, là sous la houlette du FMI, outrecuidant dont le représentant aurait le culot de vouloir se présenter aux élections présidentielles sous une casquette socialiste qui ne correspond en rien à ses actes. Mais dans ce monde de m’as-tu vu, tout est possible, surtout lorsque le motif est décoré par un monde médiatique agenouillé devant la sainte trinité du parasitisme : la vanité, l’incapacité, l’ambition personnelle.

La France subie, dans une patience infinie les mots d’ordre qui désormais sont fixés en Allemagne, au nom d’un torchon de papier entériné sans le consentement du Peuple de France. Et elle doit désormais s’accommoder de voir ses projets diligentés par quelques-uns qui confondent leur intérêt personnel, avec l’intérêt général. Auraient-ils tort de se gêner, défendus qu’ils sont par le panel des loges atrophiés, leurs commettants assoiffés de cordonite, tout un monde insinué de miasmes désormais contre lesquels, vaille que vaille, quelques purs combattent. Mais il est trop tard, la moisissure a fait son effet, le festin sur la sueur et le sang des citoyens, que péjorativement on nomme "ordinaires", prévaut sur l’idéal quel qu’il soit. Il n’y a rien à espérer ni d’un côté ni de l’autre, sinon qu’à contempler et accélérer la chute de cet "empire" basé sur l’asservissement et le culte de la médiocrité.

Rome mourut dans le chaos, et la renaissance vint naturellement, et ce n’est cette guerre mondiale qui se prépare, la vitrification de l’Iran et autres pays qui y changeront quelque chose. Lorsque la poussière envahit le salon, tout un chacun y fait le ménage. Comme la poussière le nid des vautours s’est construit dans l’arbitraire en oubliant qu’invisible il pouvait faire accroire, qu’en pleine lumière, il ne trompe personne et surtout pas les Peuples qui viendront à bout de la gangrène qu’il leur inflige.

Il ne suffit pas de vouloir rayer la nature pour que la nature ne reprenne pas ses droits, il ne suffit pas de réécrire l’Histoire pour que l’Histoire disparaisse, il y a des signaux bien plus importants qui ne peuvent être commués dans la monstruosité de la civilisation de la mort qui veut conditionner les Peuples, les forces de l’inné, ce capital génétique que nul ne peut altérer et qui invariablement remettra de l’ordre dans le chaos conditionné dans lequel on veut faire vivre l’Humain.

Et il y en a encore pour s’étonner du peu d’intérêt porté par les Peuples pour la "politique". La politique d’aujourd’hui est un phasme du virtuel, ordonnée qu’elle est par les prébendes institutionnalisées. Il n’y a dans ce marais que des courtisans qui ont besoin de soigner leur ego, de s’ouvrir des portes et surtout de remplir leurs portefeuilles, qu’importe l’honneur, qu’importe la droiture, qu’importe l’exemple !

Du moment que tombe dans l’escarcelle cette petite place de potentat de laquelle on regarde le monde avec morgue. Balzac et sa comédie Humaine sont invariables dans le temps présent, on retrouve ici tous ses personnages qui sont caricatures, perversités, déclins de l’aristocratie usurpée par une bourgeoisie de parvenus qui n’ont pas hésité à trahir les Peuples pour le nourrir de leur infection comme de leur abjection atavique, celles qui naissent de la jalousie qui se farde sous le voile de l’innocence et pire encore de la duplicité. Mais qui lit Balzac aujourd’hui ? On préfère lire le dix millième roman de basse police rédigé dans un verlan de couardise, plutôt que de lire dans le texte un Auteur qui s’exprime en Français.

La destruction de l’esprit critique, par une éducation "nationale" aux ordres de l’acculturation a rempli son office, et c’est bien pour cela que le totalitarisme de la médiocrité ne sera inquiété sur ses projets de réforme. Car aujourd’hui l’individu applaudit à sa mise au tombeau, à la destruction du lien social, national, identitaire, dans l’incapacité caractéristique qu’il est de construire, ne l’oublions jamais, c’est bien pour cela que le modèle politique comme économique que nous vivons est appelé tout simplement à disparaître.

Ce dont nous devons nous réjouir, car de spectateur l’Humain enfin deviendra acteur afin de résorber la faillite intellectuelle et rendre à césar ce qui appartient aux césarions qui s’imaginent triomphants, alors qu’ils scient la branche sur laquelle ils sont assis à une vitesse vertigineuse. Le cancer suit une courbe exponentielle, et sa finalité est irréversible. Attendons donc qu’il ait fait son œuvre, et que l’on se rassure, les Institutions sont prêtes qui prendront la suite de cette chute en enfer, car il n’est d’institution que ce qu’en font les Êtres Humains, ce jour aux mains de non-humains, demain aux mains des Êtres Humains, ce qui ne sera tarder, devant la mise en œuvre de la dictature mondiale qui dispose sans le moindre consentement des Peuples.

© Vincent Thierry