Le leurre mondialiste

Le leurre mondialiste

 

Les singeries d’accroire à une résurgence Humaine dans le cloaque bigarré de la délétère consomption, de ce cancer prosélyte du métissage, de ce pourrissement constrictif de la culpabilisation ordonnée, enrobée par les viaducs de la prosternation à la déité de l’animal humain, du non-être, de la non-humanité, réflexologies de la paresse mentale, confluents de la pensée soumise et de ses logorrhées phénoménologiques et épistolaires, ne servent que celles et ceux qui ont déjà sombré dans le virtuel et ne vivent en aucun cas dans le réel, le mondialisme de l’errance leur point d’orgue.

S’ils étaient éveillés ils verraient à quel point ils sont trompés par les facettes grandiloquentes de l’abstraction et de ses épiphénomènes, une diarrhée d’outrecuidance, en support d’une trivialité que l’on dit philosophique mais qui n’est que la résultante d’une digression provoquée par ce cloaque qui renie le nom d’être pour se diluer dans un suicide collectif, un troupeau sans nom et sans nombre, inaudible et sans qualité qui injurie et conchie par onomatopées interposées l’existence du Vivant, hères indifférenciés ressemblant à des animaux de laboratoires qui n’ont plus aucune densité, sinon celle de l’esclave, des esclaves qui gémissent et croupissent dans l’insolence, dans ce dialecte de l’impéritie, abjection particulièrement nauséeuse que doivent subir les Peuples qui ne sont pas en dérive.

Babel à la putridité décomposée qui se mire dans le miroir de sa déshérence, Babel soumise à la théurgie des maîtres à danser qui obligent à supporter la défécation mentale du clinquant qui accapare les ondes comme celui que l’on rencontre dans les cirques, et que bien entendu toute personne se doit d’applaudir. Le couronnement d’Amon est là, litière du néant qui applaudit le néant ! Advenant un être qui n’est plus apte à se prendre en main, à se diriger, dans la voie de la droiture, de l’exemplarité, du respect de son Identité, de sa famille, de son Ethnie, de son Peuple, de sa Race, de son Humanité, et on peut se poser la question légitime d’intégrer cette forme larvaire devenue, composite de prébendes, d’aumônes, de subsides, violente et haineuse, parasite social qui ne mérite aucun regard sinon celui de l’oubli.

Un Peuple debout en l’honneur de son nom, combattrait cette hérésie par une élévation de ces êtres au sein de leurs propres Nations, mais un Peuple qui s’ignore volontairement du fait de l’acculturation qu’il subit et contre laquelle il n’ose se confronter ne fait que regarder et condamne toute solution salutaire dans l’inconvenance la plus stérile. Cette stérilité comme cette condamnation s’explique par le viol des Peuples qui se poursuit, le viol économique, le viol génétique, le viol philosophique, ce viol de la conscience qui légifère un monde d’esclaves masochistes, qui en redemandent, qui se prostituent pour recevoir ces coups du néant qui les rendent au néant, marée non-humaine qui se réconforte dans le bestiaire organisé qui se réjouit et s’imagine puissance alors qu’il n’est que nanification intellectuelle, ersatz primesautier de ce délire propre à celle ou celui qui est déraciné, en croyance d’une raison qui le fuit, limbe sans reflet couronnant une déchéance morbide qui s’accroît, et croît dans cette exponentielle déréliction que l’on observe avec interrogation dans les regards vides d’une partie de nos contemporains qui s’autoprosternent dans les rêves programmés des maîtres à chanter de ce siècle à la stupidité grandiloquente.

Où l’on voit la culture s’opacifier sous la sous-culture. L’exemple le plus typique de l’aberration se reflète en chaque espace traversé, là, ici, plus loin, jusqu’en nos villes médiévales, gardiennes de notre Histoire où on voit le parasitisme s’installer avec la bénédiction du législatif, bénéficiant de tous les dons que l’État octroie, ne travaillant surtout pas, et pavanant dans les ruelles d’une cité visitée comme dans son propre royaume, bénéficiant de logements en plein cœur de cette ville dont les maisons ont été restaurées à son attention, près d’une Abbatiale Templière plus que millénaire, au mépris des indigents des populations locales. Artifice sans nom et sans nombre qui nature l’arrogance, qui démontre à quel stade en sont rendus ce jour les Peuples acceptant leur viol sans mesure au nom de la bêtise accouplée à de pseudos sciences, remettant leur destin entre les mains de multiples équivoques encensant le droit de vivre des autres mais surtout pas le droit de vivre des Peuples, qui devraient se soumettre à cette lapidation sans contester, sans se redresser, sans faire valoir leur droit millénaire.

Au nom de qui, de quoi, des supports de cette intrigue belliqueuse, de ces illuminés de pacotille, de ces pasteurs de la mort qui engrangent par la mort les dividendes de toutes les trahisons. Amon est là, dans sa foi la plus répugnante, reprise en chœur par le paroxysme de la destruction de tout ce qui ne relève pas de sa descendance, engendrant ce que le regard embrase en chaque face de l’existence. Culture du néant traçant ses autoroutes sur des droits inexistants pour la multiplicité qui telle une nuée de sauterelles dévore le cœur des Nations, culture arbitraire réduisant l’honneur comme la gloire, la droiture comme l’énergie à de simples serpillières, ici en ce lieu de notre France effaçant et la Royauté et l’Empire qui ont fondé la France, pour ne conserver que les arguties d’une boucherie révolutionnaire manipulée par les Illuminés.

Coup d’État étranger à la France, déjà, comme l’est actuellement ce traité de dupe "européen" qui ne dirige que le néant, cette culture importée de l’ivraie universelle qui voudrait ne voir qu’une seule tête, une seule dimension, le métisse ordonné et adoubé à l’esclavage le plus pur pour honorer le métissage qui veut gouverner ce monde, un ramassis ordurier dont la démence est flagrante, visitant le caravansérail des idées afin de les copier, les mutiler, les ordonner dans l’acculturation au profit de sa propre dérision, stigmate de l’atrophie dont l’ampleur ce jour est sans commune mesure, qu’il suffit d’écouter s’applaudir pour en retirer l’inénarrable perdition dans la prétention autorisée : des larves parlant aux larves.

Que l’on se rassure le souffle d’Aton passera par cette rive dévoyée et assainira définitivement la Terre de ces miasmes, le monde Ouranien inexorablement s’éveillera lorsque tomberont les masques, les droits du sang inaliénables seront restaurés, et équilibreront totalement et définitivement ce monde Chtonien livré aux fastes de la mort, il ne peut en être autrement. Le respect ne peut être indéfiniment unilatéral, les anticorps sociaux naîtront et se multiplieront pour consacrer le retour de la Vie à son zénith.

Disparaîtront dans le feu d’Aton les moisissures de ce temps, se lèveront contre la barbarie par ce monde les armées de la Vie, comblant le vide d’une puissance redoutable et redoutée, voyant les Peuples se libérer du servage idéologique, historique, génétique, afin de faire flotter immuablement le drapeau de la Liberté. La liberté de penser permettant d’éradiquer la sauvagerie de l’acculturation, de l’ignorance et du mensonge, dévoilant le parasitisme dans toutes ses congruités, ses avatars, ses répugnances, dont le jugement fera autorité. Ceci n’est qu’une question de temps, car qu’on le veuille où non, les racines Humaines sont immortelles et lorsqu’elles sont attaquées, elles puisent toutes les ressources nécessaires à leur survie.

Dans ce temps troublé où voudrait s’imposer une seule religion, la religion du servage, d’autres religions s’allient pour se confronter à ce comportement dictatorial, et déjà la guerre trouve son nid, attisée par la haine irascible de celles et ceux qui veulent détruire, guerre inutile dans le respect multilatéral, la conscience de l’Humain, guerre malheureusement nécessaire lorsqu’il n’y a plus de solutions que celle-ci au regard de l’outrance et de la démesure, guerre encore une fois qui sera implacablement de religion, puisque, ne nous leurrons aucunement, la guerre qui vient le sera obligatoirement, ramenant l’Humain à ces âges de terreur, terreur qu’il conviendra de dépasser pour enfin voir s’équilibrer ce monde dans ses Identités et ses réalités géographiques et historiques, dans un respect multilatéral dont la Liberté sera le pilier inextinguible,

Liberté du Vivant en ses multiplicités et non esclavage du vivant en cette pauvreté métissée qui n’amène que haine et ravage par toutes les Nations. La Nature, avec un N majuscule est ainsi faite qu’elle revient toujours à l’équilibre, ainsi rassurons-nous sur le devenir qui verra après cet enlisement du mondialisme dans ses propres oripeaux reverdir le rameau vert de l’Humanité en sa multiplicité.

© Vincent Thierry