La falsification

La falsification

 

La falsification de l’Histoire par tous les mythomanes en tout genre devient un sport National, ce qui apparaît particulièrement normal à l’heure où la Nation doit être détruite pour laisser place à cette vase nauséeuse que l’on nomme encore le mondialisme, où chacun à gauche comme à droite puise pour s’accroire d’importance, alors que chacun n’est qu’un féal d’une dictature qui ne cache plus son nom, qui désormais à visage découvert se montre et parade, tirant de sa teinture idéologique les prémisses de ce qui fera long feu : le nazi communisme.

Ici le lieu, ici le temps de ce que les souches éprises croient pouvoir durer mille ans et plus comme certains régimes qui ont succombé à leurs errements, errements renouvelés ce jour par le nombrilisme atavique qui se veut morale alors que l’immoralité la plus pernicieuse vagit en ses racines, dénaturant son principe même avant que de l’enliser dans les décennies qui viendront, qui ne seront règnes des nains mais bien règnes des Empires qui se créent sans se préoccuper du déclin de l’intelligence agencée par le bastion inféodé de ce qui aurait pu devenir un étendard lumineux et qui aujourd’hui n’est plus que l’étendard d’une nuit sans fin, cette organisation des Nations Unies qui se révèle l’organisation de la destruction des Nations au profit d’un déracinement qui n’appartient à aucune Nation.

Le temps vient de cet horizon qui rendra à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu, aux Nations ce qui appartient aux Nations, aux Identités ce qui appartient aux Identités, aux Racines ce qui appartient aux Racines, et dans la concaténation de ce temps en sortiront grandies ces Nations que les avatars de larves conchient sans prendre le temps de respirer, ces miasmes grotesques qui s’évertuent à paraître car ils ne sont pas des Êtres mais des phasmes d’Êtres, des ectoplasmes qui bâtissent leur propre ruine en voulant ruiner le cœur de l’Humain, son appartenance indéracinable à la Vie, à sa terre, à ses Lois et coutumes, à son sang dont les millénaires ont nourri son sol inaliénable.

L’Europe avec un E majuscule est vectrice de ces propriétés, une Europe que l’on voit dénaturée par la barbarie insolente de cette peste rouge brune qui veut la dominer sans même être élue par ses Peuples, une Europe outragée par le venin qui englue toute latitude de la pensée au même sempiternel écho, celui de la culpabilisation. Fort heureusement l’Histoire avec un H majuscule n’appartient pas à la dénature et ses crimes intellectuels, à tels fins que lentement mais sûrement les Peuples Européens se réveillent, malgré la censure ignoble imposée depuis des décades, rabâchée journellement, remâchée globalement par les élites de la destruction qui veulent imposer leur couronnement par la violence physique et morale, allant jusqu’à l’outrage, au déni des Lois, et s’apprêtant, pourquoi pas à l’assassinat physique, sinon moral, d’une frange majoritaire des Populations qui leur dénie toute autorité réelle.

Et quelle autorité ont-ils ? Aucune puisque aucun suffrage ne les a élus. Le Rubicon a été franchi par ces hordes qui privilégient tout ce qui n’est pas Européen, qui sanctifient tout ce qui n’est pas Tradition, qui détruisent la Culture des Peuples Européens au profit d’une bassesse louangeuse et tapageuse, la culture de l’anéantissement, qui permettent l’invasion, avec la permission de l’ONU, des Nations Européennes par une masse exogène implantant ses dialectes, ses religions, ses cultures, sans le moindre désir d’intégration, bien au contraire, et avec la bénédiction de tout ce que compte le Mondialisme dans ses basses chausses.

Et lorsqu’un Peuple se dresse, la houle arrive, cette houle de hyène à qui l’on prend son os, une houle accompagnée de tout ce qui est outrancier, de tout ce qui est fétide, de tout ce qui peut rabaisser les Peuples au dénominateur commun de la culpabilisation. Cette culpabilité, ce matraquage, ces homélies de la stupeur, 2010 n’en a rien à faire, totalement rien à faire, 2010 aujourd’hui en ses Peuples se voit litière d’une agonie bien plus pertinente, celle de sa réalité face à la virtualité fécondée par les abstractions neuronales de destructeurs qui se disent bien-pensants, cohortes de ces hyènes qui s’attendent à un fromage alors qu’ils n’obtiendront pour toute consolation que le silence qui leur sera seulement autorisé sous peine d’éradication, car ils pensent encore être des maîtres, alors que ce ne sont que des esclaves.

Ainsi les Peuples se réveillent, et ce qu’ils appellent avec mépris le Nationalisme se réveille, ce Nationalisme qui permettra à tous les Peuples Européens de se sortir de cette ornière répugnante dans laquelle ils stagnent, faite de toutes les pourritures comme de toutes les lèpres qui s’imaginent civilisatrices alors qu’elles ne sont que les viviers de toutes les barbaries qu’elles encouragent.

Les Empires balaieront leurs scories, car des Nationalismes naîtra l’Europe, une Europe réelle, forte et fière de son Histoire avec un H majuscule, qui ne sera pas le vivier de tous les terrorismes accouplés, physiques, intellectuels, spirituels. Ce n’est qu’à ce prix, ce prix de l’Honneur que l’on rendra à l’Europe sa destinée, une Europe qui ne sera pas soumise aux marchands, à l’esclavage, à de pseudos royautés délitées depuis des millénaires, à des parlements consubstantiels du nazi communisme désintégrant, et cette Europe des Nations, pourra enfin rejoindre d’égale à égale les Empires en construction, les États-Unis d’Amérique, le Canada, les États Fédérés de Russie, formant ainsi cet Empire de souche qui pourra lui-même traiter d’égal à égal avec l’Empire Asiatique, l’Empire Sud-Américain, et l’Empire Africain.

Destinée de ce monde qui ne peut continuer à se lover dans la bassesse d’idéaux tronqués et noyés dans le bêtisier de l’atavisme le plus délétère. L’Universalité passe par cette étape intermédiaire qui ne doit être fourvoyée par la gangrène systémique de l’adulation prosternée à la culpabilité béate née des falsifications elles-mêmes nées des aberrations subliminales de dithyrambes diachronies auto destructrices.

Rien n’est perdu, il suffit de nettoyer la lèpre qui couvre de son voile, qui n’est pas irrémédiable, la nature profonde de ces Pierres du Temple Humain que sont les Nations, conjonctions d’harmonies lorsque ouvertes à la destinée de ce petit monde que l’on nomme la Terre, conjonctions de dysharmonies lorsque fermées par les remparts préparés par les marchands afin de gréer à leur profit des guerres et des paix sans efficiences. Au travail donc.

© Vincent Thierry