"Le devenir de la terre est notre nouvelle histoire"
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- Catégorie : Etre-Humanité
"Le devenir de la terre est notre nouvelle histoire"
Voici les grands prêtres de l’hérésie écologique qui nous enseignent, les masturbateurs falots de l’amnésie des Peuples et de leurs devenirs, les chantres de thanatos, les esclaves du masochisme, les belliqueux du néant !
Ils nous apostrophent comme les inquisiteurs apostrophaient les scientifiques de leur époque en leur niant le droit de penser que la terre était ronde, qu’elle tournait autour du soleil, qu’il existait d’autres mondes que ce petit corps respectable se situant dans la très grande banlieue d’une galaxie, poussière au milieu des amas et des super amas de galaxies qui constituent un univers parmi les univers !
Il serait temps de se réveiller pour chaque être humain et de se libérer de ces moissonneurs du néant dont l’anthropomorphisme délirant en arrive à faire accroire que l’humain partie intégrante de l’écosystème est responsable de tout ! C’est se moquer de l’intelligence que ces affabulations qui servent une coercition politico économique sans lendemain, qui pour l’instant vit très bien des prébendes qui tombent dans leurs escarcelles !
Écologie et discernement, oui, écologie et amalgame, non ! Parlons du Méthane : l’économie humaine serait responsable d’un pseudo-réchauffement de la planète, je dis pseudo car je tiens compte de la réalité physique de notre planète qui n’est pas fixe, dont l’axe est excentré, dont les terres émergées sont situées sur des plaques tectoniques qui bougent sans cesse, référence de la variance et non de l’invariance géologique que l’on voudrait nous faire accroire, et donc de l’écosystème qui villégiature en ses degrés.
Revenons au méthane, y a-t-il un scientifique sérieux qui pourra nous donner le % né de l’activité humaine aggravant le taux terrestre ? Le premier producteur de méthane est la nature même, activité volcanique, le second producteur de méthane est la flore, nos prairies, nos fleurs, nos forêts, le troisième producteur de méthane sont les animaux et plus particulièrement les ruminants, que reste-t-il donc de l’activité Humaine dans cette réalité ? À peine plus d’un pour cent des émissions de méthane !
Je ne voudrais pas rendre ridicules nos éminences grises de l’introversion, mais il serait temps qu’elles replongent dans le corps des livres de nos cours élémentaires pour qu’elles apprennent d’où vient le méthane. Cela pourrait être amusant mais cela ne l’est plus au regard de la tentative de culpabilisation qui est générée par leurs rêves dantesques ! Ainsi face à cette hérésie des mots, du langage, faut-il se dresser contre cette entreprise subversive qui s’imagine détenir le monopole de la vérité, en créant au niveau international une identité juridique permettant d’éradiquer cette théorie mortelle pour le genre humain, tissu de contre-vérité qui voit, que l’on s’amuse un peu, des journalistes dépités lorsqu’ils annoncent un hiver sans neige sur la côte est des États-Unis, et en même temps un hiver rigoureux dans l’État du Missouri !
Oui, la terre n’est pas figée, elle mute de seconde en seconde et avoir la prétention de la contrôler est sans issue, ce d’autant plus qu’elle disparaîtra lorsque le soleil deviendra une géante rouge, donc dire que notre histoire c’est le devenir de la terre est le mensonge le plus éhonté qui soit, l’espace est notre avenir, la terre le support de l’humanité, dont le devenir est d’essaimer les galaxies et non au nom de principes désintégrateurs de s’accoupler à une terre qui inéluctablement disparaîtra.
Respecter notre environnement, oui, attendre notre désintégration avec lui, non, l’Être humain est un conquérant et ne doit en aucun cas se soumettre à la prêtrise de l’euthanasie que les chantres d’une écologie inversée nous distillent ! Mais l’Être Humain aura-t-il le courage de se réveiller ?