L'Etre fondamental !

L’Être fondamental !

 

Si l’on honore et respecte le Poète, l’homme qui toujours a défendu son identité, peut-on aujourd’hui l’inscrire au Panthéon, sans faire preuve de ce masochisme de bellâtre assoiffé par la destruction de notre propre Identité, qui s’emploie à qui mieux mieux à cracher sur notre Peuple ? La question est là, claire et bien entendu nous connaissons déjà la réponse : la flagellation, la reptation, l’ignorance et le mépris, au nom d’un humanisme de circonstance, d’antiracisme, (ce Poète ne défendait-il pas sa Race ?), et de je-ne-sais-quoi de masochisme pavlovien, viendront à bout des réticences et l’homme se retrouvera au milieu des hommes qui ont servi la France !

À ce titre tous les pourfendeurs de notre Identité en ses réalités bio géographiques et historiques devront donc entrer au Panthéon. Dont acte. Ce qui semble extraordinaire ne l’est pas. Depuis des décennies, la culture enseigne la haine de notre Peuple, de notre Histoire, de nos composantes biogéographiques, de notre Identité, de notre Race, composante remarquable de l’esprit qu’il convient de noyer dans l’abstraction mentale et sa suffisance : la culpabilisation !

Tout est prétexte à la destruction, tout est sujet à inversion, tout est sujet à soumission, pour simplifier, tout ce qui n’est pas de typologie blanche est merveilleux, beau, magnifique, à prendre en exemple, à adorer, signe d’intelligence remarquable, de capacité physique extraordinaire ! Il n’y a qu’à regarder la télévision pour s’en rendre compte, (toute interview est l’interview d’exogène ou de gens de couleurs, c’est à croire qu’il n’y a plus un seul endogène dans notre pays !) aller au cinéma pour le voir, lire les magazines et les journaux pour le comprendre, et ce qu’il y a d’unique dans le cadre de ce viol psychique c’est que cela prend !

La culture est reniée, l’histoire réécrite, la génuflexion et la contrition de mises, nos enfants sont noyés dans la stérilité de l’adoration, des générations en reptation se dandinent devant la culture des autres, ces merveilleuses idoles qui conduisent désormais la pensée et qui demain au nom d’une politique vertueuse dite de discrimination positive (on voit ici l’inversion de toute valeur existentielle, l’être humain réduit à l’état d’atome, sans famille, sans Nation, sans passé, corvéable à souhait par les monarques qui nous dirigent) deviendront les maîtres de nos pays, faisant table rase de notre Identité, au nom du non-sens absolu de l’humain qui est celui de l’irréversible destruction des espèces au profit d’une espèce amorphe, celle de l’esclave né !

Le poète s’enchantait comme il le disait de lui-même d’être le nègre fondamental, eh bien serait-il temps qu’il se trouvât dans notre Race quelques Êtres fondamentaux (la Race de l’Esprit étant détentrice de la défense de l’intégralité des Races Humaines), qui respectueux des Identités, révèlent notre Identité à notre monde en génuflexion devant ce qui n’est pas lui-même !

Nous en serons, ardent défenseur de notre Identité, respectueux des autres Identités qui respectent la nôtre, le respect n’étant jamais unilatéral mais multilatéral, face à ce délire de l’inféodation, face à cette destruction de notre culture, face au mensonge réglementé, face à la désintégration organisée, afin que vivent des champs de floralies diverses, consonances de l’Humanité et de l’Être-Humanité, et non le magma putride que l’on cherche à nous imposer, l’inhumanité et le non-être, artifices de l’esclavage le plus purulent !

En d’autres termes, et à l’image de ce poète nous nous devons de défendre notre intégrité, mais par-delà le fléau de l’intégrisme, respecter les valeurs de ceux qui respectent, je dis bien qui respectent notre intégrité, ce qui permettra de dépasser ce clivage artificiel issu de la conjonction infériorité déguisée en supériorité et inversement auquel atteint l’idéal du poète honoré, qui n’est en aucun cas l’idéal de l’universalité, car réducteur et dans sa réduction intronisation de ces valeurs surannées que sont celles du maître et de l’esclave, tellement au goût du jour (voir les sans-papiers, ces esclaves, qui travaillent en France et revendiquent la Nationalité Française, appuyés en cela par leurs maîtres, des entrepreneurs sans foi ni lois, barbaresques à souhait !).

© Vincent Thierry