1917-2017
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- Catégorie : Littérature
1917-2017
Prémonition ? Nous trouvons là un texte qui interpelle. Mais lisons :
« Nous sommes en novembre, les événements se déroulent à une vitesse extraordinaire, avec un seul mot d’ordre la contre-révolution.
Tout a commencé par la création de comités ouvriers, paysans et étudiants, délaissant le syndicalisme aux ordres, dans le cadre d’une révolte spontanée contre les mesures d’austérités d’une gouvernance élue par le viol de la cognition du Peuple de France, comme une marque de savonnette.
La grève générale a été décrétée en Octobre, une grève totale ayant pour but la restauration des acquis sociaux obtenus dans le sang par le Peuple depuis des siècles. Cette grève s’est coordonnée immédiatement, d’usines aux campagnes, de lycées en universités, par la création d’assemblées constituantes élisant les vecteurs du Peuple prononçant non seulement des souhaits mais une réalisation par la gouvernance de ses demandes signifiantes, savoir la restauration des contrats à durées indéterminées, la revalorisation des salaires, l’abandon de l’imposition sur le revenu, la restitution des articles veillant à la sécurité des employés dans le cadre du Code du travail, enfin la recherche du plein-emploi par mise en application de la préférence nationale et l’anéantissement du droit des travailleurs détachés.
Devant cette grève la gouvernance aux ordres de la finance apatride a refusé toute concession, plus encore se servant du droit subjectif dit européen tenté de faire venir des travailleurs détachés pour remplacer tant dans les campagnes que dans les usines les travailleurs en grève, et constatant son impuissance a envoyé les forces de l’ordre, et des forces militaires étrangères, notamment allemandes, pour faire rouvrir les usines.
Le conseil national de la résistance devant cet abus d’autorité a fait armer les ouvriers, les paysans et les universités. Devant cette levée de boucliers, la gouvernance a instauré la Loi martiale, et usé de sa cinquième colonne islamique pour tenter de terrasser le mouvement. Les comités se sont insurgés devant cette félonie, et ont engagé leurs forces pour tout d’abord éradiquer totalement la veulerie islamique et conjointement la barbarie de la gouvernance. L’Armée s’est jointe à ces comités, puis les forces de police, devant la criminalité organisée par la gouvernance. Paris, Lyon, Marseille et la plupart des villes secondaires ont été déclarés zones de guerre.
Au bout d’un mois les velléités gouvernementales ont été réduites à néant, quarante millions de Françaises et de Français montent sur la capitale pour l’éradiquer totalement.
Du Nord au Midi, de l’Ouest à l’Est, les comités coordonnent leur effort pour faire appliquer une justice sommaire, nettoyant de fond en comble la lèpre pourrissant l’État Français, ils investissent les Institutions et en balaient la vermine qui y grouille, les suppôts de la maçonnerie déviante qui ne sont que la colonne vertébrale de l’esclavagisme, les suppôts des sectes n’ayant pour intérêt que la mise en servage du Peuple de France, les prisons sont pleines, les condamnations à mort pour trahison, félonie, se multiplient.
La contre-révolution est en marche. Et cette contre-révolution envers l’usure et ses féaux, fait des émules, les Nations Européennes s’embrasent, les unes après les autres, trois cents millions de personnes se lèvent comme un seul homme, sur le mode des comités d’action Français, renversent leurs gouvernances, et tiennent Strasbourg sous le feu de leurs armes, l’Union dite Européenne est condamnée ainsi que tous les suppôts qui y sont commis, les commissaires politiques emprisonnés à vie, la Banque centrale Européenne détruite, et ses valets condamnés de même à la prison à vie.
La chasse aux traîtres par toutes les campagnes, par toutes les villes se poursuit, le Peuple exhalant sa colère que nul ne peut retenir. Les derniers islamistes se réfugient dans les ports pour quitter l’Europe désormais libéré des esclavagistes.
Les représentants des Nations instaurent une Europe des Nations, gardienne de l’Identité et de la souveraineté de chacun des Peuples qui la composent. États Unis, Russie, Chine, Inde et pratiquement toutes les Nations du Monde acclament cette création.
En chaque Nation, désormais ne peut prétendre au pouvoir que des Êtres libres de toute dépendance qui seront les fers de lance de la République et de la Démocratie, la loi de 1905 s’étoffe de toutes les sectes putrides quelles qu’elles soient et de la maçonnerie ainsi que de toute société tendant à s’incruster dans le pouvoir pour le pervertir.
Le bilan de deux mois de guerre en France, a permis d’éradiquer totalement les zones de non droit, de liquider la totalité des féaux de la subversion, y compris leur cinquième colonne islamique, et d’emprisonner tous les fauteurs de troubles à l’ordre naturel, francs-maçons avariés et sectes putrides, les banques ont été nationalisées, la Banque de France est seule en droit de commettre la monnaie, les frontières ont été rétablies sous la surveillance d’une garde Nationale armée, l’économie repart lentement, sur des bases nouvelles, conditionnant la règle du tiers, un tiers des bénéfices pour les actionnaires, un tiers des bénéfices pour les ouvriers et dirigeants, un tiers des bénéfices pour l’investissement, la consommation locale est désormais de règle, les grands travaux de restauration commencent, avec mise en œuvre de filières dans tous les domaines de l’entreprise, de la sidérurgie aux modélisations numériques, les campagnes comme les villes sont libérées de l’islamisme radical, la vie peut reprendre et on peut se tourner enfin vers la civilisation, non la civilisation de l’esclavagisme mais la civilisation de l’épanouissement et de la liberté d’action.
Les Françaises et les Français peuvent se regarder désormais en face, sans voir leur Histoire humiliée, sans voir leurs enfants destinés à la pauvreté ou au chômage, sans voir leurs économies dilapidées par la sédation financière imposée par quelques quarterons de banquiers avariés trônant à la City.
La contre-révolution affermit désormais l’évolution, une évolution radicale permettant tant à la Nation qu’aux Pays Européens, désormais unis par l’Europe des Nations, de traiter d’égal à égal avec les grandes puissances, et n’être plus les esclaves de rouages étrangers attisés par une finance esclavagiste.
La morale de cette histoire est que l’on ne peut continuer impunément à traiter les Peuples comme des marchandises corvéables à souhait, et qu’un jour où l’autre on récolte ce que l’on sème, et qu’il y a fort à parier que ce qui vient d’être dit risque de se produire, non pas à l’échelle littéraire, mais bien à l’échelle humaine avec tout ce que cela comporte. Ce ne sera pas faute d’avertir.
Et que ne se fassent pas d’illusions les barbares qui tiennent entre leurs quelques mains les rênes de l’esclavagisme, ce ne seront leur tentative de déstabilisation, qu’elles se manifestent par la guerre – la France dispose d’une force nucléaire, qu’ils ne l’oublient – qu’elles se manifestent par le massacre, qui changeront quoi que ce soit à leur destin sur les terres des Nations Européennes, car lorsqu’un Peuple et a fortiori l’ensemble des Peuples Européens se mettront en marche pour s’émanciper de leurs chaînes, il sera trop tard, car tous les Peuples qui ont lutté pour leur Liberté ont toujours gagné, n’en déplaise, car la force de la Vie est infiniment plus puissante que la force de la mort. »
Prémonition, l’avenir le dira.
© Vincent Thierry