En finir avec les ismes
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- Catégorie : Philosophie
En finir avec les ismes.
Un est deux, par trois en l’équilibre, quatre, où la pyramide inverse, celle que défendent les agioteurs du retour dans la matière brute, la désintégration, où la pyramide naturelle, celle se dressant vers les cieux à la rencontre de l'éternité spirituelle, cinq est ordre au sein de cet équilibre, initiant soit le statisme, soit la Voie inverse, soit la Voie naturelle, donc quintessence, six est vecteur de l’inverse de la Voie, sept est retenue de six par sa désintégration, huit est ouverture vers l’Oméga, l’Absolu, neuf est transcendance énergétique de la Voie Naturelle initiant la maturité spirituelle de la Vie en un quanta d’énergie quelconque.
Les civilisations sont flux et reflux de ces différents ordres qui prennent différents visages, spirituels, idéologiques, politiques au cours du déploiement énergétique qu’elles développent. Ainsi est-il vain le combat des uns contre des autres, mettant en exergue les uns ou les autres, quelles que soient les religions qu’ils embrassent, quelles que soient les idéologies qu’ils expriment, quelles que soient les politiques qu’ils appliquent, quelle que soit la couleur de leur peau, quelles que soient leurs orientations sexuelles, tout entretenu par la confusion qui est le leurre permettant d’asseoir le superfétatoire, le vrai combat se révélant par celles et ceux qui défendent la Voie naturelle contre celles et ceux qui défendent la Voie inverse.
La première signifiant la Liberté de transcendance de l’Être Humain, la seconde signifiant la servitude dans la matière de l’Être Humain. On comprendra que les ismes ici n’ont aucune valeur que celle de greffon de certaines voies, et dans le cadre de l’Humanité et de son devenir ne représentent rien car au sens du respect multilatéral que chaque Être Humain doit à chaque Être Humain, et inversement, sont sans issues car propagatrices de goulots d’étranglements énergétiques qui tel le serpent se mordent la queue indéfiniment, et sont donc des freins à l’évolution qualitative de l’Humanité.
Il est temps donc pour chacun de dépasser ces carcans et de s’ouvrir à sa Nature Spirituelle et cesser de se morfondre dans sa Nature ultime, et bien pire vouloir retourner dans la Nature Matière, et pire encore s’y désintégrer en désintégrant les uns et les autres. Les cycles ne sont pas sinusoïdaux unilatéraux mais bien forge d’une double sinusoïde permettant par rémanence de ne pas voir le sens de la Voie s’éperdre dans le néant. Ils font partie d’un Ordre Naturel qui ne doit jamais être oublié et qui ne se fait jamais oublier quelle que soit l’unité énergétique déterminée, soit osmotique en déclin, soit symbiotique en élévation.
Il reste désormais à l’Être Humain à se secouer de l’ensemble des phasmes qui le conditionnent pour enfin retrouver cette unité symbiotique l’élevant vers la Nature Spirituelle et ne le broyant en aucun cas dans la Nature Matière qui est une impasse magistrale initiée par l’unité osmotique en phase du trois comme du 6 et dans l’incapacité de reconnaître sinon par complémentarité l’existence du 4, du cinq, du sept, du huit et du 9.