GATE UNIVERSALITY

Liberté, complémentarité, fraternité

 

Instances des ordres souverains, aux effigies Templières qui s’évertuent, il y a là les signes azuréens d’une grandeur qui, jamais, ne s’oubliera, des âmes nées au front de la gloire sereine, libre des mots, des essaims fauves et de leurs circonvolutions outrageuses, le Verbe en leurs semis de discorde terrassant leurs impertinences, Verbe au fleuve conquérant charriant les alluvions civilisatrices par toutes pentes de cette terre broyée par un langage de dualité, forge de l’errance comme de l’admonestation, par les villes en parcours, les sites en présence, les nuées humaines en ses rivages, toutes forces transcendées par sa marche olympienne.

Le navire de sa voie tenant en ses cales des cargaisons de rêves, non des miroirs de pacotille, mais des stances partagées délivrant sur l’horizon des hémicycles clairs, la science en leur creuset, la philosophie en leur forme, l’art en leur rayonnement, bruissements d’une ruche en agapes de fertilité, décimant et comblant ces ravins inquiets de latitudes ignorantes, vide hier voulant l’humaine appartenance figée, substrat des chants d’un respire endeuillé en les fers de sciences amorphes, labourant d’un sol inculte les promesses du néant pour la vie incarnée en ce recueil de la Terre.

Inquisition brutale voyant du vivant le corps animal, de sa transcendance, l’émotion instinctuelle, de son avenir l’incapacité à naître d’autres firmaments, stériles incantations dont les jougs écartelés ce jour montrent les orientations létales, l’être en leur sein se révélant esclave, condition décimée aux portiques du Verbe flamboyant le glaive de la justice, non celui de la force brutale, mais de la Voie sacrale, stigmatisant les ordres d’hier, voulant une humanité, les peuples, l’humain, atrophiés, au nom de l’usurpation du nom de la démocratie.

Dans leurs mains, un jeu de pouvoir, dans leurs mains, préambule de leur propre plaisir, dans leurs mains, objet de toute masturbation intellectuelle aux fins d’en garder le symbole mais surtout de n’en pas appliquer la rectitude, pauvres ordres aux pouvoirs balayés par la mise en œuvre de toute responsabilité humaine, dans le creuset de la tripartition individuelle et son unité, creuset de la quadripartition du Pouvoir naturel et transcendant, inscrit en ses pavois Templiers qui sont la forge du destin de l’humain, Liberté, Complémentarité, Fraternité !