Face au mensonge

Face au mensonge

 

Face au mensonge, il convient de restaurer les arcanes de la réalité, veiller à la restitution des faits et non des prononciations hâtives et couronnées.

L’histoire enseignée aujourd’hui l’est par le miroir déformant de la pensée unique qui assoit sa vitalité dans le cadre de la destruction de toutes valeurs. Déstructurant, son enseignement a pour objet politique la désintégration des peuples au profit pavlovien d’une reptation perfide aux mots d’ordre mondialiste. La dictature de la pensée trouve là son terrain d’élection privilégié. Ce socle que représente l’histoire des Nations, leur naissance, leur jeunesse, leur maturité, doit être détruit car il représente non pas l’égoïsme mais l’altruisme le plus généreux du citoyen envers sa Patrie, le cœur fondateur de son avenir et de son développement où la devise tous pour un et un pour tous trouve cette résonance particulière qui du néant provoque la naissance de cet inaltérable pouvoir de l’être humain, celui du don.

L’histoire d’une Nation est celle de ce don, don de sa personne à ce miracle d’équilibre qu’elle représente, car préhension souveraine de la rémanence formelle de son Peuple, née des actions individuées en composantes de l’action générée, au-delà de la servilité ! La Nation est la cellule motrice de l’organisme vivant que représente l’Humanité. Elle permet de formaliser les caractéristiques identitaires de son Peuple, contournant l’abstraction, elle lui permet d’être don aux autres Peuples de ses réalités formelles et ainsi en symbiose à la fois d’acquérir et donner non pas dans le sens de l’addition mais de la multiplication, favorisant ainsi l’émergence d’une évolution qualitative et souveraine de l’humanité dans sa réalité formelle.

Nous en sommes très éloignés. Le mondialisme, n’ayant pour volonté que l’instauration d’une dictature abrasive, trouvant ses valets et serfs dans les souches les plus apatrides, ne peut aujourd’hui n’avoir qu’une ambition, celle de la destruction de ces cellules que représentent les Nations ! Ainsi, tel un cancer il s’installe dans chaque cellule, polymorphe, tel le sida, il incube dans le corps des Nations pour l’affaiblir puis dans la mesure de ses possibilités, fonction du pouvoir de réaction des Peuples, l’anémier puis le détruire. Sa force destructive est directement proportionnelle au degré de faiblesse du Peuple qu’il envahit. La nature même de son bellicisme ne peut donc dans un premier temps pour anémier le corps social que prendre d’attaque son histoire afin de la réduire au néant, par culpabilisation accentuée, n’en laissant plus percevoir que les défauts, nés de l’inexpérience, que l’on présente comme vices généraux du Peuple considéré.

Cette désintégration, permet non seulement l’acculturation, mais bien plus encore le déni d’appartenance qui lui-même ouvre grand la porte à la flagellation permanente. Lorsque le pouvoir en est arrivé à ce stade, il ne lui reste plus qu’à dissoudre le Peuple d’origine, via une immigration massive, dans l’abstraction, trouvant là support d’une dérive communautariste lui permettant par division spontanée ou créée, toujours téléguidée d’instaurer sur la masse désormais représentée, sans racines, sa dictature autorisée et réglementée.

Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour deviner la manœuvre, ce jour particulièrement bien organisée dans notre pays, pour voir ce dessein se projeter source de notre avenir, si nous ne veillons pas à la sauvegarde de notre réalité biogéographique et historique : la dilution dans le macrophage mondialiste régissant non pas des Peuples mais des esclaves sous vidéo surveillance enchaînés et surveillés par des chiens de guerre n’ayant d’autres lois que l’exécution des basses œuvres d’un pouvoir, qui sous le voile des mots et notamment de ce qu’aujourd’hui l’on nomme la démocratie, instaure le plus vaste goulag que la terre ait porté, ce qui n’a rien d’étonnant puisque l’idéologie qui sous-tend ce mondialisme trouve sa nature dans la synthèse du communisme et du nazisme, idéologie synthétique que je nomme le nazi communisme dont peu d’État ne souffre actuellement la mise en œuvre opérationnelle.

On notera que ces États sont systématiquement vilipendés par celles et ceux qui déploient l’oriflamme noire de cette idéologie pernicieuse.

À idéologie, histoire particulière, réécrite, inscrite dans le mensonge absolu, règle de conduite qu’il convient de prévenir par la défense systématique en notre lieu, de l’histoire de notre Peuple et de notre Nation, afin de préserver les jeunes esprits de cette gangrène qui s’abat sur notre Pays !

Ceci est le travail des familles et de l’éducation. Ce n’est qu’à ce prix que nous survivrons à cette mise en coupe réglée de l’humanité par l’étoile rouge frappée de la svastika inverse, symbole par excellence de la destruction dont l’ordre noir, mantisse des scorpions maltais aux ordres d’une royauté déchue, doit être combattu sur tous les fronts, afin de veiller à la reconstruction.

© Vincent Thierry