Information, savoir, pouvoir

Information, savoir, pouvoir

 

La mise en charpie de l'Histoire par les Conjurés de l'illuminisme abâtardi ne manque pas de sel et de cynisme, eut égard à son dernier méfait, la transgression du dix-neuf septembre 1961 qui déclare la fin de l'intervention de pacification de l'Algérie Française. On remarquera ici les mensonges associés des marxistes léninistes pompeux qui osent prétendre au massacre d'Algériens pendant la manifestation du dix-neuf mars de la même année.

Des chiffres ahurissants ressortent du calcul des marxistes, porteurs de valises des fellaghas, qui comportent le crime même de ces derniers sur les populations autochtones, par noyade. Lorsqu'on sait qu'il n'y a eu que quatre victimes, une victime française d'auteur inconnu, trois victimes algériennes dont deux du fait des forces de l'ordre en état de légitime défense, la dernière d'auteur inconnu, on ne peut que voir là un déni classique de la réalité par le sida intellectuel qui veut régenter l'opinion depuis 1945.

Ce sida est à l'œuvre dans toute sa purulence et sa votive inclination, celle de la reptation devant les tortionnaires dont il fait partie. Nous ne rappellerons jamais assez les actes de barbarie commis par la dépravation marxiste en Algérie, le martyr des colons éviscérés, égorgés, par une meute de non-humains, le martyr de notre Armée voyant ses soldats la gorge et le sexe tranché par ces malades mentaux, le martyr des Harkis dépecés, fusillés, torturés, soit environ 70 000 personnes.

Voilà l'Histoire réelle et non ces élucubrations abracadabrantesques de ces suppôts de la perversion qui veulent imposer un devoir de mémoire pour les tueurs des enfants de notre Patrie. C'est conchier cette Patrie que de reconnaître cette horreur et s'agenouiller devant elle. On me rétorquera la torture ! Ah le beau mot que celui-ci ! Et si vous étiez responsable d'une section de soldats, et que vous emprisonniez un ennemi qui sait où se trouvent les mines qui peuvent hacher menu les soldats de votre section, et que cet ennemi ne veuille rien dire, que feriez-vous ?

Comme tout un chacun vous obtiendriez ces renseignements par la force si nécessaire, à moins que vous vous contrefichiez de la vie de vos soldats ! Il suffit donc de cet opérande si bien utilisé par ceux qui s'en défendent, notamment des Français traîtres à leur Patrie ayant utilisé la torture pendant la guerre d'Indochine, notamment au camp 54, traîtres en nombre porteurs de valises du FLN, de bombes destinées à tuer nos compatriotes militaires et civils. Toute cette boue aujourd'hui voudrait se masquer par déni de l'Histoire, mais l'Histoire est là et les juge, et rejette leur reptation, leur autoflagellation, leur suffocante puanteur de traîtres éprouvés.

Non le devoir de mémoire n'ira pas vers les tueurs nés qui se sont si bien appliqués en Libye, et s'appliquent si bien en Syrie et au Mali, mais envers nos concitoyens massacrés par la gangrène communiste. Nous savons désormais qui s'accroît diriger notre Nation, la peste rouge en puissance. Cette peste rouge se déguisant dans les limbes d'un socialisme hilarant, benêt, mais d'un danger d'autant plus grand pour notre civilisation, et notamment l'avenir de notre Nation. Une Nation, rappelons-le troquée au "fédéralisme" européen, d'une caste qui se croit hermétique mais qui désormais apparaît dans toute son outrecuidance gargantuesque, une assemblée de francs-maçons qui ne sont que des faux maçons aux ordres de l'usure, via la Fabian society, illustrant en leur sein un Parlement judaïque, dans le plus grand mépris des lois souveraines.

Voici l'offensive et sa soldatesque de bouffons, une troupe de barbare n'ayant d'autres vocations que celles de la destruction et du mensonge. Ils sont minorité des minorités, à peine cinquante mille en France, et quelques dizaines de milliers dans les autres Nations, et ils se veulent tribuns, là où ils ne sont qu'esclaves de leur condition, une condition née de l'obéissance participative, ce qui leur ôte tout droit aux responsabilités civiles, militaires, juridiques, politiques, car ils ne représentent en aucun cas les Peuples, mais de leur sombre destinée.

Partout où ils œuvrent, il faut les référencer, les ficher, et aux moindres élections dénoncer leurs appartenances afin qu'ils soient exclus des pouvoirs quels qu'ils soient, c'est à ce prix que se gagnera la Bataille de la Liberté violée par leur impondérable reniement de la Vie. Et s'il fallait pour preuve de ce reniement, regardons leurs lois lamentables allant de l'avortement à l'euthanasie, eugénisme systémique et pandémique de leur raisonnement obvié et inverti. Et s'il fallait pour preuve de leur reniement, leur lâcheté répugnante à salir l'Armée, l'Identité, la Patrie, la Nation, jusqu'à la Religion Catholique qu’ils compissent allégrement jusqu'à l'étouffement.

Nous sommes en face de cette hydre qui a posé ses tentacules sur tous les leviers de la Nation, et dont il faut se débarrasser une fois pour toutes par le sort des urnes qui ne doivent plus jamais contenir les noms de ses collaborateurs du néant, de ses traîtres à la Nation en leurs actions fédéralistes dévouées à l'usure, de ses menteurs patentés reniant l'Histoire de France pour imposer une génuflexion à l'islamisme au Peuple de France, de ses niais couronnés dont le genre au QI inférieur à 20 trône dans le Parlement, alors que dix-sept pour cent des Françaises et des Français n'y sont pas représentées par leur faute, cette bassesse ignoble confondant le droit des Peuples avec l'arrivisme personnel, la béatification de l'indigence, la momification de l'intelligence.

Voici prioritairement contre quoi le Peuple de France doit se lever, à l'image du Peuple Islandais, renverser ces idoles du néant et de l'atrophie, cumulant toutes les tares de la destruction. Ce combat doit être total, universel, afin de renverser cette fourmilière dont la Reine est l'usure, qui trône comme "conseillère" dans tous les gouvernements, ses pantins, accrochée aux décisions de l'État comme des poux sur la tête des innocents. Pour évincer les poux il faut évincer leurs émissaires, ces représentants de cette fausse maçonnerie confondant philosophie et politique. N'oublions pas qu'ils sont plus de cinq cent au Parlement, et combien dans les administrations ? Tout un chacun doit les lister, les ficher, afin qu'aucun ne passe à travers les mailles du filet que le Peuple doit tendre afin de retrouver sa foi en la politique qui est l'Art de diriger la cité, et non l'art de servir un autre maître que le Peuple. La première loi qui doit être validée par le nouveau gouvernement qui s'ensuivra, sera celle obligeant tout sectaire à dévoiler son appartenance s'il veut œuvrer dans la puissance publique, et son reniement à cette secte s’il lui est accordé le droit de siéger et représenter le Peuple.

Car ne l'oublions pas le combat de ce jour est celui d'une lutte sans partage contre les sectes communautaristes dont la franc-maçonnerie dévoyée fait partie intégrante. Lorsqu'on observe l'influence pernicieuse de cette secte dans les corps des Assemblées, on ne peut être qu'écœuré de voir l'argent des contribuables gaspillé suite à des lois qui engraissent députés et sénateurs, et surtout ceux qui ne sont pas élus. La manne est remarquable et remarquée, cent trente mille euros alloués par député pour de pseudos associations qui ne sont que des réservoirs à voix, sans compter l'indemnité de représentation mensuelle, et cet énorme scandale voyant ces députés tous francs-maçons pour la plupart portant leur indemnité chômage de six à soixante mois en dégressif, privilège exorbitant relevant du vol des deniers de la Nation.

Et cette secte voudrait voir naître en France une spiritualité du laïcisme, qui se révèle une spiritualité du banditisme le plus corrompu qui soit, veule, crasseux, ignoble, d'une fin de race dégénérée, celle d'une mafia que le Peuple devra contraindre s'il ne veut pas continuer à vivre dans l'ignominie, la puanteur de l'hypocrisie ! Le temps de ce combat par toutes faces des Institutions est venu, jusqu'en ses phares, ces loges sectaires qui doivent être investies afin d'en défaire les pouvoirs ignobles.

La toile araigne tissée depuis 1776 prend forme sous le regard de nos concitoyens, qui n’ont nul besoin de reconnaître pour voir à quel point le système est pourri par une secte, pourri comme le fumier sur lequel naîtront les plus belles fleurs, que l’on se rassure. Car ce système est voué à l’échec comme tout système dictatorial, ce système qui aujourd’hui implante le nazi communisme dans chaque Nation Européenne et que tout citoyen devrait acclamer, un système qui fermente la pourriture, l’abjection, l’immoralité, la dantesque putridité que l’on renifle en voyant ses masques tomber dans le mariage homosexuel, que l’on soit homosexuel c’est un problème personnel, bisexuel de même, mais que l’on prétende être le pilier de la civilisation, comme l’est la famille composée naturellement d’un homme et une femme, on ne peut qu’en rire, on ne peut que rire de ce trémoussement qui se dandine et laisse proliférer d’autres lois plus ignobles encore comme celle du droit de voir adopté des enfants par des couples homosexuels.

Ici se tient le reniement de tout ce qui constitue la civilisation, et cette pente mène vers la pédophilie la plus abrupte, celle tant demandée par tous les philosophes de pacotille, toute la vermine qui s’engendre dans cette répugnance, qu’acclament les «politiques» aux ordres et à la solde de la prévarication des droits immémoriaux, de ces droits qui ne sont pas nés dans la masturbation oratoire mais bien dans le limon de cette Vie dont tout un chacun est fait.

Nos droits sont spoliés, nos identités violées, demain ce seront nos enfants qui seront violés par cette engeance criminelle qui veut légiférer l’enchâssement de l’Humanité dans les ténèbres les plus glauques, remparts de leur immoralité la plus abjecte qui se paie à coups de millions de dollars pour certains, qui se calfeutrent en Suisse pour d’autres, reptiles assoiffés qui s’imaginent les rois du monde alors que ce ne sont que les métastases de l’Univers. Il est tant que tout un chacun redresse la tête dans notre Nation et perçoive la pourriture qui s’y agglutine, et démocratiquement, ah la Démocratie existe, n’en déplaise, voir l’Islande, remettre à leur juste place ces nains gargantuesques qui s’époumonent dans le plaisir du sado masochisme le plus abject.

Que l’on se batte pour une société d’Élites responsables, oui, mais pas pour des médiocres qui ne s’appartiennent plus, tellement tenus par les affaires, leurs serments à la maçonnerie et autres, le sang qu’ils ont sur les mains, où tout simplement à cause de leur sexualité dépravée, tous moteurs de leurs ignominies, de leurs parades, de leurs glauques certitudes qui conjoignent tous les pouvoirs de la société, fussent-ils de l’exécutif, des parlements comme du sénat, de la justice, de l’armée et de la police, corrompus par l’acide corrosif de cette outrecuidance à s’accroire au-dessus des lois, comme le démontrent si bien les émules de ce parlement européen qui affament les Peuples pour conserver leur petit pouvoir de nains à l’échelle de ce monde qui se contrefiche de cette «europe» de guignols, de dandys mal lavés, de grotesques personnages qui s’octroient, on en rit dans le monde entier, le prix Nobel de la Paix !

Mais c’est à la Fabian Society, et à sa courroie de transmission, le Bilderberg, institutions totalement dévoyées ce jour, qu’ils auraient dû remettre ce prix, ce prix couronnant la mise en place de la dictature nazi communiste en Europe ! Que l’on se rassure, c’est par l’Ouest et par l’Est, ainsi que de l’intérieur du cœur des Nations que seront anéantis ces grouillots de l’innommable. Ce n’est qu’une question de temps, et de temps la sagesse en a à revendre, tellement le temps se rétréci devant le fléau de la barbarie qui s’accentue, réveille tout un chacun, questionne tout un chacun, interpelle tout un chacun. Car tout un chacun doit-il devenir genre pour perdre toute dignité Humaine, car tout un chacun doit-il devenir un non-être pour complaire à cette illumination, car tout un chacun doit-il vivre dans l’irrespect total de la Vie pour se mêler à ce pourrissement et s’y perdre ?

Cela est le sens de la non-vie pour ce cancer qui veut ronger nos sociétés. Mais nos sociétés sont multimillénaires, et ce ne seront ces ersatz nés de l’atrophie qui parviendront à en prendre les rênes. La bataille de l’information est déjà perdue pour cette atrophie, et ce ne seront pas les lois iniques qui sortiront du creuset de la Lucy Trust, ce que l’on appelle l’ONU qui y changera quoi que ce soit, Internet II étant déjà actif, Internet III en construction. Et qui dit bataille de l’information perdue, dit la perte de tout pouvoir quel qu’il soit, ceci est la revanche sur la servitude, ceci est la revanche de l’intelligence contre la non-intelligence, ceci est la revanche du savoir contre le non-savoir. Il est trop tard, et comme je dis précédemment, le temps se rétrécit de plus en plus pour ce salmigondis d’horreur prétentieuse qui se veut règne.

Les Peuples vont reconquérir le savoir, y compris le savoir antérieur à cette date fatidique de 1945 qui immobilise toutes les consciences dans un filet glauque à souhait, et les faits et gestes des acteurs qui se veulent destinées vont être analysés par les Peuples, et tout un chacun verra le tissage désorienté de l’abstraction soutenue par sa soldatesque devenue immonde. L’Éducation n’est plus nationale, elle est désormais internationale, elle respire à la vitesse de la lumière et ne s’arrête pas sur des encyclopédies bêtes à souhaits telles que celle que l’on impose aux moteurs de recherche, trotskiste par excellence, que je ne citerai même pas car sans intérêt pour le public, mais va à la rencontre de la conscience de chaque Être Humain, exposant dans la lucidité parfaite les contours, les reflets, le vide absolu de ce pouvoir qui se veut au-dessus des pouvoirs qu’il enchaîne et veut pétrifier.

Et nonobstant cette reconnaissance pioche plus loin dans le ferment de cette lie pour en décomposer les manichéennes désertifications, faisant entrevoir l’abjection qui y couve, le déni d’existence de l’Humain, la barbarie dans toute sa splendeur qu’accompagne sa soldatesque grotesque. Nous y voici, dans ce temps rétréci qui ne laissera aucune chance à cette barbarie dénoncée déjà sur tous les champs de bataille, que ce soit en Syrie, en Palestine et ailleurs, l’organisation du meurtre comme du génocide comme complainte de la dégénérescence humaine, de cette tare incongrue et non humaine qui se berce de toutes ses illusions en croyant encore apitoyer qui que ce soit ou que ce soit, l’ampleur du crime relevant de l’abomination.

Ce monde s’écroule sous la puanteur de ces aberrations qui veulent le fonder, il n’y a aucun mystère là-dedans sinon que la volonté de la Vie de survivre à cette impasse, cette délétère profusion abyssale, où se mirent tous les caducées de la duplicité, de l’hypocrisie, du mensonge, de la propagande, de l’ignorance, de l’inconvenance, ce la reptation, de la servilité, de l’embaumement, de l’immoralité, toutes faces qui se congratulent dans ces lucarnes étranges où seuls sont admises les appartenances à la déité de la prosternation, de la flagellation, de la bestialité la plus avide.

Il est trop tard pour ce monde clos par les prisons de l’allégeance, le monde vit sans lui, énergique, passionné, raisonné, il défait les chaînes et les serpillières qui cherchent à immoler l’Histoire avec un H majuscule, sans se préoccuper des gesticulations des gorets qui se pavanent, de ces «experts» sortis d’un chapeau troué où ne luit que la pauvreté intellectuelle, perroquets avides de leurs gains qui racontent n’importe quoi pour complaire à la majesté qui se veut gouvernante, purulence sacrée que l’Art horrifié contemple, à tel exemple en ces lacis de traits qu’un enfant de deux ans affirme très bien, et que l’on vend des milliards pour les faire accroire la beauté de ce monde, du monde de l’atrophie peut-être, mais en aucun cas du monde vivant qui n’a que faire de ces signes inintelligibles, de cette perpétuité de la grandiloquence de la laideur, où l’on voit le firmament du mimétisme se révéler de cette atrophie précitée.

Car la laideur est la pourpre de cette citadelle qui se dresse devant les yeux de tout un chacun, et que tout un chacun, par l’information, la raison, le jugement, doit défaire de ces abyssales et monumentales servitudes. Cela se fait, et il suffit d’un regard éclairé pour suivre dans le vent qui se lève sur les ondes les prémisses de l’Ordre qui s’annonce, non le désordre, de la capacité qui s’éveille, non la médiocrité, dans la reconnaissance de la Vie pour la Vie et en la Vie dans sa multiplicité et non sa diarrhée représentée par cette «République Universelle» qui n’est autre que la dictature des sectes et en aucun cas la Démocratie couronnée où chacun en son espace bio géographique peut prospérer, où chacun en son Identité peut se refléter, où chacun en son Histoire peut s’harmoniser, où chacun en sa plénitude peut se transcender.

L’information n’appartient plus à cette gueuse devenue qui se voulait République Universelle, demain le savoir ne lui appartiendra plus, et je ne saurais le rappeler qui détient le savoir détient le pouvoir, donc inévitablement déjà le pouvoir ne lui appartient plus. Et il n’y a qu’à voir comment elle se gargarise, comment elle se complimente, comment elle ne sait plus se tenir, comment elle se dépêche à passer ses lois iniques qui seront lessivées des Codes quels qu’ils soient, comment elle signe traité sur traité, qui sera brûlé comme il se doit afin de rendre leur Liberté inexpugnable aux Peuples, pour se rendre compte qu’elle est à l’agonie et que ne lui reste plus que pour seul moyen d’accentuer sa dictature pour survivre encore quelques instants. Ces instants seront brefs devant la famine qui s’instaure, c’est tout ce qu’on lui souhaite.

© Vincent Thierry