Pétition contre MES

Une pétition contre le MES qui est l'équivalent de notre perte de souveraineté.

 

La pétition pour ce référendum-là a déjà été diffusée par les cocos. Le FN tente de faire croire qu'il est du côté des citoyens. A-t-on jamais vu un parti de droite et donc (et encore moins de l'extrême) demander son avis au peuple ? Oui, une fois, à ma connaissance : De Gaulle et il a démissionné suite à la claque que le peuple français lui a administrée…

Une idée intelligente d'où qu'elle vienne n'est pas à négliger.

Oui. Mais faut quand même faire très attention à qui la propose. Car au bout du compte on peut avoir de très mauvaises surprises. Les Le Pen sont à la tête d'une organisation politique de type familiale, exclusive et parasitaire, autrement dit, féodale. Le grand-père, la tata et la petite fille qui est la caution du futur de cette organisation. Plus monarchiste, tu meurs ! Donc, rien que de ce point de vue là… On ne peut raisonnablement les croire sincères. D'autant qu'ils sont à la tête d'une grosse fortune… Tout de même ! Et je le répète, cette proposition de référendum est déjà en cours de diffusion par la "gauche de gauche" (pseudo-révolutionnaire, certes) ce qui me semble, à tout point de vue, plus cohérent. Pour étayer mes propos il est un exemple récent : le référendum sur le projet d'un traité constitutionnel européen de 2005, revendiqué par le PCF et l'explication de ce traité par le journal l'Humanité. À l’époque le FN n'a rien proposé même si les sympathisants FN ont voté NON. N'est pas du côté du peuple qui le prétend.

Nous sommes d'accord sur l'essentiel, toutefois nous assistons à une évolution du FN qui n'est pas négligeable, dans le sens non plus de se replier sur le FN mais de s'ouvrir. Il ne faut pas jeter la pierre et construire sur ce qui peut être construit. Si les partis de droite traditionnelle, je ne parle pas de cette droite molle qui devrait passer avec armes et bagages au PS, s'unissaient, ce qui dans le cadre de la volition du PS de nous faire perdre notre souveraineté, cette synergie déterminerait l'existence du premier parti de France, qui pourrait faire basculer les idées reçues et tutti quanti.

De toute manière, si cela ne se fait pas, nous pouvons dire adieu à la France Républicaine, car ce n'est pas avec les larbins du NOM, Bilderberg, et city, et la pseudo-réunion des partis de gauches dirigé par le franc-maçon de service aux ordres dévoués du mondialisme et du viol des Peuples, que nous nous en sortirons. Aujourd'hui, nous ne sommes plus au stade du repliement sur soi mais bien de l'ouverture majeure, qui je l'espère emportera le Peuple qui n'a jamais été mondialiste et encore moins européiste, vers la régénération de notre Nation.

... De s'ouvrir sans pour autant abandonner les idées nauséabondes qu'il (le FN) véhicule depuis le début. Désolé mais je ne peux donner la moindre petite once du début de l'ombre d'une plume de semblant de confiance à ce parti politique tenu par des capitalistes d'obédience catho et royaliste… Et j'en passe (parce qu'on le sait déjà). S'il y en a qui y croient, libre à eux mais ils en reviendront tôt ou tard car ces gens-là se dévoileront dès qu'on leur aura donné le hochet qu'ils espèrent avoir de façon démocratique.

Je ne suis pas si pessimiste. Il ne faut pas radicaliser. La peste rouge a existé et continue à exister, la peste noire a existé et continue à exister, ces extrêmes se rejoignent très bien mais en aucun cas dans le débat démocratique, il suffit de relire Gorgio Freda, la désintégration du système, pour le savoir parfaitement, et cette peste rouge noire sert actuellement le NOM comme jamais, car son idéologie n'est rien d'autre que la synthèse du communisme et du national-socialisme, soit le nazicommunisme.

Donc ces "partis" ne peuvent s'ouvrir à la Démocratie, tel qu'on le voit actuellement, qu'en parachevant leur coup d'État permanent en se servant des larbins systémiques que l'on retrouve actuellement tant au PS qu'à l'UMP, figures blanchies pour les Peuples, leurres pernicieux inféodés à l'esclavagisme le plus intolérant qui soit regroupant les maoïstes, les gramciste, les léninistes révolutionnaires, tel qu'on le voit dans le Parlement Européen, tous dévoués à leur cause d'illuminés, qui comble de l'ironie servent en fait les couronnes consanguines.

Mais cela est un autre débat. Donc pas de radicalisme me semble une ouverture plus intéressante que celle de se concaténer dans des brûlots que tous les partis quels qu'ils soient ont commis, à commencer par les communistes à la sortie de la guerre en faisant tirer sur les mineurs, et j'en passe et des meilleurs. L'Histoire avec un H majuscule est pleine de fureur et de sang, fureur et sang principalement convoités par tous les ismes en présence qui semblent n'avoir rien compris à l'Humanité, aux Peuples et aux Nations, et à qui on ferait bien de faire relire la République de Platon, Tocqueville et bien d'autres.

Il n'y a pas, à mon avis de mauvaises gens, il n'y a que des dérives accentuées par les partis pour faire accroire que l'un est bon et l'autre mauvais. À l'heure où n'existe plus ni gauche, ni droite, ce qui est très bien, le choix et la responsabilité de chacun sont de savoir s'il croit et aime sa Nation, s'il croit et aime la République, s'il croit et aime son Peuple, et s'il veut demeurer libre, le reste n'est que superflu, et c'est bien pour cela qu'il ne faut pas se contraindre à ces dualités, ce qu'admirent les nazi communistes, dont ces dissensions leur sont tremplins pour ajuster leur dictature barbare.

C'est très bien tout ça ! Mais ce que tu décris ressemble fort au paradis… Et avant d'y accéder va falloir ramer… Et en passer par la lutte des classes. C'est inévitable puisque de l'autre côté il y a des gens qui veulent à tout prix se garder ce "paradis" rien que pour eux… Et sur le dos des autres qui plus est. Je ne partage donc pas ta façon de voir les choses qui, pour moi, ne sert qu'à endormir les consciences dans l'espoir vain d'un hypothétique futur fait de roses, de respect les uns envers les autres et de "lions qui paissent en compagnie des moutons" comme disent les témoins de Jéhovah… C'est bon, je crois que de ce côté-là l'humanité a déjà donné pendant quelques millénaires, durant lesquels les prophètes s'en sont mis plein les poches et ce n’est pas fini ! La pauvreté est utile, tu comprends ? Puisque c'est la raison de vivre des plus riches. Tu vas trouver que mes propos sont bourrés de poncifs à l'emporte pièce (certainement) mais qu'à cela ne tienne, on a bien, d'un côté des riches et de l'autre des pauvres ! Et les uns se justifient par rapport à l'existence des autres et "lycée de Versailles"! Les tiens (de propos) sont pétris de bonnes intentions avec une pointe de " les cocos et les fachos, c'est du pareil au même !" Bref tu es un vrai démocrate dans le sens judéo-chrétien du terme et c'est ton droit le plus strict. Et pour finir, je remarque que tu es plutôt du côté du FN que du communisme (tu remarqueras que je n'ai pas écrit "du PCF"). Je le redis, je ne t'enlève en rien ta liberté de pensée ; je ne la partage pas. Bon vent. Quant à radicaliser… Je ne pense pas que je radicalise et pour ce qui est de cette question ceux qui emmerdent le monde aujourd'hui sont pour le OUI auquel tu fais allusion en parlant du "NOM" (je pense que tu voulais dire NON…) et que ce sont eux qui radicalisent la société dans laquelle les nations et les peuples sont contraints de se débattre… Faute de mieux. Donc, et pour finir, la lecture des grands théoriciens, c'est très bien ! Mais de temps en temps il faut lever son nez du bouquin et coller à la réalité. Pour être sur le même niveau intellectuel que toi, je dirais qu'un peu de matérialisme marxiste, ne peut pas faire de mal… Sauf aux riches et aux capitalistes… et aux démocrates (qui n'en ont que le nom), ça va de soi !... Et ça ne me gêne aucunement.

Les mains dans le cambouis à seize ans, le matérialisme marxiste je l'ai très bien connu lorsque j'étais membre du comité de grève des Usines Chausson filiale Renault. Il s'est résumé par une tentative de déloger à coups de barre de fer les membres dudit comité, dans le respect de la pure démocratie, n'est ce pas, et une action de propagande absolument lénifiante sur des groupes composés essentiellement d'émigrés, nouveaux esclaves,  que nous défendions, et qui se sont fait rouler dans la farine par une reprise, après plus d'un mois de grève, du travail manu militari avec une maigre augmentation de salaire, drapeau rouge en tête et défilé à Gennevilliers et Asnières de tous les poncifs du communisme.

Je ne dirais pas les approches subies par tous les ismes de la terre afin d'immatriculer les uns les autres dans leurs paradis nirvaniques, la chasse des renseignements généraux et tutti quanti, jusqu’au parti marxisme léniniste révolutionnaire Albanais cherchant à recruter. Par pratique, permet moi donc de douter de cette étrange lutte des classes qui sert très bien le capitalisme et l'usure, tel qu'on le voit actuellement dans les divers mouvements syndicaux qui ne sont représentés, est-ce un hasard que par même pas dix pour cent des travailleurs.

La lutte des classes sert le système comme soupape de sécurité, les rapports de classes n'existent que parce que l'individu n'est pas maître de son destin, et est en manque d'une culture qu'il ne peut obtenir car soumis à une acculturation continue. La première des luttes pour émanciper l'Être Humain de sa condition c'est outre lui permettre de manger, de se loger, de lui permettre de se cultiver, et dépasser le carcan comme le joug qu'il subit et parfois accepte sans rechigner, il y a des masochistes ne nous faisons pas d’illusion, des lâches par milliers ne l’oublions pas non plus, et comment leur en vouloir devant la bêtise qu’on leur infuse journellement.

La Société Idéale n'existe pas, toutefois des rapports de masses peuvent s'y établir, je parle de masse réelle conduite par l'individualité et non désorganisée par des individualités, pour faire plier la barbarie, ce rapport s'est établi dans la lutte contre le H1N1, ce rapport peut s'établir par référendums sur tous les grands sujets de sociétés, mais faut-il pour cela utiliser toutes les bonnes volontés, qu'elles soient dans un parti où qu'elles fassent parti de réseau tel AWAZ qui demande le jugement des banquiers, comme cela a été fait en Islande par une démarche responsable du Peuple, un Peuple non soumis à une autorité quelconque, mais fier de ses individualités, et s’étant émancipé sans avoir besoin de meneurs vendus au capitalisme le plus répugnant.

Nous nous heurtons aujourd'hui au N.O.M qui veut dissoudre l'existence de tout individu qui se voit résorbé, dans sa théorie, dans un rôle d'esclave consentant, jusqu'à l'euthanasie. Ce combat n'est pas une lutte de classe, ce combat est le combat de l'Être Humain contre le non-humain, pétrit de ses ismes, nazi communiste par excellence, le reste n'est qu'enchaînement et contrition au système tel qu'il semble évoluer actuellement, tel qu'on le voit œuvrer en Syrie, sans qu'un petit doigt ne se lève dans nos pays occidentaux, hors dans les réseaux sociaux.

Libre à toi de penser que nous vivons encore au 19e siècle et que le matérialisme marxiste ait encore sa place, il l'a certes dans le confort du N.O.M qui le manœuvre, il n’y a qu’à voir qui dirige l’Europe, tous ismes confondus, maoïste, trotskyste, Gramciste, jusqu’aux émules de la Bande à Baader.

Les mains dans le cambouis, nous y sommes mais individuellement ce qui est plus intéressant car les individualités se multiplient, et lorsqu'on sait que  la masse s'effondre comme le carré de son échantillon, surtout si elle est menée comme un troupeau comme on le voit si bien dans ce premier Mai, où le ridicule devient permanence, l’action ici est beaucoup plus impérieuse. Il ne s'agit ici ni de théorie mais bien de pratique, une pratique permanente autrement plus intéressante que la dévotion à des partis idolâtriques.

Pour en finir avec les ismes, n'oublions jamais que Lénine a été financé par la finance apatride de l'errance, qu'Hitler n'avait pas de meilleur allié que la Russie jusqu'en 1942, et que la Russie recevait des cargaisons de blés en provenance des États-Unis journellement et ce jusqu'à la chute du communisme, enfin que le socialisme est le fourrier de ce nouvel ordre mondial qui pavane, initié par sa soldatesque maçonnique aux ordres de la finance apatride.

Il faut regarder au-delà du miroir et savoir quel est le fondement de l'asservissement Humain, et aujourd'hui il parade, l'Usure dans toute sa déontologie, donc le combat à mener n'est pas un combat de classes, mais bien un combat contre l'Usure, contre le Libor, contre la City, contre Wall Street, contre les tenants et aboutissants de l'esclavagisme Humain.

Pratique et théorie sont complémentaires et pour en terminer, car chacun a sa voie, nous sommes tous complémentaires les uns des autres, le reste n’est que facétie d’orientations déchues, je t’invite à lire ou relire les Œuvres de Simone Weil qui elle aussi a eu les mains dans le cambouis et s’est rendu compte de l’inanité de la lutte des classes encadrée par le dirigisme totalitaire, et notamment «Réflexion sur les causes de la liberté et de l’oppression sociale».

© Vincent Thierry