Résistance
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- Catégorie : Politique
Résistance
Qui dit résistance, dit critique, liberté de la pensée, défense de la Liberté. Qui dit résistance, dit guerre. Ce jour la guerre a été déclarée sans préambule contre l'Humanité en ses représentations, ses races, ses peuples, ses ethnies, ses représentations légales, les Nations.
À la base de cette agression, une prétention sans commune mesure, celle de la domination de l'ensemble des Êtres Humains, par le couronnement de l'institutionnalisation de leurs échanges, la monnaie au profit d'une caste détentrice arbitraire des courroies de transmissions de ces échanges, le système bancaire. Aux racines de cette perversion l'intérêt, parasitisme aigu permettant la mise en place de l'asservissement global de l'humain en sa réalité physique, comme en sa réalité morale réalisée par les institutions qu'il crée pour gérer son devenir.
Moteur de cet asservissement ; l'endettement, permettant la soumission tant des particuliers que des États, endettement fluctuant permettant d'innerver des processus de désintégration bio histo géographique afin d'instaurer un diktat qui peut apparaître sans fin et débouche inévitablement sur une unification forcée des acteurs de l'économie contribuant à la création de flux monétaires permettant le développement et l'alimentation du système bancaire.
Pompe aspirante sans limite, ce système inéluctablement pour vivre se doit irrémédiablement de grossir jusqu'à l'explosion. Ici nulle morale, nul état d'âme, ce vivier composite n'a d'autres objectifs que la vertu de cet outil qui lui permet d'asseoir sa puissance.
Voici le lieu. Et par le temps on peut conjuguer son essor, cette boulimie continue s'octroyant tous les pouvoirs, innervant chaque racine conditionnelle de son déploiement en l'illustrant dans un féodalisme abject où le sens du réel n'existe plus, l'asservissement étant la règle et la mesure de toute règle. Mantisse de cette entreprise on retrouve ici les arcanes affinant la destruction de toutes valeurs humaines, qu'elles soient individuelles ou générées, histoire, culture, racines, disparaissent au profit du magma de l'uniformité bestiale, celle du troupeau que l'on manipule comme on souhaite le voir agir, réagir. Jusqu'à la limite extrême, le tatouage des individus, inséminés par micro puce qui sera leur porte-monnaie, leur identification, tant qu'ils suivront les directives de la Banque centrale universelle, et l'abstraction gouvernementale qui la servira.
Nous n'en sommes plus loin, encore un pas de laisser aller, un pas de raisonnement soumis et nous deviendrons les unités économiques de cette pieuvre tentaculaire, monnaie d'échange nous-même en fonction de notre valeur d'attraire la valeur ajoutée de la multiplicité des produits circulant dans l'espace cloîtré de notre petite planète devenue une planète prison.
Ne vous leurrez pas, nous ne faisons pas de la science-fiction, nous nous dirigeons tout droit vers ce laminage des droits, vers ce conditionnement larvaire, vers cet abandon consenti de nos droits au profit de cette prison planète en laquelle nous serons régis par une puce de notre naissance à notre mort programmée en fonction de notre capital génétique et des cycles économiques.
Tandis, qu'aréopage de la médiocrité se tiendront les "sages" qui nous gouvernerons, pantins abrupts de la réalité nous faisant vivre dans la virtualité aux sons rassurant de médias réjouissant ce bonheur insoutenable par une propagande pandémique (à l'image de la diffusion manipulatrice de l'information sur la grippe porcine), alors que les barbares assoiffés, dominants et régissant tout, invisibles aux communs, se partageront des empires économiques, jouant de nos vies comme un chat avec la souris, s'affrontant dans des rixes sanglantes, déclenchant guerres et cataclysmes, comme ils l'ont fait en 1914 et 1939, et ces dernières guerres, servant les uns les autres afin de remplir leurs poches sans fonds, dans la joyeuse symphonie de leur clinquant.
Devant cet avenir "glorieux", à l'heure où les barbares veulent assurer la prédestination de leurs vœux en ayant créé de toutes pièces la crise économique que nous vivons, il est peut-être temps d'imaginer et légiférer un monde de Liberté, qui ne soit plus soumis à l'esclavage du parasitisme financier, par mise en œuvre de Lois internationales surtaxant toute opération de prébende ou de spéculation quelle qu'elle soit, recentraliser les banques dans le cadre des Nations et se débarrasser une fois pour toutes de ces banques "centrales", apatrides et corrompues, initier la battue et la création de la monnaie par les seules banques nationales, et en aucun cas par les banques privées, enfin instaurer au niveau mondial une monnaie d'échange universelle qui ne soit plus soumise aux fluctuations délétères des changes permettant de se livrer à des guerres économiques impitoyables dont les seules victimes sont les Peuples.
Moraliser l'économie c'est cela, et non attendre invariablement le déluge. Il ne tient qu'à chacun dans le cadre Démocratique de la légalité, en portant ou non une cagoule (de quel droit la cagoule n'a pas le droit d'être portée dans la rue ? Le voile est permis, la cagoule aussi, il suffit de ces fadaises asymétriques et totalement dénuées de sens, où s'arrêteront les atteintes à la Liberté ? Et l'on glose sur la République du matin au soir, alors qu'on instaure une dictature de fait ? de cesser de voter pour l'ensemble patenté des courroies de transmission de cette inféodation parasitée décrite, en éliminant systématiquement des bulletins de vote celles et ceux qui n'ont rien fait pour moraliser l'économie, de droite comme de gauche (qui sont unis dans la destruction tant des Peuples que des Nations, à tels fins que l'apartheid règne dans nos pays d'Occident comme jamais cela n'a été permis), de surtout ne pas tomber dans l'horizon des trotskistes de tout bord, manipulés globalement par les précédents, et enfin choisir de voter pour celles et ceux qui défendent la Liberté, la Nation, le Peuple, en l'occurrence les partis traditionalistes qui œuvreront pour la restauration des valeurs Humaines et non pour leur destruction, leur confinement à la barbarie qui se veut triomphante.
La résistance légale passe par ce choix, un choix déterminant, qui peut anéantir ce projet mondialiste sans valeurs et sans honneur, qui laisse pour compte 90% de l'Humanité, en n'ayant pour seul désir que de l'asservir. En résumé, nous nous trouvons dans ce présent en face de deux choix, une troisième voix n'existe pas, résistance ou démission, choix de la capacité ou choix de la médiocrité. Il n'y a pas d'alternative. Résister c'est choisir la Capacité, démissionner c'est choisir la médiocrité. À chacun d'obéir à son instinct. Ici la devise de la couronne Anglaise trouve son plein épanouissement ; vaincre pour vivre ! Sinon obéir et mourir...À chacun de choisir ; la défense de la Liberté ou bien son anéantissement dans l'esclavage.
© Vincent Thierry