Dignité et honneur de la France
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- Catégorie : Politique
Dignité et honneur de la France
De quoi est-il question aujourd’hui ? Que l’on oublie la cause : le viol d’une fillette de treize ans par un cinéaste ? Que l’on oublie, en dehors de toute retenue, la défense faite de ce cinéaste par la voix de la République ? Au nom d’un ouvrage écrit par un Ministre qui parade aujourd’hui dans les cénacles de cette médiocratie qui le louange ? Que nous importe cet ouvrage, et que nous importe ce personnage auquel nous ne prêtons aucune attention, sinon que pour lui dire que la fonction de Ministre de la Culture n’est pas celle de défendre des artistes, mais bien de faire briller de tous ses feux la Culture, et notamment la culture Française en totale déshérence actuellement, les valeurs culturelles de notre Pays n’étant pas celles des basses-fosses de la perversité !
Revenons au fait ! Et ce fait est grave pour la République, surtout dans la fonction où s’exerce cette défense du crime d’un individu qui double ses propos d’un repentir médiatique qui n’excuse rien. La République par la voix d’une de ses fonctions n’a en aucun cas à prendre la défense du crime, car il n’y a aucune justification à la pédophilie, pas plus qu’au tourisme sexuel prenant en otage des enfants ! Nous sommes ici devant un déni d’honneur qui entache notre Nation, et dois-je le rappeler, ce ne sont pas les propos de certains partis politiques qui ont dénoncé le fait, mais bien la communauté Internet en sa multiplicité, relayée par certains journalistes, puis par les partis politiques, alors assez de ces défenses basées sur l’appartenance à tel ou tel parti, les faits sont là et on ne les noiera pas dans les verres d’eaux du petit copinage qui braille "dégueulasse !" à souhait ! Qui y a-t-il donc de dégueulasses mesdames messieurs les censeurs de la pensée unique répugnante : combattre le crime ou bien se mettre en génuflexion devant la barbarie, devant la cruauté, devant la bestialité envers les Enfants, leur servage au bon plaisir de la corruption de l’Esprit, de la dégradation physique, du délitement de l’Âme !
Qu’y a-t-il donc de "dégueulasse" à vouloir défendre les Enfants torturés et saillis par ces prédateurs qui s’imaginent au-dessus des Lois. Qui sont les "dégueulasses" dans cette affaire ignoble, car portée par la République : les Associations de Parents, tous les Parents du monde qui respectent la Vie, tous les Êtres Humains qui font face à ces non-humains qui ne tarissent pas d’éloge sur leur sublime décadence ! Il n’y a pas de défense à prendre ici de l’engagement fait au nom de la République pour mettre à l’abri le crime de viol ! On aurait pu s’attendre à une réaction ordonnée des représentants de la République pour demander l’éviction pure et simple d’un personnage défendant le crime, que non point, ici règne le silence, un silence qui ne peut être interprété que comme complice de la souffrance des Enfants, de la désintégration de leur devenir par cette bestialité qui ne respecte pas la Vie, ni leur devenir, la pédophilie !
Le personnage, qu’ici je ne jugerai pas, qui n’a aucun intérêt ni pour la France ni pour son rayonnement culturel, si sûr de lui a fait savoir qu’il ne démissionnerait pas, prouvant ainsi cette complicité peu ordinaire. La République n’est pas un symbole sur lequel on crache, la République si on l’honore on la sert, si on la salit, on la quitte, si on a un tant soit peu d’amour-propre. Et l’on s’étonnera après du trafic des enfants comme esclaves sexuels, ou bien comme victimes de meurtres rituels organisés par des sectes satanistes et maçonniques et autres, crimes abjects dont on ne retrouve que les pourvoyeurs mais jamais les auteurs, lorsqu’on se trouve en face d’une telle sympathie pour la pédophilie initiée par la voix de la République.
Il n’y a ici qu’un acte salutaire, l’éviction sans autres formes de procès. Bien des Ministres ont été remerciés pour bien moins que cela. Tant que cela ne sera pas fait, l’abjection sera la mesure de cette gouvernance. Il convient ici de poser la question à nos Députés, à notre Chef de l’État : que comptez-vous faire pour expurger de la République ce délitement de la Pensée, touchant directement notre avenir : nos Enfants ! Si rien n’est fait, nous pourrons considérer qu’il n’y a plus rien à attendre de cette gouvernance, qui devient caution indirecte de la défense de crime de viol sur les enfants mineurs, jusqu’aux prochaines élections, qui permettront peut-être de restituer à la France sa dignité et son honneur.
© Vincent Thierry